Joe04

Penser à vermifuger contre la bronchite vermineuse ..... Vers qui vivent dans les poumons --> mortel à forte concentration Il y a un poste où nous avons déjà parlé de cela, je le cherche

Ben, je ne sais pas si c'est déjà les vacances pour beaucoup d'entre vous mais il me semble qu'il y a moins de forumeurs sur le forum. Je me trompe ??? Cela fait plusieurs jours que je zappe les sujets pcq il n'y a plus vraiment de discussions. Les sujets "chauds" sont-ils épuisés ?? J'espère que . Sinon, il faut attendre septembre pour revoir du monde ? Ben, c'est que mes soirées sont longues et je m'ennuie.... Mais bon, moi aussi, je pars dans une quizaine de jours. Donc je devrais dire : vive l'été : moins de forumeurs mais des vacances !! Où qu'vous êtes tous ???

La Rioja me fascine avec un paysage montagneux à 360 degrés. Peu importe où je me trouve, je suis constamment au centre d'une cuvette de plusieurs kilomètres de diamètre dont la circonférence n'est que montagnes. Ici les chemins sont de vrais chemins de terre, de caillasse, irréguliers, mais je les préfère aux chemins longs et plats où Karamelle s'endort par monotonie. Comme dans les Pyrénées, ici, elle doit regarder où mettre les pieds, et son pas est plus rythmé, plus rapide aussi. Les sapins, chênes, peupliers sont remplacés par des amandiers et des oliviers. Ceux-ci me font penser à des bonsaïs géants avec leurs troncs tordus et leurs feuilles minuscules. Des vignes à perte de vue également. En Palencia, nous marcherons durant des jours entiers sur un sol plat. Une ligne droite, avec des montagnes à l'horizon que nous ne rejoignons jamais. Le vent fait des vagues dans les cultures de blé. Le Camino a fait énormément de bien à Karamelle. Du fait de ne pas avoir de carte, du fait de devoir suivre le fléchage, et donc d'être obligée de passer par les villes impliquées par ce Camino, Karamelle a appris à se comporter correctement en ville. La traversée de Pampelune fut notre première expérience. J'ai eu le sentiment de traverser le centre du vieux Bruxelles, puis de passer par la rue Neuve, tant il y avait de rues piétonnes, avec ou sans travaux. Je dois avouer que j'étais un peu gênée, ne me sentant pas trop à ma place. Burgos, ensuite, avec son grand boulevard, ses zonings industriels, ses camions et sa puanteur. Nous mettrons trois heures trente pour traverser la ville. Plus de temps que les autres pèlerins, mais nous avançons lentement, car Karamelle glisse constamment avec ses fers sur le sol carrelé des trottoirs (suffisamment larges que pour les préférer à la route). A Leon, le même problème se pose, nous avançons à pas réduit, entre les camions, les pelleteuses, le chemin de fer. Paysage de Navarre Le col de la Sierra del Perdon

Merci....En plus, j'ai jamais regardé ce genre d'émission.... Du nouveau pour moi aussi alors !

Pas évident de soigner un trou pareil !!! Un nid à mouches tout prêt ! mais avec la vaseline, elles n'iront pas se frotter. Pourvu que le cheval ne s'y frotte pas non plus, pcq sinon, (il existe des "tours d'encolure" en bois pour éviter qu'un cheval ne se gratte, c'est surtout fait pour qu'il ne touche pas à des blessures ailleurs sur le corps mais peut-être que cela pourra convenir si besoin).... Courage, ce n'est pas si moche que ça comme plaie mais impressionant quand même ... Un moment très difficile à passer. La chaleur n'aide surement pas. il mange, il boit, il est content de sortir, .... le reste suivra. Ah, au fait, mon Duco est un spécialiste de la corde tendue (sans jamais tirer au renard)... il s'appuie dessus aussi, ça m'énerve un peu car je ne sais pas si c'est de la fainéantise ou une défense (à quoi ?? J'en sais rien). Il faut le pousser en avant pour qu'il se remette bien et 5 minutes après, il dort à nouveau sur sa corde...

Et on te voit quand alors, sur l'écran, histoire de participer à ta joie ???

J'ai jamais essayé mais y paraît que c'est très gaït le tölt. Pffffff !!

J'ai récupéré, sur une brocante, des vieux sacs de postiers dans un état de sécheresse lamentable. Durs comme du carton, impossible à ouvrir, le sac se refermait tout seul par habitude des années passées dans unn grenier ou autre cave. Il y avait du vert de gris sur le cuir, à l'intérieur de la sacoche.....--> le cuir vivait encore. Je l'ai plongé 24h00 dans l'eau chaude, avec des briques dans les sacs pour leur redonner une forme "ouverte". Puis, j'ai laissé sécher à l'air mais à l'ombre. Ensuite : huile à gogo à l'extérieur (je n'en ai pas mis à l'intérieur pcq je m'en servirai pour ces vacances et l'huile plein les doigts ou le matériel : non merci !) Bref, les sacoches ont repris une vie, un aspect normal, non racrapoté, non séché, non mort..... J'ai fait cela le mois dernier, il faisait chaud mais pas trop et je n'ai pas fait sécher au soleil, donc, cela a séché à l'aise. 24h00 dans l'eau, s'il s'agit de "sauver" du matériel....Ben pour moi, c'est positif. Photos des sacoches après les vacances, vous verrez, elle tiendront le coup et en plus, avec le voyage, elles deviendront patinées, auront une forme originelle et donc seront jolies.... Tout ça pour 5 € et 100 litres d'eau chaude !!!

Bon, je prends de l'avance : 10.000

Un cheval est un être vivant. Un cavalier aussi. Tous deux progressent parfois vite, souvent lentement. Souvent, les progrès sont spectaculaires sur quelques semaines puis stagnent de nombreuses et très longues autres semaines. Pour évaluer les progrès d'un cheval et/ou de son cavalier, mieux vaut regarder plusieurs mois en arrière. "Tiens, cet hiver, il ne faisait pas cela ou je n'étais pas capable de faire cela" "Tiens, l'été dernier, nous n'en étions pas encore là" "Tu te rapelles, il y a un an, il avait peur de cela ou ne sautait pas cet obstacle" "Tu te souvient l'an dernier comme il se tordait l'encolure pendant l'exercice" ..... En regardant au jour le jour, on a l'impression de ne pas avancer dans son travail, on se lasse (le cheval aussi), on se démotive. A nous alors de changer de tactique : longer plus souvent pour pouvoir "voir" les progrès et non les sentir, partir en balade plus souvent pour profiter de sa monture sous le soleil, être plus relax, plus détendu et son cheval aussi. Profiter des balades pour lui montrer d'autres choses, d'autres chemins que ceux de la promenade d'une heure.... Passer au manège juste pour le mettre au pré en "prescrivant" un repos mérité pour la paire cavalier/cheval, Le mettre en liberté et passer des heures à "jouer" à pied pour obtenir un autre contact..... Ne pas se morfondre dans un travail qui, on le croit à tort, n'avance pas. Le travail et les progrès d'un cheval sont à mettre sur le même pied que l'évolution d'un enfant qui fait ses années primaires ou secondaires. Palliers, temps, déceptions, échecs, ..... mais bonheur, réussites et diplômes au bout du chemin. C'était la petite réflexion du jour de Joe !

J'ai "cassé" plusieurs fois en voyage.... parfois, un cheval qui fait un mouvement brusque, qui marche sur ses rênes... Sans ce système de lacets, j'aurais été bien souvent dans la m**** C'est vrai que c'est facile à réparer : rapide, efficace, solide et .... joli !!

Ah zut .... trop grand je crois, la jument ! (si je dis le contraire, c'est un peu vanter la chose non ?? )

Ben, j'ai pas ce système là sur l'imprimante (modèle pas cher, quoique !) et en plus, je n'ai pas de carte sur l'APN. J'vais essayer ce soir en débranchant les appareils connectés.

Une suite encourageante : Les deux mères se "tolèrent" un peu plus. Kamel accepte Samôman un peu plus près que les jours précédents. Donc, moins de stress et moins de "fuite"... Par contre, elle ne veut pas voir la mule de trop près, on dirait que ça lui fait peurt ou alors, elle croit que la mule va venir téter la ration de Red Moon (??) Bref, chacun prend ses distance mais il n'y a plus de courses poursuite ni de rejet ou d'agressivité. Samôman a très bien compris jusqu'où elle pouvait avancer. A moi de faire gaffe en mettant la paille ou le foin dans les pallox. Maldone est une vraie chipie. Elle commence à comprendre ce qu'on lui veut mais elle a l'art de nous filer entre les doigts (du genre, quand on les rentre pour nourrir, elle "loupe" la porte du box et part dans la pelouse, ce qui a le don de m'énerver, je n'aime pas la "désobéissance"...) Elle donne les pieds, se laisse papouiller sur tout le corps, reçoit des petites tapes sur le nez pcq elle mordrait encore bien.... elle a encore "peur" de nous quand elle est couchée et se relève vite fait à notre approche. Samôman commence à mieux accepter notre "intrusion" dans son monde de solitaire. Seule la première approche matinale amène la fuite. Ensuite, elle se laisse toucher à chaque fois. Jeudi, vendredi, samedi et dimanche, on a travaillé toutes les journées dans le paddock et les prairies (potager, clôtures, brûler des branches, remonter le fumier ...) Bref, on faisait partie du paddock et de la prairie et Samôman nous a acceptés. Je pense que le rythme de vie chez nous lui apprendra à donner sa confiance. J'avais pu remarquer cela avec Babette dont le passé et le comportement de fuite était semblable à celui de Samôman. Les deux pouliches jouent ensemble mais ce n'est pas vraiment un jeu de poulain : on sent beaucoup de méfiance de la part de Maldone qui est aussi une "emmerdeuse" de première. Elle "attaque" Red Moon, oreilles en arrières, puis détalle au galop de peur de se faire attraper. Mais moi, je suis super contente du comportement de Red qui ne "marche" pas. Elle ne daigne "jouer" que si Maldone vient correctement, gentiment, faire des papouilles sans agressivité. Alors, là commence le jeu. Malheureusement, il ne dure pas logtemps vu que Maldone recommence ses manières. En fait, Maldone a pris le comportement de sa mère : isolement, solitude, et fuite quand un autre approche. En ajoutant à cela la curiosité d'un poulain, cela donne "le jeu" de Maldone. Mais chaque jour va en progression, surtout pour la mère. Cette semaine, si j'ai le temps (et envie), pansage complet et pieds et pourquoi pas douche.... poulains compris (juste une petite mouillette histoire de connnaître l'emplacement du tuyau et la "chaleur" de l'eau froide.....

Et voilà, la journée de jeudi s'est finalement faite sous un soleil à attraper des coups (de soleil ) 16 bambins de 2 ans et demi à 6 ans sont venus passer la journée chez nous. Accompagnés de deux institutrices seulement. Pas facile de mener ce petit monde bruyant. Une grande première pour nous et nos ânes. A part quelques "touristes" égarés qui viennent faire 20 minutes de balades à dos d'âne (leurs enfants), ici, c'était quelques heures à animer un groupe d'enfants dont certains étaient juste un peu déchaînés. Mais bon, Joe a de la voix et quand elle dit "chuut" et qu'elle explique que les ânes n'aiment pas qu'on crie dans leur oreilles, elle réussit à se faire écouter et obtient le silence. Résumé de la journée : - Chercher les ânes au pré (quatre enfants et deux cordes par âne ) Pansage, avec explication du poil d'hiver brun qui tombe et du poil d'été noir qui pousse, - Curer les pieds (sauf postérieurs de Babette pcq parfois, elle se défend encore... c'est rare mais on ne sait jamais) avec explication du pourquoi Léo est ferrée et pas les autres. -Seller Léo et Babette en portant les enfants qui mettent tapis, mousses et selles.... -Atteler Ducobu, aussi en portant les enfants qui mettent la sellette et tout le barda... -Balade dans le pré avec quatre enfants qui tiennent un âne et un enfant dessus.... et puis changement de tour jusqu'à ce que tout le monde ait monté quelques minutes... -Séances photos pour les souvenirs et notes des bétises dites pas les gosses (Léo doit mettre une salopette pour que Julien puisse la monter !!) -BBQ fait par mon'hom, repos (ouf), balançoire et coloriages (merci Nadine et LN) -Resseller les ânes et balade en rue, j'vous laisse imaginer (les photos, c'est pour après le 9 juillet) : - Léo montée - Babette montée - Duco attelé : 5 gosses dans la charette, 3 derrière la charette, sur la barre arrière, et un gosse sur le dos de Duco. Calcul : charette comprise, il devait être à 150 kilos !! Bon, pas très lourd ni très longtemps (20 minutes +/-) mais il ralentissait quand même dans la côte.... Et puis, j'ai aimé le petit Dylan qui m'appelait Zozo toute la journée pcq il ne savait pas dire Jojo (c'est comme ça que je me fait appeler par les mômes, ils ont plus facile à retenir et puis, c'est comique comme surnom !) J'ai aimé leur "au revoir" plein les mains quand ils sont remontés dans le car. Ils étaient presque tous à l'arrière et le chauffeur a dû les remettre à leur place !! C'était une terrible chouette journée et j'espère qu'il y en aura d'autres. En tous cas, les institutrices ont aimé et elles feront ma pub auprès des autres institutrices. Seul bémol : une journée comme je l'ai animée ne conviendrait pas à des enfants agés de 10 ans et plus..... Donc, va falloir reviser si j'ai un jour des troisièmes primaires.... Ah, j'oubliais : mes ânes sont vraiment super..... C'est la première fois qu'ils étaient entourés d'autant d'enfants à la fois (encore plus que la fancy fair du dimanche d'avant). Ils étaient pansés par six ou sept gosses en même temps et aucun n'a bronché... Vraiment trop mes ânes...

hé ben si, j'ai tout compris. Je n'imaginais pas que la trachéo était si loin par rapport au larynx quoique c'est logique puisqu'une trachéo faite à un humain se situe à la base du cou (entre les clavicules ??) donc, chez le cheval cela correspond à la connection encolure/poitrail. Mais cela a l'air un peu plus haut quand même. Ma question sur le passage de la bouffe n'était pas posée dans le sens "voir la couleur de la bouffe" qui passe dans la trachée mais plutôt "voir le mouvement" lors du passage de l'aliment. Mais bon, il doit faire bien sombre là dedans !!

Ben.... ça marche pas. On a tout désinstallé puis tout réinstallé. Problème idem. Pas moyen de voir les photos. Si je mets l'APN (hé, je sais ce que c'est maintenant, merci Tchouwi !) avec une photo prise ( l'âne de Luzule), au moment où je le branche, il se remet à 000, icône de l'ordi dans le coin (de l'APN) et plus moyen de toucher à quoi que ce soit, les boutons sont morts. Pfff, retour à l'envoyeur ou quoi ??? Sur le mode d'emploi, ils disent qu'il peut y avoir des "interférences" avec un scanner, une imprimante, une webcam ...et qu'il faut alors désinstaller ces appareils. Non mais ils sont fous, ils croient que je vais enlever tout ça juste pour le numérique....

Pour mes connaissances personnelles (et celles des autres), pourrais-tu nous dire pourquoi on ne referme pas une trachéotomie ? Le trou est donc grand ouvert et doit se refermer seul ou il y a quelques points quand-même ??? Est-ce que tu vois à l'intérieur de la trachée ?? Genre la bouffe qui descend ?? Question idiote peut-être mais je n'ai jamais vu une trachéo de près, ni chez un cheval, ni chez un humain.

Ben, y a rien qui marche... Rien dans le poste de travail non plus Je vois une autre solution : Je déprogramme le CD et je réinstalle tout une nouvelle fois. Mon'hom retourne à la gare dans une heure.... j'aurai la soirée pour faire tout ça. Marre de l'informatique, ça ne marche que si on est doué !!

Vive les vétos, ils font du bon travail.... Beurk le trou de la trachéo.... et les mouches ?? Ca ne pose pas de problèmes ??

Donc, je résume : Dixie reconnaît ton "costume" de cow boy mais pas ce qu'il y a dedans !!

on va faire exploser le compteur !!!

C'est quoi l'APN qu'y demande mon'hom ??? (moi aussi, je demande !) Déjà, je lui ai dit de regarder si il avait mis l'usb dans le bon trou ! Nous pas doués du tout Pffff !! Sujet long qui servira à d'autresn j'espère !! De quoi papoter quelques semaines non ??

N'ayant que peu de place dans mes sacoches et seulement une capacité de 9 litres de grains (ce qui représente deux à trois repas pour Karamelle suivant la nature du grain -vive le maïs !- et quatre à cinq jours de nourriture pour Douro); devant la question de savoir qui des deux soigner le plus régulièrement possible, j'ai porté le privilège sur Douro. Karamelle marche bien, fait des poses casse-croûte régulières et avale jusqu'à cinquante kilomètres en une journée par température normale sans montrer de fatigue excessive. Elle reçoit ses rations de grains là où je les trouve, j'emmène pour elle un petit repas pour le soir, "au cas où", et lorsque s'épuisent les réserves de Douro, le sac à grains se rempli d'orge ou de maïs, jusqu'à trouver à nouveau une nourriture correcte pour Douro. Que ceux qui auraient privilégié le cheval au chien ne m'en veuillent pas ! Aujourd'hui, chacun se porte bien. Nous quittons Katherina et Juan-Manuel, Douro équipé de deux paires de chaussures que je lui ai confectionnées. D'autres paires, confectionnées par un sellier m'attendent à la poste de Castrojeriz. La démarche de Douro est comique. "Mira, un pero con zapatillas !" Combien de fois ne l'aurais-je entendu ! Jamais il ne tentera de les enlever. Il a compris qu'elles lui sont utiles et ne souffre plus. Mira, un perro con zapatillas ! Espartero, grand-place de Logroño (ne me demandez pas qui c'est, j'sais pas !!)

Ben oui, bien fait de le rappeler.....