Florence151

Félicitations pour la petiote "Henson" (si j'ai bien vu la maman). Et à quand les photos?!

Merci

Shaver, J'ai vu des noms de sites passer, je dois rechercher. Maud, Ok je vais étudier la question! (Givet ou internet)

Le collant d'endurance réservé aux jours de course. C'est qu'il me reste plein de pantalons classiques à user...

Pas bête le collant de gym, même si ça ne règlera pas mon probl. Oui je me souviens du gué, j'adooore!

Merci les filles! Oui les glouglous sont passés, mais je mange léger... Paraît que ces collants sont chers, beaucoup en commandent directement aux US via internet, je vais voir. En tout cas, ce ne sera sûrement pas rose fluo, tant pis pour le photographe! Eva, je crois que je ferai comme toi. Quant à ma position, j'ai du mal à rester assise sur mon scampi, donc "en équilibre" mais encore trop en avant à mon goût.

Et ben, Alkanette, t'as pas justement un de ces collants qu'il m'aurait fallu dimanche? L'est rembourré aux genoux?? Raconte!

J'imagine le tableau

Merci Elkie! Au fait, je suis contente aussi parce que je n'ai pas beaucoup de courbatures, ya juste la fatigue et les pincements des blessures aux genoux. Waouw, je m'améliore aussi

Merci Shaver. Avant de recourir, je crois que je vais tout de même investir dans un collant d'endurance... et ptêt même aussi une selle d'endurance... Et oui, je suis horriblement classique et je résiste le plus possible!

Merci, j'avais envie de vous emmener à cheval avec moi! Vous manque plus que les courbatures Blessures de frottement style brûlure. Je vais tester de nouveaux sparadraps cicatrisants...

Maud résume très justement la situation des élevages d'arabes et c'est ce qu'il faut retenir. Le débat show/sport n'est pas très constructif, les deux disciplines ayant leurs succès et leurs amateurs.

Aah certains se font gâter ici! Merci pour les photos de Fort de France, il ne fait pas son âge

Je suis 5 min en retard sur mon heure de redépart, donc on trotte sur la route de l'usine Valvert. Shamir est beaaaaaaucoup plus léger et cadencé, ça commence bien. C'est un peu dur de repartir sur la 2e boucle avec la perspective de refaire tous ces km, mais c'est chouette de pouvoir profiter encore une fois de ces beaux paysages que je n'ai pas chez moi. Sham essaie de temps en temps de me faire le message qu'on s'éloigne et qu'il y a peut-être erreur ;-) Mais nous restons au trot. Bruit de cavalcade derrière nous: deux jeunes cavaliers déboulent à fond au trot et nous dépassent dans les sentiers forestiers. Ca a le don de réveiller la fibre combattive de Shasha qui se jette à leur poursuite. Pour moi les choses se compliquent: je sens que je suis blessée au genou droit. Dès que je baisse le talon, ça pince, ça tire, ça brûle. Toujours au grand trot, je triture mon pantalon et ma chaps dans tous les sens mais le soulagement ne dure chaque fois qu'une seconde. Je me tiens à cheval comme je peux sur un Shamir remonté qui me secoue. Par dessus le marché, mes glouglous s'accentuent (qui l'eût cru?!) et j'ai maintenant des crampes d'estomac. J'ai toujours très soif et un mal de tête lancinant s'installe lentement mais sûrement. La beauté bucolique du paysage m'intéresse nettement moins et je dégagerais bien au bazooka les deux jeunes devant moi, ou bien Shamir, c'est au choix! Nous revoilà sur les longues allées dures, glissantes et caillouteuses. Les jeunes s'éloignent enfin pour de bon, Sham accepte enfin de "rester avec moi". Je me tiens bizarrement mais je parviens à me remettre en suspension comme tout à l'heure. Maintenant le genou gauche pince aussi. Au premier point d'intendance, pas de Renaud mais je le retrouve à nouveau 2-3 km plus loin. J'afonne une bouteille d'eau pendant que Shamir boit bien que pressé de repartir. Le long de la falaise et du ruisseau, nous avons à nouveau une petite discussion sur le rythme de cette course si nous voulons finir entiers tous les deux! Je profite de la côte au pas pour essayer d'appeler Renaud mais pas de réseau, faudra attendre jusqu'en haut. Le scampi roux piaffe d'impatience, il n'est pas gêné par la côte. J'ai enfin Renaud en ligne: il va me préparer un cocktail tonifiant, aaaaargh... Dans le sentier où s'écoule un filet d'eau, je croise des randonneurs à cheval, on marche ensemble, ils posent des questions sur l'endurance, ça me détend. J'arrive au gué et Shamir prend le temps de boire, et on repart. Mes crampes d'estomac se sont atténuées, je m'habitue à mes genoux douloureux, mon mal de tête se calme, était-ce psychologique ou nerveux plus que réel? Nous entamons la longue côte en dur, glissante et caillouteuse. Dès que Sham a bien repris et stabilisé son souffle, nous reprenons le petit trot et nous continuons sur le long tronçon de Ravel monotone, désespérément seuls. Lorsque le point d'assistance est en vue, je repasse au pas, je me sens toute faible. Pendant que Shamir boit et broute un peu, Renaud me file toute une bouteille d'Aquarius ainsi qu'un truc contre le mal de tête. On a pris un peu de temps mais je repars vers les sous-bois en me sentant mieux. Les petits sentiers me ravissent à nouveau ;-) Nous voici déjà à la carrière rouge, puis le long de la chaussée. Shamir continue à avancer très régulièrement, je me maintiens en suspension. Parfois dans les petites côtes ou les passages difficiles, glissants ou caillouteux, je lui redemande le pas qu'il ne rechigne plus à prendre, mais de lui-même il reprend le trot lorsque le terrain est à nouveau bon :-)) En haut de la dernière côte au pas, j'entends du trot derrière, revoilà les Luxembourgeoises, Sham et moi accrochons le train! Nous terminerons ensemble au trot et au petit galop jusqu'au dernier km que nous ferons au pas. A 100m de l'arrivée, elles reprennent le trot, drôle d'idée mais je les suis pour ne pas exciter Sham en ces derniers moments cruciaux. Le dernier vet se passe sans probl. Nous avons donc réussi notre première 60 grâce à un petit mari bien attentionné et un Shasha de combat. Poupou m'a révélé un mental de guerrier que je ne soupçonnais pas et que je vais devoir apprendre à gérer. En tout cas, je trouve génial de passer autant d'heures avec son cheval, dans la nature, à gérer l'effort (après entraînement bien sûr). Cheval et cavalier sont partenaires à part entière dans la difficulté, quelle sensation. Peut-être que j'idéalise mais j'avais vraiment l'impression de participer à l'épreuve avec un membre de l'équipe et non un animal qui subissait mon sport. Voili voilà, vous savez tout!

Le parcours quitte petit à petit les forêts et emprunte même un chemin de campagne à l'arrière de maisons, qui file droit entre deux prairies à vaches, ces dames se rangent d'ailleurs derrière le fil pour nous regarder passer avec de grands yeux. Nous traversons ensuite un petit bout de village, sur le macadam. Càd que j'essaie de prendre fluidement tous les bas-côtés possibles pour ménager ferrure et articulations. Nous rentrons à nouveau dans un bois par un beau chemin de sable plat, un vrai délice. Quel plaisir tout au long de cet itinéraire... Rien qu'en regardant la carte pour vous raconter, je me souviens de plein de détails. Aie, voilà un panneau plus grand que les autres, que dit-il? "Dernier km": mince alors, déjà! Je trotte encore, jusqu'à la route près de l'usine Valvert où nous repassons au pas, je saute à terre, déselle, fais signe à Renaud. Quasi pas de frissons, le cardio fonctionne bien grâce au gel, et une cavalière de l'équipe nationale junior vient nous donner un coup de main. Le contrôle vet se passe sans probl. Le véto prend la FC avant et après le trotting, c'est la première fois que Sham doit subir ça, mais tout se passe bien. RAS non plus à propos de son postérieur droit, ouf! On rentre au paddock, manger et boire (moi évidemment mais Sham aussi), ranger le matos. Mon estomac fait encore qlq glouglous bizarres mais un sandwich passe quand même. Je croise la cavalière sur 30 km qui pensait avoir perdu son chemin, qui a bien fini et est contente. Je me dirige vers le départ pour l'heure prévue et croise Sara qui vient d'arriver. Tout se passe aussi bien pour elle et son ami cavalier.

Le parcours emprunte un sentier un peu glissant qui est le lit d'un ruisselet qui s'écoule doucement. Faut regarder où mettre ses pieds, mais c'est inhabituel et me rappelle un petit chemin à Jodoigne-Souveraine. Nous sommes ainsi rejoints au pas par la cavalière qui fait 30 km avec un cheval bai. En bas, nous débouchons tous les quatre... sur un gué évidemment! Chouette, Sham adore ça. Les deux chevaux traversent sans probl, l'autre boit un peu. Un groupe de cavaliers promeneurs est réuni sur l'autre rive et discute avec feu. Apparemment ils ont subi qlq chutes dans l'eau, mais pas de mal. Nous repartons et longeons des coupes de bois. Le chemin est un peu défoncé par les machines, mais sec et encore bon. Nous quittons le chemin et abordons une côte dure, glissante et caillouteuse (comme j'aime...). L'autre cavalière continue au trot, je repasse au pas, Sham n'est pas très content. Ca grimpe. Après plusieurs minutes, j'entends du trot derrière moi, ce sont les deux Luxembourgeoises qui nous rejoignent. Cette fois je laisse Shamir les suivre, même si je me dis que je ne suis pas très cohérente ni éducative ;-) Mais il repart tout seul et faut dire que les chevaux des Luxembourgeoises sont souples, légers et réguliers, c'est un plaisir de les accompagner. Nous arrivons au bout du chemin et nous engageons sur un ancien chemin de fer transformé en Ravel, soit du béton qui grimpe encore bien pendant 2-3 km. J'essaie de prendre les bas-côtés d'herbe pour ménager les fers de Sham mais pas toujours évident. Un jeune cavalier aussi sur la 60 nous rejoint, et nous dépasse. Voilà-t-i pas que Shamir décide unilatéralement de laisser tomber les Luxo et de suivre le jeune! Nous discutons un peu fermement sur qui décide ici... Nous arrivons à un point d'assistance (km 20 environ) où je bois sans demander mon reste, tant pis pour mon dromadaire de course s'il refuse encore l'eau. Pourtant Renaud a tenté d'agrémenter avec quelques pissenlits que Sham aime tant ;-) Les Luxembourgeoises et moi repartons et quittons bientôt le Ravel (chouette) pour replonger dans les sous-bois et les petits sentiers. Les deux cavalières me proposent de me caler entre elles, c'est super sympa. Elles discutent dans leur langue par dessus ma tête, Sham ne respecte pas tout à fait la distance que je demande mais devient presque aussi léger que leurs chevaux, aaaaaah... On trotte, on galope parfois (superbe cadence aérienne, aaaaaah...). Soudain, à un moment où je suis tout derrière, la 2e cavalière s'exclame quelque chose, elles s'arrêtent toutes deux pile et font demi-tour le regard au sol. Je demande ce qui se passe: le 1er cheval a déferré en faisant un petit écart et elles cherchent le fer. OK il est là, la dame le prend et continue le parcours en montant à une main. Le terrain est heureusement toujours aussi excellent. Après les petits bois, nous longeons une carrière à ciel ouvert, la terre est rouge orange, le trou béant est impressionnant. Nous arrivons à une chaussée que nous devons longer sur 500m. Un point d'assistance est prévu où les Luxembourgeoises retrouvent leur groom et discutent avec lui. Je leur demande si je peux encore les aider - non - je les remercie pour le bout de route et leur souhaite bonne continuation. Renaud n'est pas là (???), je ravale ma soif et continue. Sham avance toujours tout seul, comme un bulldozer qui sait où il va. Je me demande s'il sait qu'il devra recommencer tout ce chemin tout à l'heure, mais bon! Pour ma part, j'ai trouvé une position +/- confortable au trot en suspension. Maud, je me sentais quasi comme sur ta selle.

D'abord une route à suivre sur laquelle il nous a été demandé de rester au pas. On passe devant l'usine Valvert qui est en effet en pleine nature au milieu des bois. Shamir ne veut pas rester avec Sara et trottine pour rattraper le cheval de Bertho. Dès l'entrée du bois nous prenons tous le trot, Hubert part devant et Shamir veut cavaler de plus belle pour le suivre. Crévindju, veux-tu m'écouter? L'animal ne démord pas de son petit galop, agrémenté de qlq bonds et coups de tête, j'ai déjà les épaules qui brûlent, heureusement que j'ai des gants, Sara et son accompagnateur tâchent de suivre. On convient finalement de se séparer temporairement: plus je retiens Sham, plus il chauffe. Seule je peux mieux me concentrer sur lui et être moins pendue aux rênes. Au passage j'essaie de me détendre et de regarder le paysage: après une belle piste sablonneuse et un chemin le long d'une prairie, nous plongeons dans le coeur de la forêt: grands arbres et chemins forestiers pas du tout boueux malgré les pluies récentes. Superbe! Le balisage est très précis, trop même! A une indication "passage obligatoire" à gauche d'un chemin barré, je suis des traces de chevaux qui montent dans les taillis apparemment désignés. La trace finit par se perdre, plus de balisage, je fais demi-tour et tombe sur une personne de l'organisation en train de replacer le panneau... le chemin n'est fermé que sur une courte distance très caillouteuse et on nous demande juste de le longer à gauche sous les arbres. Ok, on continue. Nous avançons maintenant sur d'anciennes allées dures, glissantes et caillouteuses. Sham est toujours motivé, on a retrouvé trois cavalières qui trottent régulièrement, on les accompagne. Il s'agit de deux Luxembourgeoises sur de beaux arabes et d'une jeune fille qui fait la 30 avec un cheval bai. Le parcours repart dans les sous-bois et les chemins de terre tendres à souhait. Il y a toujours un peu de relief mais c'est amusant, pas fatigant du tout. Entretemps j'ai passé le premier point d'intendance, vers 5 km, sans voir mon assistant en chef, qui il est vrai décide parfois tout seul si j'ai besoin de lui ou non... Je vois un monsieur accroupi dans les hautes fougères, tiens c'est un photographe! Il semble me suivre de son objectif, on verra le résultat plus tard (càd qu'il n'y aura pas de photo!). Plus loin dans la forêt, le chemin devient sentier qui descend assez fort, boueux et glissant en plus: retour au pas. En bas, on arrive à une route. Je croise une cavalière qui va dans l'autre sens?! Elle me dit "Je me suis perdue, mon assistance me dit que je suis trop tôt". Je lui réponds que pour moi le balisage a toujours été OK, donc que ça doit être bon. Elle me suit. Ah voilà Renaud, il n'a pas trouvé le premier point et s'incruste un peu plus loin, vers le 9e km, à un point d'intendance d'une autre boucle. Sham n'est pas trop d'accord de s'arrêter, mais moi je meurs de soif. Renaud n'a pas vu Sara. L'autre cavalière reste un peu au point d'assistance, cherchant son chemin; je continue. Maintenant nous suivons une route en terre très sèche et un peu caillouteuse, entre une falaise et un cours d'eau bordé de forêt (évidemment). Ensuite on grimpe une belle petite côte sur un beau chemin sablonneux. On continue à sinuer dans la forêt, c'est super beau. Je me sens très bien à cheval, je tiens assez souplement sur mon turbo-scampi et le guide, j'ai juste toujours très soif. Sham continue à vouloir avancer, il ne regarde rien sur le chemin, pas un bond ni écart (pour celles qui le connaissent!), il est à son affaire et n'a pas plus peur de ce qui nous entoure que moi ;-) J'ai même l'impression qu'il regarde le balisage, j'vous jure!

Voici le récit de notre première 60 km (Shamir, Renaud et moi), attention je vous ai préparé un roman en plusieurs épisodes! Nous sommes partis la veille, le samedi, et en début d'après-midi pour être à l'aise. Nous chargeons le matériel (la voiture sera-t-elle assez grande?!) et ensuite le chewal, lequel nous signale par un arrêt de 1 minute devant le van que ce n'est pas comme d'habitude: drôle d'idée d'embarquer en pleine après-midi. Ensuite en route vers Etalle, près de Virton. Le voyage se passe bien. Shamir s'installe très calmement dans le box n° 13 (espérons que ça nous portera chance!). Box spacieux bien qu'entièrement grillagé, mais nous ne trouvons qu'un petit tas de paille au milieu :-/ Je parviens à m'en procurer une belle galette de paille que Sham accueille avec intérêt. D'autres chevaux arrivent entretemps, Sham regarde cette agitation avec encore plus d'intérêt. Nous allons monter notre paddock sur le parking de la course, ainsi que celui de Maud et Freddy. On va boire un verre pour souffler, je reviens faire les tresses de la crinière, Renaud remplit le bidon et les bouteilles d'eau pour la course. Avec tout ça il est 18.30 heures passées, soit temps de nourrir mon loulou avant de le quitter pour la nuit. Notre petit hôtel est tout sympa. On est si affamés qu'on commande aussi une entrée... Pôô bien: c'est déjà tellement copieux que le plat principal restera à moitié dans nos assiettes. Je commence à sentir de drôles de glouglou dans mon estomac :-/ Petite promenade digestive dans le village au soleil couchant, mais mes glouglous glougloutent toujours... Nuit moyennement reposante entre le lit douillet et les toilettes... Dimanche matin, je vais nourrir Shamir. Il ne reste plus qu'un cheval à part lui. Je laisse Sham manger et passe au point de départ de la course: grande effervescence alors qu'il n'est que 7h20! Maud et Freddy sont déjà installés, on papote un peu, on admire Maruschka qui fait la belle dans son paddock et je repars petit-déjeuner (léger...) avec Renaud. Au manège, Shamir est maintenant seul, et plus anxieux. Nous embarquons nos dernières affaires ainsi que Shamir et rejoignons notre paddock sur le parking. Entretemps le coin déborde de voitures, vans, camions, chevaux et gens allant et venant dans tous les sens: 150 cavaliers au total sont inscrits au départ des courses de la journée, c'est le record cette année. Je vais m'inscrire et retrouve Sara, l'amie de Maud avec qui j'avais prévu de courir. Nous passons le contrôle vétérinaire initial. Après le trotting le vété réfléchit et fait noter "Postérieur droit". Comment ça?! Je me fais déjà un film sur mon pauvre loulou boîteux, sa ferrure pas neuve, et j'envisage de ne pas prendre le départ, mais Sham me semble droit et en forme et je ravale mes angoisses maternelles. Nous retournons seller les chevaux puis Sara, un ami cavalier à elle et moi nous alignons sur la ligne de départ avec Hubert Janssens, cavalier CEI flamand qui vient faire 40 km en entraînement. Le secrétariat note l'heure sur nos fiches, et c'est parti.

Yzzarah, Qu'est-ce qui précisément t'a fait penser à écrire ce post? Je n'ai pas l'impression que l'arabe est aussi à la mode qu'il y a 10-15 ans (quand je suis moi-même tombée amoureuse ). A l'époque il était de toutes les photos, posters, magazines, ... et les prix étaient exorbitants. Aujourd'hui, seuls les élevages spécialisés ou certaines lignées (champions de qlq chose) pratiquent des prix "à faire réfléchir". Sinon on peut trouver un arabe plein papiers pour le prix d'un cheval normal, mais sans lignée précise ou chez un particulier, issus de ces croisements aléatoires comme le regrette Fantasiaa. C'est vrai que si on veut plus de taille, mieux vaudrait se tourner vers les part-arabes plutôt que de modifier la race originelle. Mais bon, ici on est de toute façon loin des déserts du Maghreb et d'Arabie, alors l'original...

Merci pour vos encouragements, ça fait chaud au coeur En effet, visite de contrôle à Shasha qui va très bien. Les fers sont nazes mais le loulou n'est pas stressé pour un poil et se demande quelle sera la suite! Récit de cette belle course demain, là il est l'heure de faire

Mais qu'elle est trop gnonne! Continuez à nous mettre des photos

Coucou, je suis là! Très heureuse de ma course, j'avais même pas remarqué qu'elle était plus longue que prévu Je vous fais un récit plus détaillé dès que possible (faut que vous me suppliiez autant que Shaver et ses récits de Trec ) Mais malheureusement aucune photo: Renaud avait oublié son appareil (comment est-ce possible?!) et le photographe sur place ne m'a pas vue. En tout cas, encore grosses doudouces à Maru qui a fait sa première 100 (110) comme une chef

Bravo les filles! Et Shaver, c'est toujours un plaisir de lire tes compte-rendus palpitants

Comme Prune, je ne comprends pas le rapport, mais tant mieux si c'est moins grave que pensé initialement :cheers:

Hum... Bon ok, merci pour l'info :afro: