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Albanne7

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Tout ce qui a été posté par Albanne7

  1. J'ai bien regardé les belles photos de tes loulous, et l'accueil qu'ont réservé tes autres colleys à Pacha : Pacha il ferme les yeux de soulagement d'être là parmi eux en sécurité sur une photo où ils sont tous ensemble. Il est content, vraiment content : il a une maman, des copains, et des soins. Ils sont très beaux tous... Il fait bon d'être un Colley chez Colley Girl. Ah bon ? Je suis pas dans la rubrique "en attente d'adoption" moi ? Super Yvonne. Et félicitations à Béa pour tout !
  2. Albanne7

    Erratum

    Il ne s'agissait pas de "Princesse", mais de Altessse de Cabrenysset, splendide colley, euthanasiée à l'âge de 4 ans pour seulement avoir seulement "pincé" (voir la rubrique "hommages"). Racé ou croisé, il n'y a pas de justice. Comme pour les hommes.
  3. bien expéditives... Si jeune en plus, 7 mois ? A ceux qui ont "chargé la mule" : c'est dégueulasse, son écart de comportement était rattrapable. Pardon du mot. Sur la photo, il me semblait déjà percevoir son "destin". Seul contre tous. Aucune chance. Comme Princesse, pour avoir pincé : sanction disproportionnée. Mais c'est pas possible d'être aussi radical ! Et puis c'est facile... le chien n'a pas d'aide juridique gratuite lui pour défendre sa peau ! Des lois pour donner la mort dont le silence ne peut se défendre ? Ce ne sont pas des lois. Pour personne. Euthanasier la connerie oui ! 7 mois ???! Là je serre vraiment les dents. Franchement, il y a des boulots que je ne pourrais jamais faire. Bonne Saint Valentin mon petit pote, loin des salauds.
  4. Albanne7

    JOYEUSE ST VALENTIN

    Si tu veux aller par là alors je vais te donner du vécu : à la maison de retraite où est ma charmante Mamy... des couples se forment encore... Et ils sont bien charmants.... les coquins !!! Et j'avais présenté ma charmante Mamy au grand-père veuf de ma meilleure amie de plus de "vingt ans" : le coup de foudre absolu, et j'ai assisté en live... à un vrai baiser à un autre homme que mon grand-père...après 60 ans de mariage bien chrétien avec beaucoup de bonheur de revoir une étincelle de femme dans le regard heureux et pétillant de ma Mamy adorée. Et son vieux papy Alexandre était bien heureux... Alors ???? Elle sait de quoi elle parle la Corinne, je te le dis ! C'est vrai par contre que parfois il faut "ouvrir les yeux...", même s'il est vain de chercher. Et puis l'amour, il n'est pas le même avec un enfant, un parent, un petit z'ami et un z'Amoureux... C'est ce que j'explique toujours aux petits jaloux de rien...bien légitimes... Bisous ! Alors Lucrèce... ouvre les yeux...sait-on jamais... Bonne Saint Valentin... Corinne
  5. Albanne7

    JOYEUSE ST VALENTIN

    Je suis bidonnée quand je vous lis !!!!!!!!!!!!!!! Bonne Saint Valentin, un coeur bat toujours pour vous quelque part.... J'en suis persuadée. Parce que vous le valez bien !!!!! Bises ! Corinne
  6. IMMENSE MERCI pour Pacha dont l'histoire me touchait beaucoup. IL va être apaisé maintenant et guérir encore plus vite grâce à l'amour de sa nouvelle Maman et la formidable solidarité de ce Forum. MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! Y viva Pacha tambien ! Corinne
  7. Albanne7

    bonjour

    Personne ne mord ici.... Bises. Corinne
  8. Albanne7

    bonjour

    Je peux comprendre la "suspension des recherches" : l'amour ne souffre pas d'infidélité. Alors beaucoup d'amour à Chaton Guss et de bonheur ensemble. Corinne
  9. Albanne7

    bonjour

    J'espère que tu trouveras, (comme moi bien modestement ici depuis peu), une histoire formidable et des gens formidables. Ton minou il est booooooooooooooooooooooo ! Beau beau beau !!!! Arghh.... quelle bouille ! Bienvenue à toi. Corinne
  10. Eh oui, nous en avons profité à pleins poumons... Cette Île du Gaou dans le Var (près de Six Four les Plages) hors saison, est très reposante et offre une merveilleuse ballade assez facile physiquement aussi. Très sauvage et très préservée, elle est aussi étrange par ses pins aux implantations qui en forment des "dômes", ses falaises vertigineuses tombant à pic, et ses rivages aux plages rares formant de petites criques. Et puis les petites de 4 et 10 ans étaient ravies de tenir Albanne à tour de rôle, entre deux escapades dans les arbres. J'y ai même vu quelques rares lévriers et Albanne s'est même jetée d'elle-même à la mer nager un peu pendant notre pause, qui s'est vite transformée en jeu collectif avec quelques palets de bois flottants légers en guise de balle. Ce que j'adore par-dessus tout : la voir savourer ces moments de tous ses sens, se dépenser physiquement dans ces endroits improbables. Elle me surprend toujours. Comme d'habitude, Albanne a fait l'admiration de tous par sa sagesse, son écoute et son allure, même auprès des passants, admiratifs. A notre retour, un promeneur qui avait observé Albanne de loin pendant notre pause "jeu collectif", s'est approché de moi et m'a affirmé lui donner seulement trois ans (au lieu de ses cinq) : je me suis dit que c'était gage de longévité... comme ma Mimi qui fait toujours très demoiselle à 17 ans. Ensuite, la soirée s'est prolongée autour d'un Mondor chaud, ou Mont d'Or ? (fromage qu'on mets au four) entourés des chats de la maisonnée de nos hôtes, et une bonne gamelle pour ma Lady. Aujourd'hui j'ai récupéré tranquillement au calme, à "deux de tension". Et vraiment je recommande à ceux qui visiteraient la région du Var, d'aller sur cette Île quand ils ont des chiens, car on en profite "la conscience tranquille" : ils y sont clairement autorisés. J'espère que ton week-end fut agréable aussi. "L'amour est un trésor de souvenirs" (Honoré de Balzac). Grosses bises. Corinne
  11. Le tout est de s'aimer dans ce qu'on est... Pour aimer l'autre (quelqu'il soit), il faut déjà s'aimer soi. Bien vu Eclipse. Bisous. P.S. Ma grande ballade - escapade à l'Île du Gaou (où les chiens sont autorisés en ballades, et sur la Côte d'Azur ces endroits là sontrares) avec mes amis, les petites filles et Albanne m'a....lessivée, je ne serai pas trop "verbeuse" aujourd'hui...
  12. Entièrement d'accord pour tes constats sur les chats : j'ai fait les mêmes, ils ne sont pas vraiment intéressés. Les attitudes que tu décris démontrent qu'ils savent aussi "ne pas envahir et prouver un réel attachement et respect qu'ils aiment qu'on leur renvoie. C'est très appréciable. Quant à mon frère, il est quasiment pareil que le grand-père en fait... Mouai, ... Quant aux grands-pères, on a de la chance pour ce qu'ils laissent en héritage à ceux qui ont notre chance de les avoir côtoyés. Et il est bien plus important qu'un héritage financier, puisqu'il nous apprend (grosso modo) à savoir recréer notre petit paradis sur terre autour de nous. Tu vois, je pense vraiment que l'éducation et la transmission sont très important concernant le respect du vivant, pour ceux qui n'ont pas notre chance. Il était super mignon ton Cheyenne, je l'ai vu il avait une bonne bouille à bisous... Isis l'élégante et Lucrèce la magnétique. Quant au magnétisme félin des chiens-chats, Albanne l'avait puissance 10 avant de côtoyer nos chats : ces ondes se dégageaient de façon très puissante déjà dans le coffre de la voiture de l'éleveuse. Je te dis : jamais j'avais ressenti un truc pareil d'aucun animal (pas même le chat). Mes autres chats ont dû ressentir la même chose et ne lui ont jamais fait de mal (pas même craché ou de coup de pattes). Albanne a vraiment un fluide ultra particulier, et j'en rajoute pas. Ca vient d'elle, ce n'est pas ma seule perception. Et ce truc là m'a remontée. C'est pour cela (peut-être) qu'ils ont pu avoir cette proximité en tout point avec les chats. Et Albanne s'est pliée de fait aux coutumes et US de cette bande de chats déjà bien en place et bien décidés à ce que cela reste ainsi.... dans l'ordre des choses. Donc, Albanne avait AVANT moi déjà ce truc inclassable. D'ailleurs, je n'ai que très peu éduqué Albanne, est s'est éduquée toute seule sur "ce qui se fait et ne se fait pas" avec les chats. J'avoue : je ne lui ai pas appris grand-chose (j'étais pas en état de toute façon à ce moment là) : peut-être 15 mots de consignes, pas plus. Aujourd'hui, j'affine un peu l'éducation d'Albanne en la familiarisant à d'autres situations. Bisou Lucrèce.
  13. Ah merci merci à tous les deux, c'est adorable... Ca me touche beaucoup, vraiment. Je viens de me réveiller je suis un peu embrumée avec le café, mais j'ai déjà le sourire de vous lire.... Et ça c'est super déjà ! Merci encore, et grosse bise. Et mêmes papouilles et bisous à vos petits amis avec ma petite chanson bien gâteuse doucement au bord de l'oreille aussi, sans vergogne ! Corinne
  14. Tu fais comme tu le sens pour toutes ces photos. De toute façon, j'en suis très fière. Et mon boiteux de Bouboune "Chichila" est beau, même boiteux. Les chats j'en suis raide dingue, tous, tous tous. Les vieux, les petits, les borgnes, les sans-queue (comme Nounou à qui on a du amputer la queue au bord d'une scepticemie quand je l'ai récupéré), les sans-noms, les obèses, les stars de podium, et les malchanceux : TOUS. Les chats sont pénétrants dans l'âme, et ils sont d'autant plus habiles pour ça qu'ils sont, en restant silencieux et parfois distants, à nous percevoir sous toutes les coutures. On ne se rend pas compte comment ils nous "apprennent", puis comment ils nous prennent ces voyous. On n'a rien vu arriver. Connectés "Brain to Brain" avec eux malgré nous, leur départ laissent un vide, parfois un gouffre insoupçonné, voire imprévu, je sais bien. Aussi je comprends ici les attachements. D'ailleurs, mon grand-père, j'en radote parce que vraiment c'était un sacré gaillard, que je n'ai compris que bien trop d'années après, ne se formalisait que vraiment bien peu des hommes (très dur, parfois hélas d'ailleurs pour lui, il est était donc très solitaire) , mais pleurait jusqu'aux yeux rouges dès qu'il évoquait notre regrettée Vicky. Mon jeune frère c'est pareil : on était allé ensemble chez les véto abréger les souffrances de notre Gribouille, partie trop jeune. On a quitté le cabinet, dans la rue nous rentrions silencieux, côte à côte. Je continue à avancer : je m'aperçois soudain que je marche seule. Mon frère, silencieux, terrassé de douleur, s'était soudain effondré en pleine rue à genoux en pleurs, la tête dans ses mains. J'ai dû le soutenir pour le ramener jusqu'au cabinet du véto pour qu'il reprenne ses esprits. Il se traînait, effondré sur moi. Et je n'en rajoute pas en racontant la scène, aujourd'hui toujours très présente dans ma mémoire. Le véto a remis d'aplomb le gaillard au bord de la syncope : depuis ces jours et nuits qu'il veillait sur son chat, il ne s'était pas épargné les souffrances de Gribouille à l'agonie, dont la vessie était foutue. Mon frère ne s'en est jamais vraiment bien remis. Pourtant on n'était plus des minots... Il dort aujourd'hui avec Bouboune sur son oreiller tous les soirs, et sa barbe de trois jours ressemble au matin à ... une barbe à papa. On n'est pas des maniaques dans la famille...plutôt à la "Romanos" parfois. Quand il appelle le Nounou, celui-ci se transforme en bulldozer, fonce sur lui en courant à toute vitesse d'où qu'il déboule, pour lui donner un câlin "coup de tête" sans vergogne. Quand à ma fille, à l'âge de 6 ans déjà, elle mettait 5 jours top chrono en moyenne à prendre dans ses bras des chatons nés sauvages sur les terrains vagues. Je n'oublierai jamais sa petite Fantine, tabby de deux mois aux yeux purulents qu'elle m'avait ramenée ainsi, qu'on a sauvée, puis sa petite persane bleue pleine de puces, aux yeux avec autant de coryza que la précédente, et qu'on a dû finir de sevrer, qu'elle avait nommée d'un prénom venu d'Orient imprononçable et qu'un copain avait gardé, et qui va toujours très bien. J'ai eu le temps de lui transmettre quelque-chose avant son départ. Je remercie ma Maman bien méritante de m'avoir transmis aussi cela et d'avoir cédé à touts ceux que j'ai sauvés en étant môme par rapport à cela. Et qui a franchement aussi bien trimé pour financer leurs repas, leurs vétos, et puis pour nous aussi. Elle est de la Saint-Valentin : et là elle aura 60 ans. C'est une femme exceptionnelle, même si nos caractères souvent se heurtent. Les chats ont une façon de nous aimer, chacun à leur façon. Alors, toutes ces émotions intenses, je les comprends tellement... Volga. Et je remercie la grande délicatesse de mon Albanne d'avoir accepté de grandir parmi nos chats, en toute harmonie et de prendre au passage une partie de leurs attitudes. Albanne est donc un chien-chat au mental (je vous dirai plus tard le pourquoi et le comment). Bises. Corinne
  15. Vos délicates attentions et adorables messages me font monter les larmes aux yeux...derrière cet écran, et me touchent profondément. Cette journée, je l'avais prévue banale, sans gâteau, ni bougie, sans cadeau, ni bisou, sans appel.... ni ami, sans famille, mais pas sans mon Albanne, comme tous les jours quoi. Alors finalement, bilan de ce virage en "quarantaine" : elle n'est pas banale, pas sans gâteau, pas sans bougies, pas sans bisous, pas sans appels, pas sans amis, pas sans famille, et pas sans Albanne bien sûr ! Vous êtes formi, formi, formi, formidableeu ! Gros gros bisous à vous toutes et tous, gros câlins et papouilles de ma part à tous vos petits amis (sur les truffes, petits gratouillis sur les ventres pattes en l'air, et ma petite chanson chantée doucement tout près de leur oreille : "I love you Baby of Love" de mon cru (Je t'aime Bébé d'Amour), vraiment gâteuse à fond comme ça m'arrive). Mille mercis. D'ailleurs, essayez de compter.. voir un peu combien vous êtes à avoir pensé à moi : 7. Mon chiffre porte-bonheur. Donc non : sept fois aux sept belles âmes. Corinne, Albanne, et le 3 cats : Mimi, Bouboune et Nounou P.S. : Vous êtes formi, formi, formi, formidableeu ! Arrrrrrrrrrrrrrgh ! :merci: :merci: :merci: :merci: :merci: :merci: :merci: :merci: :merci: :merci: :merci: :merci:
  16. Volga m'inspire, les photos gaies et terribles font réagir, et les bons mots que je lis ici me stimulent à écrire sur ces sujets qui me passionnent. Comme je l'avais plus ou moins clairement évoqué, on a du boulot pour les générations futures pour que la souffrance animale cesse absolument. Des internautes peuvent lire ces textes, ces témoignages, et au moins savoir, si ce n'est comprendre puis ressentir. Les pensées, les écrits sont utiles. Combien d'écrivains, de philosophes, d'artistes, connus ou inconnus, ont de bons mots ? Tant. Et puis...."l'amour est un trésor de souvenirs" (Honoré de Balzac). Et parfois, je préfère me dire que "le rire est une insulte au malheur" (Syrus). Marguerite Yourcenar, Marguerite Duras, et pleins d'autres Marguerites font un champs. Volontiers. Bises. Corinne, Marguerite (c'est dans l'ordre de mon état civil...)
  17. Albanne7

    Pensée du jeudi 10 février

    Ceci me donne envie de penser alors cela, récupéré en Occident : Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, ce sont les jugements qu'ils portent sur les choses (Epictète). Bises. Corinne
  18. Ah, vaste sujet... et toujours sages maximes bien choisies de Volga, qui me donnent envie de rebondir ! Peut-être qu'à trop se regarder dans le miroir, le narcissisme de l'apparente vision de soi devient prévalent et le paraître prend le pas sur l'être, jusqu'à l'occulter, et quand l'être n'est plus, le paraître déçoit car il n'a plus ses fondements. Il y aussi le miroir des autres. Mais les autres sont si différents et ont une perception si différente de la beauté, de la laideur, du bien du mal, selon la mode, l'histoire,les canons de la beauté, les idéologies et cultes prévalants du moment, que l'image de soi ou d'un comportement ainsi renvoyée n'est jamais unanime, si tant est qu'elle soit crédible. Alors, ne pas se regarder, ou peu, juste pour se laver les dents, ou un coup de peigne, mais agir, et "bien" de préférence. Par nos pensées, et nos actes, le corps imprime l'émotion, devient ce que nous sommes au fond. C'est en magnifiant le fond, que nous magnifions la forme. Aussi, je ne crois à aucun miroir. Laideur et beauté sont relatives, et elles peuvent être conjoncturelles, et l'âge n'est pas un critère. On parle de beauté intérieure : si elle est présente, elle se perçoit et rayonne à l'extérieur. C'est un point de vue aussi non ? Corinne
  19. non pas pour me plaindre, ou me raconter moi, même si le faire explique l'histoire de mes petits amis, et je sens autant les joies que les chagrins des autres ici, mais pour dire : - combien j'aime mes petits amis et en partie pourquoi, et comment c'est hautement réciproque, - confirmer que les animaux vont bien au-delà de leur "utilité", et Ange-gardien est le bon terme pour Albanne, ma Mimi, mais aussi la magnifique Lucrèce, et tant d'autres, - combien je comprends et compatis aux hommages que j'ai lus hier, les sentiments forts des membres pour leurs petits amis, et pour les autres petits amis qui on besoin qu'on les aime et dont les membres du forum font un chaîne de solidarité pour cela, - combien vraiment j'apprécie les actions des membres du Forum (dont Cani-nursing avec Béa, à qui le mois prochain je ferai un petit don pour les soins de Pacha puisque j'ai téléchargé le RIB), - et de trouver ici aussi une concentration d'humanité avec un grand H cette fois, lorsqu'il s'agit de considérer l'animalité avec un grand A : et c'est cette idée qui me fait du bien et me rassure sur les gens. De mes anecdotes ce qui est à retenir, ce n'est pas ma petite personne, mais ces grandes âmes de chiens et de chats qui donnent tellement. Merci @ vous. Corinne
  20. Albanne7

    Pensée du mardi 8 février

    Paroles on ne peut plus sages, très beau Volga,bravo ! Encore ! Merci de faire partager cette lecture. Corinne
  21. Albanne7

    Chiens moins de 8 ans

    Magnifiques. Pas d'autre mot.
  22. Voici pourquoi mon choix délibéré s'est porté sur un Colley. Un Golden retriever aurait été encore trop "fou fou" à gérer à cette époque, malgré mon intérêt pour eux. J'ai ouvert le coffre de la voiture de l'éleveuse : Albanne pataugeait dans une grande poubelle pleine de vomis, pas super allure car elle n'avait pas supporté la voiture. Pétrifiée. Aujourd'hui, elle se fait une joie de sauter sur son coussin de ma banquette arrière... Elle m'a tout de suite envoyé de bonne ondes très puissantes, diffuses et bénéfiques, je ne m'y attendais pas du tout. La dame me dit alors : "Elle vous apportera un grand bonheur cette fille de Swetty et d'Omer". je lui ai répondu illico incrédule (je me suis dis qu'elle en faisait un peu trop, m'enfin...) "Sortez-là de la voiture". "C'est bon OK, je la prends : viens avec Maman, Albanne". J'avais choisi son nom en numérologie (Albanne = 7 lettres comme Corinne = 7 lettres) et en compatibilité avec mon propre prénom : 90 % de compatibilité, signe astro Scorpion (les plus psychologues du zodiaque, mais pas les plus faciles non plus, bon). Je voulais absolument une vraie histoire avec ce futur chien que je ne connaissais pas encore avec un grand H. J'en attendais tout. Aucun membre de mon entourage n'arrive à cette symbiose avec Albanne (au mieux 55 %). Bon j'y crois à ces trucs là, du moins j'y fais attention. Je ne me suis pas trompée. Albanne est allée au-delà de toutes mes espérances. Il me fallait un chien comme elle. Voilà pourquoi, malgré ma grande admiration pour les malinois, je n'en n'ai pas pris : il faut avoir l'emprise forte dessus et la manière. Mon grand-père, breton, homme de terre et de caractère, et résistant clandestin de la seconde guerre, avait une psychologie affutée, éprouvée, et cette capacité mentale incroyable au conditionnement et avait eu un malinois (entre autres). Sacré bonhomme. Quand j'avais environ 8 mois (ma mère a gardé les photos), je rempais dormir avec ma Vicky, un Berger Allemand acquise par mon grand-père pour ma naissance, dans sa niche. On me retrouvait souvent endormie avec elle dans sa niche. Il nous laissait, ayant toujours un oeil sur moi avec elle jusqu'à mes 4 ans. C'est ma première fusion profonde avec un animal. Elle a duré 11 ans. M'est resté en mémoire son doux regard ocre jaune bienveillant. Jusqu'à Albanne, je n'arrivais plus à me lier avec d'autres chiens, même si bien sûr je les aimais beaucoup et j'en étais responsable. J'adorais Vicky, et son départ m'avait longtemps meurtrie. Je ne me sentais pas recommencer le registre "bêtes à chagrin", en plus des registres "êtres à chagrin" : j'étais veuve depuis plusieurs années après le suicide ultra violent de mon compagnon, qui se sachant condamné, s'était "abrégé", puis mon père, puis mon grand-père en l'espace de deux ans. Puis ma fille, que j'adorais par-dessus tout, est partie, achevant définitivement la bête : encéphalogramme plat, game over. Au moment où j'ai pris Albanne, c'est elle qui a dû me porter pendant 4 ans. Une patience et un calme hors du commun. Une aptitude à deviner ce dont j'avais besoin tout de suite : le calme ou la distance, comme les câlins ou la présence. J'ai revu la lumière du jour grâce à elle, ne serait-ce que mettre au moins mettre le nez dehors pour qu'elle fasse ses besoins.Elle a été immédiatement ma seule infirmière efficace à 3 mois 1/2 seulement. J'ai retravaillé trois mois après son arrivée, après plus de 4 ans de convalescence. Je me savais foutue depuis 3 ans que je vivais en hermite sans jamais plus avoir envie de rien, ni sortir, ni voir personne, et personne, absolument personne, n'aurait pu rien faire, hormis Albanne que j'ai acceptée dans mon mutisme total. Avec les humains, les relations doivent être un échange : c'est le principe. Moi, ils me sortaient par les yeux ces années là, et je n'avais rien à donner, ni l'envie surtout, et je ne parlais plus du tout. Avec les animaux, ils savent et prennent "en l'état". Donc, 1000 %. d'accord : le Colley. D'ailleurs, je voulais inscrire Albanne comme visiteuse d'hôpitaux pour les enfants malades et d'EPAHD pour les personnes âgées. Je n'ai pas eu besoin de l'inscrire : Albanne et moi nous sommes très vite rendues à l'EPAHD régulièrement pour visiter ma grand-mère devenue très dépendante, et tous les résidents en ont bénéficié, j'ai partagé mon infirmière. Certains, sans famille et sans aucune visite depuis des lustres, attendaient Albanne le Dimanche après le déjeuner, comme un proche aurait pu l'être. Elle s'est toujours prêtée volontiers aux séances câlins du 3ème âge, les dimanche jusqu'au goûter de 16h00. Sa bonté est hors du commun. Phénoménale. Une chanson de Jean Ferrat (artiste préféré de notre famille) me touche beaucoup : "Tu verras, tu seras bien". Les paroles disent du chat qui s'agite ("on ne trompe pas son instinct") de sentir sa vieille Maman partir, et qu'on prévoit de placer chez les voisins, "qu'il oubliera très vite", pour la rassurer qu'elle sera bien, et de son serein qui chante à tue-tête qu'elle pourra prendre avec elle en "souvenir". Une chanson d'une grande réalité et malheureusement, vu la pyramide des âges en France, de l'avenir. "Tu verras, tu seras bien..." Ma grande inquiétude parfois : devoir continuer un jour sans elle et n'avoir en souvenir que son doux regard ocre jaune bienveillant à l'esprit, comme ma Vicky pendant 20 ans avant elle. Voilà. Donc le colley : c'est mon choix, et le meilleur pour moi et pour elle du coup aussi. Je vais rassurer tout le monde : aujourd'hui, soit cinq ans plus tard ensemble, tout va bien, malgré le back stage de la vie. J'avais seulement fait le pari de la dernière chance de me relever. Si je n'avais pas survécu, et je l'avais aussi envisagé lucidement, ma famille prenait le relais à 100 %. Bises. Corinne P.S. : on est d'affreux sentimentaux dans la famille je crois. Plus "à la mode" non plus, comme les Colleys.
  23. Ils sont beaux les Bergers Belges.... Ma préférence absolue va aux Tervueren, qui font donc bien partie des Bergers Belges. J'étais très attachée à un pendant des années. Et puis se sont des chiens supers intelligents, et le top en la matière : les Malinois. Bisous. Corinne
  24. car ils dégagent un fluide particulier qui m'est devenu indispensable et lorsque Volga retrace ses "batailles de peigne" avec sa minette Cassandra, je me dis qu'il y a de fortes similitudes avec le mien. Bouboune adore aller dehors, dans le parc, même sous la pluie. Il adore.. la douche... mais a une sainte horreur d'être démêlé (des locks apparaissent souvent). J'ai eu recourt une fois à la tonte sur les mêmes principe que Volga. Puis j'ai pris soin au moins de couper régulièrement les locks, tant pis en terme d'esthétique c'est pas le top, mais au moins j'évite absolument d'en arriver là. Contente d'identifier Bouboune comme un Persan "CHICHILA". D'ailleurs, ce mot me fait sourire quand je pense à sa dégaine. Un vrai Garfield "CHICHILA". Bien, tout le monde est présenté dans les règles de l'art. Vous voyez Bouboune allongé sur le dos dans un couloir ? C'est ça à longueur de journée maintenant. Et c'est devenu un amour de douceur. Ce qu'il aurait dû toujours être selon moi. Merci Eclipse de ton petit service, Volga et Lucrèce pour vos renseignements avisés. Corinne
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