animo-aequoanimo

Le journaliste aurait dû donner cette inmformation dans son article. Je vais poser la question via leur formulaire de commentaires. Le journaliste aura peut-être une réponse, satisfaisante, espérons-le.

Ce livre fera sûrement changer des choses car qui peut ignorer ces questions : Qui sait en France que l’élevage mondial émet plus de gaz à effet de serre que la totalité des transports humains, automobiles, bateaux et avions compris ? Qui sait que notre bétail est nourri par du soja transgénique venu du Brésil, grand responsable de la déforestation en Amazonie ? Qui reconnaît que les demandes chinoise et indienne de viande seront impossibles à satisfaire dans quelques années, faute de sol et d’eau ? Qui ose écrire que la demande globale de viande industrielle conduit tout droit à de nouvelles et tragiques famines de masse ? Et sans compter que l'auteur mentionne aussi la cruauté faite aux animaux. J'aime bien quand il écrit : Des animaux traités comme des bêtes ! Sans avoir lu son livre, déjà, je dis Bravo à l'auteur, Fabrice Nicolino.

Ça ne fait absolument aucun sens.

A croire qu'on va s'en retourner à l'époque de l'homme des cavernes. Mais il en reste pas mal de traces encore dans l'homme d'aujourd'hui. Mais pour que celui-ci renonce à son projet pour des raisons éthiques, il a dû s'en passer de "belles" !

Encore des dépenses à même l'argent des contribuables.

Il n'y a pas un animal qui y échappe, Ils sont tous la peste de l'homme.

C'est décourageant de voir qu'ils ont les yeux remplis de poussière. Ils ne peuvent pas s'apercevoir de ce non-sens.

Nous sommes désolés d'apprendre ce triste événement et de ton chagrin. C'est toujours difficile de perdre un compagnon. C'est un deuil à vivre. Bon courage dans cette épreuve et n'hésites pas à revenir en parler si tu en éprouves le besoin.

Quelle monde à l'envers d'en être rendu à tuer des cerfs pour préserver leur habitat.

Il y a un bon bout de temps que je n'ai pas fait de crèpes. Ça me donne le goût de m'en faire

De plus en plus de Canadiens boycottent les produits de l'Union européenne pour protester contre l'embargo sur les produits dérivés du phoque. Ce phénomène est particulièrement marqué à Terre-Neuve, où se trouve la majorité des chasseurs de phoque. Donna Thistle, propriétaire d'un chic restaurant à Corner Brook, sur la côte ouest de Terre-Neuve, est à l'origine de ce mouvement. Sur la carte des vins de son établissement, un message en caractères gras prévient les clients: « Nous n'avons aucun vin en provenance de l'Union européenne. Nous appelons ça de la réciprocité économique. » Finis les vins français et la bière belge. Donna Thistle refuse de se prononcer pour ou contre la chasse au phoque. Elle dit qu'elle veut simplement dénoncer l'hypocrisie des Européens qui pratiquent aussi des chasses controversées. Donna Thistle explique que son geste est symbolique pour que les Européens comprennent qu'ils sont en train de faire du mal à des collectivités qui dépendent de la chasse au phoque. De plus en plus de citoyens partout au pays appuient ouvertement ce boycottage, que ce soit dans les journaux ou encore sur les sites Internet de réseautage. Pour Donna Thistle, ce boycottage est aussi l'occasion d'appuyer les producteurs canadiens. Ce mois-ci, elle tente de conclure des partenariats avec des microbrasseries du Québec. ___________________________________________________________ S'ils ont encore les moyens de se payer de l'alcool, ils ne sont pas si affectés qu'elle le prétend.

Ces cartels dont il est question peuvent aussi être très puissants et influents au point que la justice ne soit pas faite. Dans ce cas, l'Autriche pourrait incriminer des organismes qui n'ont rien fait de mal mais cela ne serait pas sans qu'elle s'attire la réprobabtion et les réactions de nombreux autres pays du monde. On ne peut pas bafouer ainsi les droits et libertés de personnes innocentes et pacifiques.

D'accord ! Merci, Marjo.

C'est grave d'en être rendu à qualifier de simples mouvements ou organisations végétariennes pacifiques de criminels.

Ça se pourrait aussi qu'ils les relâchent ailleurs. Souhaitons tout de même que ce sera le cas avec ces ours.

Ça a l'air super intéressant. Ce n'est pas que je pourrais y assister mais y a-t-il d'autres détails sur cet atelier ? Je ne trouve rien à ce sujet sur le lien indiqué.

Si je comprend bien, il s'agit du rapport et ils ne sont pas encore passés devant le juge. Espérons que la Cour ne retiennent pas ces accusations mais ce n'est pas certain que le juge ne pense pas comme le reste de l'Autriche.

Les statistiques de 2008 et les prévisions pour 2009 viennent tout juste d'étre révélées et voici ce qu'il en est en résumé : The whole italian fur industry has gone down 8% in 2008 and should go down more 9% in 2009, this means a good reduction of 17%. They explicitly say that 2008 has been a crisis year for fur, because trims are no more a new sensation and even if stylists promote a lot of fur coats, they are small and with not many pelts used for them. Fur shops are loosing market year after year, now they are only 29% of the whole fur market, which is mostly composed of stylists and other fashion brands selling coats or just trims.

Quelle pitoyable tactique, -pour ne pas dire autrement.

Impressionnant !

L'organisme CASCA sera présent de 10 h à 15 h pour une journée d'adoption au marché Finnigan, à Hudson ainsi qu'au Walmart à Vaudreuil. Banlieue ouest de l'Ile de Montréal. Jeunes chats et jeunes chattes âgés entre 8 semaines et 1 an. CASCA a également besoin de bénévoles (clinique d'adoption, transport, secourisme...), de familles d'accueil ainsi que de nourriture. Françoise (450) 424-5485 Grace (514) 683-9416 (tous les jours jusqu'à 20 h) adoption@cascaorg.com

Bien sûr, les profits avant le confort des animaux.

Urgent besoin d'un foyer d'accueil pour 2 chatons de 8 à 10 semaines, région ouest de l'Ile ou Ile de Montréal. Ils sont en cage avec litière et tout. Fafar et Vénus ont besoin de ne plus avoir peur de l'humain. Ils doivent être pris souvent et régulièrement. MERCI ! lorae@cascaorg.com

Ils préfèrent effectivement ne rien savoir plutôt que de sortir de leurs sentiers battus ou de leurs habitudes mais, de temps en temps, à force d'enfoncer le clou, il y en a qui finissent par se réveiller et à la longue, on finira bien par en avoir de plus en plus qui s'éveillent, aussi parce que nous sommes de plus en plus nombreux à nous exprimer et à dire les choses.