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pacemaker91

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Tout ce qui a été posté par pacemaker91

  1. Association : Les Crins de Liberté Les Crins de Liberté - 18 rue du Fort - 63160 CHAS Déclarée à la préfecture du Puy de Dôme sous le numéro : 0632021325 http://lescrinsdeliberte.discutfree.com/
  2. Le déni au service de l’illusion http://www.charliehebdo.fr/cirques.html Mis en ligne le mardi 12 avril 2011 Il aura fallu plus de 32 ans aux gouvernements successifs français pour accoucher d’une souris avec «l’arrêté du 18 mars 2011 fixant les conditions de détention et d’utilisation des animaux vivants d’espèces non domestiques dans les établissements de spectacles itinérants». Cet arrêté, publié le 5 avril au Journal officiel, remplace en partie l’arrêté du 21 août 1978 qui permettait aux cirques de détenir leurs animaux dans les conditions les plus sordides. Depuis plusieurs années, Code Animal a interpellé les différents ministres de l’Écologie quant aux conditions des animaux dans les cirques. Certains ministres de l’Écologie tels que Dominique Voynet (1997-2001) ou Serge Lepeltier (2004-2005) avaient proposé l’interdiction d’espèces particulièrement sensibles, telles que les hippopotames, les girafes ou les rhinocéros, mais ces déclarations n’ont pas été suivis d’effets. Aussi, aujourd’hui, contrairement à ce qu’affirment certains cirques, aucun animal n’est interdit dans les cirques français. En 2007, les associations de défense animale ont fait une proposition commune afin de bannir à terme l’utilisation des animaux dans ces établissements, et ce en respectant la nécessité d’une transition pour les cirques. Code animal a publié un rapport remis lors des rencontres animal et société, puis a apporté l’avis de plus de 80 experts quant à l’impossibilité de détenir des animaux sauvages dans les cirques, et notamment les chimpanzés, les ours, les éléphants ou les hippopotames. Parallèlement, les associations ont apporté plus de 100 000 signatures demandant l’interdiction d’exploitation des animaux dans les cirques, et ce, en plus des milliers de courriers de citoyens et des questions écrites des parlementaires. Le gouvernement n’a apporté aucun élément de réponse face à ces expertises, alors même que de nombreux pays ont décidé de ne plus autoriser la présence des animaux dans les cirques (http://www.code-animal.com/legis/legis.htm ) du fait de l’impossibilité de détenir les animaux dans des conditions acceptables. À l’issue de tables rondes entre les professionnels du cirque, l’administration et les associations de défense animale, Code Animal a exprimé, au nom des différentes associations présentes, son désaccord quant à cet arrêté minimaliste ne prenant pas en compte les différentes demandes en faveur des animaux. Cet arrêté du 18 mars 2011, ss’il représente une avancée par rapport à l’ancienne législation, n’est pas à la hauteur du problème et ne saurait satisfaire ceux qui estiment non seulement que les animaux ne sont pas des clowns, mais aussi qu’ils ne peuvent vivre dans des conditions satisfaisantes dans ce genre d’établissement. Tout d’abord, l’arrêté ne concerne que les spectacles itinérants et ne s’applique donc pas aux cirques sédentaires, type cirque d’hiver, Moreno Borman ou F.Williams qui resteraient donc soumis à l’arrêté non contraignant de 1978. — Une liste d’espèces exploitables est pré-définie (macaques, babouins, éléphants femelle, félins, otaries, zèbres, certains oiseaux et reptiles) (Art.3). La présentation d’animaux n’entrant pas dans cette catégorie (éléphants mâles, ours, hippopotames, girafes ou chimpanzés par exemple) doit être motivée. Le cirque doit ainsi justifier de l’intérêt artistique d’une telle présentation. Par conséquent aucune espèce n’est proscrite. — Les conditions de détention des animaux sont plus contraignantes et des exigences minimales sont requises pour les espèces. 1. Les félins (tigres lions, pumas et panthères). 
Les cirques devront déployer des cages de détente de 60 m2 minimum et les animaux devront être à l’extérieur 4 heures par jour au moins. De plus, les félins devront pouvoir se faire les griffes et avoir la possibilité de se baigner. 2. Les macaques et babouins. 
6 m2 par animal (jusqu’à 3 animaux, 2 m2 par animal supplémentaire), des installations devront être installées afin de permettre aux animaux de grimper et de se cacher. Les animaux seront conduits à l’extérieur tous les jours (soit en laisse, soit dans des cages). 3. Les éléphants. 
Installation intérieure de 2,5 m sur 4 par animal et un paddock extérieur d’au moins 250 m2 pour un maximum de 3 animaux (20 m2 de plus par animal). Les attaches restent autorisées. 4. Les hippopotames
. Installations intérieures d’au moins 30 m2 par animal et un paddock extérieur d’au moins 200 m2. L’animal devra avoir accès en permanence à une piscine de 30 m2 à une température de 22° C. Toutefois, ces exigences ne s’appliquent pas (maximum 2 mois/an) en cas d’exiguïté d’un lieu de stationnement… (Art. 23.) L’accès à l’eau doit être permanent SAUF pour les éléphants… (Art. 30.) — Le dressage doit prendre en compte l’âge, la volonté d’agir ou encore le rang social de l’animal au sein de son groupe. Il ne peut être exigé des animaux que les actions, les performances et les mouvements que leur anatomie et leurs aptitudes naturelles leur permettent de réaliser et entrant dans le cadre des possibilités propres à leur espèce. (Art. 34.) Cet arrêté fait un grand écart bien hypocrite en affirmant d’une part la nécessité de «satisfaire la satisfaction des besoins physiologiques et comportementaux, à garantir la sécurité, le bien-être et la santé des animaux», mais en refusant d’autre part de prendre en compte l’avis des experts qui affirment que cet objectif est inatteignable dans les établissements itinérants. […] Ces dispositions ne seront applicables que dans un délai de 2 ans, donc le 5 avril 2013, sauf dans le cas des hippopotames et des girafes, ou la mise en conformité est repoussée à 5 ans, donc en avril 2016! (Art. 42.) Bien qu’oubliant quelques exigences de bases concernant l’importance des groupes sociaux pour certaines espèces ou le besoin de se soustraire à la vue du public (distance de fuite), cet arrêté reconnaît implicitement les besoins élémentaires des animaux, tout en s’assurant que ceux-ci continueront à être exhibés comme des pantins de foire. • www.code-animal.com Code animal 7 avril 2010 lucelapin@charliehebdo.fr
  3. PETITION http://www.charliehebdo.fr/corrida.html Pétition contre l’inscription de la corrida au patrimoine de l’Unesco Mis en ligne le mardi 19 avril 2011 Une ONG espagnole, Ayuda Animalis, représentée par Marta Esteban, est dépositaire d’une pétition internationale (en espagnol, anglais et français) afin que la corrida ne soit pas inscrite au patrimoine immatériel de l’Unesco, ce que demandent régulièrement les taurins. Le CAS International, Comité Anti Stierenvechten (aux Pays-Bas, en Hollande, www.cas-international.org), la plus grande association au monde contre la corrida, et le CRAC Europe, Comité Radicalement Anti Corrida pour la protection de l’enfance (www.anticorrida.com), y sont associés. Pétition à signer — et à faire circuler sans modération ! — sur http://www.petitions24.com/contra_la_declaracion_de_la_tauromaquia_patrimonio_unesco • Photo : ©Ayuda Animalis Luce Lapin 16 avril 2011 lucelapin@charliehebdo.fr Extrait «Comme l’annoncent les médias, le riche et puissant lobby taurin a demandé que la “fête taurine” soit déclarée patrimoine mondial immatériel de l’Unesco, projet soutenu par certains politiques, institutions et imprésarios dont les intérêts et goûts personnels sont intimement liés à la pratique de la tauromachie. La dernière Convention internationale taurine de Contoromex à Tijuana, au Mexique, datant de l’été dernier (2010), à laquelle ont participé les villes d’Arles, Nîmes, Béziers, Madrid, Murcia, Séville, l’Association internationale tauromachique d’Espagne et le Conseil national taurin mexicain, a exprimé son intention de solliciter que la tauromachie soit déclarée bien immatériel de l’humanité. Dans ce sens, je voudrais, avec tous les signataires de cette pétition, exprimer mon refus le plus radical à ce que les corridas et fêtes populaires taurines soient déclarées patrimoine immatériel de l’humanité par l’Unesco, puisque, selon l’article 2 de ses statuts: 1. La tauromachie n’est pas acceptée par la majorité des citoyens dans toutes les villes ou pays où elle existe, comme le démontre sa récente interdiction en Catalogne espagnole, ainsi que son abolition depuis 1999 dans les Îles Canaries. De même, tous les sondages, comme celui réalisé par l’Institut Gallup/IG Investiga, confirment bien que près de 70% des Espagnols, soit ne montrent aucun intérêt, soit rejettent la pratique de la corrida. On peut trouver plus d’informations sur le site http://www.slideshare.net/MartaEstebanMiano/spain-and-bullfighting 2. La tauromachie ne correspond pas aux principes qui relèvent de l’éthique, puisqu’il n’est pas acceptable de se divertir du spectacle de la souffrance, du sang et de la mort d’un animal. En outre, à l’égard de nos enfants, il est contraire à tout principe éducatif du respect de l’animal, de la compassion et de l’empathie.» Marta Esteban Avril 2011
  4. http://www.charliehebdo.fr/chasse.html Lettre ouverte aux parlementaires français Mis en ligne le mardi 19 avril 2011 Votre Parlement légifère tous les dix-huit mois sur la chasse, à l’initiative de relais, dans vos assemblées, d’un lobby insatiable exigeant sans cesse avantages et privilèges. Or le loisir chasse est désormais récusé par une majorité de nos concitoyens, ce que prouvent toutes les enquêtes d’opinion et notamment un sondage TNS Sofres, réalisé le 11 février dernier, révélant que 87% des Français souhaitent que «l’animal sauvage soit protégé par la loi contre les mauvais traitements» contre 7% d’un avis contraire. Moins de 2% de la population s’adonnent au loisir de mort et l’emprise de cette minorité sur vos assemblées ne tient qu’à l’artificialisation du lobby. Je rappelle, pour mémoire, qu’une ordonnance Pétain, du 28 juin 1941, publiée au JO de l’État français du 30 juillet 1941, créait les «sociétés départementales des chasseurs», devenues à la Libération, par arrêté du 15 novembre 1945, les fédérations départementales des chasseurs. Le système corporatiste impose une seule structure par département avec adhésion obligatoire de tout chasseur. Le poids écrasant du lobby chasse réside dans ces structures. Ce lobby et ses relais dans vos Assemblées imposent des mesures contraires à la volonté démocratique du pays, contraires aux droits fondamentaux de l’homme et incompatibles avec le maintien des équilibres écologiques. Si les citoyens pouvaient légiférer sur la chasse, l’abolition totale et immédiate de ce loisir contre nature serait à l’ordre du jour. En imposant la chasse aux propriétaires fonciers hostiles à cette activité récréationnelle, notamment par la loi dite Verdeille, texte féodal, le lobby faisait violer des dispositions essentielles de la Convention européenne des droits de l’homme, ce que jugea la Cour européenne des droits de l’homme en son arrêt du 29 avril 1999, à l’issue d’une procédure que j’eus l’honneur de conduire. Avec ses lâchers massifs d’animaux de tirs, ces «gestions» de cervidés et ongulés en milieu ouvert, la chasse crée des déséquilibres préjudiciables, à tous points de vues. Ainsi, mentionnons que de 1940 à 1945 la chasse fut interdite en ce pays. Il n’y eut aucune prolifération de sangliers durant ces cinq années sans prélèvements. Plus le sanglier (croisé avec des porcs domestiques) est chassé, plus l’espèce abonde. La chasse ne gère pas la nature, contrairement à ce que radote une lourde propagande, mais compromet la pérennité de trop d’espèces et amène des surabondances de deux ou trois espèces « intéressantes » pour les tireurs. De nouvelles dispositions vont vous être soumises par le lobby et ses relais: il s’agit d’exonérer d’impôts fonciers les propriétaires d’installations cynégétiques. Lorsqu’on sait le prix de location des huttes de chasse, cette nouvelle «niche fiscale» s’avère grotesque et totalement injustifiée. Par ailleurs, soucieux de chercher querelle aux opposants à la chasse, le lobby voudrait soumettre les propriétaires fonciers plaçant leurs fonds en réserves naturelles volontaires à des battues administratives. Mesure agressive, source de conflits, d’affrontements sur le terrain, parfaitement injustifiée en pratique. En effet, les seuls animaux susceptibles de poser des problèmes sont les sangliers des chasseurs. Or ces animaux parcourent de vastes territoires et ne sauraient proliférer dans une propriété privée, fût-elle de quelques dizaines d’hectares. Notre mouvement, qui, avec une majorité de contemporains, considère l’animal comme un être sensible et qui souhaite instaurer avec la nature un autre lien que celui de la destruction frénétique, vous appelle à faire échec à ces délires réitérés discréditant le législateur français. Recevez, Madame, Monsieur, l’assurance de nos meilleures salutations. Gérard Charollois Président de la CVN Convention Vie et Nature pour une écologie radicale 16 avril 2011 • www.ecologie-radicale.org
  5. Forfaiture et imposture http://www.charliehebdo.fr/infospuce.html […] Le 13 avril, les deux assemblées légiférantes ont examiné de nouvelles propositions de lois prochasses, étant acquis que tous les dix-huit mois Sa Majesté cynégétique exige un nouveau cadeau du législateur. Dans ces nouvelles propositions de loi, deux mesures méritent l'attention: — Un cadeau fiscal avec exonération d'impôts pour les parcelles foncières comportant des installations de chasse. C'est sans doute que les locations de huttes ne rapportent pas assez d'argent! En un temps de «chasse aux niches fiscales», la Bastille cynégétique exige la création de paradis fiscaux pour ses spéculateurs. — Les propriétaires fonciers, hostiles à la chasse, ayant placé leurs fonds en réserves naturelles, pourraient se voir imposer des battues de destructions d'animaux et seraient menacés de répondre des dégâts générés par les sangliers du secteur. La mesure traduit l'intolérance de la féodalité cynégétique pour la liberté de conscience des opposants à la chasse. […] Les démocrates de ce pays devraient se lever contre une féodalité arrogante, intolérante, régnant par la pression sur les élus. Les démocrates devraient sanctionner électoralement ces élus soumis qui font de la France la lanterne rouge de la protection animale et de la nature d’Europe. Convention Vie et Nature pour une écologie radicale • www.ecologie-radicale.org
  6. 2 000 dauphins sauvés aux îles Salomon http://www.charliehebdo.fr/infospuce.html «Pour la première fois depuis 450 ans, aucun dauphin n’a été tué aux îles Salomon l’année passée !» Ci-dessous, la traduction de l’article de Ric O’Barry sur le blog de Save Japan Dolphins: «Sur l’île de Malaita, trois villages ont pratiqué la chasse au dauphin durant des décennies. La viande était mangée, et les dents étaient utilisées comme une forme de monnaie. Mais les villageois nous ont dit que les dauphins étaient de plus en plus durs à trouver, et qu’ils devaient pagayer de plus en plus loin pour les trouver et les ramener jusque sur l’île. En avril dernier, nos membres aux îles Salomon, Lawrence Makili et Mark Berman, et moi-même avons voyagé jusque deux de ces villages et avons conclu un accord important. Les villageois se sont engagés à stopper les massacres de dauphins, et le Earth Island s’est engagé à lever des fonds pour soutenir des projets de pêche durable, d’énergie alternative et d’assainissement des eaux. A ce jour, le Earth Island a récolté 21000 dollars à chacun des deux villages. Un troisième village, qui exprime sa volonté d’un accord similaire, a reçu 3 000 dollars. Mark Berman est récemment revenu dans les îles avec Lawrence pour voir comment les choses avançaient. Mark et Lawrence rapportent que les villageois ont respecté leur engagement et qu’aucun dauphin n’a été tué. Lawrence a fait un excellent travail en coordonnant la communication avec ces villages. […] Traditionnellement, les villages tuaient environ 2000 dauphins chaque année. Désormais, ces dauphins sont libres et saufs.» • www.blog-les-dauphins.com InfosPuce du 16 avril 2011
  7. http://www.amis-des-levriers-espagnols.fr/article-nena-71830748.html
  8. Néna Recueillie dans une station essence, cela fasait des semaines qu’elle traînait là, sans manger, ni boire. Elle était profondément traumatisée et n’avait aucune confiance envers les humains. Doucement, avec d’autres chiens elle a repris goût à la vie et confiance en l’être humain. A présent, c’est une petite chienne obéissante, propre à la maison, elle aime courrir et super paisible à la maison. Néna est faite pour vivre en famille, elle adore les enfants. Elle est très agréable, gentille, très douce, très sociable avec ses semblables. C’est un cœur sur pattes qui ne demande qu’a donner de la tendresse à sa future famille. Elle est stérilisée, identifiée, ses vaccins seront en ordre, dépistage des 3 maladies du sud. Renseignements : guy-galgos@orange.fr Race: croisée Poids: 7 kg Hauteur : 35 cm Age : 3 ans environ Comportement : très sociable, Ok chats et enfants
  9. Mâle d'environ 3 ans qui a été largué. Il avait auparavant une trés belle queue rousse en panache. Aprés quelques mois sur un parking, il a perdu sa belle queue rousse, il est mordu de toute part. Il est un peu craintif, on le saurait à moins. Il risque l'empoisonnement....on cherche pour lui à le mettre à l'abri le plus vite possible.http://www.animoline.fr/roukmoutt-environ-ans-large-sur-parking-guadeloupe-t3278.html vu sa situation, nous ne connaissons ni son entente chat ni son entente chien.... il peut venir avec un tranfert d'autres animaux sur un refuge SPA (Chamarande91, Olonne85 et Arry57) ET éventuellement une autre si celle ci est ok pour prendre en charge le suivi ou son adoptant pourra aller le chercher ( les frais sont ceux du refuge d'accueil) . Il faut faire vite pour lui, sa vie ne tient qu'à un fil ...... Si vous souhaitez l'adopter contactez Laurence: fee0699@hotmail.fr
  10. Le post original date du mois de février ; je le suis depuis le début car j'ai eu un coup de coeur pour ces 2 gentils chats dont la vie est en danger là-bas comme tous les animaux de cette île... http://www.animoline.fr/gribouille-larry-urgent-guadeloupe-t3283.html Larry avait déjà disparu une fois puis est revenu. Là, il n'est pas réapparu et cela m'inquiète. J'aimerais les savoir à l'abri. Comme expliqué ci-dessous, il y a plusieurs façons de les aider. Je ne veux saoûler personne avec les chats de Guadeloupe (je sais qu'il y a beaucoup de misère sur notre territoire) mais ils méritent aussi notre aide... Je me dis qu'en diffusant tous, nous trouverons le moyen de les rapatrier dans un bon foyer. SPA Marie Galante/Guadeloupe N° SIRET : 775 691 991 00019 Ces deux chats (Larry et Gribouille) ont été abandonnés dans un camp militaire en Guadeloupe, le mari d'une bénévole est militaire et s'en occupe tous les jours mais il est muté et repart en métropole en juin 2011. Ces chats seront vaccinés, stérilisés et identifiés avant leur départ pour la France. Il leur faut d'urgence des adoptants ou des familles d'accueil sous couvert d'une asso pour les héberger avant adoption . Possibilité d'un transfert vers un refuge SPA ( Chamarande91, Olonne85, refuge d'Arry (57) et région parisienne) pour une adoption directe. Pour un adoptant, les frais d'adoption seront ceux du refuge ou arrivera le chat plus les frais de voyage. Pour une asso, voir directement avec les bénévoles sur place. Possibilité d'appel aux dons pour les frais de mise en règle et les frais de transport. Ce sont des jeunes chats d'environ 1 an, Larry mâle roux clair et Gribouille femelle tricolore. Contact sur place Laurence ( attention au décalage horaire pour un appel sur portable) - par mail : fee0699@hotmail.fr -par téléphone : 06-90-90-06-19 TOUTES LES PHOTOS SUR http://www.animoline.fr/gribouille-larry-urgent-guadeloupe-t3283.html
  11. pas facile quand on une tribu de chats effectivement de trouver un nom
  12. Le visiteur au plus près des animaux au parc animalier des Pyrénées http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/25/1067649-Le-visiteur-au-plus-pres-des-animaux-au-parc-animalier-des-Pyrenees.html Un couple de loup blanc, le bétonnage des allées pour faciliter la circulation, etc., le Parc animalier des Pyrénées poursuit son développement. Depuis deux ans, il a investi environ 2 M€ rappelle le directeur. Dans la grande volière, les 32 espèces d'oiseaux - représentatifs de la faune européenne - s'épanouissent. Hérons, aigrettes, échasses, etc., se sont approprié l'endroit et, en ce printemps, les premières naissances ont eu lieu. Le visiteur entre dans le parc en cheminant au milieu de cette volière naturelle, un petit jardin d'éden agrémenté de deux mares qui communiquent. On est immédiatement plongé dans l'ambiance de ce parc animalier pas comme les autres, où le visiteur évolue dans une proximité étonnante avec les animaux. Depuis deux ans, le site a investi environ 2 M€. « Cette année, nous avons amélioré le confort des visiteurs en aménageant les circulations du parc. On a réalisé plus de 2 km d'allées bétonnées, plus facilement accessibles pour les familles avec des poussettes. Nous avons refait aussi la panneautique pédagogique, plus ludique », explique Serge Mounard, directeur-fondateur du parc. Parmi les nouveautés, signalons aussi l'installation des envahisseurs - visons d'Amérique, ratons laveurs, ragondins, etc. - dans deux enclos. On les appelle envahisseurs car ce sont des espèces invasives, introduites fortuitement, qui bouleversent nos écosystèmes. En face de l'enclos des marmottes, un espace a été créé. « Il s'agit d'absorber le flux des visiteurs en période estivale. Ici, c'est la halte photo obligée avec les enfants qui donnent à manger aux marmottes. Ce sont elles qui ont fait le succès du parc », rappelle Serge Mounard. Couple de loup blanc à côté des lynx, deux nouveaux venus : un couple de loup blanc, « Néou », la femelle, et « Lupo », le mâle, qui est une vedette du cinéma car il y a embrassé la belle Lætitia Casta. Les loups blancs sont, pour l'heure, installés dans un enclos provisoire. Ils déménageront, en 2 012, dans la nouvelle partie du parc, au-dessus de la miniferme. Cette extension de 7 ha multipliera par deux la superficie du parc. Les loups disposeront d'1 ha. Cet espace plus sauvage sera consacré aux ongulés : isards, bouquetins, daims, mouflons… Dévastée en 2010 par la tempête Xynthia, cette partie est actuellement en cours de revégétallisation. Située en haut du site, elle offrira un point de vue magnifique sur la vallée et la réserve du Pibeste. à côté de l'enclos des loups gris, une entreprise de Soulom construit une cabane de trappeur en rondins non calibrés. L'objectif, à l'horizon 2012, ne sera pas de danser, mais de dormir avec les loups. Une famille de quatre personnes pourra passer la nuit dans cette cabane en bois et, le soir, observer le dîner de la meute.
  13. Castelnaudary. La ferme pédagogique La Matarelle rouvre ses portes http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/25/1067361-Castelnaudary-La-ferme-pedagogique-La-Matarelle-rouvre-ses-portes.html Après un incendie qui avait ravagé un de ses bâtiments et tué 80 animaux et des oiseaux, la ferme pédagogique de La Matarelle à Laurabuc sur la D 623 a rouvert ses portes pour le dimanche de Pâques. C'est avec encore de la tristesse mais plein de courage que le propriétaire Jean-Claude Daguzan rouvre sa ferme pédagogique créée voilà 4 ans. Dans un parc de 4 hectares, il a aménagé des enclos. On peut y voir un grand nombre d'animaux, cochons noirs, vaches naines, lamas, yacks, paons, oiseaux… des variétés peu communes. Un tour du monde des animaux « Avec les enfants, on fait le tour du monde avec mes animaux s'exclame Jean-Claude. Oie d'Égypte, lama du Pérou, yack du Tibet… Devant chaque enclos, j'ai mis un panneau qui donne des informations sur leur provenance et leurs caractéristiques. » À côté un jardin de légumes et un jardin de senteurs composé de plantes aromatiques. Les personnes peuvent visiter le parc et participer à des ateliers. « Ils sont plus pour les scolaires. J'ai aménagé une salle d'accueil et un point vente où je vends des paniers de légumes de mon jardin. Du champ à l'assiette ! » Il y a l'atelier du toucher où on reconnaît les graines qui poussent dans le Lauragais. L'atelier œuf, de la poule à l'œuf ou celui du lait et celui du pain qui se termine par un goûter avec une tartine de pain nappée de confiture… maison ! Pour l'an prochain un atelier laine. Les locaux sont homologués pour les handicapés. Jean-Claude qui n'est pas à court d'idée veut les ouvrir aux malvoyants en développant l'atelier du toucher.
  14. Attaqués par des chiens féroces à Montlegun http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/25/1067306-Attaques-par-des-chiens-feroces-a-Montlegun.html Deux personnes ont été victimes de morsures de chiens jeudi dernier dans un lotissement du hameau de Montlegun. Ces chiens ont aussi fait des dégâts dans un poulailler. Les victimes blessées sont rentrées chez elles. L'attaque, au sens propre du terme, peut être qualifiée de sauvage. Jeudi, en fin d'après-midi, dans un lotissement du hameau de Montlegun, deux hommes ont été victimes d'une féroce attaque par deux chiens. L'un et l'autre ont été hospitalisés. Les canidés, courent toujours. Tout comme leur maître. Et sont, peut-être, recherchés. Les faits se sont donc déroulés jeudi. Un électricien travaillait sur un chantier rue de l'Orme lorsqu'il a été attaqué par deux chiens. Le malheureux homme a eu un mollet en partie arraché par les crocs de l'un des animaux. Les sapeurs pompiers ont été prévenus et lui ont porté secours. Tandis que cette première victime était prise en charge, une autre personne était victime de l'assaut des canidés féroces, chemin de Monfrein cette fois. Il s'agit d'un homme âgé de 75 ans environ, que les chiens ont d'abord fait tomber avant de s'acharner sur lui. Le malheureux retraité a été mordu au bras, aux fesses et à la cuisse. Un second équipage des pompiers s'est donc rendu sur place et, au final, les deux victimes ont été hospitalisées à Carcassonne. Après avoir bénéficié de soins, elles ont été transférées vers un hôpital toulousain afin d'y subir une vaccination antirabique. Les deux molosses, en effet, n'ont pas été retrouvés, pas plus que leur propriétaire n'a été identifié. Pourtant, cela fait déjà quelque temps que le duo de chien sévit dans les parages. Il a notamment passablement décimé un petit élevage de poulets et de canards et sa présence a été plusieurs fois signalée. Selon nos sources, les deux victimes sérieusement blessées ont déposé plainte au commissariat de police. Aucune description précise de ces chiens n'a pu être portée à notre connaissance. Mais selon toute vraisemblance, il ne s'agirait pas de chien de la première catégorie. Le procureur de la République, en effet, n'avait pas été avisé hier ni des faits, ni des plaintes. Une enquête serait toutefois bel et bien en cours à la police et la brigade cynophile de la police municipale a fait plusieurs patrouilles dans le secteur ces derniers jours. Sans résultat.
  15. http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/26/1068055-Il-abandonne-ses-moutons-et-les-laisse-mourir.html Il abandonne ses moutons et les laisse mourir Abel n'est pas venu au tribunal. Et pour cause : personne ne sait où il est exactement. L'homme, qui se décrit comme un « écrivain-berger », a passé toutes les bornes en matière d'élevage : ses 17 brebis et sa chèvre n'avaient aucune identification, première infraction. Deuxième infraction : aucune prophylaxie n'avait été pratiquée : « ça ne sert qu'à graisser les vétérinaires ! », a déclaré Abel aux gendarmes. Troisième infraction : abandon de cadavres sans transport chez un équarrisseur : « ça sert à rien puisque les vautours s'en chargent très bien et nettoient la nature mieux que personne ». Mais il y a bien plus grave. Alors qu'il s'était installé sur un terrain qui ne lui appartenant pas, à Ferrières, avec caravane et animaux, le pseudo-berger a disparu comme il était venu, mais en laissant ses animaux derrière lui, en plein mois de novembre. Affamées, les pauvres bêtes ont tenté de passer sous les ronces, où elles pouvaient trouver une herbe maigre sous la neige. Mais comme elles n'étaient pas tondues, elles se sont empêtrées dedans : certaines en sont mortes. Beaucoup d'autres sont mortes de faim, avant d'être récupérées par une association de protection animale. Les habitants du village, dont le maire, avaient eux aussi tenté de secourir les animaux. « Je ne sais pas si c'est un poète, mais ce n'est certainement pas un berger, s'emporte la présidente Gadoullet. Tout ce qu'il a trouvé à dire, c'est qu'il voulait faire un pacage extensif pour la diversité des papillons dans des Pyrénées ! Il aurait mieux fait de s'occuper de ses malheureuses bêtes plutôt que des papillons… » Du côté de la procureure Myriam Dasté, l'indignation n'est pas moindre : « Je demande 3 mois de prison avec sursis, 1.500 € d'amende pour les infractions et l'interdiction définitive de détenir des animaux ». Le tribunal va suivre intégralement.
  16. Les animaux familiers matières premières de laboratoire http://www.one-voice.fr/fr/article/les-animaux-familiers-matieres-premieres-de-laboratoire Alors qu’ils sont près de 20 millions à partager nos foyers, les chiens et les chats sont également une matière première prisée des laboratoires. Conditions de vie déplorables, transports éprouvants, violences, enfermement, manque de soins… One Voice dénonce des souffrances et des morts indignes de l’humanité et de l’histoire qui nous lie à ces compagnons de longue date. Empoisonnement, mutilation, brûlure, électrocution, privation de nourriture ou d’eau, gavage, mise en situation de détresse, manque de soins, abandon, mort… selon votre qualité -particulier ou chercheur- ces actes de barbaries sont soit passibles de condamnations pénales, soit tout à fait justifiés, voire encouragés au nom du progrès scientifique. « Deux poids, deux mesures » que One Voice dénoncent au nom de la responsabilité envers ces animaux qui, depuis des siècles, partagent la vie des humains. Situation schizophrénique En 2006, 42,7% des foyers français ont choisi la compagnie des chiens ou des chats. Ils sont ainsi, 8,8 millions de chiens et 9,7 millions de chats, plaçant la France au 4e rang mondial pour la possession de félins et au 5e pour celle des canidés. Selon des études très sérieuses, il est avéré que leur présence aide à vivre et à guérir. En plus de rompre la solitude des esseulés, de servir de lien social, l’animal aurait aussi des vertus thérapeutiques. Le seul fait de le caresser entraîne, par exemple, une baisse de la tension artérielle. L’homme et son compagnon à quatre pattes ont évolué ensemble au cours des millénaires. Chats et chiens ont acquis un tel niveau de domestication qu’ils font partie intégrante du foyer. Même si tous nos animaux familiers n’y sont pas traités avec le respect qui leur est dû, comment peut-on accepter les traitements, légalisés et financés par nos impôts, qui leur sont infligés dans les laboratoires ? Souffrance et morts injustifiables La fourniture de chiens et chats aux laboratoires entraîne inévitablement souffrance et morts injustifiables que One Voice dénonce par ses actions. Information, en s’appuyant sur des enquêtes d’investigation sur les conditions d’élevage et de détention non respectueuses de la loi ; pétitions et interventions sur le terrain pour le sauvetage d’animaux, pour empêcher l’ouverture de nouveaux centres d’élevage ou réclamer la fermeture de centres indignes sont quelques-unes d’entre elles. Conditions d’hébergement et traitements dramatiques La directive européenne est très précise sur les conditions d’élevage et d’expérimentation sur les chiens et chats. Toutefois le manque de transparence, notamment concernant l’utilisation des anesthésiants et analgésiques, le déficit d’informations, le rappel à l’ordre de la Commission européenne pour manquements graves de la France, le secret dans lequel se drapent fournisseurs et laboratoires… nous portent à croire que, dans ces activités à but lucratif, les conditions essentielles du bien-être des animaux sont loin d’être mises en application. Pour preuves, les rapports réalisés par nos enquêteurs infiltrés qui ont constaté, entre autres, que des animaliers utilisaient le Karcher pour calmer les chiens lors d’une sortie pour nettoyer leur cage, ou qu’une petite chatte avait passé trois jours dans une gare en transit vers le laboratoire. Lors du sauvetage de quatre chiennes, que One Voice a réussi à acheter dans un centre d’élevage spécialisé, ou lors de la libération de 9 beagles, l’état des animaux a permis de prendre la mesure de l’horreur : cages sur sol humide, à même les cailloux, isolement alors que le Beagle a besoin de relations sociales, sous alimentation, plaies diverses, terreur devant les autres chiens et les humains, panique à l’approche d’une caresse… Il est vrai qu’en France, il est interdit aux employés des centres d’élevage de chiens de les caresser. À ces souffrances psychologiques et physiques déjà considérables, il faut ajouter les traitements qu’ils subissent au cours des tests où, parfois, le sadisme de certains employés ne fait qu’aggraver une situation déjà dramatique. Une position moralement critiquable Le fait que les maladies soient induites de façon artificielle et les différences qui existent entre les espèces compromettent pourtant, selon de nombreux scientifiques, la valeur pour l’être humain des résultats obtenus par ce type d’expériences. L’aspirine, par exemple, provoque des problèmes de grossesse chez les chattes. Tandis que l’Europe a considérablement diminué le nombre d’expériences sur les chiens et les chats et prône le développement de méthodes substitutives, la France se maintient dans une position moralement critiquable. L’hexagone se place en effet au premier rang du nombre de chats utilisés et au second pour les chiens. Et cela, en dépit de la désapprobation d’une grande majorité de ses citoyens : 72 % des Français sont contre l’expérimentation sur chiens et chats (sondage Ipsos/One Voice – Février 2003). 72 % des Français sont contre l’expérimentation sur chiens et chats (sondage Ipsos/One Voice – Février 2003). Domaines de recherche sur chiens et chats En 2004, 1 313 chats et 5 539 chiens ont été utilisés en France à des fins expérimentales (cf. Rapport statistique du Ministère de l’Education supérieure et de la Recherche). Ce sont surtout les Beagles, pour leur douceur et leur taille appropriée aux manipulations, ainsi que les Labrador et Golden Retriever (les chiens préférés des Français) qui sont utilisés pour la vivisection. Les chats sont principalement utilisés dans la recherche et le développement pour les produits et les applications pharmaceutiques, dentaires et vétérinaires, tout comme les chiens, qui sont toutefois plus largement employés dans les tests de toxicité et d’innocuité des produits. Les domaines de recherche sur les chats concernent le sommeil, le cerveau et le comportement, l’équilibre et la vision. Pour les chiens : tests de médicaments, digestion, cœur et système sanguin.
  17. Chatipi : un guide pour rencontrer le peuple chat http://www.one-voice.fr/fr/article/chatipi-un-guide-pour-rencontrer-le-peuple-chat Avec Chatipi, One Voice entend réhabiliter le chat dans nos sociétés. Coup d’envoi de la campagne d’éducation et d’information avec la publication du guide « Rencontre avec le peuple chat ». Pour la grande majorité des humains, le chat domestique délaissé « redevient sauvage », « se débrouille de tout », « ne s’attache pas à son propriétaire », n’a « besoin de personne », etc. Pour faire tomber ces idées reçues sur le petit félin et nombre des préjugés responsables chaque année de centaines de milliers d’abandons, A LA RENCONTRE DU PEUPLE CHAT s’attache à rétablir la vérité sur ce compagnon de vie depuis plus de 4 000 ans. Le chat domestique n’est plus un chat sauvage De son lointain passé de « chat sauvage », notre chat, compagnon de l’humain, a certes conservé le goût de la liberté et de la solitude, ainsi que ses instincts de prédateur. Mais génétiquement, il est différent de ce cousin qui aujourd’hui encore peuple certaines régions d’Europe, d’Asie ou d’Amérique. Au contact des humains, le chat a profondément évolué. Son comportement et sa manière d’appréhender le monde n’ont plus rien à voir avec celle du « chat sauvage ». Évolution au contact des hommes Le chat domestique est, par exemple, devenu un communiquant. Il a développé un vaste vocabulaire de miaulements pour mieux se faire comprendre des humains. Il a gagné le goût des autres, chats, chiens, autres animaux familiers et bien sûr humains dont il recherche la compagnie. La disparition d’un de ses compagnons est d’ailleurs vécue cruellement par les chat qui développe dépression, pathologies, et parfois se laisse mourir. S’il tient toujours autant à son indépendance, ses moments de liberté dans la campagne où il peut chasser, observer, grimper, s’élancer, bondir… sa nature le fait tout autant apprécier la chaleur d’un foyer. Une certaine « chagesse » Le chat domestique est en effet un hédoniste de la vie. Le plaisir est un moteur important. Le jeu occupe une place de choix dans son existence. Mais le jeu du pouvoir n’a aucun sens pour lui. Il ne comprend pas les actes de domination qu’il prend pour de l’agression. Il est autonome et n’attend rien des autres. Il est curieux de tout et de tous... Une place dans la société En une vingtaine de pages, A LA RENCONTRE DU PEUPLE CHAT dresse le portrait d’un animal bien loin de l’être fourbe, sournois, infidèle, insensible, paresseux que nombre de nos semblables se plaisent à fustiger pour justifier leur maltraitance. Avec ce guide en forme de passeport d’entrée au monde des petits félins, One Voice entend réhabiliter le chat dans notre société qui compte plusieurs millions de chats abandonnés en raison de la méconnaissance des humains. Le chat a pourtant beaucoup à nous apprendre. Télécharger ou commander le guide.
  18. pour télécharger la carte cliquer ici : http://www.one-voice.fr/sites/default/files/Carte_Sentience_Dauphins_2011_3e.pdf
  19. Le 7 mai : mobilisation nationale pour des dauphins libres ! http://www.one-voice.fr/fr/article/le-7-mai-mobilisation-nationale-pour-des-dauphins-libres One Voice organise une grande journée de mobilisation en faveur des dauphins. A Nantes, Nice et à Paris, rejoignez nos cercles de silence ! Ensemble, nous pouvons dire non à leur captivité... Le samedi 7 mai, à Nantes, à Nice et à Paris, One Voice organise une mobilisation nationale contre la captivité des dauphins, peu après la réouverture annuelle des delphinariums. Au travers de trois cercles de silence simultanés, mis en place dans chacune des régions concernées par la présence d’un delphinarium, One Voice souhaite attirer l’attention du public sur la réalité de la captivité des cétacés. Seule la désaffection du public pour ce type de spectacle pourra mettre un terme à la souffrance endurée par ces animaux, confinés dans des bassins qui seront toujours trop petits et jamais aptes à les rendre heureux. Lors des cercles de silence, une carte sur la sentience des cétacés sera mise à la disposition du public. Vous pouvez également la télécharger ici. Rejoignez nos cercles de silence pour signifier votre opposition à l’enfermement des dauphins ! > Rendez-vous à 15 h, le samedi 7 mai : à NANTES : place du Commerce, à NICE : place Masséna, à PARIS : place des Libertés et des Droits de l’Homme, au Trocadéro. Télécharger ou commander la carte sentience.
  20. Nos assiettes à la loupe : résultats d’un rapport sur l’utilisation des antibiotiques sur les animaux http://www.one-voice.fr/fr/article/nos-assiettes-la-loupe-resultats-d-un-rapport-sur-l-utilisation-des-antibiotiques-sur-les-an En février 2011, l’agence nationale du médicament vétérinaire (ANMV) a publié son rapport annuel sur l’utilisation, en France, des antibiotiques sur les animaux. Les chiffres sont inquiétants et One Voice dénonce une fois de plus l’irresponsabilité des élevages industriels et leurs conséquences sur la santé humaine et animale. Les chiffres En France, depuis 1999, un suivi des ventes de médicaments vétérinaires contenant des antibiotiques a été mis en place. L’ANMV vient de publier les chiffres pour l’année 2009. Au total, ce sont 1067, 35 tonnes d’antibiotiques qui ont été vendus sur le territoire français. Le rapport mentionne que le niveau d’exposition des animaux aux antibiotiques, toutes familles confondues, a diminué de 3,9% par rapport à 2008 mais elle a surtout augmenté de 12,6 % entre 1999 et 2009 et ce qui fait de la France le deuxième plus gros consommateur d’antibiotiques en Europe ! Des antibiotiques pour qui et pour quoi ? 44% des ventes d’antibiotiques sont destinés aux élevages porcins. Viennent ensuite les volailles et les bovins avec respectivement 22 et 16%. Dans ces élevages, les antibiotiques sont prescrits pour un usage curatif, préventif et additif. En effet, ils sont prescrits par un vétérinaire si un animal est malade, mais aussi pour traiter tout un élevage si des individus meurent d'une infection bactérienne contagieuse. Enfin, certains antibiotiques sont ajoutés à faibles doses dans l’alimentation des animaux sains. Au total, 50 % des antibiotiques fabriqués dans le monde sont destinés aux élevages ! Nourris aux antibiotiques Ajoutés à la nourriture, les antibiotiques deviennent des additifs alimentaires favorisant la croissance des animaux. Cette pratique concerne la quasi-totalité des porcs, veaux et dindons, les deux tiers des poulets et un tiers des bovins destinés à la filière viande. Leur résultats semblent miraculeux et font le bonheur des éleveurs : les animaux ont moins besoin de manger, grandissent plus vite (gain moyen jusqu’à 9% par jour) et produisent plus de lait dans le cas des vaches ! Une manne financière non négligeable… Des risques importants Quel rapport entre notre santé et un animal nourri aux antibiotiques ? Les bactéries des animaux peuvent devenir, comme celles des hommes, résistantes aux antibiotiques. Elles se dotent alors d’un gène résistant. Si ces bactéries passent chez l’homme, on ne peut alors plus les éradiquer et donc plus soigner certaines infections. Ce fut le cas dès 1950, ce qui amena la Communauté européenne à interdire aux élevages l’utilisation de familles d’antibiotiques utilisées chez l’homme ; ce qui n’est toujours pas d’actualité aux Etats-Unis. De l’animal à l’homme L’histoire pourrait s’arrêter là mais le problème majeur est le passage inévitable des bactéries résistantes de l’animal à l’homme. Ce passage s’opère principalement par la chaîne alimentaire. Certaines bactéries qui prolifèrent dans les tubes digestifs des animaux d’élevages, vont finir dans les excréments pour ensuite contaminer les sols, les eaux et parfois nos assiettes lorsque les règles d’hygiène ne sont pas respectées. Plus rarement, la contamination peut aussi être directe par ingestion si les bactéries survivent à la cuisson. Une fois en contact avec les bactéries de notre flore intestinale, elles peuvent alors leur transmettre le gène de résistance. Des antibiotiques dans nos assiettes Le phénomène de résistance peut aussi être directement lié aux antibiotiques eux-mêmes. Même s’ils sont présents à faible dose dans les additifs, on peut en effet en retrouver des résidus dans la viande ou le lait. Nous ingérons alors ces antibiotiques et développons des résistances à notre insu. Ce phénomène peut aussi subvenir lorsqu’un animal malade est traité dans un élevage. Si les délais ne sont pas respectés, des résidus peuvent alors être observés dans le fromage ou les yogourts si la vache était traitée pour une mammite. Des bactéries très étudiées Certaines familles d’antibiotiques utilisées en médecine humaine principalement dans les hôpitaux sont très similaires à celles utilisées dans les additifs. De récentes recherches ont démontré que les bactéries qui développaient une résistance à l’une l’étaient aussi pour l’autre. Dans ce cas, il devient impossible de soigner les patients lorsqu’ils sont contaminés. Des solutions ? Même si certaines études minimisent l’impact de ces pratiques sur notre santé, un rapport parlementaire relève que la France détient le record européen du taux de résistance aux antibiotiques. Aujourd’hui, seuls les élevages répondant aux normes de l’agriculture biologique ou certifiés par des labels n’utilisent pas ces additifs . Les Suédois les ont interdits depuis 1986. Ceci nécessite des techniques d’élevage différentes avec une hygiène plus sévère et a de fait une répercussion sur le prix de la viande. Autant d’arguments qui devraient nous conforter à changer nos habitudes alimentaires.
  21. Animaux et territoires : le hérisson http://www.one-voice.fr/fr/article/animaux-et-territoires-le-herisson Le hérisson d’Europe est un petit mammifère de la famille des insectivores. Il est présent en Europe depuis 45 millions d’années et il est aujourd’hui menacé de disparition. One Voice tient à mettre en lumière l’importance de protéger cet animal aux mœurs peu connues. Le hérisson mal aimé Le hérisson a longtemps été considéré comme un animal nuisible. La simple présence de ses piquants inspirait une révulsion et on le massacrait au nom d’étranges croyances comme le fait de venir téter le lait des vaches la nuit… Il ne faut pourtant pas longtemps à qui croise son chemin pour se rendre compte de son inoffensivité, et succomber à son allure pataude et attendrissante. Protégé par la loi depuis 1981, il profite enfin d’un capital sympathie important. Le triste constat des victimes de la route a malheureusement joué en sa faveur. Aujourd’hui, malgré l’utilisation positive de son image dans la publicité ou auprès des plus jeunes, les mœurs du hérisson demeurent mal connues et peu d’études lui sont dédiées. Tendance européenne Partout en Europe, on constate son déclin. En Angleterre, des études prédisent sa disparition d’ici 2025 ! En France, il devient de plus en plus rare dans les campagnes. Mais des études récentes démontrent que le hérisson semble particulièrement bien s'adapter aux conditions environnementales urbaines, à tel point que l’on observe des densités de population 9 fois plus fortes en ville qu’en milieu rural ! Exode rural Dans les campagnes, la disparition du hérisson est directement liée à l’agriculture intensive, qui a causé la destruction de la quasi-totalité des haies et des bosquets ; sources principales de nourriture et d’abris. D’autre part, l’utilisation croissante des pesticides sur les cultures depuis les années 1970 a aussi un rôle majeur sur la disparition des proies qu’il chasse, comme les vers de terre, les limaces ou toute sorte d’arthropodes dont il se nourrit. De plus, les pesticides qui s’accumulent tout au long de la chaîne alimentaire engendrent des effets sur la fertilité de ces insectivores. Pas d’autre choix pour le hérisson que d’élargir son territoire au risque de se faire écraser ou de rencontrer la malveillance humaine. Une ville qui grandit Si l’on observe plus fréquemment des hérissons en ville, il faut tenir compte du fait que chaque année, les zones urbaines empiètent un peu plus sur la campagne et sur son territoire… En France, entre 1982 et 1999, elles ont grandit de 42 %. Le hérisson va donc être obligé de s’adapter aux zones urbanisées où il va s’installer. On peut ainsi l’observer dans des aires résidentielles où l’on trouve des maisons individuelles avec des jardins et des pelouses ponctuées de bosquets ainsi que dans les parcs. D’une grande discrétion, seuls ses grognements peuvent trahir sa présence près de nous. Il s’accommode malgré tout de nos activités et est de ce fait souvent considéré comme le trait d'union entre la nature sauvage et la vie citadine. Les pièges de la ville Si la ville le protège de son principal prédateur le blaireau, la vie proche des activités humaines n’est pas sans risques. De récentes études ont montré que l’accès à la nourriture n’était pas plus important en ville malgré ce que l’on pourrait croire avec les déchets générés. Au contraire, les déchets comme les boîtes de conserves et autres récipients sont autant de menaces de rester coincé lorsque l’on porte des piquants de 3 cm. De la même façon, le cloisonnement trop parfait de nos jardins va le pousser à rechercher des passages dans lesquels il restera souvent bloqué. Les jardins représentent des refuges nécessaires cachant de grandes menaces. Tapi la journée dans les hautes herbes, il est souvent la victime de nos débrousailleuses. De même, lorsque nous brûlons nos tas de feuilles sèches, nous ne vérifions pas si un hérisson s’y abrite pour hiberner ou y faire ses petits. Le facteur température En zones urbaines, les températures légèrement plus douces vont raccourcir les périodes d’hibernation. Les hérissons en sortent plus rapidement, ce qui augmente ainsi les risques d’accidents et peut avoir des répercussions sur leur santé. De plus, les populations urbaines sont beaucoup plus affectées par les parasites comme les tiques et les puces. La ville est donc loin d’offrir le plus adéquat des environnements aux hérissons. Agir en faveur du hérisson Le hérisson a sa place dans nos villes comme dans nos campagnes. Il est considéré comme un auxiliaire précieux pour les jardiniers de par son rôle d’insecticide naturel. Sa présence est toujours un gage de la qualité de l’environnement. Le hérisson n’est pas exigeant. Un tas de compost au fond du jardin lui fournira une source formidable de nourriture. Si certaines régions agricoles commencent à prendre conscience de la nécessité de replanter des haies, lui offrir le gîte n’est pas plus compliqué que de lui mettre à disposition une caisse retournée recouverte de feuilles. Bannissez les produits chimiques de votre jardin et vous aurez une chance de le voir s’y installer. Il régulera alors les animaux néfastes à vos plantations. Prévoyez des passages dans vos clôtures afin qu’il puisse circuler librement à la recherche de ses congénères ou de ses proies. Enfin, ne brûlez jamais des tas de feuilles sèches en hiver ou au printemps, vous risqueriez de tuer des individus en hibernation ou en train d’élever les jeunes. Pour plus d’informations le sanctuaire des hérissons
  22. voilà un acte doublement débile mais l'être humain sera t'il un jour vraiment intelligent ? Dans la nuit de jeudi à vendredi, des individus ont déposé une tête de porc devant la porte de la mosquée de Reims, dans la Marne. L’Association de la mosquée et du centre islamique de Reims (Amcir) a déposé plainte, indique Europe 1. Rachid El Haouari, le président de l’Amcir a précisé que « depuis le début de la construction de la mosquée de Reims fin 2009, les actes de malveillances se sont succédé ». Le président ajoutant : « Celui-ci est l'insulte de trop qui nous fait sortir de notre réserve ». L’Amcir enregistre un nombre inquiétant de mails insultants et de lettres contenant des pages du Coran brûlés, a précisé Rachid El Haouari. Le Conseil français du culte musulman a condamné « avec la plus grande fermeté la profanation dont a été victime la mosquée et le centre islamique de Reims ». Selon le Conseil musulman, le nombre « d’actes de violence et de haine a plus que doublé en 2010 et le bilan du premier trimestre de 2011 n’est guère rassurant ».
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