cibou1
Membres-
Compteur de contenus
630 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par cibou1
-
On m’a parlé d’une plante « pied de loup » ou qlq chose comme ça, elle pousserait dans les bois et serait très efficace pour soigner les problèmes de toux allergiques. Il paraît qu’on peut la sécher (je ne sais si c’est obligatoire) et l’ajouter entière dans la ration (fréquence ? durée ?…) Cette plante ressemblerait vaguement à du muguet en + grand ??? Est-ce que quelque connaît ?
-
Comportement bizarre de Campari, besoin de vos avis!!!
cibou1 a répondu à un(e) sujet de hemipento1 dans Vos questions
-
-
-
-
Si vraiment tout le monde part en même temps ce qui n'est pas courant, je cherche via mon véto une chouette etudiante vétérinaire interressée par un séjours à la campagne avec son cheval. Quitte à donner une "prime" complémentaire ça se trouve. Mais de toute façon partir reste un stress, alors le moins possible... A l'inverse, je sers souvent de pension de vacances pour les amis-cavaliers des environs lorsqu'ils partent en vacances.
-
-
Souvent, la situation n’est pas aussi claire et quand le constat est « entre deux », je comprends que ces associations ne peuvent enlever le ou les chevaux à leur propriétaire sur base du témoignage de quelqu’un qui pourrait se tromper. Dans le premier cas ils sont venus, mais le fait d’en avoir parlé au propriétaire lui a donné l’occasion de préparer le terrain… Il ne s’agissait pas de chevaux « abandonnés », c’était plutôt le genre vieux maquignon qui considère les chevaux comme de la viande sur pied qui n’a vraiment pas besoin de grand chose. Nous les cavaliers les mettons dans du coton alors que c’est des animaux rustiques qui sont faits pour vivre dehors : une poulinière un peu maigre n’a pas besoin d’une couverture pour résister aux intempéries du mois de décembre (sans abri) et de toute façon il les rentre à l’étable quand c’est nécessaire, c'était d’ailleurs le cas lors de la « visite ». Dans le second cas, ça s’est passé trop vite - Problème de divorce - Vu que le cheval commençait franchement à maigrir, qu'il n'avait pas toujours de l'eau et que le box était dégeu, des voisins avaient proposé leur aide : fierté mal placée, incompétence et fainéantise on conduit la propriétaire à sur-pailler (sans rien vider) et goinfrer immédiatement son cheval qui, évidemment, a fait un bouchon entraînant la mort par rupture de l’intestin. Après ça elle a beaucoup pleuré, ben tiens donc ! Je sais que la plainte n’a pas eu de suite à cause du rapport trop « prudent » du vétérinaire, de plus avant que les voisins ne m’appellent, la propriétaire paniquée avait fait venir le vétérinaire de « ses chats » qui avait juste administré un calmant (manque de bol chez les chevaux il bloque les intestins). Devoir se mouiller et mêler un confrère à son rapport n’a visiblement pas emballé le véto de garde que j’avais pu décrocher, surtout que la propriétaire pouvait faire valoir qu’elle avait tenté de porter secours... Depuis je cherche l’erreur, trop tôt ou trop tard ? J’avoue que ça me reste sur la patate !
-
-
Sarcoïdes équins Les sarcoïdes sont des tumeurs cutanées non métastatiques. Elles sont généralement petites, circulaires mais envahissantes et récidivantes. Elles constituent les néoplasies les plus fréquentes chez le Cheval, l'Ane et le Mulet. A l'autopsie, 20% de l'ensemble des tumeurs équines sont des sarcoïdes. Dans une enquête des universités de Berne et de Zurich, 90% des tumeurs cutanées équines sont des sarcoïdes (de 2,0 à 1,5% des cas cliniques équins). Le taux de morbidité estimé aux Etats-Unis est de 6p.1000 (0,7% des cas cliniques équins à Cornell et dans l'Ohio). Ces tumeurs sont sans conséquences pour la vie de l'animal. Elles ont des répercussions principalement économiques (dévaluation esthétique de l'animal) et matérielles (impossibilité d'employer le cheval normalement, du fait de leur localisation fréquente au passage de la sangle ou de la bride). Actuellement, aucun traitement n'est satisfaisant, aucun ne garanti réellement l'absence de récidive après thérapie. Les tumeurs sarcoïdes apparaissent en un point quelconque du corps, isolées ou en groupe. La tête, l'encolure, la face ventrale de l'abdomen et les parties distales des membres sont les plus souvent affectés. La localisation des tumeurs semble dépendre du climat : sous les climats nordiques les tumeurs sont préférentiellement situées sur la tête et l'abdomen alors que sous les climats chauds se sont les membres qui sont le plus fréquemment atteints. L'apparence morphologique du sarcoïde est très variée. Ainsi d'après cette apparence ces tumeurs peuvent être divisée en quatre catégories : verruqueuses, fibroblastiques, mixtes verruqueuse et fibroblastique et planes. Les tumeurs sarcoïdes se présentent classiquement comme un épaississement dermique linéaire ou focal, de couleur claire et de consistance ferme due à la prolifération fibroblastique et à sa relative pauvreté en capillaires sanguins. Ces tumeurs sont recouvertes d'un épiderme d'aspect et de consistance variés. Il est plus ou moins épais, rugueux, hyperkératosé et ulcéré. Dans un petit nombre de cas, les sarcoïdes apparaissent comme des masses dermiques sous cutanées mobiles recouvertes d'un épiderme normal et intact. Bien que l'apparence morphologique du sarcoïde soit relativement caractéristique et permette de le différencier des autres néoplasmes dermiques équins, une confirmation histologique est souvent nécessaire pour le distinguer d'un tissu de granulation exubérant, lui-même pouvant fréquemment masquer un sarcoïde en cas d'ulcération, ou bien encore d'autres rares tumeurs mésenchymateuses, l'habronématose ou des granulomes infectieux ou non infectieux. Le diagnostic histologique est fondé sur l'observation d'une prolifération fibroblastique pauvrement vascularisée, de densité cellulaire variant de modérée à forte. En général les tumeurs sarcoïdes s'observent pour la première fois chez des animaux âgés 3 et 6 ans, rarement chez des yearlings. Chez le Cheval ni la couleur de la robe, ni le sexe ne semblent intervenir dans la prédisposition. En revanche, chez l'Ane, l'âge et le sexe semblent être des facteurs prédisposants, les jeunes mâles présentent plus fréquemment ces tumeurs que les ânesses. Association entre papillomavirus et tumeur sarcoïdes équine L'inoculation intradermique à un cheval d'extrait acellulaire de tumeur cutanée bovine contenant du papillomavirus bovin (BPV) provoque des lésions qui ressemblent, macroscopiquement et histologiquement, à une tumeur sarcoïde. Ceci fait penser à une origine infectieuse de la tumeur, cependant il est souvent difficile de transmettre la tumeur par inoculation d'extraits de sarcoïde naturel d'un cheval, à un autre. La tumeur provoquée par le BPV chez le Cheval régresse spontanément progressivement en induisant des anticorps sériques spécifiques du virus chez l'équidé. Lors de tumeur "naturelle", qui régresse aussi parfois, mais rarement, on ne retrouve jamais d'anticorps vis à vis du BPV chez les chevaux. De même les tentatives de retrouver des particules virales dans les sarcoïdes naturels équins, en microscopie électronique comme en recherche immunologique, ont toujours été vaines. L'origine infectieuse soulève de nombreuses questions qui restent encore sans réponse. Si un virus est indispensable au développement du sarcoïde, comment ce virus est-il transmis naturellement dans l'environnement ? Comment expliquer la faible incidence d'une tumeur qui serait d'origine infectieuse ? Est-ce le BPV ou un virus voisin qui entre dans l'étiologie de cette tumeur ? Cependant, les techniques de biologie moléculaires semblent confirmer cette origine infectieuse. Elles ont démontré que l'ADN du BPV, ou d'un virus très proche, était présent dans le sarcoïde. La PCR identifie la présence du BVP uniquement dans les lésions sarcoïde et non dans les tissus sains de l'animal. Pour certains auteurs la PCR pourrait même être la technique de référence pour le diagnostic du sarcoïde. De plus le BVP peut transformer, in vitro, des fibroblastes équins. Ainsi, l'étiologie du sarcoïde est la résultante d'une interaction complexe entre le virus, le cheval et son environnement.
-
-
-
-
-
Trop tôt ou trop tard, ça n’est jamais facile d’intervenir et attendez-vous à ce que ça vous retombe sur le nez. Deux fois j’ai fait appel à ce genre d’association que je me garderai de critiquer. Dans le premier cas la situation n’était pas assez dramatique pour qu’ils puissent intervenir, n’empêche qu’une poulinière en fin de gestation est morte (beurk !) Dans le second cas ils n'ont pas eu le temps de venir de suite, alors j’ai essayé d’aller chercher la jument pour la conduire en clinique, mais trop tard elle ne savait déjà plus se relever j’ai juste pu appeler un véto de garde… Plainte a été déposée, classée sans suite, le rapport du véto était sans doute un peu trop « prudent ». Depuis on me regarde de travers, il y a ceux qui râlent parce que j’ai fait du ramdam et ceux qui me feraient bien porter le chapeau car ils m’ont vu près du cheval mourrant.
-
L’instinct est stimulé par le taux d’hormones, après la castration ce taux diminue progressivement ce qui fait que le comportement du cheval change, mais le taux d'hormones étant propre à chaque cheval ça peut varier d’un cheval à l’autre et certains comportements peuvent persister surtout lorqu'il s'agit de castration tardive.
-
Pour ce qui est du Thuya en 9 CH ça a marché sur un de mes chevaux il y a 15 ans, de toute façon c’est pas cher et il n’y a aucun risque. Mais je reste à l’écoute car un autre de mes chevaux présente une verrue plate que je n’arrive pas à faire disparaître et vu sa localisation il est impossible de l’opérer. J’ai essayé successivement le Thuya, la pommade véruline, la chélidoine, une cure de sulfate de fer et pour l’instant je lui mets une huile essentielle à base de pépins de pamplemousse 3 X par jour, il y a une nette amélioration mais je ne crois pas qu’elle disparaîtra. Si vous avez d’autres pistes je suis preneuse
-
Sans vraiment être de la gale de boue, certains chevaux peuvent avoir ce genre de croûtes suite aux douches ou confinement dans l’humidité (transpiration sous bandes ou guêtres) Si c’est de ça qu’il s’agit : laisser la peau respirer autant que possible, éviter les douches et mettre une pommade à base de soufre comme pour gale de boue. Une fois que le cheval a eu ce problème il faut être particulièrement vigilant car il récidive souvent : à titre préventif, nettoyer régulièrement avec le savon isobétadine (rouge) bien sécher et surveiller de près, à la moindre alerte cesser les douches et remettre de la pommade.
-
C’est vrai qu’il ne faut pas focaliser là dessus et que ce nettoyage est même inutile pour certains chevaux alors que d’autres sont de vrais cochons ! L’eau et les éponges ne sont jamais hygiéniquement fiables et les savons même doux risquent d’irriter, à choisir ma véto confirme qu’elle préfère encore le lait pour bébé à condition bien sûr de veiller à ne pas repousser les saletés au plus profond. Les avis divergent apparemment...
-
Dans mon cas ce n’est pas une question d’hygiène : le problème est connu , elles sont supers mais chez certains chevaux elles ne sont pas supportées alors que les « vrais » n’ont pas cet inconvénient. Ce n’est pas un problème de qualité ou d’efficacité, j’utilise et j’apprécie aussi les deux marques mais pas sur n’importe lequel de mes chevaux….L’idéal en cas de doute serait d’avoir l’occasion de tester avant…
-
Le lait pour bébé marche très bien: pas de risque d'irriter ou d'infecter. Je mets des gants médicaux et masse avec du lait pour bébé toutes les parties que le cheval veut bien accepter (même internes), le lait aide les croûtes adhérentes à se décrocher « gentiment ». Il est parfois nécessaire de répéter l’opération plusieurs jours de suite mais ça marche et généralement c’est mieux accepté par le cheval qu’un grand nettoyage.
-
-
Je pense que c'est plus efficace que des bandes, mais si ton cheval a la peau un peu délicate ne fais pas comme moi, j'avais d'abord acheté des imitations (je crois que je peux pas citer le nom "L...") sur mon cheval gris ça l'a irrité comme pas possible alors que sur d'autres ça va. C'est l'avis aussi de mon véto.
-
-