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la suite de De Rhynatsy
renjen a répondu à un(e) sujet de Rhynatsy dans Les éleveurs des races du groupe 01
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Protocole vaccination chiot
renjen a répondu à un(e) sujet de orne61 dans Forum Santé- Hygiene- Aliments
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PORTEE KAYA/ CH ANAKINN DE RHNATSY
renjen a répondu à un(e) sujet de Rhynatsy dans Les éleveurs des races du groupe 01
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Kaya od Prachovsky'ch Skal a 10 mois ma Schipperke Tchèque
renjen a répondu à un(e) sujet de Rhynatsy dans Galerie photos- Book des membres et vidéos
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MON CHIEN OU CHIOT ET LA NEIGE I fini
renjen a répondu à un(e) sujet de guigui011 dans Les panières canines
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LA BRUCELLOSE CANINE Dr Samuel Buff La brucellose est une maladie causée par Brucella canis, une bactérie isolée la première fois sur un fœtus de chiot mort, dans le milieu des années 1960 aux Etats Unis. Elle touche aussi bien la mère que les fœtus. Au centre de nombreuses publications, cette maladie atteint un pourcentage mal connu de la population canine, évalué à plus ou moins 8 ou 10% outre atlantique. Cela revient à dire que presque un chien sur dix est porteur de Brucella canis. Brucella canis pose un problème de santé publique, puisqu’elle est transmissible à l’homme, qui développe alors une grave pathologie hépatique et une polyarthrite. Les fœtus contiennent l’agent virulent et doivent donc être manipulés avec toutes précautions. Les progrès en matière de produits pharmaceutiques ne suffisent pas, c’est une maladie délicate à traiter et dans la plupart des cas il n’y a pas de guérison. De nombreux propriétaires pensent que si leur chiens présentent cette maladie, ils le traiteront. Mais c’est une erreur grossière car si ils y parviennent, l’animal restera probablement stérile et plus ou moins rachitique. Comment se transmet Brucella canis ? Brucella canis se transmet sexuellement lors des accouplements entre mâles et femelles. Chez la chienne, la bactérie vit dans les tissus vaginaux et utérins, dans les sécrétions, et ce pendant de nombreuses années. Aussi, hormis de rarissimes cas, cela concerne toute la vie de l’animal. La chienne malade semble en excellente santé et aucun signe ne laisse supposer qu’elle est porteuse et excrète des brucelles. Elle peut ainsi contaminer d’autre animaux, même en dehors des accouplements, par le biais des urines, des secrétions vaginales, ou encore des avortons. Lorsqu’il y a gestation, la bactérie peut atteindre les fœtus et provoquer leur mort. Chez le mâle, Brucella vit dans les testicules, dans le fluide séminal. Le mâle atteint, tout comme la femelle, peut transmettre la bactérie par son urine ou son sperme. Généralement aucun signe extérieur n’attire l’attention, hormis lors de cas avancés où l’orchite est visible. Les portées avortent généralement dans les deux dernières semaines de gestation ; si les chiots atteignent le terme, ils peuvent mourir rapidement après leur naissance. Il semble toutefois qu’en Europe, la proportion d’avortements soit, pour l’instant encore, plus faible que chez nos voisins, ne dépassant guère 30 % des cas (le petit nombre de cas concernés aujourd’hui est vraisemblablement en rapport avec cette surprenante proportion). Lors d’avortement après 45 jours de gestation, la suspicion de brucellose canine est forte : toutes les précautions seront prises pour éviter une contamination (élimination des fœtus, port des gants, désinfection systématique). Attention, les fœtus sont émis avec un liquide gris-vert, extrêmement riche en brucelles !… Quels sont les risques? Ils sont extrêmement sérieux : Brucella canis est un micro-organisme contagieux pour l’homme ; il faut donc limiter les risques et prendre toutes précautions lors des contacts avec les avortons et les liquides émis. Si la mère atteinte ne s’avère pas incapable de procréer dans le futur, elle peut néanmoins disséminer son affection aux mâles et entraîner chez eux une infertilité. Le diagnostic de laboratoire Pour réaliser un test de laboratoire, un échantillon de sang sera prélevé par votre vétérinaire. Une sérologie positive devra toujours être confirmée par un second examen sérologique et une hémoculture. Une précaution utile consiste à tester chaque animal avant la mise à la reproduction, puisque la voie vénérienne constitue la voie de contamination principale entre individus asymptomatiques. La période de validité d’un tel test est fonction des interactions du chien ou de la chienne considérée, avec ses congénères. Une chienne testée un an plus tôt, ayant eu une portée normalement, devrait être re-testée avant un nouvel accouplement. Pour un mâle très sollicité, il devient difficile d’assurer une prévention efficace : dans l’idéal il devrait être testé entre chaque accouplement. Dans les cas d’avortement suspect, il conviendra d’effectuer systématiquement une recherche sur les fœtus, afin d’isoler la bactérie ; un prélèvement du sang maternel et un examen sérologique seront également réalisés afin d’écarter tout diagnostic de brucellose. La prévention Autant que possible, une quarantaine de 15 jours sera imposée à tout nouveau reproducteur introduit dans l’élevage, en particulier s’il s’agit d’une importation en provenance de pays réputés contaminés. A l’issue de cette période une sérologie sera demandée, même si l’animal dispose d’un certificat faisant état de l’examen avant la vente. Ce n’est qu’après obtention d’un résultat négatif que l’animal pourra quitter la quarantaine et rentrer en service. Toutes ces mesures peuvent sembler lourdes, mais les pertes occasionnées par un épisode brucellique en élevage sont incalculables : les reproducteurs atteints doivent être éliminés, la production de chiots est interrompue, et le potentiel génétique obtenu à force de sélection est systématiquement perdu. Le recours à l’insémination artificielle limitera au mieux les contacts entre les chiens, et donc suffisamment les risques de contamination, même si la possibilité de contamination d’une femelle saine en utilisant du sperme infesté par Brucella canis a été décrite. A l’inverse, même si la femelle est porteuse, le recours à l’insémination permettra de protéger intégralement l’étalon. Tout individu atteint devra être exclu de la reproduction : la castration chirurgicale de ces animaux est plus que conseillée. Les sérologies de routine permettent une bonne limitation du risque avant accouplement. Le traitement Il n’existe pas de vrai traitement : le chien sera asymptomatique, blanchi, mais il ne sera jamais guéri. Brucella canis vit au sein même des cellules du chien et reste peu accessible aux antibiotiques. Le traitement associe généralement plusieurs antibiotiques, comme la doxycycline, la minocycline et la dihydrostreptomycine. Ils ne sont que partiellement actifs, et provoquent une réduction temporaire du nombre de bactéries, même après plusieurs semaines de traitement. De tels animaux sont souvent excréteurs des mois, voire des années après. Il faudrait donc les stériliser chirurgicalement et surtout ne plus les utiliser comme reproducteurs. Même si le chien (ou la chienne) est le seul représentant d’une fabuleuse lignée, le faire reste discutable. Le problème de santé publique La contamination de l’homme par Brucella canis est possible, par l’intermédiaire des avortons ou des produits de l’avortement. Elle serait également possible par l’intermédiaire du sperme d’un chien atteint (en particulier lors de la récolte de semence). Votre vétérinaire utilisera volontiers un gant pour l’examen gynécologique de vos chiens. Ne pas tenir compte des précédentes informations constitue une prise de risque importante : vous jouez avec le feu tant pour votre élevage, que pour votre propre santé. http://sante.leobase.fr/dossiers/brucellose.htm
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J’ai déjà fait des recherches car je vais faire saillir une lice en utilisant le sperme réfrigéré expédie de la France. Voici un exemple d’un transport possible. Contacte UPS par avant 2h lundi le 13 juillet 2009 Départ : lundi le 13 juillet a midi Arrivée : mercredi le 15 juillet- Garanti Prix : $108 US
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Je ne crois pas que le ver du coeur existe chez les chiens en France. S’il fallait s’en occuper on se servirait des ivermictines ( ou d'autre medicaments) pour la prévention. Dans certaines régions aux Usa et au Canada on donne du Heargaurd (ivermectin) une fois tous les mois pendant toute l’année comme prévention. Je ne suis pas du tout d’accord avec vous! l’ivermectin est très efficace contre la démodécie localisée . j’ai déjà dit qu’on n’en donne pas aux bergers , autrement dit les chiens ayant une mutation du gêne MDR 1- tout le monde le sait chez nous, il ne faut que regarder l'avertissement de ce medicament......
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pétition à signer , important pour les éleveurs.
renjen a répondu à un(e) sujet de tikka1 dans Forum des petites annonces ou demandes rapides
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Je ne poste que les opinions différentes Il y a ceux qui croient que la déficience (l’affaiblissement) immunitaire est liée aux croquettes. Il y a bcp plus des chiens atteints de démodécie que dans le passé. Il y une éleveuse qui a cessé de faire manger les croquettes qui contiennent des céréales. Sa lice a cessé de produire les chiots démodeciques.
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Je viens de parler au téléphone à une éleveuse qui élevait des chiens depuis 30 ans. Elle avait une femelle qui était atteint de démodécie localisée à l’age de 6 mois. Apres sa première chaleur elle ne l’avait plus. Cette éleveuse a fait saillir cette femelle 4 fois et aucun des chiots n’étaient jamais atteint de cette maladie- ni leur issu. La déficience immunitaire est parfois liee à l'environnement.
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Il y a des éleveurs chez moi qui utiliseraient un chien qui a eu la démodécie localisée (ce que nous appelons la gale de choit), jamais la démodécie généralisée. ils disent que si un chien n’a plus ce déficit immunitaire a l'age de 2 ans qui permet aux demodex a s’exprimer, on peut l’uitiliser pour la production. Il y aussi des véto qui disent la même chose.
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(Demodex canis) La démodécie est une pathologie cutanée affectant généralement de jeunes animaux, causée par un acarien : Demodex canis. Bien que cela puisse paraître surprenant pour la plupart d’entre nous, il faut savoir que le même acarien vit la plupart du temps sur le corps de tout chien adulte et sur celui de la plupart des êtres humains, sans causer le moindre dommage ou la moindre irritation. Le Demodex mesure 0,25 mm de long, et ressemble à un « petit alligator ». Il vit dans les follicules pileux (diverticules de la peau où s’enracinent les poils avant de sortir par le pore), d’où le nom de «follicular mange » – démangeaison folliculaire – utilisé par les anglo-saxons. Chez l’homme le Demodex se trouve généralement dans la peau, le lit de l’œil et les déjections nasales. Dans tous les cas, la pathogénicité ou l’innocuité du Demodex pour un chien dépend de la capacité de l’animal à maintenir le développement du parasite sous contrôle. La démodécie n’est pas une pathologie des élevages mal tenus ou sales : c’est une maladie du jeune chien présentant un développement limité ou inadapté du système immunitaire, ou encore de l’adulte souffrant d’immuno dépression. Tous les animaux, quels que soient leur âge et leur état clinique, hébergent des Demodex, mais le parasite se multiplie et développe son pouvoir pathogène chez certains sujets uniquement, provoquant une démodécie. Les chiots nés par césarienne ne sont pas contaminés, ce qui exclue une contamination in utero. Cependant l’atteinte est précoce (elle a lieu dés les 24 premières heures de vie). Pronostic et impact sur la sélection La démodécie n’est pas une pathologie parasitaire comme les autres : en effet, la dépression immunitaire permettant aux chiots de développer la pathologie est le plus souvent d’origine héréditaire. Tous les chiots sont naturellement contaminés par leur mère, cependant seul un nombre restreint d’entre eux – ceux qui possèdent un système immunitaire déficient – vont développer la maladie. Cette sensibilité possède un support génétique et peut être transmise de générations en générations : il serait donc préférable, en présence d’individus atteints, de retirer les parents ainsi que les collatéraux de la reproduction si l’on souhaite voir les cas de démodécie généralisés disparaître. http://sante.leobase.fr/dossiers/demodecie.htm
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