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animo-aequoanimo

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Tout ce qui a été posté par animo-aequoanimo

  1. Exactement, Loulou, les mêmes expériences sont répétées maintes et maintes fois dans les centaines de laboratoires du monde entier alors qu'il existe pourtant des alternatives.
  2. En effet, et je doute fort qu'Alka Chandna ou qui que ce soit d'autre de Peta admette que l'on ait "encore besoin des animaux" pour certains tests ; "Animals are not ours to experiment on". Oui, je croirais plutôt qu'ils ont arrangé la phrase à leur convenance.
  3. Dès lundi, les restaurants McDonald's des États-Unis afficheront la valeur calorique de tous les aliments sur leurs menus. On n'en prévoit pas autant au Canada. Aux États-Unis, toutes les chaînes comptant au moins 20 restaurants auront bientôt l'obligation de révéler cette information. Devançant la réglementation fédérale américaine, McDonald's l'appliquera même au menu de son service au volant. McDonald's du Canada «souligne le leadership» de ses collègues américains, mais refuse de faire de même. La chaîne - qui compte 1440 restaurants au pays - a dit élaborer «une solution toute canadienne adéquate d'affichage des renseignements nutritionnels complets», dans un énoncé envoyé à La Presse, hier. Elle travaille avec le gouvernement, des ONG et l'industrie à trouver un mode d'affichage qui serait aussi adopté par ses concurrents. Il faut dire que McDonald's du Canada donne sur son site internet non seulement la teneur en calories de son menu, mais aussi les valeurs nutritives. On y apprend qu'un burger Angus avec bacon et fromage fournit 780 calories et... 102% du maximum quotidien recommandé de gras saturés et de gras trans. Santé Canada mise sur l'autodiscipline «Ce qui compte le plus, ce n'est pas la pseudo-transparence sur internet, mais la capacité pour le consommateur de prendre une décision rapide au moment de commander un menu, a répliqué Paul Boisvert, coordonnateur de la chaire de recherche sur l'obésité de l'Université Laval. L'affichage de calories est un premier pas qui n'est pas encore franchi au Canada.» Il serait surprenant qu'Ottawa force les chaînes canadiennes à se soumettre à cet affichage, selon M. Boisvert. «Santé Canada mise davantage sur l'autodiscipline de l'industrie», a-t-il expliqué. D'autant plus que l'efficacité de cette mesure est encore à prouver. À New York, ville où l'affichage est déjà obligatoire, le nombre de calories ingérées par repas a très légèrement baissé, passant de 846 à 828 calories entre 2007 et 2009, a rapporté M. Boisvert. Cette réduction a été plus marquée chez McDonald's (de 829 à 785 calories). Attablée devant une poutine au McDonald's de l'avenue du Mont-Royal, hier, Ouahiba Abdelkhalek s'est dite d'accord avec l'affichage des calories. «Si j'avais vu le nombre de calories de ma poutine, j'aurais changé d'idée, a assuré la jeune femme. Ça me fait penser aux photos sur les paquets de cigarettes, qui me découragent de fumer.» Assise un peu plus loin, Annick Beaudoin a jugé l'initiative «inutile». «Personne ne va chez McDo pour surveiller sa ligne», a-t-elle fait valoir. Des McCroquettes grillées ? Le gros avantage de l'affichage des calories est de pousser les restaurateurs à reformuler leurs plats, a souligné hier le Center for Science in the Public Interest, un groupe de pression américain. Justement, McDonald's a dit préparer un OEuf McMuffin fait de blancs d'oeufs, servis sur pain de blé entier. La chaîne cherche aussi une façon de faire griller ses McCroquettes au lieu de les frire - sans succès jusqu'à maintenant. Les ventes mondiales de McDonald's ont connu une hausse de 3,7% au mois d'août, un gain que la chaîne lie entre autres à sa commandite des Jeux de Londres.
  4. D'abord les cosmétiques. Puis les produits ménagers. Pour les médicaments, c'est plus compliqué. Mais peu à peu, les tests en éprouvette remplacent les animaux de laboratoire. Ce changement se fera-t-il au prix de la sécurité du public? Depuis 2009, les sociétés cosmétiques européennes ne peuvent plus faire de tests sur les animaux. Cette exigence sera bientôt imposée à leurs concurrents du monde entier. Le Royaume-Uni songe à étendre cette directive aux produits ménagers. Et en 2007, la prestigieuse Académie américaine des sciences a annoncé qu'au XXIe siècle, les laboratoires apprendront à se passer des animaux. «Les animaux sont toujours nécessaires, mais on en utilise de moins en moins pour chaque test», explique Thomas Hartung, directeur du Centre pour les solutions de rechange aux tests sur les animaux de l'Université Johns Hopkins, à Baltimore. «Pour les tests de toxicité aiguë LD50, dans lesquels la moitié des rats meurt, on utilise 12 rats pour chaque substance, contre 150 dans les années 70 et 80. C'est une diminution de 90%.» Clément Gauthier, directeur du Conseil canadien de protection des animaux, qui encadre l'utilisation des animaux de laboratoire, souligne que le nombre de cobayes est resté stable, à 2,5 millions par année, depuis 25 ans, malgré le triplement du financement de la recherche. «Le Canada a été un pionnier dans le domaine, assure M. Gauthier. Notre conseil est la société mère du Conseil international pour la science des animaux de laboratoire depuis 12 ans. Nous avons été le premier pays en 1998 à avoir une ligne directrice sur les points limites, qui exige que les chercheurs déterminent un point où ils arrêteront leur expérimentation pour éviter d'utiliser inutilement des animaux. Nous avons aussi été les premiers à avoir une ligne directrice sur les expériences utilisant les animaux sauvages.» Bon an, mal an, un peu plus de deux millions d'animaux sont utilisés en recherche au Canada (en 2009, il y a eu un pic dépassant les 3,3 millions d'animaux). Les activités d'enseignement et les tests exigés par les organismes réglementaires ajoutent quelques centaines de milliers d'animaux. Près des deux tiers des animaux sont des souris et des poissons. «Il y a eu une diminution très rapide après le milieu des années 70, explique M. Gauthier. Mais à cause des lois sur la protection de l'environnement dans les années 90 et surtout la recherche en génétique, avec des souris génétiquement modifiées pour refléter des maladies humaines, le nombre de recherches a beaucoup augmenté. Chacune nécessite moins d'animaux, par contre.» Par exemple, les écoles de médecine n'utilisent presque plus d'animaux, mais plutôt des cadavres perfusés ou des mannequins. «Seules les spécialités chirurgicales très pointues utilisent encore des animaux», dit M. Gauthier. Et les recherches continuent pour trouver une manière de minimiser les souffrances des animaux. M. Gauthier cite un chercheur de McGill qui a trouvé une manière de mesurer la souffrance des souris à partir de leur expression faciale, une technique qui pourrait éviter de devoir attendre des séquelles physiologiques détectables seulement à la dissection. «Et on fait beaucoup de prétamisage sans animaux.» Le problème, c'est que les sociétés de recherche et les agences gouvernementales ne se parlent pas suffisamment, selon M. Gauthier. «Nous aidons beaucoup d'entreprises à avoir des informations de Santé Canada, dont le premier but est de protéger le public et qui ne diffuse pas toujours assez largement le fait qu'elle accepte des tests qui ne sont pas menés sur des animaux. Il y a beaucoup de travail à faire pour établir clairement quels tests sans animaux sont acceptés et ce qu'ils peuvent couvrir.» Toujours un besoin Il reste que les tests sans animaux - essentiellement sur des bouillons de cellules humaines - ne sont pas encore capables de remplacer les tests faits sur les animaux, dit Thomas Hartung, de l'Université Johns Hopkins. «La reproduction et la grossesse avant la naissance ainsi que les premiers temps du développement du bébé sont des domaines difficiles à évaluer avec des bouillons de cellules humaines.» Même le très militant People for the Ethical Treatment of Animals (PETA), bien connu pour ses campagnes contre la chasse aux phoques et la fourrure, admet que la recherche pharmaceutique a encore besoin des animaux. **** «Pour la phototoxicité et la toxicité reproductive, les tests sur des cellules humaines sont longs et chers, indique Alka Chandna, responsable de la surveillance chez PETA à Washington. Dans le secteur cosmétique, on peut se passer des animaux. Dans le pharmaceutique, c'est beaucoup plus difficile. Mais les sociétés y trouveront leur compte. Quand on a un échec avec des essais sur des animaux, il n'y a rien dans les résultats qui peut aider à interpréter la raison de l'échec. Avec des cellules humaines, ont peut avoir des détails sur les mécanismes de toxicité, par exemple. Ça peut permettre à la société de réutiliser une partie des travaux.» L'Europe et l'Amérique du Nord ont deux approches différentes. «L'Europe adopte des lois pour forcer un changement», dit M. Hartung, qui dirigeait auparavant un centre de la Commission européenne similaire au Centre pour les solutions de rechange aux tests sur les animaux de l'Université Johns Hopkins. «Une loi interdit depuis 2009 aux sociétés cosmétiques d'utiliser des animaux et elle sera étendue aux entreprises étrangères en 2013. On réfléchit à une loi similaire pour les produits ménagers au Royaume-Uni. Mais en Amérique du Nord, il y a beaucoup plus de recherches sur les méthodes alternatives aux animaux de laboratoire.» Une loi européenne qui impose de nouveaux tests sur 50 000 produits chimiques, le programme Reach, illustre le dilemme devant lequel se trouvent les autorités. «Il faudra beaucoup, beaucoup d'animaux de laboratoire pour augmenter le niveau de sûreté, dit M. Hartung. Ça va à l'encontre des efforts pour en utiliser moins. Au Canada, l'approche est plus mesurée. Il y a un programme similaire, mais il est limité à 14 000 substances.» (**** ??? Si cette conclusion est tirée de la phrase suivante, ce n'est pas tout à fait ce que dit Peta)
  5. La population du caribou forestier est en chute libre et la seule façon de lui permettre de se rétablir est de cesser immédiatement les coupes forestières et de mettre un terme au prolongement de la route 167 qui doit ouvrir la voie au Plan Nord.
  6. De Kamouraska à Matane, sur plus de 200 kilomètres, les riverains ont retrouvé 15 carcasses de bébés bélugas aussi appelé veaux. C'est cinq fois plus qu'en temps normal. Selon les premières analyses, ils seraient morts parce qu'ils ont été séparés de leur mère. Les chercheurs pensent avoir trouvé le coupable: une algue toxique, comme celle qui a fait tant de ravages en 2008. « C'est une neuro-toxine, donc si les mères sont neurologiquement affectées, on peut penser que ça a augmenté les chances que les veaux deviennent orphelins. Soit parce que la mère est morte ou qu'elle ne s'occupe plus de son veau car elle est malade », explique le professeur de la Faculté de médecine vétérinaire de l'Université de Montréal, Stéphane Lair. Les scientifiques ont remarqué que les femelles bélugas meurent de plus en plus après avoir mis bas. Une situation inquiétante, puisque l'espèce est en voie de disparition dans le fleuve Saint-Laurent. « Le problème avec ce genre de situation c'est que bien souvent la cause qui a donné le résultat a disparu. » — Jean-Claude Brête, Professeur-chercheur à l'Institut des sciences de la mer de Rimouski. Le professeur Jean-Claude Brêthes Le professeur Jean-Claude Brêthes est un grand spécialiste des espèces aquatiques du Saint-Laurent. Il croit qu'il y a un lien à établir entre la mort des bélugas et celle de milliers de petits poissons. « En plus, quand l'eau se réchauffe, il y a moins d'oxygène, donc on peut avoir un phénomène de température et de baisse d'oxygène », a fait valoir Jean-Claude Brêthes. Augmentation de la température de l'eau Cette augmentation de la température de l'eau serait aussi responsable de la mort de plusieurs fous de Bassan dernièrement. Les poissons dont ils se nourrissent se tiennent plus en profondeur pour éviter la chaleur. Ils sont donc moins accessibles aux oiseaux marins. Des observations très inquiétantes, et d'une complexité assez étonnante. Les signaux sont suffisamment spectaculaires pour lancer une véritable enquête, estiment plusieurs chercheurs. Le laboratoire de toxicologie chimique de l'Institut Maurice-Lamontage va poursuivre ses analyses sur les bélugas morts. C'est d'ailleurs ce même laboratoire que le gouvernement Harper a décidé de fermer d'ici 2014.
  7. Anima-Québec a saisi 47 chiens de race Husky et quatre chats. L'identité et le lieu de résidence du propriétaire demeurent inconnus, en raison d'une enquête menée par Anima-Québec. Le personnel d'une SPCA de la région de Montréal et des vétérinaires prodiguent des soins d'urgence à ces animaux qui souffrent de malnutrition aigüe. Les inspecteurs ont constaté que les animaux n'avaient pas accès à de l'eau potable ou à de la nourriture en quantité suffisante. Les bêtes pourront être adoptées dès que leur état de santé sera stable. « Par la loi, dans un dossier comme ça, les animaux saisis ne nous appartiennent pas. Cette fois-ci, le contrevenant nous a cédé les animaux. Ça facilite un peu le travail pour les animaux après. Ces animaux là vont recevoir les soins nécessaires. Et après ça, ils seront mis en adoption probablement dans les SPCA du Québec », explique l'administratrice chez Anima-Québec, Corinne Gonzalez. L'opération s'est déroulée en collaboration avec le ministère de l'Agriculture, les Pêcheries et l'Alimentation du Québec, la Société protectrice des animaux de Drummond et la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux de Laurentide-Labelle.
  8. J'espère qu'ils sont à la recherche de quelque chose pour enrayer ce champignon.
  9. Hélas non ! Car, même si c'est un indice de la volonté de la majorité, il faut mettre en branle bien de la machinerie pour enfin faire pencher l'Etat du bon côté.
  10. Oui, c'est terrible un tel trafic et que la Thaïlande ait cette réputation. Il faudrait plus de surveillance car il y en a qui sont plus habiles que ces trafiquants pas trop brillants qui ont caché des animaux dans leurs sous-vêtements. On peut dire qu'ils ont été pris par leur stupidité et c'est bien fait pour eux !
  11. Une grande majorité pour l'interdiction ! Il serait temps qu'on écoute ces gens ! Oui 64.41% Non 29.59% Sans opinion 6%
  12. Quels arriérés ! C'estbien évident que les mentalités ne peuvent pas changer quand on les entretient dans leur inconscience.
  13. Depuis plusieurs années, les chauve-souris d’Amérique du Nord sont victimes d’une étrange maladie, le «syndrome du nez blanc». Affligées de taches blanches sur leur museau et sur leurs ailes, et présentant une maigreur extrême, elles adoptent des comportements qui les condamnent à une mort certaine. Elles quittent notamment leur site d’hibernation, en plein hiver, pour aller voler à l’extérieur. Cette maladie, causée par le champignon Geomyces destructans, décime les colonies de chauve-souris d’Amérique du Nord, mais pas celles d’Europe qui semblent immunisées contre le pathogène. Une étude publiée récemment dans PNAS par l’équipe de Craig Willis, du département de biologie de l’université de Winnipeg, tendrait à prouver que le champignon serait venu d’Europe, apporté par un touriste visitant la grotte de Howe, dans l’État de New York, en 2006. Ce sont près de 17 millions de ces mammifères volants qui auraient succombé, dans 16 États et 4 provinces canadiennes, dont l’Ontario et le Québec. La petite chauve-souris brune, l’espèce la plus commune, risque de s’éteindre complètement d’ici une quinzaine d’années, selon les spécialistes.
  14. Les douanes indiennes ont procédé à la saisie à l'aéroport de New Delhi d'un lémurien et dix tortues dissimulés dans les slips de trafiquants qui tentaient de les passer en contrebande. Un homme en provenance de Bangkok a été arrêté avec deux complices alors qu'il s'apprêtait à prendre un avion pour Dubai en embarquant un passager clandestin dans ses sous-vêtements, un loris, petit lémurien d'Asie. Un autre loris a été retrouvé dans une poubelle de l'aéroport international Indira Gandhi. "Ils l'ont abandonné parce qu'ils ne pouvaient pas le transporter", a expliqué un responsable des services de sécurité à l'agence de presse Press Trust of India. Les passagers, Hamad Al-Dhaheri, Mohammed Al-Shamsi et Rashid Al-Shamsi, ont été remis au Département des douanes et de la vie sauvage pour interrogatoire. Récemment, un homme de nationalité indienne en provenance de Bangkok avait été interpellé dans un aéroport de Bombay, la capitale financière indienne, avec 10 tortues cachées dans son caleçon. Les douanes avaient également saisi à cette occasion six chats persans, trois tarentules et 11 oeufs d'oiseaux. La Thaïlande est considérée comme une plaque tournante du trafic des espèces protégées en Asie. Certains grands marchés de Bangkok, notamment, sont réputés pour pouvoir fournir n'importe quel animal pourvu que l'acheteur puisse payer.
  15. ..La police thaïlandaise a découvert six tigres en mauvaise santé dans des cages entreposées sur le toit d'un immeuble dans une zone industrielle au nord de Bangkok, a-t-elle annoncé lundi. Les quatre adultes et deux bébés ont été découverts lors d'un raid de la police dans la province de Pathumthani. Un homme de 28 ans, qui a indiqué en être le propriétaire, a assuré vouloir ouvrir un zoo, selon le capitaine Montri Neepasee. Le propriétaire de l'immeuble, un cousin du suspect, a affirmé n'avoir jamais été informé de la présence des tigres. Quant aux autres occupants de l'immeuble, ils n'y ont prêté aucune attention. "Les locataires sont essentiellement des ouvriers et ils ne semblent pas s'intéresser aux problèmes environnementaux", a-t-il expliqué. Selon un autre officier, le suspect va être poursuivi pour possession d'espèce protégée, une infraction passible de 4 ans de prison. Les tigres, mal nourris, étaient selon lui vraisemblablement destinés au marché vietnamien, friand de "leur viande et de leur peau". La Thaïlande, qui est considérée comme une plaque tournante du trafic des espèces protégées en Asie, est l'un des treize pays où vivent encore des tigres à l'état sauvage. En février, la police avait démantelé un abattoir en plein Bangkok suite à la découverte de quatre hommes en train de découper un tigre dans une résidence de la capitale.
  16. "Vivre avec les bêtes", de Elisabeth de Fontenay et Allain Bougrain-Dubourg, sera consacrée à ce qui peut-être constituera la grande histoire politique et morale du siècle : le mouvement pour l'abolition de la viande. dimanche, 9 septembre, de 15h à 16h http://www.franceinter.fr/emission-vivre-avec-les-betes-vivre-avec-les-betes-16
  17. Sondage et débat http://www.newsring.fr/societe/494-faut-il-arreter-de-manger-de-la-viande/reperes
  18. Oui et j'espère que cet organisme de surveillance pourra se rendre compte des problèmes de peau certainement visibles de ces animaux ou encore que d'autres employés le dénonceront.
  19. Débile ! De vrais paranoïaques.
  20. Le très populaire parc animalier Marineland de Niagara Falls se défend de maltraiter ses animaux, contrairement à ce que laissent entendre nombre d'anciens employés. Radio-Canada a interviewé l'un de ces employés, à la suite d'une enquête du Toronto Star, soit l'entraîneur animalier Phil Demers, qui a démissionné de son poste le printemps dernier après 12 ans à l'emploi de Marineland. M. Demers fait état de problèmes récurrents relativement au système de filtration des différents bassins d'eau du parc d'attractions. Résultat : des morses et des dauphins qui, selon lui, perdaient des morceaux de peau, en plus de souffrir de problèmes visuels ou de devenir carrément aveugles. M. Demers a demandé à ses employeurs de faire quelque chose mais que rien ne résultatit de ses demandes. M. Demers dit avoir brisé le silence, pour protéger ces animaux. Le propriétaire du site, dont le slogan est « tout le monde aime Marineland », rejette ces allégations. John Holer affirme qu'il n'a rien à se reprocher et que ses installations ont été inspectées par l'Association des zoos et aquariums du Canada. L'organisme, qui peut révoquer l'accréditation d'une institution lorsqu'il y a des plaintes, n'a pas précisé s'il enquêtera sur Marineland. M. Demers, lui, ne se dit pas surpris de la réaction du propriétaire du parc « qui préférerait imaginer qu'il n'y a pas de problème. »
  21. Colette n’oubliera jamais ce chien qui l’a sauvée voilà quelques jours. Cette femme de 85 ans a été secourue grâce à lui, alors qu’elle était tombée dans sa cave et ne parvenait plus à se relever, ni même à bouger. Dimanche 5 août, dans la petite commune de Buzançais, dans l’Indre. Colette est descendue dans sa cave pour y chercher quelque choseet et a glissé, et est tombée, et s’est trouvée dans l’incapacité de se relever. La vieille dame ne pouvait plus bouger. Elle a appelé à l’aide, crié pendant un long moment. Mais c’est seulement après une heure d’attente et d’angoisse qu’elle a enfin entendu quelqu’un arriver. Une femme promenait ses deux chiens devant la maison de Colette. Soudainement, l’un d’eux s’est arrêté devant le portail, et refusant de continuer la balade, a fini par convaincre sa maîtresse de s’approcher à son tour de la maison. Elle a alors entendu les cris, et a alerté le voisin qui a une clé de chez Colette. Les secours ont été alertés et sont rapidement arrivés, pour constater que Colette était blessée. Elle s’est en effet fracturé le col du fémur. Ils l’ont alors transportée à l'hôpital de Châteauroux où elle a été opérée le lendemain. Aujourd’hui toujours en convalescence, Colette n’en revient toujours pas. La façon dont le chien s’est comporté l’a beaucoup émue. « Ce chien m'a sauvée. Quand il m'a vu par terre, il est venu me couvrir de léchouilles, alors que je ne le connaissais pas. C'est fou cet instinct qu'ont les bêtes » s’émerveille-t-elle.
  22. Bon début ! Espérons que les antitaurins basques gagneront la partie complète !
  23. Je suppose que cette "assistance" facilitera le travail mais il restera les chaleurs en espérant que ces chevaux ne seront pas trop victimes de l'exploitation puisque le but supposé est aussi de protéger cette race.
  24. http://www.gentside.com/insolite/la-photo-d-039-un-chien-et-de-son-ma-tre-emeut-internet_art43714.html
  25. Les lions sud-africains étaient déjà appréciés des chasseurs pour les trophées. Ils sont maintenant recherchés pour leurs os, expédiés en grandes quantités vers l'Asie où ils sont utilisés par la médecine traditionnelle, ce qui fait craindre une flambée du braconnage. La chasse au lion est légale en Afrique du Sud, où quelque 500 individus sont abattus tous les ans. La quasi totalité d'entre eux viennent d'élevages commerciaux qui fournissent aussi en fauves les zoos du monde entier. Les chasseurs payaient jusqu'à présent uniquement pour les trophées --plus de 20. 000 dollars pour tuer un lion mâle--, les animaux étant naturalisés pour finir dans leur salle à manger. La carcasse était ensuite jetée aux chiens, jusqu'à ce que l'Asie s'intéresse aux os. Ceux-ci sont très officiellement exportés en quantités croissantes depuis 2008, vers le Vietnam et le Laos en particulier. Les os, broyés, servent de substitution pour faire des philtres d'amour ou du "vin de tigre", maintenant que les tigres asiatiques ont quasiment disparu. Et les prix montent, une carcasse valant désormais 10. 000 dollars. "Soudainement, et très récemment, un grand nombre de Laotiens se sont découverts un grand intérêt pour la chasse au trophée", ironise Pieter Kat, administrateur de l'ONG LionAid. "Et ce n'était jamais arrivé dans toute l'histoire du Laos!", ajoute-t-il , notant que ces nouveaux clients préfèrent abattre des femelles, dont la chasse est bien moins chère (4. 000 dollars environ). La plupart des chasseurs jurent qu'ils ne s'intéressent qu'aux trophées, ce qui permet aux opérateurs de safaris et aux éleveurs de lions d'écouler les os, en toute légalité. "Ce commerce est surveillé très, très étroitement par des fonctionnaires de la province. (. . . ) Ils ne laissent pas partir les os tant qu'ils ne sont pas sûrs qu'ils viennent d'un lion chassé légalement ou que le lion est mort de mort naturelle", insiste Pieter Potgieter, président de l'association sud-africaine des éleveurs de prédateurs. Mais "les lions sont maintenant spécialement élevés en captivité afin d'être +prélevés+ pour leurs os", pointe Paul Hart, qui gère un refuge dans la région du Cap. Des défenseurs des animaux estiment que quelques lions sont abattus en douce. L'arrestation à l'aéroport de Johannesburg de trafiquants tentant d'exporter illégalement des os tendrait à leur donner raison. D'autant que de nombreux éleveurs restent bien vagues quand on leur demande combien ils ont de fauves. Il y aurait 5. 000 lions en captivité en Afrique du Sud. Et les 3. 000 lions vivant encore en liberté dans les parcs et réserves du pays sont potentiellement menacés. D'autant que les os de lions sauvages seraient plus recherchés en Asie. "Ce n'est qu'une question de temps avant que les braconniers s'intéressent à ce marché", prévoit Chris Mercer, qui dirige une campagne contre la chasse aux lions. "Pourquoi acheter cher une carcasse auprès d'un éleveur si on peut la braconner et l'avoir pour presque rien?" Et de faire la comparaison avec les rhinocéros, abattus par centaines pour leurs cornes qui sont expédiées vers les mêmes marchés asiatiques. Le représentant des éleveurs Pieter Potgieter n'en croit rien: "Si les os de lions sont disponibles légalement sur le marché, pourquoi prendre le risque de braconner, sans parler des coûts associés?" "Les élevages sud-africains peuvent répondre à la demande, et nous pouvons contribuer au sauvetage non seulement des tigres asiatiques mais aussi des lions sud-africains", souligne-t-il. Alors que le gouvernement sud-africain brille par son silence, les avis sont partagés: faut-il alimenter un marché légal et régulé avec des carcasses de lions élevés dans des fermes, ou interdire le commerce des os, au risque d'encourager le braconnage? Une pétition en ligne demandant au président Jacob Zuma de mettre fin à l'exportation des os des lions de son pays a recueilli près de 700. 000 signatures dans le monde.
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