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~Cathy~

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Tout ce qui a été posté par ~Cathy~

  1. Voilà deux semaines que Darwyn est avec nous. Tout se passe bien. Les mordillements commencent à s’espacer, plus de pipi la nuit ( on en a très peu eu en fait ), il est très obéissant bien que très têtu ... Il reste cependant très dominant et il y a encore régulièrement de la rébellion. Pas évident ! Ce que je voulais savoir c’est par rapport à nos absences. Nous l’avons progressivement habitué à rester seul dans une pièce. Bien obligé quand je monte à l’étage, où il est interdit de séjour, m’occuper des chambres ou prendre ma douche. Puis je l’ai laissé 2 fois le temps d’aller au village faire des courses, 1h à chaque fois. Les deux fois quand je suis revenu je l’ai réveillé en rentrant. Il devait dormir profondément. Je pense que c’est parce que c’est un chiot, ou bien dorment-ils comme ça tout le temps quand on s’absente ? Que font-ils quand on s’absente plus longtemps ?
  2. Non il ne s’étouffe pas. Juste ce son glutural quand il lappe son eau c’est plus ou moins fort, mais du jardin on entend quand il boit dans la cuisine ! Merci quand même !
  3. Bonjour, Depuis que nous avons Darwyn, nous avons remarqué que quand il boit, il fait un drôle de bruit. Un son rauque. On dirait un phoque !!!! Est-ce normal ? L’un d’entre vous a t-il connu la même chose avec son chiot ? Parfois c’est assez fort, on a l’impression qu’il va s’étrangler … mais non !
  4. Bonjour, Darwyn commence à trés bien répondre à certaines demandes : Rappel, sagesse pour la toilette etc.... Bien sûr je le récompense. Pour anticiper, je prends avec moi les petites récompenses. Le problème c'est que Darwyn sent vite quelles se trouvent dans ma poche et cherche à tout pris à mettre son nez dans ma poche oubliant ce que nous sommes entrain de faire ! Pouvez vous me dire où vous mettez les récompenses pour votre Boubou ? Pour le moment ce sont des petits morceaux de gâteaux pour chien ( les sachets de 1 kg de biscuit qu'on trouve en grande surface ), mais quand ça va être les morceaux de fromage ...... Bonjour les poches ! Merci !
  5. Oui, j'avais pris les devants et pas lu que le forum ( 2 bons livres aussi ) mais une fois devant ce BB ...... on oublie un peu ! Et puis, comme tout se passe bien les 2 premiers jours on oublie carrément
  6. Juste un petit signe à Sophie J'ai pas encore tout lu, mais ce que j'ai lu me " rassure ". Je me sentais un peu perplexe et parfois démunie devant certaines réactions de Darwyn. En effet les 2 ou 3 premiers jours passent à peu prés calmement et subitement on se retrouve face à un chiot qui nous déroute par certaines de ses attitudes. Et on se dit soudain : " Aie, il a quoi ? Pourquoi ? Est-ce normal ? " Etc ... Et en fait, Darwyn est " normal ", il s'est installé et maintenant qu'il se sait chez lui il cherche à dominer. Nous voilà au creux de l'action A nous de jouer et de lire le forum :OUAIS:
  7. Oula ! interdiction d'aller dans l'herbe ????? Et comment on fait quand on a que de l'herbe autour de chez soi ? :tetemur: :tetemur: Bon courage !
  8. Bonjour, Darwyn (10 semaines) aprés une période de 2 ou 3 jours de "boudage" gamelle, mange bien maintenant. Un peu mieux et plus le soir, certainement à cause de la chaleur, car nous remarquons qu'il est plus vif le soir. Par contre il mange plein de trucs qu'il trouve dans notre jardin, enfin je dirai plutôt, notre pré : herbe, morceaux de bois, motte de terre sableuse ..... Une limace a même finie sa vie dans sa gueule ! Mais là, il a recraché ! Est-ce sans gravité ? Nous lui disons non quand nous le voyons faire, mais des fois c'est trop tard.
  9. ~Cathy~

    il mordille!!!

    Bonjour, Je vois que nous sommes tous logés à la même enseigne ! Nous pouvons au moins nous dire que nous avons des chiots normaux Darwyn (10 semaines), depuis 6 jours à la maison, présente les mêmes symptômes : mordillements, repipi maison ..... Pour les pipis je pense que c'est aussi la saison qui veut ça : nous sommes pour notre part toujours dehors dans le jardin de la maison, et le p'ti coquin commence à naviguer seul entre l'intérieur et l'extérieur. Nous le félicitons à chaque pipi dehors " vu " . En tant que jeune maitresse et nouvelle utilisatrice du forum, je voulais dire merci aux maitres expérimentés de nous lire et d'être là. C'est trés gentil de nous signaler qu'un sujet a été déjà abordé, on sait qu'on va trouver une réponse. Mais pensez aussi qu'il est parfois long ( + de 15 pages des fois à lire ) ou difficile de touver le sujet voulu ! Alors, soyez comme avec nos BB patients et montrez nous la voie Bon je cesse de parler et je vais lire ( un petit clin d'oeil à Sô )
  10. ODE AU CHIEN de Pablo NERUDA Le chien me demande mais je ne réponds pas. Il saute, court dans le champ et me pose mille questions sans parler ses yeux sont deux questions humides deux flammes liquides qui interrogent mais je ne réponds pas parce que je ne sais pas Homme et chien parcourant la campagne Les feuilles brillent comme si quelqu’un les avait embrassées une par une les oranges jaillissent du sol pour faire des petites planètes dans les arbres rondes comme la nuit, et vertes chien et homme nous allons par les parfums du monde foulant le trèfle la campagne du Chili dans les doigts clairs de septembre. Le chien s’arrête, poursuit les abeilles saute un ruisseau turbulent écoute des lointains aboiements pisse sur une pierre et vient me porter le bout de son museau à moi, comme un cadeau. Dans sa douce fraîcheur en me communiquant sa tendresse il me demande des yeux pourquoi le jour, pourquoi la nuit pourquoi le printemps ne porte rien dans son panier pour les chiens errants sinon des fleurs inutiles des fleurs, des fleurs, toujours des fleurs. Voila ce que me demande le chien voilà ce que je ne réponds pas. Nous allons, homme et chien dans cet immense matin vert réunis par le vide exaltant de la solitude où seuls nous existons l’unité parfaite, chien rosée et poète car il n’y a pas d’oiseau caché sans trille ni de fleur secrète sans arôme pour deux compagnons nous dans ce monde humidifié par la nuit distillation verte prairie balayée par des rafales d’air orangé le chuchotement des racines la vie en cheminant, en respirant, et l’amitié ancestrale la chance d’être chien, d’être homme converti en un seul animal à six pattes la queue couverte de rosée Un merveilleux poète chilien dont je ne me lasse jamais.
  11. Texte de Guy de Maupassant publié dans Le Gaulois du 2 juin 1881. HISTOIRE D'UN CHIEN Toute la presse a répondu dernièrement à l'appel de la Société protectrice des animaux, qui veut fonder un asile pour les bêtes. Ce serait là une espèce d'hospice, et un refuge où les pauvres chiens sans maître trouveraient la nourriture et l'abri, au lieu du noeud coulant que leur réserve l'administration. Les journaux, à ce propos, ont rappelé la fidélité des bêtes, leur intelligence, leur dévouement. Ils ont cité des traits de sagacité étonnante. Je veux à mon tour raconter l'histoire d'un chien perdu, mais d'un chien du commun, laid, d'allure vulgaire. Cette histoire, toute simple, est vraie de tout point. Dans la banlieue de Paris, sur les bords de la Seine, vit une famille de bourgeois riches. Ils ont un hôtel élégant, grand jardin, chevaux et voitures, et de nombreux domestiques. Le cocher s'appelle François. C'est un gars de la campagne, à moitié dégourdi seulement, un peu lourdaud, épais, obtus, et bon garçon. Comme il rentrait un soir chez ses maîtres, un chien se mit à le suivre. Il n'y prit point garde d'abord ; mais l'obstination de la bête à marcher sur ses talons le fit bientôt se retourner. Il regarda s'il connaissait ce chien : mais non, il ne l'avait jamais vu. C'était une chienne d'une maigreur affreuse, avec de grandes mamelles pendantes. Elle trottinait derrière l'homme d'un air lamentable et affamé, la queue serrée entre les pattes, les oreilles collées contre la tête ; et, quand il s'arrêtait, elle s'arrêtait, repartant quand il repartait. Il voulut chasser ce squelette de bête ; et cria : "Va-t'en, veux-tu te sauver, houe ! houe !" Elle s'éloigna de deux ou trois pas, et se planta sur son derrière, attendant ; puis, dès que le cocher se remit en marche, elle repartit derrière lui. Il fit semblant de ramasser des pierres. L'animal s'enfuit un peu plus loin, avec un grand ballottement de ses mamelles flasques ; mais il revint aussitôt que l'homme eut le dos tourné. Alors le cocher François l'appela. La chienne s'approcha timidement, l'échine pliée comme un cercle et toutes les côtes soulevant la peau. Il caressa ces os saillants, et, pris de pitié pour cette misère de bête : "Allons, viens !" dit-il. Aussitôt elle remua la queue, se sentant accueillie, adoptée, et au lieu de rester dans les mollets du maître qu'elle avait choisi, elle commença à courir devant lui. Il l'installa sur la paille de l'écurie, puis courut à la cuisine chercher du pain. Quand elle eut mangé tout son soûl, elle s'endormit, couchée en rond. Le lendemain, les maîtres, avertis par le cocher, permirent qu'il gardât l'animal. Cependant la présence de cette bête dans la maison devint bientôt une cause d'ennuis incessants. Elle était assurément la plus dévergondée des chiennes ; et, d'un bout à l'autre de l'année, les prétendants à quatre pattes firent le siège de sa demeure. Ils rôdaient sur la route, devant la porte, se faufilaient par toutes les issues de la haie vive qui clôturait le jardin, dévastaient les plates-bandes, arrachant les fleurs, faisant des trous dans les corbeilles, exaspéraient le jardinier. Jour et nuit c'était un concert de hurlements et des batailles sans fin. Les maîtres trouvaient jusque dans l'escalier, tantôt de petits roquets à queue empanachée, des chiens jaunes, rôdeurs de bornes, vivant d'ordures, tantôt des terre-neuve énormes à poils frisés, des caniches moustachus, tous les échantillons de la race aboyante. La chienne, que François avait, sans malice, appelée "Cocote" (et elle méritait son nom), recevait tous ces hommages ; et elle produisait, avec une fécondité vraiment phénoménale, des multitudes de petits chiens de toutes les espèces connues. Tous les quatre mois, le cocher allait à la rivière noyer une demi-douzaine d'êtres grouillants, qui piaulaient déjà et ressemblaient à des crapauds. Cocote était maintenant devenue énorme. Autant elle avait été maigre, autant elle était obèse, avec un ventre gonflé sous lequel traînaient toujours ses longues mamelles ballottantes. Elle avait engraissé tout d'un coup, en quelques jours ; et elle marchait avec peine, les pattes écartées à la façon des gens trop gros, la gueule ouverte pour souffler, et exténuée aussitôt qu'elle s'était promenée dix minutes. Le cocher François disait d'elle : "C'est une bonne bête pour sûr, mais qu'est, ma foi, bien déréglée." Le jardinier se plaignait tous les jours. La cuisinière en fit autant. Elle trouvait des chiens sous son fourneau, sous les chaises, dans la soupente au charbon ; et ils volaient tout ce qui traînait. Le maître ordonna à François de se débarrasser de Cocote. Le domestique désespéré pleura, mais il dut obéir. Il offrit la chienne à tout le monde. Personne n'en voulut. Il essaya de la perdre ; elle revint. Un voyageur de commerce la mit dans le coffre de sa voiture pour la lâcher dans une ville éloignée. La chienne retrouva sa route, et, malgré sa bedaine tombante, sans manger sans doute, en un jour, elle fut de retour ; et elle rentra tranquillement se coucher dans son écurie. Cette fois, le maître se fâcha et, ayant appelé François, lui dit avec colère : "Si vous ne me flanquez pas cette bête à l'eau avant demain, je vous fiche à la porte, entendez-vous !" L'homme fut atterré, il adorait Cocote. Il remonta dans sa chambre, s'assit sur son lit, puis fit sa malle pour partir. Mais il réfléchit qu'une place nouvelle serait impossible à trouver, car personne ne voudrait de lui tant qu'il traînerait sur ses talons cette chienne, toujours suivie d'un régiment de chiens. Donc il fallait s'en défaire. Il ne pouvait la placer ; il ne pouvait la perdre ; la rivière était le seul moyen. Alors il pensa à donner vingt sous à quelqu'un pour accomplir l'exécution. Mais, à cette pensée, un chagrin aigu lui vint ; il réfléchit qu'un autre peut-être la ferait souffrir, la battrait en route, lui rendrait durs les derniers moments, lui laisserait comprendre qu'on voulait la tuer, car elle comprenait tout, cette bête ! Et il se décida à faire la chose lui-même. Il ne dormit pas. Dès l'aube, il fut debout, et, s'emparant d'une forte corde, il alla chercher Cocote. Elle se leva lentement, se secoua, étira ses membres et vint fêter son maître. Alors il s'assit et, la prenant sur ses genoux, la caressa longtemps, l'embrassa sur le museau ; puis, se levant, il dit : "Viens." Et elle remua la queue, comprenant qu'on allait sortir. Ils gagnèrent la berge, et il choisit une place où l'eau semblait profonde. Alors il noua un bout de la corde au cou de la bête, et, ramassant une grosse pierre, l'attacha à l'autre bout. Après quoi, il saisit la chienne en ses bras et la baisa furieusement, comme une personne qu'on va quitter. Il la tenait serrée sur sa poitrine, la berçait ; et elle se laissait faire, en grognant de satisfaction. Dix fois, il la voulut jeter ; chaque fois, la force lui manqua. Mais tout à coup il se décida et, de toute sa force, il la lança le plus loin possible. Elle flotta une seconde, se débattant, essayant de nager comme lorsqu'on la baignait : mais la pierre l'entraînait au fond ; elle eut un regard d'angoisse ; et sa tête disparut la première, pendant que ses pattes de derrière, sortant de l'eau, s'agitaient encore. Puis quelques bulles d'air apparurent à la surface. François croyait voir sa chienne se tordant dans la vase du fleuve. Il faillit devenir idiot, et pendant un mois il fut malade, hanté par le souvenir de Cocote qu'il entendait aboyer sans cesse. Il l'avait noyée vers la fin d'avril. Il ne reprit sa tranquillité que longtemps après. Enfin il n'y pensait plus guère, quand, vers le milieu de juin, ses maîtres partirent et l'emmenèrent aux environs de Rouen où ils allaient passer l'été. Un matin, comme il faisait très chaud, François sortit pour se baigner dans la Seine. Au moment d'entrer dans l'eau, une odeur nauséabonde le fit regarder autour de lui, et il aperçut dans les roseaux une charogne, un corps de chien en putréfaction. Il s'approcha, surpris par la couleur du poil. Une corde pourrie serrait encore son cou. C'était sa chienne, Cocote, portée par le courant à soixante lieues de Paris. Il restait debout avec de l'eau jusqu'aux genoux, effaré, bouleverse comme devant un miracle, en face d'une apparition vengeresse. Il se rhabilla tout de suite et, pris d'une peur folle, se mit à marcher au hasard devant lui, la tête perdue. Il erra tout le jour ainsi et, le soir venu, demanda sa route, qu'il ne retrouvait pas. Jamais depuis il n'a osé toucher un chien. Cette histoire n'a qu'un mérite : elle est vraie, entièrement vraie. Sans la rencontre étrange du chien mort, au bout de six semaines et à soixante lieues plus loin, je ne l'eusse point remarquée, sans doute ; car combien en voit-on, tous les jours, de ces pauvres bêtes sans abri ! Si le projet de la Société protectrice des animaux réussit, nous rencontrerons peut-être moins de ces cadavres à quatre pattes échoués sur les berges du fleuve. 2 juin 1881 Sans commentaire !
  12. Nous avions 9 " soleil " à grosses patoches et plein de poils, qui rayonnaient ....... ::smilies77
  13. Je vais rêver Boubou cette nuit ! Surtout de Bearhing :amour:
  14. Si si bien sûr ! Elles vont venir. :OUAIS:
  15. Voilà .... Sans soleil, dans le brouillard ( - dense que ce matin ) mais dans la joie .... 1er bain de Boubou et de boue... merveilleux moments. Nous espérons que tout le monde est bien rentré.
  16. La différence entre la femme et le chien réside dans le prix du collier. ( François Giraudo) ::smilies50
  17. Avec Christian et moi, tu auras 4 bras et 4 mains de + !
  18. Bonne nouvelle, enfin s'ils ne se trompent pas, il n'y aura pas de pluie dimanche. Ciel voilé et 7°C.
  19. Il est parfois difficile de savoir qui, dans une famille, commande : le mari, la femme, la belle-mère ou la cuisinière. Mais le chien de la maison, lui, ne se trompe jamais. ( Marcel Pagnol )
  20. ~Cathy~

    POEMES

    Le vieux et son chien S'il était le plus laid De tous les chiens du monde, Je l'aimerais encore A cause de ses yeux. Si j'étais le plus laid De tous les vieux du monde, L'amour luirait encore Dans le fond de ses yeux. Et nous serions tous deux, Lui si laid, moi si vieux, Un peu moins seuls au monde A cause de ses yeux. Pierre Menateau
  21. J'aurai beau tricher et fermer les yeux de toutes mes forces... Il y aura toujours un chien perdu quelque part qui m'empêchera d'être heureuse... ( Jean Anouilh Extrait de " La Sauvage " )
  22. Nous serons donc parmi vous le 27. Il nous tarde de faire connaissance et de pouvoir avoir un avant goût de Boubou en attendant notre chiot. présents : 2 personnes sans Boubou ::smilies39
  23. Un ménage n'est plus un ménage lorsque c'est le chien qui apporte les pantoufles et la femme qui aboie. (Henry Bernstein)
  24. On croit qu'on amène son chien pisser midi et soir. Grave erreur : ce sont les chiens qui nous invitent deux fois par jour à la méditation. (Daniel Pennec)
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