animo-aequoanimo
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L'année du chien
animo-aequoanimo a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans Forum Administratif
J'ai demandé à Odette de me procurer l'email de cette fille. C'est sur yahoo mais je ne sais pas si c'est .ca, .fr ou .com... J'espère qu'elle n'aura pas dumper l'email original, sinon, je peux essayer avec .ca; je lui enverrai un email pour l'informer de notre organisme; j'en enverrai un aussi à celle qui a écrit à Franck Michel au sujet du foie gras. -
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Pour info: Odette (Terrienne) m'a fait suivre ce message provenant d'une liste. Bonjour je voudrais que vous m'aidiez à envoyer un mot au journal de > Montréal à propos d'une annonce sur la chine qui as été écrit le jeudi > le 26 janvier 2006 à la page 33. Le titre sur le sujet est (L'année du > chien et du feu) c'est propos du meilleur ami de l'homme (le > chien),nous savons tous que les chiens et tout autres animaux en chine > qui sont traités avec aucun respect mais le journal de Montréal ne > semble pas être informer, alors je vous donne un adresse courrier pour > dire à ce journal tout ce que vous savez sur le moindre détail à > propos du traitement de nos amis les animaux .J'espère que vous aller > être nombreux à dire vos mécontentement à propos de ce Pays pour que nous puissions être nombreux à dénoncer cette cruauté envers ces êtres qui demandes juste à êtres sauver .Merci au Noms de tout les animaux. > P.S accompagner-moi dans cette démarche .Voici > l'adresse:ndumas@journalmtl .P.S si vous trouvé une adresse meilleur > que la mienne j'aimerais l'avoir .Merci encore .Linda _______________________________________________ J'ai retracé la nouvelle: http://www2.canoe.com/infos/international/archives/2006/01/20060125-140019.html Asie Le Nouvel An chinois sous le signe du Chien Associated Press (AP) Sylvia Hui 25/01/2006 14h00 - Mise à jour 25/01/2006 14h14 La danse traditionnelle du dragon, dans le cadre de la venue du nouvel an AP Un cinquième de l'humanité entre dimanche dans l'Année du chien. En Chine, et dans toutes les communautés de la diaspora, l'année 2006 sera donc placée sous le signe du «meilleur ami de l'homme», même si les astrologues de tout poil n'y voient pas forcément un bon augure. Si les Chinois préparent activement leur fête du Nouvel An en achetant des nouveaux vêtements et en courant les marchés à la recherche de mets et de décorations, les diseurs de bonne fortune en profitent pour déverser leurs torrents de prédictions. Le Coq est mort, vive le Chien! Ou plutôt le Chien de Feu, car l'année 2006 est non seulement placée sous le signe de cet animal symbolique, mais aussi de l'élément cosmogonique du Feu. Et ce mélange détonant, semble-t-il, ne nous réserve pas que du bon: davantage d'épidémies, davantage d'attentats et aggravation de certaines tensions régionales... «Globalement, ça n'a pas l'air bien. Ce sera aussi mauvais» que l'Année du coq en 2005, déclare avec assurance l'un de ces oiseaux de mauvais augure, Alion Yeo, installé à Hong Kong. «L'Année du chien est une année de Feu puissant», explique doctement M. Yeo. «Cela symbolise par exemple les feux de montagne et les conflits militaires.» Le Japon et les deux Corée, en particulier, pourraient être la source d'affrontements armés, avec un risque d'aggravation de la crise nucléaire nord-coréenne. Parmi les «chiens» célèbres, les actrices et chanteuses Jennifer Lopez et Madonna cohabitent avec le réalisateur Steven Spielberg, le magnat Donald Trump et une brochette de présidents des États-Unis, anciens et actuel, Bill Clinton et George Bush père et fils. Le voyant et spécialiste de «feng shui» Peter So prédit que l'année 2006 sera une «année de maladies». Le virus de la grippe aviaire, selon lui, s'étendra à l'Europe occidentale et aux côtes orientales de l'Amérique. Les habitants de Hong Kong seront heureux d'apprendre qu'ils seront sujets à de nombreux «maux d'estomac», ajoute M. So, sans plus de précisions. Mais il se veut rassurant: «Globalement, il y aura beaucoup de petits problèmes. Mais ils ne seront pas trop graves». Gare toutefois au regain d'activité terroriste, prévient M. So. Le terrorisme pourrait ainsi toucher la Thaïlande et l'Indonésie, mais aussi la Corée et la Russie. Le Taïwanais Tsai Shang-chi, qui mélange allègrement météorologie et astrologie, se veut plus optimiste. Il s'attend à des échanges commerciaux florissants et à un boom des voyages entre Taïwan et la Chine, ce qui devrait, selon lui, apaiser quelque peu les tensions politiques entre la Chine populaire et la Chine nationaliste. «Il semble que ce sera une année sans vents violents et sans grosses vagues. Mais il y aura une sévère lutte de pouvoir sous les courants», glisse de façon sibylline M. Tsai. Sur le plan économique, les prévisionnistes -version savante des astrologues- sont partagés. Si M. Tsai promet une année prospère pour l'Asie du Sud-Est, M. So s'attend à la stagnation économique, voire à un ralentissement. Que les augures soient bons ou mauvais, rien n'empêche les joailliers de Honk Kong de se frotter les mains. Leurs petites figurines de chiens en or et autres animaux de l'horoscope chinois se vendent comme des petits pains. Malgré sa personnalité attachante, le chien ne bénéficie pas d'une grande popularité chez les couples attendant un heureux événement dans l'année. Et cette méfiance a une explication toute scientifique: «c'est parce que le chien entre en conflit avec le dragon, le meilleur signe de naissance», tranche sans nuance M. Yeo. Reste une solution pour ces futurs parents un peu trop superstitieux: attendre 2007, l'Année du cochon... Mais ceci est une autre histoire.
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NOUVEL APPEL A L'AIDE POUR PEANUT : "je vous supplie d'aider cette chatte: avez-vous une petite pièce ou encore, combien me chargeriez-vous pour héberger cette chatte de 15 mois dont la dame qui l'a récupérée d'un campeur qui s'en est débarrassé à la fin de l'été, n'est plus capable de la garder plus longtemps... Sa propre chatte ne mange plus et maigrit à vue d'oeil depuis l'arrivée de Peanut. Cette dame me demande d'aller la chercher ce week-end sinon je crois bien qu'elle va se retrouver à la SPCA... Si vous connaissez une pension où elle pourrait être bien et qu'ils ne me chargeraient pas trop cher. MERCI DE ME LE FAIRE SAVOIR!! La chatte est sur la Rive sud de Montréal. MERCI !" auger_l@hotmail.com
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Capt Watson se prépare...
animo-aequoanimo a répondu à un(e) sujet de Animal dans Forum Administratif
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animo-aequoanimo a répondu à un(e) sujet de Animal dans Forum Administratif
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animo-aequoanimo a répondu à un(e) sujet de Animal dans Forum Administratif
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Ma belle DO; je ne suis plus certaine si ce n'est pas moi qui suis en train de me mélanger Je vais vérifier un peu + tard car je suis dans le ménage et je vais aussi emmener Fred et So en promenade jusqu'au bureau de poste avec eux. J'ai jeté un coup d'oeil aux 2 articles dans BULLETIN; je vais les vérifier aussi un peu + tard. La photo du fondateur du veganisme est très belle.
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Ce sont les Français qui vont être contents ! Mais ça viendra bien pour nous aussi, sauf que dans "POINTS DE VENTE", je ne sais pas si vous avez le même problème mais on ne peut pas descendre sous United States pour voir si par hasard le Canada ou même le Québec n'y seraient pas. Ils en vendent tellement partout que je serais quand même un peu surprise qu'ils n'en vendent pas ici HONG KONG - Shine, Shop D2, G/F, Cleveland Mansion, 5-7 Cleveland Street JAPAN - Journal Standard, Tokyo - 044, Tokyo - American Rag, Tokyo NEW ZEALAND - Starfish, 128 Willis Street, Wellington UNITED STATES
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Le problème est que ce ne sera pas visible à partir de la page d'accueil de l'écritoire. Peut-être alors écrire cette phrase au bas de la page d'accueil de l'écritoire, en mentionnant que nous avons fait la traduction de certaines lettres ? Quelque chose comme : * translation available for letters marked of an asterisk
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URGENT ! URGENT ! URGENT ! URGENT ! PEANUT, CHATTE D'ESPAGNE AGÉE D' ENV. 15 MOIS, NON STÉRILISÉE, TRÈS AFFECTUEUSE, POILS LONGS A BESOIN D'UNE FAMILLE ADOPTIVE OU D'ACCUEIL DANS LES PLUS BREFS DÉLAIS. Peanut est actuellement hébergée dans une famille mais la chatte de la famille refuse de s'alimenter depuis l'arrivée de Peanut dans la famille. Pour adoption ou accueil, communiquer avec : auger_l@hotmail.com
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... pour certains en tous cas ... mais actuellement les hamburgers ont plus d'impact sur les changements climatiques que les automobiles. Hard to swallow New research indicates that gas-guzzling cars are a much less important factor in climate change than the huge amounts of food devoured by carnivorous 'burger man'. Jonathon Porritt on the geopolitics of food Jonathon Porritt Of all the seasonal homilies about "green" Christmases and "sustainable" new year pledges - an oxymoron if ever I've heard one - only one stuck in my mind: each of us could make a bigger contribution to reducing emissions of greenhouse gases by becoming a vegan than by converting to an eco-friendly car. Researchers at the University of Chicago have calculated the relative carbon intensity of a standard vegan diet in comparison to a US-style carnivorous diet, all the way through from production to processing to distribution to cooking and consumption. An average burger man (that is, not the outsize variety) emits the equivalent of 1.5 tonnes more CO2 every year than the standard vegan. By comparison, were you to trade in your conventional gas-guzzler for a state of the art Prius hybrid, your CO2 savings would amount to little more than one tonne per year. This may come as a bit of a shock to climate change campaigners. "Stop eating meat" is unlikely to be the favourite slogan of the new Stop Climate Chaos coalition. Even "eat less meat" might not go down too well, even though Compassion in World Farming has produced an utterly compelling explanation - in their report, Global Benefits of Eating Less Meat - of why this really is the way forward. The basic rule of thumb is that it takes 2kg of feed to produce every kilogram of chicken, 4kg for pork, and at least 7kg for beef. The more meat we eat, the more grain, soya and other feedstuffs we need. So when we hear that the total global meat demand is expected to grow from 209m tonnes in 1997 to around 327m tonnes in 2020, what we have to hold in our mind is all the extra hectares of land required, all the extra water consumed, the extra energy burned, and the extra chemicals applied to grow the requisite amount of feed to produce 327m tonnes of meat. Only a tiny proportion of those recently alerted to the threat of climate change would make any connection whatsoever between this and the food they eat. These are two entirely different zones of environmental reality - and getting one's head around climate change is proving to be enough of a challenge anyway. Mass awareness This year will undoubtedly be looked back on as the year when mass awareness at last kicked in - largely because it's been such a shocking year in terms both of disasters such as Hurricane Katrina and of the spate of new research findings about accelerating impacts on both the Arctic and the Antarctic, on the Russian and Canadian permafrost, on the acidification of the oceans, and so on. It was also the year when the debate about how much oil is left in the ground bubbled up again, with oil trading at more than $60 a barrel for far longer than analysts imagined possible. The Goldman Sachs prediction that oil could reach $100 a barrel within the next decade didn't seem quite so daft any more. The relatively imminent prospect of finding ourselves living in a carbon-constrained oil-scarce world is, at long last, beginning to impact on government policymakers. But policymakers in the agricultural wing of the Department for Environment, Food and Rural Affairs (Defra) may well be the last to wake up to this - even though the climate change team is only just down the corridor. My Christmas reading included a brave new Vision for the common agricultural policy (CAP), produced by Treasury and Defra, presumably as part of their campaign to see off Jacques Chirac and his legions of French peasants. All in all, it's quite a good read, but the section on food security (defined as "an individual's access to enough food to maintain a healthy and active life") is astonishingly complacent. As far as our government is concerned, it apparently doesn't matter any longer where the food we buy comes from, as long as it meets minimum food safety and animal welfare standards. If our big retailers can source their produce from elsewhere in the world at lower costs than UK producers, what's the problem? In a global economy, where food is treated just like any other traded commodity, we may still need farmers (for the time being at least), but we don't necessarily need them based in the UK itself. Many people believe the government has got this one badly wrong. Food isn't "just another commodity", it is the foundation of personal wellbeing and is inextricably interwoven into a nation's culture, character and land use. In that regard, farming and food production embody a set of skills and capabilities on which the long-term security of any nation still ultimately depends. To demonstrate this, just add a few more geopolitical variables to the pot - on top of climate change and declining availability of oil. Just before Christmas, we heard that the Chinese economy grew by 16.5% last year - almost twice as fast as official figures. Oil imports have soared correspondingly, and will keep on rising. China is no longer self-sufficient in food. As meat consumption rockets (from 4kg per person 40 years ago to nearly 60kg today), so too do imports of grain and soya. Competition for land and water has never been fiercer; protests and riots over land use are now commonplace. At least China's population isn't growing much any longer, unlike that of India and many other countries. We are on track for a world population of around 9bn by the middle of this century - 6bn more than in 1950. Massive increases in food production and in average yields have just about kept up with population growth so far, but at huge cost to the environment. And there are few agricultural experts who think we can any longer sustain that kind of increased productivity. Then start mixing them all together. When oil starts trading at $100 a barrel, what happens to food production systems that are entirely dependent on cheap fossil fuels? How secure - let alone economically viable - will today's global supply chains prove to be when the worst effects of climate change begin to impact on food production all around the world? What will be the impact on food production of more and more governments using more and more of their land for energy crops and biofuels in order to address the problem of climate change? Worst nightmare Modelling these variables is a policy-maker's worst nightmare, but they absolutely cannot be ignored. Unfortunately, they barely feature in Defra's new vision, which seeks to persuade its readers that there is no alternative but to accelerate the globalisation of the food economy. "Complete self-sufficiency" is summarily dismissed, as if anyone is out there arguing for complete self-sufficiency anyway. What they are arguing for might be termed "cost-effective self-reliance", as a hedge against the growing threat of widespread ecological and social disruption - food security seen in terms of land use, quality, sustainability and food safety, not just temporary availability and access. And that means policies that do not leave our farmers gratuitously disadvantaged by overseas producers who care little for the state of the environment or animal welfare; policies that actively promote local sourcing, obliging our retailers to be as smart and creative about local supply chains as they are about global supply chains; policies that set out systematically to reduce carbon intensity in food production and distribution; policies that build on the excellent work already achieved through the public sector food procurement initiative, and the development of new agri-environment measures. It also means a rather different vision, acknowledging up front that a sustainable future for the UK depends on securing a thriving rural economy, and that this, in turn, depends on keeping sustainable food production absolutely at the heart of the rural economy. This may come as a bit of a surprise to some conservationists today, but the worst possible outcome for the British countryside and the global environment would be further reform of the CAP - ostensibly in the name of "more environment-friendly farming" - that resulted in more and more farmers going out of business. Which is precisely why we need a much more intelligent debate about food security than the one we're getting at the moment. · Jonathon Porritt is programme director of Forum for the Future and chairman of the UK Sustainable Development Commission. His book, Capitalism As If The World Matters, is published by Earthscan Hardback. He will be speaking, with Ken Livingstone, Monty Don, Caroline Lucas and others, at the Soil Association's 60th anniversary conference in London on Friday and Saturday. http://www.soilassociation.org/conference
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Un futurcentre de réhabilitation pour les ours au Québec...
animo-aequoanimo a répondu à un(e) sujet de Animal dans Forum Administratif
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Allo ma belle Do, j'ai remis en mode NORMAL 2 ou 3 "posts" qui apparaissaient en mode ANNONCE dans la rubrique ANIMAUX, ce qui fait que de cette façon, j'ai enlevé l'adresse qui donnait sur le lien de la râge et cie. Les messages ne sont pas effacés: ils se retrouvent simplement classés avec les autres messages ordinaires par date.
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