florence12

C'est normal de s'inquiéter, mais à part une chirurgie, il n'y a pas de solution pour soigner une rupture de ligament, malheureusement...

Qu'entends-tu par tremblotte ? Il tremble de temps en temps, tout le temps ? Il en perd l'équilibre ou pas ?

Avez-vous une préférence ? Si oui, pourquoi ? Je vais vous résumer ma propre expérience à ce sujet. - Mon 1er chien était un caniche moyen mâle. Je l'ai eu quand j'avais 12 ans, j'ai adoré ce chien ! Il avait ses qualités et ses défauts comme tout chien, mais dans l'ensemble, je pourrais le qualifier de facile à vivre. Pas bagarreur, pas aboyeur, il levait bien sûr la patte en promenade, mais bon, ça ne m'a jamais embêtée plus que ça. - Ensuite, j'ai eu 3 femelles : Sara, ma type BA, "chien parfait" qui m'a fait penser et croire que je préférais les femelles aux mâles. Elle a tellement bon caractère ! Nul besoin de laisse avec elle, elle obéit au doigt et à l'œil, ne s'est jamais battue, n'a jamais fugué, cesse toute poursuite éventuelle de chat si on la rappelle, etc. Du coup, j'ai naïvement pensé qu'il en était ainsi pour toutes les femelles ! Mais Perle, femelle type york, s'est chargé de me démontrer le contraire ! En fait, j'ai réalisé grâce à elle que chaque chien a son caractère propre, qu'il soit mâle ou femelle. Puis est arrivée Topaze (je n'ai pas choisi son sexe, c'est une femelle parce que le destin en a décidé ainsi) qui a conforté les impressions laissées par Perle ! - Mais voilà que Brooklyn, parson mâle, a déboulé dans ma vie ! Au départ, je voulais une femelle : son éleveuse m'a plutôt conseillé un mâle, car d'après elle, 3 femelles ensemble, c'était risqué. Je l'ai écouté, et je ne regrette absolument pas ! Bien entendu, il lève la patte (même sur Ludi l'autre jour , alors que ce chien est propre depuis qu'il est arrivé à la maison....), mais à côté de ça, je trouve qu'il est extra. Il a beaucoup de caractère, mais n'est absolument pas méchant. Il est extrêmement affectueux. Et surtout, contrairement à TOUTES mes femelles, il est "franc". Je ne trouve pas d'autre mot pour expliquer ce trait de caractère... Il n'est pas sournois, filou, ou autre. Quand on s'accroche parfois tous les 2, une fois le problème réglé, c'est terminé, et sans rancune. Il montre sa satisfaction comme son mécontentement, mais au moins, avec lui, on sait à quoi s'en tenir. Et vraiment, j'adore ça. En conclusion, pour moi chaque chien est unique et a ses propres caractère et comportement, mais je crois qu'au final, je préfère avoir affaire à un mâle. Mais je sais que je pourrais encore changer d'avis !!

Oui.

C'est difficile de te répondre, tes messages sont confus et partent dans plusieurs directions.... Pourrais-tu essayer de nous raconter une "journée type" de tes chiens ? Du matin au soir, ce qu'ils font, ce que tu leur demandes, leur réaction à tes ordres, etc.... Ca permettrait peut-être de trouver ce qui ne va pas, et de te proposer des solutions. Ca ne coute rien d'essayer !

Je vais vous raconter une histoire..... Bobine - un petit bichon femelle - est inquiète. Sa propriétaire s'agite, cherche ses clés, enfile son manteau: elle se prépare à partir. Bobine la suit, d'une pièce à l'autre. Sa propriétaire se penche vers elle: "Bobine, sois bien sage. S'il te plaît, ne détruis rien aujourd'hui et n'aboie pas, je ne désire pas une nouvelle plainte des voisins." Après ces paroles qui se veulent rassurantes, madame la propriétaire lui donne un os et s'en va. Bobine laisse tomber l'os par terre, et explose en aboiements. Son cœur s'emballe, sa respiration est haletante. Sans réponse à son S.O.S., elle cherche ci et là l'odeur de sa maîtresse. Elle la retrouve sur le sol, sur des fauteuils, sur des vêtements, dans la corbeille à linge. Entre deux aboiements, elle lèche cette odeur, renverse le linge sale et le transporte à son panier. Là, elle se calme un instant en mâchonnant. Elle s'assoupit même, mais un bruit la réveille en sursaut et elle aboie. Ce manège se répétera plusieurs fois au cours de la journée. Les voisins, excédés, sont venus tambouriner sur la porte. Elle a vaillamment défendu l'appartement. Entre deux destructions vestimentaires, Bobine s'apaise en se léchant le pelage. Elle s'est fait une vilaine plaie sur le bras gauche et les pommades n'y font rien. A seize heures, l'horloge biologique de Bobine a réveillé ses angoisses. Le retour de maîtresse est imminent. Et l'appartement est sens dessus dessous. Anticipant une correction, verbale - Bobine n'est jamais frappée - et une colère retentissante, Bobine se tasse dans son panier. La clé tourne dans la serrure. Que faire? Accueillir avec joie, se cacher dans un coin sombre? Bobine utilise le répertoire des comportements de son espèce - elle va produire une posture d'apaisement: elle s'avance, la queue entre les pattes, et émet quelques gouttes d'urine et attend de sa maîtresse une attitude dominante et sereine. Mais sa posture, loin d'apaiser, active la colère: "je le savais. Qu'as-tu encore fait? On ne peut pas te faire confiance! De quoi es-tu encore coupable?" Bobine file dans son panier. L'invective se poursuit. Après une demi-heure, la sérénité est revenue. Bobine est sur les genoux de sa maîtresse et n'en décollera plus. Elle l'accompagnera partout, de la cuisine à la salle de bain, du salon à la chambre, sur le lit. Bobine, et des centaines, des milliers de chiens comme elle, vivent cet enfer tous les jours. On a étiqueté leur problème: anxiété de séparation . Récemment, on a aussi donné un autre petit nom à cette pathologie: hyperattachement . Car l'un ne va pas sans l'autre. Il y a deux formes d'hyperattachement. Le premier résulte d'un arrêt dans le processus normal du développement du chiot. Après une période d'attachement à la mère, le chiot subit un détachement obligatoire. Il en résulte une autonomie, la capacité de se gérer seul et un attachement au groupe. Lors d'adoption d'un chiot, ce processus doit être reproduit, au plus tard à la puberté. Si on laisse le chiot suivre sans arrêt un des propriétaires, il en résulte souvent un hyperattachement. Cela signifie que le chiot est incapable d'être autonome, qu'il reste infantilisé et généralement, il lui manque certains comportements du chien adulte. La résultante: à chaque séparation, il fait une crise d'anxiété. Cette forme d'hyperattachement est facilitée chez les chiens anxieux, notamment chez les chiots qui ont vécu une période de socialisation incorrecte. La seconde forme d'hyperattachement est une réponse à une modification de l'environnement: l'absence d'un être cher, un déménagement, le retour de vacances... Le chien souffre alors d'une dépression. Et pour vos chiens, ça se passe comment ?

Pour moi, la laisse est une sécurité... Selon l'endroit où on va, elle est indispensable ! Pourtant tous mes chiens ont un bon rappel.

J'ai testé le Plaque Off en poudre à mettre sur les croquettes, je ne suis franchement pas convaincue.

Très bonne nouvelle ! Amusez-vous bien tous les 2 dans la pratique de cette discipline inconnue ici !

Un rasoir jetable fera très bien l'affaire !

Dès qu'il y a des poils ! Autrement dit, tu peux commencer dès aujourd'hui. Il faut raser l'intérieur et l'extérieur sur au moins 1/3 de l'oreille.

Comme quoi, rien n'est perdu !

J'ai des copines qui sont passées au BARF, elles ont l'air contentes.... D'ailleurs, à les croire, avec le BARF, plus de problème de sur poids !

On pense à vous ! (Au fait, pourquoi ce post est dans "comportement" et non dans "santé" ? )

Magnifiques !!!!

Un vrai plaisir pour les yeux !!!!

Es-tu certaine de l'unité de mesure, Fleur ?

Qu'entends-tu par là s'il te plait ?

Plus simple à fabriquer : les "happy leggs". Ce sont 4 plots de bois, tout bêtement. Brooklyn sur ses happy leggs :

Roger, Rosy a été opérée pour sa luxation de la rotule.

Tu posais la question de l'agility : je connais des chiens de plus de 10 ans (13 ans pour un Pyrénées) qui pratiquent encore l'agility en concours... Personnellement, je laisse toujours mes chiens se détendre avant de travailler, et on fait un mini échauffement : marche rapide, course, petits pas, démarrages, jeux... sur petites distances. Ce n'est sans doute pas un échauffement digne de ce nom, mais c'est sans doute mieux que rien ! En hiver, je veille à ce qu'ils ne restent pas au froid, et je les chauffe un peu plus avant leur passage. En été, je les mouille pour les rafraîchir. Je pense que quand on travaille avec son chien, on y fait très attention, sans doute plus que quand on ne travaille pas avec lui. On fait contrôler certaines choses par le vétérinaire, on l'observe beaucoup, on donne une alimentation adaptée à son activité, on apprend à connaître son chien (par ex. on sait ce qu'il aime et ce qu'il n'aime pas, et on peut s'en servir comme motivation), etc. Mais ça n'engage que moi de penser ça, je suis certaine que vous êtes tous ici très attentifs au bien être de vos chiens. Mais est-ce le cas de monsieur et madame tout-le-monde ? A l'inverse, on trouvera des gens qui ne font que se "servir" de leur chien, et si ce dernier n'est pas assez performant, ils s'en sépareront... Mais c'est un autre débat.

Je suis bien contente d'avoir lancé ce sujet ! Il n'y a pas à dire, je préfère de loin les statiques naturelles !