animo-aequoanimo

Des chercheurs chinois ont créé une gélatine à partir d’ADN humain! Les scientifiques de l’Université de Beijing of Chemical Technology ont étudié les gènes de collagène humain et ils en ont injecté dans de la levure, qui à son tour a créé de la gélatine... Par ricochet à leurs expériences, les chercheurs ont aussi créé une gélatine humaine qui est plus stable, plus consistante et, finalement, de meilleure qualité que la gélatine animale qu’on retrouve dans nos produits alimentaires. Les Jell-O de l’avenir n’en seront que meilleurs! Sérieusement, ces études surprenantes sont loin d’être superflues car la gélatine est produite à partir d’un collagène transformé, issu d’os et de peau de cochon et de bétail. L’encéphalopathie spongiforme bovine, la maladie de la vache folle… c’est pour éviter ce type de problème (même si les risques sont minimes) que les scientifiques veulent remplacer la gélatine animale. Le substitut dérivé de l’humain – qui se veut meilleur pour la santé et plus sécuritaire – préviendrait des maladies liées au système immunitaire pouvant être provoquées par la gélatine telle qu'on la connaît. Si les tests dans l’industrie pharmaceutique s’avèrent concluants, il se pourrait bien que dans le futur nos guimauves et nos confiseries comme les oursons en gelée de notre enfance, mais aussi la margarine, les yogourts, les puddings, la crème glacée, et j’en passe, contiendront de la gélatine dérivée de l’être humain. Mais la question est: en mangerez-vous?

Petite recherche rapide effectué et il est aussi vegan ! :-)

Ah ! Bien c'est super ! Cela fera une excellente référence ! En plus, elle est éblouissante dans sa belle robe rouge avec ses chaussures et son sac noirs Je ne la connaissais ni elle ni son conjoint mentionné dans cet article, David Hornsby, mais il est à supposer qu'il est aussi vegan.

Oui, c'est plus encourageant.

C'est sûr que la corrida ne l'affecte pas malgré qu'il se dit contre.

Oui ! Les E-U et l'U.E ! Le Canada n'aura pas le choix que de suivre

Exactement ! Cela devrait absolument être interdit !

Il est fort, il n'y a pas à dire !

Bravo !

En tous cas, j'espère bien que les organisateurs de salon ont le droit d'interdire ce qui ne convient pas à la philosophie de leur salon.

Ayoye !

Des dizaines de milliers d'abeilles emménagent vendredi dans le centre-ville de Montréal. Un apiculteur installe les premières ruches en ville. Deux ruches seront aménagées au coin des rues des Pins et du Parc. L'élevage représente 100 000 abeilles. D'autres demandes sont sur la table pour installer des ruches au centre-ville de Montréal. Des abeilles ont déjà élu domicile sur le toit du Château Frontenac, à Québec, et sur celui de l'hôtel Royal York, à Toronto. Le nouveau projet montréalais est chapeauté par l'Union paysanne dont le président, Benoît Girouard, est lui-même apiculteur. « Pour l'instant, on veut se concentrer sur ce projet-là, s'assurer qu'il se passe très bien, que tout soit bien encadré, aussi voir comment le milieu floral montréalais va réagir », a indiqué M. Girouard. Les abeilles ont tendance à apprécier un milieu urbain bien fleuri et sans herbicides. Dans les campagnes, leur nombre est en diminution à cause des produits chimiques. L'Union paysanne tient à rassurer la population. Les abeilles ne sautent pas sur tout ce qui goûte le sucre comme le font les guêpes. La Ville de Montréal, qui interdit les poules, est favorable à l'arrivée des abeilles. (Il me semblait que cela avait été accepté et que ça avait commencé dans le quartier Rosemont ?) Le conseiller d'arrondissement du Plateau Mont-Royal, Richard Ryan, hésite à réglementer. « On ne sait pas, on se pose la question. Parce que c'est déjà réglementé au niveau provincial, est-ce qu'on doit rajouter une réglementation de plus? Tant et aussi longtemps qu'ils gèrent ça correctement et qu'ils respectent la réglementation provinciale... », a déclaré M. Ryan. Pour le moment, il est interdit de placer une ruche à moins de 15 mètres de la voie publique et d'une habitation. Mais les abeilles, elles, ont l'habitude de se déplacer jusqu'à trois kilomètres de leur ruche.

J'ai très hâte que les gens qui reconnaissent la maltraitance envers les animaux de boucherie reconnaissent aussi que c'est de la maltraitance que de les tuer pour s'en nourrir.

Ça me semble un livre intéressant !

Quelle belle lettre émouvante et bien rédigée.

Elle a au moins reçu ce bon commentaire : "Il manque quelques détails dans votre euphorique texte pro-poules. Les poules ne mangent pas que des restants de table (en particulier l’hiver) Il manque aussi le chaînon manquant à toute cette exploitation: qu’advientra-t-il des poules l’automne venue, elles finiront à la casserole? Elles seront abattus comment? Il y a des centaines de producteurs d’oeufs biologiques au Québec, pourquoi ne pas les encourager eux, au lieu d’introduire des poules dans une ville? Les poules mal-aimées vont-elles finir au Berger Blanc? Même en magasin, les oeufs ne coûtent pas chers. Alors que garder une poule, la nourrir, lui faire un abri pour la protéger des prédateurs, va revenir assez cher de l’oeuf. Avec cette décision, la Ville est…un vraie poule pas de tête."

Loblaw, the largest grocer in Canada, for its commitment to transition all President’s Choice eggs to cagefree by the end of 2011. The retailer published their cage-free commitment in their annual Corporate Social Responsibility report, released at the annual shareholders’ meeting held in Toronto. CCFA has been actively encouraging action on cage-free eggs through participation at the grocer’s annual shareholders’ meetings. In March, CCFA was invited to Loblaw’s corporate headquarters to discuss cage-free eggs. Loblaw is a recognized leader in green products, organic products, and sustainable and fair trade sourcing. When Canada’s largest grocer makes a progressive move on behalf of farm animal welfare, other grocers are sure to follow. Letting grocers know your feelings on farm animal welfare does make a difference! To support the campaign, TV ads are running in Manitoba which urge viewers to take action by writing to Manitoba Pork, grocers and pork producing companies. To view our ad, visit http//www.youtube.com/watch?v=SmlySCDc9Wo. Please help support this important campaign by making a donation to run the ad. Please specify in the comment box the funds are for air time for the sow stall ad. Donations can be made here: http//www.humanefood.ca/donation_new.html Ban Sow Stalls in Manitoba launched on Mother’s Day

Merci beaucoup, Animal. Je viens de faire parvenir le mail. C'est vite fait. SVP, tous, faites-en autant. Ça prend 30 secondes. Merci pour les pauvres animaux de ferme sans défense.

Voyons Donc ! Où est-ce qu'ils ont été pêché qu'ils pouvaient savoir hors de tout doute que l'animal ne souffrirait pas !

Super ! .. en autant qu'il n'y en ait pas trop qui s'objectent

La période des déménagements et les vacances estivales entraînent une augmentation du nombre d'animaux abandonnés dans les refuges. Helen Lacroix, la présidente d'Animatch, un refuge de l'ouest de Montréal, affirme qu'elle doit refuser de quatre à cinq animaux chaque jour ces temps-ci. Selon elle, la situation est pire cette année puisque de nombreux propriétaires d'animaux se tournent vers les refuges depuis la diffusion du reportage de l'émission Enquête sur les pratiques de la fourrière Le Berger blanc. « On essaie de garder de 12 à 15 chiens à la fois. Là, on en a plus que 18. Il faut souvent dire non », soutient Mme Lacroix. Natacha Rouisse, qui est technicienne en santé animale dans une clinique vétérinaire de Le Gardeur, une municipalité desservie par Le Berger blanc, fait le même constat. « Les gens ont beaucoup réagi, explique-t-elle. Ils ne veulent plus aller porter leurs animaux là-bas. C'est compréhensible. Cette année, on n'a jamais vu autant de chatons. C'est le triple des autres années, même si ce n'est pas plus. » Le vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal, Richard Deschamps, demande aux propriétaires d'animaux d'agir de façon responsable. « Nous faisons appel au civisme et à la bonne volonté des Montréalais qui ont présentement des animaux de compagnie. » M. Deschamps assure par ailleurs que Le Berger blanc est suivi de près. « Je peux vous dire que Le Berger blanc n'a jamais été autant surveillé et qu'il devrait donner la prestation de services à laquelle nous avons droit », soutient-il. La solution pour diminuer les abandons d'animaux pourrait passer par des amendes, mais la Ville de Montréal n'envisage pas de recourir à cette mesure pour le moment.

Pauvres poulets ! Il aurait pu leur ouvrir ! Qu'est-ce qu'il risquait ! Et ça ne lui a pas suffit pour apporter des améliorations !

Ils vont sans doute les confier à des Spa ou des refuges pour les mettre en adoption (?)