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pacemaker91

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Tout ce qui a été posté par pacemaker91

  1. Photo n° 6 : chats d'Evelyne Florine - en hommage (elle est décédée) Clochette Douceur _________________
  2. Sigean. 8 bébés lycaons nés à la Réserve - Réserve africaine de Sigean http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/04/1050815-Sigean-8-bebes-lycaons-nes-a-la-Reserve.html Il y a quelques semaines, ce sont 8 de ces redoutables carnivores qui sont nés d'un coup à la Réserve africaine de Sigean... Il n'y avait pas eu de naissance de lycaons depuis 10 ans à la Réserve. Une portée de 8 bébés lycaons, 3 mâles et 5 femelles a vu le jour à la Réserve Africaine de Sigean le jeudi 13 janvier 2011.Ne vous fiez pas à leur jolis minois. Les lycaons pictus, jolies petites peluches tachetées de blanc, roux et gris, appelés aussi cynhyène, loup peint ou chien sauvage, est un mammifère carnivore de la famille des canidés originaire des régions intertropicales de l'Afrique. Adultes ils sont plus redoutables que n'importe quel autre carnivore, y compris les lions, ils traquent leur proie à une vitesse de 45 km/h. La réserve Africaine de Sigean n'avait pas enregistré de naissances de lycaons sur le Parc depuis 10 ans ! En 2001 date à laquelle est né l'heureux papa Arthur de cette portée, à la Réserve Africaine de Sigean. La maman Félicia, jeune femelle née en 2006 à Aalborg Danemark est arrivée à Sigean en octobre 2010, et comme il s'agissait de sa première mise-bas, toute l'équipe de la réserve est particulièrement heureuse de constater qu'elle a très bien su s'occuper de ses petits. Le papa, Arthur, prend également grand soin de sa progéniture. En effet, depuis un peu plus d'un mois, c'est lui qui assure l'alimentation des bébés lycaons par régurgitation. Dès aujourd'hui, vous pourrez admirer « pour de vrai » ces 8 petits lycaons en compagnie de leurs parents dans la partie du Parc qui se visite à pied. Ils vont découvrir pour la première fois un immense terrain de jeu spécialement aménagé pour eux (branchages, bassin d'eau, troncs d'arbres, promontoires). Un vrai parcours du combattant qui ne manquera pas de séduire les photographes tant les situations dans lesquelles vont se trouver ces petits aventuriers, promettent d'être cocasses. Le conseil de Cyril Vaccaro, soigneur animalier du secteur des Carnivores. « Le meilleur moment de la journée pour voir les petits lycaons c'est lors de la distribution de nourriture, entre 16 et 16 h 30 ». Vous pourrez alors observer les différents comportements, le fait que les adultes laissent manger d'abord. Malgré leur réputation d'agressivité, les lycaons vivent en groupes familiaux d'environ 15 individus qui cohabitent affectueusement. Lorsqu'il y a une nouvelle portée, tous les membres de la famille participent à l'élevage des chiots leur apportant de la nourriture et jouant avec eux. C'est en émettant des petits cris aigus et appuyant leur museau contre la gueule des adultes que les petits lycaons indiquent leur faim. Ce qui provoque la régurgitation de la viande de la gueule des adultes. Les jeunes dépendront de ce mode d'alimentation pendant les trois 1er mois, ensuite ils pourront commencer à se nourrir seuls en participant aux parties de chasse. À vos appareils photos ! D'abord le calme familial Dans le monde animal (et chez les humains aussi…), la maman peut avoir un accueil difficile de sa progéniture. C'est donc pour laisser le calme nécessaire à la constitution du « noyau familial » que la Réserve africaine ne communique pas forcément tout de suite sur les nouvelles naissances. Afin d'éviter de prendre le risque d'un rejet du bébé par sa maman ou d'annoncer une fausse bonne nouvelle.
  3. Gaillac. Des chiens attaquent encore les brebis de Jeannot Soulet http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/04/1050407-Gaillac-Des-chiens-attaquent-encore-les-brebis-de-Jeannot-Soulet.html Les moutons de Jeannot Soulet semblent la cible et la proie favorite des prédateurs. Alors que le propriétaire du troupeau recevait le solde des dégâts survenus le 16 octobre 2010 dans sa bergerie, des chiens ont de nouveau attaqué les brebis. les gendarmes de Rabastens sont arrivés très vite pour constater les résultat: une brebis morte, deux et un agneau blessés. Les chiens ont défoncé une partie de la la clôture. «On a en permanence l'appréhension de trouver le troupeau décimé quand nous allons le voir» indique Jeannot Choulet.
  4. http://i67.servimg.com/u/f67/11/57/88/05/th/n1545810.jpg Comme vous le savez peut-être un très grand nombre de chiens -(2500)- sont enfermés à Green Hill, où ni l'air ni la lumière naturelle n'entrent jamais. Green Hill est le plus grand élevage de "chiens de laboratoire" en Italie, l'un des plus grands en Europe. Des centaines de chiens se retrouvent dans les laboratoires, où ils sont forcés d'inhaler ou d'ingérer des substances jusqu'à la mort, où ils sont torturés pendant la chirurgie du cerveau. Certains d'entre eux sont envoyés aux laboratoires, tel que Huntingdon Life Sciences au Royaume-Uni par voie aérienne, en utilisant des vols de l'aéroport "Gabriele D'Annunzio" à Montichiari et envoyés en enfer. Les animaux ne sont pas des objets inanimés ou des machines, ne sont pas des marchandises destinées à être éliminées à volonté, les animaux sont sensibles à la douleur, la peur et le plaisir, comme chacun vivant avec des chiens et des chats peut en témoigner. SVP faites un copié/collé de cette lettre et envoyez-la pour rejoindre tous ceux qui considèrent que la torture des animaux dans les laboratoires est inacceptable et aimeraient voir Green Hill fermer. Vous pouvez également écrire votre propre lettre car vous êtes des touristes potentiels et l'Italie se soucie beaucoup du tourisme Adresses : cargocenter@aeroportobrescia.it, gpozzi@aeroportobrescia.it, rgilardoni@aeroportobrescia.it, generalaviation@aeroportoverona.it, operations@aeroportoverona.it, commerciale@aeroportoverona.it, reception@aeroportoverona.it, mdipuppo@aeroportoverona.it, achiamenti@aeroportoverona.it, cargo@aeroportoverona.it, lsartori@aeroportoverona.it, nbattistoni@aeroportoverona.it,echiomento@aeroportoverona.it Lettre : I am writing this letter to join all those who consider animal Torture in laboratories unacceptable and would like to see lagers like Green Hill shut down. As you may know a huge number of dogs, 2500, are closed in that company,where nor air nor natural light ever enter. Green Hill is the largest breeding "dog lab"in Italy, one of the biggest in Europe. From this farm every month hundreds of dogs end up in laboratories, where they will be forced to inhale or ingest substances until death, they are tortured for brain surgery, they feel fear, and pain Some of them are sent to the notorious laboratories of Huntingdon Life Sciences in the UK by air, using flights from Airport "Gabriele D'Annunzio" in Montichiari and sent to hell. Animals are not inanimate objects or machines, are not goods to be disposed of at will, animals are sensitive to pain, fear and pleasure, as anyone can witness living with dogs or cats. So I hope that your company takes seriously the no longer acceptable shipments of animals for vivisection by your cargo services and this commitment is made public and added to your code of ethics. Greetings NOM-PRENOM PAYS
  5. PARIS, 3 avr 2011 (AFP) - En 20 ans, 40 milliards de dollars ont été dépensés pour préserver la nature, mais jamais les espèces n'ont disparu à un taux aussi rapide: Arte explore mercredi les contradictions mais aussi les espoirs liés à la conservation de la nature.> "En 20 ans, 40 milliards de dollars ont été dépensés au nom de la préservation de la nature, mais, en parallèle, le taux de disparition des espèces a été multiplié par 10 et les espaces naturels ont fondu de 2 millions de km2", dit le réalisateur Bernard Guerrini dans le film. Jamais aussi présent, le concept de "conservation" apparaît parfois "trouble", ajoute-t-il, évoquant ces réserves naturelles qui confondent parfois protection des animaux et affaires, ou les difficultés de recenser certains insectes qui ne bénéficient pas des mêmes égards que les "stars" de la biodiversité que sont les bébés phoques, les tigres ou les primates "L'emphase mise sur certaines espèces charismatiques occulte la préservation d'espèces moins nobles, souvent plus indispensables aux grands équilibres naturels", regrette le réalisateur dans ce film de 90 minutes réalisé en partenariat avec le Muséum national d'Histoire naturelle et l'ONG Pro-Natura C'est au coeur de la forêt malgache que le réalisateur déniche l'action la plus aboutie en matière de "conservation" A l'initiative de l'ONG "L'homme et l'environnement", la protection des arbres y va de pair avec un développement économique des communautés locales grâce à l'exploitation "raisonnable" de plantes aux vertus médicinales "Il n'y a pas de protection sans mettre l'homme au centre", en conclut le réalisateur. Le documentaire sera diffusé par Arte (mercredi à 20h40) dans le cadre d'une programmation spéciale "Développement durable", du 4 au 9 avril.
  6. HANOI, 3 avr 2011 (AFP) - Des milliers de badauds ont applaudi dimanche la capture de la légendaire tortue du petit lac de Hanoï, symbole vivant de l'indépendance du Vietnam, qui a besoin de soins mais qui avait échappé le mois dernier à ses sauveteurs.> Cette fois, quelque 50 sauveteurs, utilisant trois filets de différentes tailles, ont finalement réussi à contrôler l'animal, et plusieurs d'entre eux, nageant à ses côtés, l'ont ensuite conduite dans une cage vers l'îlet où elle doit être examinée et soignée. "C'est l'un des animaux les plus menacés dans le monde et on en sait très peu sur elle", a commenté Tim McCormack, du Asian Turtle Programme, groupe de protection et recherche basé à Hanoï. Le reptile, qui pèserait plus de 200 kilos, aurait été blessé par les hameçons des pêcheurs et de petites tortues de Floride apparues dans le lac ces dernières années, selon la presse vietnamienne. Selon McCormack, l'animal, qui a probablement plus de 100 ans, est l'une des quatre tortues "Rafetus Swinhoei" connues. Deux autres seraient en Chine et la dernière dans un autre lac de Hanoï. Fantasme ou réalité, la résidente du lac Hoan Kiem symbolise surtout des siècles de lutte pour l'indépendance du Vietnam. Selon une leçon d'histoire donnée à tous les écoliers du pays, le roi Le Loi (prononcer Lé Loï), qui s'était révolté contre les Chinois, avait utilisé une épée magique pour chasser les envahisseurs au 15e siècle, avant de fonder une dynastie à son nom. Le roi était ensuite devenu empereur. Mais lors d'une promenade sur le lac, la tortue lui avait subtilisé son épée pour la garder jusqu'à ce que le pays en ait de nouveau besoin. Dans un pays très superstitieux, chaque apparition de la tortue est considérée comme annonciatrice de bonnes nouvelles. Mais la fréquence de ces récentes promenades à la surface ont suscité des inquiétudes sur son état de santé. Le calvaire de l'animal a même poussé les autorités de la ville à créer le "conseil pour le soin de la tortue" dirigé par un vétérinaire respecté, selon l'Agence vietnamienne d'information
  7. < BERLIN, 2 avr 2011 (AFP) - Fans de l'ours polaire Knut et défenseurs des animaux se sont réunis samedi devant le zoo de Berlin pour protester contre l'empaillement prévu du plantigrade, a constaté un correspondant de l'AFP.> Le Musée d'Histoire naturelle de Berlin, qui a récupéré la dépouille de Knut, souhaite l'empailler. Mais ses fans et les associations de défense des animaux réclament une crémation pour la bête morte d'une encéphalite à 4 ans. Certains en perdent même le sens des réalités comme cette manifestante qui affirme: "Knut doit être enterré comme les autres humains"... Rejeté par sa mère à sa naissance, le 5 décembre 2006, l'ourson a été nourri au biberon par un soigneur du zoo. Knut, qui a passé sa vie loin de la banquise mais en permanence face à l'objectif des photographes, pourrait être intégré à une exposition sur le réchauffement climatique, selon les projets du Musée. "Chouchou" des médias et du public, Knut est mort subitement le 19 mars à l'âge de 4 ans seulement, alors que son espérance de vie aurait été de 35 ans Son décès a été suivi par des visiteurs du zoo, qui l'ont vu faire des tours étranges sur lui-même avant de s'effondrer dans le bassin de son enclos. La scène a été filmée avec un téléphone portable et diffusée sur le site internet d'un tabloïd. L'animal, qui a généré des millions d'euros de recettes publicitaires et produits dérivés pour le zoo de Berlin, est de nouveau, depuis sa mort tragique, l'objet d'un intense battage médiatique. yap/sb
  8. EVRY, 1 avr 2011 (AFP) - Un wallaby a été capturé vendredi matin à Breuillet (Essonne), alors qu'il se trouvait dans un jardin, et sera emmené au zoo de Souppes-sur-Loing (Seine-et-Marne), a-t-on appris auprès des pompiers.> Capturé sans difficultés, l'animal doit être pris en charge par le zoo de Souppes-sur-Loing. Le wallaby de Bennett, ou wallaby à cou rouge, est l'un des plus grands wallabies.
  9. PARIS, 1 avr 2011 (AFP) - Le cheval miniature américain, qu'il ne faut surtout pas confondre avec un poney, est désormais reconnu en France grâce à la signature d'une convention race étrangère, ont indiqué vendredi les Haras nationaux.> Comme pour toutes les races étrangères, ce cheval miniature est inscrit à la naissance dans son stud-book (livre généalogique), berceau de la race, soit aux Etats-Unis, indique Sylvie Rizo des Haras nationaux. Selon elle, 540 chevaux miniatures américains sont aujourd'hui répertoriés sur le territoire Français. "Il ne doit pas mesurer plus de 89 cm au garrot, ressembler le plus possible à un cheval de sang et être très raffiné", explique Agnès Moitry ancienne cavalière de dressage. "C'est un excellent cheval de dressage pour le travail aux longues rênes et l'attelage car c'est une véritable petite bombe", poursuit l'éleveuse à la tête d'un cheptel d'un vingtaine de spécimens dans le Vaucluse. "Bai, brun, café au lait : on peut trouver la couleur que l'on veut car il se décline dans toutes les robes". Il faut toutefois compter en moyenne 3.000 euros, voire beaucoup plus pour l'achat de ce cheval doté d'un fort caractère et réputé peu fragile. Le Stud-book du cheval miniature américain a été mis en place aux Etats-Unis il y a 35 ans. Aujourd'hui, ils sont plus de 200.000 dans une quarantaine de pays. En France, seulement sept ou huit professionnels élèvent ce mini équidé mais aussi des particuliers, propriétaires d'une ou deux poulinières. En France parmi les chevaux miniatures, le falabella est le plus connu D'origine argentine est issu de croisements entre poneys Shetlands et pur-sang anglais. Il toise 76 cm maximum au garrot.
  10. États-Unis - Publiée en avril dans Science, une étude américano-sud-africaine évalue entre 3 et 53 milliards de dollars l'économie en pesticides agricoles due aux chauves-souris insectivores, rien qu'aux États-Unis. Or ces mammifères sont gravement menacés par une épizootie, ainsi que par les turbines éoliennes. Collaborant avec d'autres universitaires, sud-africains et américains, Gary McCracken, du Département d'écologie et de biologie évolutionnaire à l'Université du Tennessee à Knoxville, a évalué l'impact économique, pour l'agriculture américaine, de la prédation des chauves-souris sur les insectes parasites. Résultat : un chiffre annuel compris entre 3,7 et 53 milliards de dollars. "Ces estimations incluent les coûts des applications de pesticides qui ne sont pas nécessaires pour supprimer les insectes consommés par les chauves-souris. Cependant, elles ne comprennent pas les répercussions des pesticides, en aval, sur les humains, les animaux domestiques et sauvages, et notre environnement. Même des estimations basses montrent clairement comment les chauves-souris ont un potentiel énorme pour influencer l'économie agricole et forestière", explique McCracken. Une population menacéeDepuis 2006, plus d'un million de chauves-souris sont mortes à cause d'une maladie fongique (due à un champignon) appelée le syndrome du nez blanc (WNS), qui affecte la peau des chiroptères en hibernation, et s'est rapidement répandue depuis le Canada jusqu'au Tennessee, au Missouri et à l'Oklahoma, sans que l'on arrive à la combattre. D'autre part, on ignore combien de chauves-souris exactement sont victimes des éoliennes, mais les scientifiques estiment que d'ici 2020, ces installations risquent de tuer de 33.000 à 111.000 de ces animaux par an, rien que sur la côte atlantique (Mid-Atlantic Highlands), sans que l'on sache pourquoi les espèces migratrices arboricoles sont attirées par les éoliennes. "Ne pas agir n'est pas une solution, car la biologie de ces mammifères volants et no... lire la suite de l'article sur Maxisciences
  11. Inscrite depuis 1993 sur la liste du patrimoine mondial en péril, la réserve naturelle subtropicale des Everglades, en Floride, fait l'objet depuis plusieurs années d'un plan de restauration. Dotés d'une puce électronique, des crocodiles et des alligators vont permettre de tester l'efficacité de ce programme sur l'écosystème unique qu'abrite la réserve. Profondément affectés par l'activité humaine, et notamment le détournement de l'eau de leur zone nord, les marécages des Everglades font l'objet d'un plan de restauration approuvé en 2000 par le Congrès. Ce programme prévoit la récupération de quelque 6,4 milliards de litres d'eau douce chaque jour, afin de la rejeter dans les zones les plus fragilisées. D'un coût estimé à 9,5 milliards de dollars, le projet doit durer plus de trente ans. Comme le rapporte le site Science et Avenir, des crocodiles et des alligators de la réserve ont été équipés de puces électroniques qui permettront aux chercheurs de les suivre et ainsi déterminer l'état des écosystèmes. "Nous analysons leur état et la manière dont ils réagissent aux changements de l'écosystème en utilisant différents paramètres, comme la quantité d'alligators et de crocodiles présents dans une zone donnée, leur poids, leur taille et les endroits qu'ils choisissent comme habitat", explique Frank Mazzotti, chercheur à l'université de Floride. Aujourd'hui, la réserve des Everglades s'étend sur 6.100 kilomètres carrés, quand à l'origine, les marais couvraient plus de 11.000 kilomètres carrés. Or "les alligators et les crocodiles, tout comme les oiseaux des Everglades, dépendent pour survivre de la quantité d'eau disponible dans les estuaires", souligne Franck Mazzotti.
  12. Alors que l'hiver précédent avait fait 150 victimes parmi les cygnes restés dans la baie de Tallinn, en Estonie, près de 400 de ces oiseaux migrateurs ont cette année résisté au froid et à la neige, a affirmé l'Association estonienne pour la protection des animaux. "Alors qu'environ 150 cygnes sont morts l'hiver dernier dans la baie de Tallinn, plus de 400 cygnes qui y sont restés cet hiver ont survécu", a annoncé Tania Selart, une responsable de l'organisation de protection des animaux citée par le site de la fondation GoodPlanet. Comme elle l'explique, la baie de Tallinn a connu des hivers relativement doux ces dernières années, ce qui a sans doute contribué à convaincre les cygnes de ne pas quitter la baie pour l'hiver. En outre, de nombreuses personnes nourrissent les cygnes tout au long de l'année, un autre facteur qui a sans doute dissuadé les oiseaux de migrer, estime Tania Selart. L'Association de protection des animaux tente alors d'informer les habitants et visiteurs de Tallinn afin qu'ils cessent de nourrir les cygnes en automne, en été et au printemps. En revanche, ils sont invités à donner du grain, et non du pain, aux oiseaux restés dans la baie pour l'hiver. Mais bien souvent, lorsque la température descend trop, pour atteindre moins 20°C, plus personne ne vient nourrir les cygnes, quand ces derniers peinent à trouver à manger dans la mer gelée.
  13. Un décompte officiel indique que le nombre de tigres indiens a augmenté pour la première fois depuis dix ans. Le Guardian rapporte qu'un recensement officiel tout juste publié à Delhi, en Inde, indique que pour la première fois en dix ans le nombre de tigres a augmenté. Il serait donc encore temps de sauver l'espèce malgré le déclin de 97% de sa population au cours du siècle dernier. En Inde, de nombreux tigres continuent toutefois à être victimes de braconnage ou de l'augmentation du nombre d'êtres humains qui, non seulement empiètent sur leur habitat naturel, mais qui, en plus, détruisent l'environnement. Dans les années 1970, la population de tigres avait chuté à 1.000 individus. Sur les 3.000 tigres sauvages de la planète, près de la moitié se trouvent encore en Inde. Le rapport qui a été publié hier indique que 1.550 de ces félins ont été comptabilisés soit 10% de plus qu'en 2008. Mais il faut rester prudent car les méthodes de recensement ne sont pas très fiables et le même tigre peut être compté à plusieurs reprises. MK Ranjitsinh, du Widlife Trust of India, spécialiste des tigres, précise "qu'une augmentation de 10% est une bonne nouvelle et que cette augmentation est significative, mais qu'il est toujours possible de falsifier ces résultats si on le souhaite, quelle que soit la méthode utilisée". Il est toutefois envisageable que le compte soit juste car de nombreux efforts ont été faits pour créer des réserves et améliorer la protection de ces félins. Mais de nombreux villages situés à proximité de ces réserves voient leurs habitants attaqués par les tigres lorsqu'ils partent chercher du bois ou lorsqu'ils se rendent aux champs. Ainsi, un tigre a été abattu en début d'année après avoir attaqué plusieurs fois un village dans le nord-ouest du pays. Il semblerait pourtant que les autorités se soient trompées et aient tué le mauvais animal. La situation est donc extrêmement compliquée et comme le dit MK Ranjitsinh, "la population humaine cont... lire la suite de l'article sur Maxisciences
  14. Publiée dans la revue Emerging Infectious Diseases, une étude américano-rwandaise montre que deux gorilles de montagne sauvages sont morts en 2009, contaminés par des humains porteurs d'une maladie respiratoire, ce qui confirme une transmission inter-espèces. "Parce qu'il y a moins de 800 gorilles de montagne vivants, chaque individu est d'une importance cruciale pour la survie de l'espèce. Mais ces gorilles vivent entourés d'humains, et la présente découverte montre clairement que vivre dans des parcs nationaux protégés n'est pas un obstacle aux maladies humaines", affirme Mike Cranfield, de l'Université de Californie à Davis, directeur exécutif du Projet vétérinaire pour le gorille de montagne, un organisme sans buts lucratifs associant les scientifiques de plusieurs universités américaines et les services de développement rwandais. L'équipe a découvert que, au sein d'un groupe de gorilles de montagne du Rwanda ayant connu en 2008 et 2009 des épidémies de maladies respiratoires, 11 animaux sur 12 ont été atteints, et 2 ont succombé - une femelle adulte et un nouveau-né. L'analyse des tissus a montré la signature biochimique d'un virus appelé métapneumovirus humain (hMPV). Humains et gorilles partagent environ 98% de leur ADN, une proximité génétique préoccupante à cause des risques de transmission de maladies infectieuses humaines à ces animaux. Au cours des 100 dernières années, les contacts entre les deux espèces se sont multipliés. En fait, les parcs nationaux où les gorilles sont protégés (au Rwanda, en Ouganda et en République démocratique du Congo) sont entourés par les populations humaines les plus denses d'Afrique continentale. De plus, le tourisme amène de plus en plus de monde sur l'habitat des grands singes.
  15. Comme chaque année, la Namibie se prépare à abattre cet été des milliers d'otaries avec une extrême cruauté. Une pratique traditionnelle dont on parle peu, alors qu'elle est le plus violent des massacres d'animaux marins menés à travers le monde. Sur son site Internet, l'association Sea Sheperd, à l'origine de nombreuses actions en faveur de la protection des animaux marins et notamment des baleines, pousse un cri d'alerte quant au massacre qui se prépare en Namibie, comme tous les ans. Dans quatre mois, ce sont 91.000 otaries à fourrure d'Afrique du Sud, 85.000 bébés et 6.000 mâles, qui seront battues à mort dans le pays. Une pratique monstrueuse qui chaque année, tue encore plus d'otaries que le massacre des bébés phoques au Canada. L'association canadienne raconte l'insoutenable rituel : les bébés sont séparés de leurs mères, et sont encerclés avec les mâles, avant que des hommes armés de bâtons ne viennent les battre à mort. "Le sable de la plage sera rouge sang, et les corps ensanglantés seront jetés à l'arrière des véhicules attendant non loin de là. Peu après, des bulldozers arriveront pour nettoyer et remettre la plage en état avant que les touristes n'arrivent pour observer la colonie, car tout ceci se passe dans une réserve naturelle pour les otaries", s'insurge Sea Sheperd. Ce massacre est mené par un seul homme, Hatem Yavuz, explique l'association. Chaque année, et ce jusqu'en 2019, il bénéficie d'une exclusivité d'achat sur la peau de chaque otarie tuée. Des fourrures qu'il achète sept dollars l'unité, pour vendre des manteaux dont le prix peut atteindre quelque 30.000 dollars. Espèce menacée par la perte de son habitat naturel, la pêche industrielle, mais aussi la pollution, l'otarie à fourrure d'Afrique du Sud est inscrite à l'annexe II de la Convention sur le commerce international des espèces menacées d'extinction (Cites). Un classement qui signifie que si l'espèce n'est pas actuellement menacée, elle le deviendrait si aucune mesure n'était mise e... lire la suite de l'article sur Maxisciences
  16. Mises en ligne fin mars dans Proceedings of the Royal Society, les données concernant le suivi d'une population insulaire de loups du Lac Supérieur, durant des années, par deux chercheurs américains, montrent l'effet positif, rapide mais éphémère, de l'arrivée d'un nouveau mâle reproducteur dans cette population de canidés sauvages. Collectant systématiquement depuis 12 ans les excréments des loups du parc national de l'Isle Royale, situé sur une île isolée du lac Supérieur (États-Unis), John A. Vucetich et Rolf O. Peterson, de l'Université de Technologie du Michigan, ont un beau jour appris, par leurs collègues généticiens chargés d'étudier ces échantillons, qu'un "sang neuf" - un apport génétique extérieur - venait d'arriver parmi cette population lupine insulaire, habituellement coupée du monde. Les observations de terrain confirmèrent les données moléculaires : surnommé "The Old Gray Guy" ("le Vieux Gris") par les scientifiques, un mâle adulte du continent - empruntant sans doute un pont de glace - avait rejoint l'une des meutes de l'île, en devenant rapidement le 'mâle alpha' (le dominant). L'animal est mort depuis, en 2006. Mais il a laissé sa marque : il a engendré 34 rejetons et 22 petits-enfants. Aujourd'hui, 56 % du parc génétique de cette population insulaire lui est lié. En quelques générations à peine après l'arrivée du Vieux Gris, la consanguinité chronique chez les loups de l'île a chuté. Les chercheurs déplorent cependant une baisse (naturelle) des populations d'orignal, proie principale des loups de l'île, lesquels sont, du coup, à nouveau en déclin. Une réponse claire (un renouveau espéré de la population lupine) à l'évènement migratoire (l'arrivée du Vieux Gris) pourrait ainsi avoir été masquée par ce problème de ressources, empêchant les scientifiques d'exploiter ce qui aurait du être un 'laboratoire naturel' privilégié pour observer les effets d'un 'sauvetage génétique', phénomène encore mal connu.
  17. Publiée dans Proceedings of the National Academy of Sciences, une étude américaine montre que, parmi les grenouilles d'Amérique latine, les espèces à la peau chamarrée et hautement toxiques sont les plus vigoureuses : une question de régime... Les Dendrobatidaes, que les anglo-saxons appellent "grenouilles pour dards empoisonnés", sont des amphibiens que les indiens d'Amérique du Sud utilisent en effet pour empoisonner leur flèches : leur peau recèle des alcaloïdes mortels, et arbore les couleurs criardes synonymes, pour les autres animaux, de l'avertissement "danger : poison !". Mais des biologistes viennent de prouver que ces grenouilles sont aussi les plus "costaudes" de leur famille. Testant 500 batraciens appartenant à plus de 50 espèces différentes de Colombie, de l'Équateur, du Venezuela et du Panama, Juan Santos, du National Evolutionary Synthesis Center à Durham (Caroline du Nord), a mesuré leur consommation d'oxygène pendant et après l'effort. Il a constaté que l'espèce la plus colorée - et la plus mortelle - avait une plus grande capacité métabolique que ses cousines plus ternes et non toxiques. "Elles sont mieux en mesure d'extraire l'oxygène à chaque respiration et de le transporter à leurs muscles, tout comme les athlètes bien entraînés", déclare Santos. Son confrère David Cannatella, de l'Université du Texas à Austin, explique : "Elles acquièrent leurs toxines en mangeant des fourmis et des acariens. Si les grenouilles non vénéneuses restent au même endroit et mangent tout insecte qui passe à leur portée, les grenouilles toxiques, elles, doivent se déplacer pour trouver suffisamment de nourriture, les fourmis et les acariens étant plus dispersés". D'où leur tonicité physique.
  18. Le reptile disparu d'un zoo de New York depuis la semaine dernière a enfin été retrouvé. Le cobra égyptien disparu du zoo du Bronx depuis le week-end dernier a été retrouvé ! Ce sont les responsables du parc animalier qui ont annoncé l'information jeudi. L'animal, qui s'était caché dans un des bâtiments, non loin de là où il s'était enfui il y a six jours, a été découvert là par une équipe de nettoyage, a expliqué Jim Breheny, le directeur du zoo, sur le site internet de l'établissement. Lors d'une conférence de presse et sur le compte Twitter du zoo, il a expliqué la maison des reptiles allait donc être rouverte. Mais avant, le cobra devra être analysé par l'équipe vétérinaire. Pour faire taire les sceptiques, les responsables du zoo ont même été jusqu'à poster une photo du cobra sur le compte Twitter. "Comme vous pouvez l'imaginer, nous sommes soulagés", a dit le directeur, avant de remercier le personnel du zoo pour leur "détermination et leur professionnalisme", et a expliqué avoir apprécié le soutien "du public et des médias". En effet, Jim Breheny avait peur que l'animal, très venimeux, ne fasse une victime. L'histoire du cobra égyptien a fait le buzz toute la semaine à New York. Alimentant toutes les conversations, le serpent avait même donné l'idée à un internaute de créer un compte Twitter en se faisant passer pour l'animal.
  19. Ce chien a trouvé une astuce pour ouvrir le frigo. Une nuit, il s'est emparé d'une part de pizza, mais ne se doutait pas que son maître avait installé une caméra pour le prendre en flagrant délit. Ce chien, très débrouillard, n'hésite pas à se rendre dans la cuisine pour calmer une petite faim. En pleine nuit, l'animal a réussi à ouvrir le frigo pour se servir en toute tranquillité une part de pizza. Le plus étonnant dans tout cela, c'est qu'une fois qu'il a réussi à ouvrir l'appareil, il sait exactement ce qu'il veut. Sans perdre de temps, il se dirige donc vers la boite qui contient la pizza. Il ouvre rapidement celle-ci et s'enfuit avec une part. De plus, l'animal chapardeur ne prend même pas la peine de refermer la porte du réfrigérateur, il la laisse entrouverte. Grâce à son ingéniosité, l'animal n'a donc plus besoin d'attendre le réveil ou le retour de son maître pour se nourrir. D'ailleurs, il est fort probable que son propriétaire cherchait à découvrir pourquoi ses aliments disparaissaient du frigidaire. C'est sans doute pour cette raison qu'il a mis en place cette caméra juste en face du réfrigérateur. Découvrez le chien-voleur en cliquant ci-dessous: Donnez votre avis, découvrez les photos et toute l'actualité insolite sur Zigonet
  20. Quand on aime les animaux on ne compte pas! Et cet homme a probablement arrêté de compter depuis bien longtemps, puisqu'il possède aujourd'hui à domicile plus d'une centaine de chiens. Li Zongwen, un ancien chef cuisinier de 59 ans habitant la province de Wuhan, en Chine, fait depuis peu l'intérêt des médias. Et pour cause, cet homme soucieux du bien-être des animaux, et qui avait commencé à recueillir les chiens errants de son quartier dès 2009, possède aujourd'hui à son domicile une véritable meute composée de 140 chiens ! Pour nourrir toute sa petite troupe, Li Zongwen doit alors faire appel à la générosité d'autres personnes, également sensibles à sa cause, et qui lui versent ainsi régulièrement des dons en nourriture ou en argent, explique le DailyMail. Il faut dire que l'élevage de chien de Mr Zongwen a un coût, puisque cela lui revient en moyenne à 5 000 yuans, soit 539 euros par mois. Et malgré le bruit et la montagne de travail que cela donne à cet amoureux des chiens, Li Zongwen ne se plaint pas et dit aimer la compagnie de ses animaux avec lesquels il partage même ses repas, comme il le ferait avec une grande famille. La preuve qu'en amour, quand on aime on ne compte décidément pas!
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