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Nous habitons Chertsey dans Lanaudière, nous avions 3 chiens qui sont frères et soeurs, Choco, Lady et Dolly....en visite chez mon beau-frère à St-Étienne de Lauzon, 2 sont passées entre les jambes de mon mari, ils se sont faits frappées par un automobiliste, il a tué Dolly et blessé Lady. Elle a eu peur et s'est sauvée, on met des annonces partout, où elle a été blessée à St-Étienne de Lauzon, dans le coin de Québec, sur la rue Principale en face du 341, Dolly est morte sur le coup, amis ça aurait l'air que Lady a été blessée sous l'impact elle a perdû sa license, cela s'est passé samedi soir.... le 10 novembre. Elle est peut-être cachée quelque part dans un hangar autour, ou peut-être quelqu'un l'a ramassée... pour la soigner, nous voulons la retrouver ou la soigner, si elle est décédée nous voulons la retrouver pour l'enterrer au côté de sa soeur, qu'on a enterré hier, pas besoin de vous dire, que nous sommes inconsolables, nous ne faisons que pleurer nous voulons la retrouver, elle sont nés ici dans mes mains, on veut qu'elle revienne ici... Merci de comprendre, pour nous rejoindre 450-882-1005 ou donfran@distributel.net
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Végétarisme, Végétalisme & Autres Bizarreries
Animal a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans Végétarisme
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16 novembre 2007- Les chasseurs de gros gibier ont abattu 3191 orignaux ( 878 femelles, 1929 mâles et 384 veaux), cet automne, dans la zone située entre Les Capucins et Gaspé. Cette récolte représente une augmentation significative par rapport à l'an dernier alors que 2874 bêtes avaient été abattues. A titre d'information, mentionnons par ailleurs que sur l'ensemble du territoire gaspésien de Les Capucins à Matapédia le nombre de chasseurs d'orignaux sur une période de 15 ans est passé de 10 444 à 22 588 en raison de la forte hausse du cheptel et du succès de chasse. Notons aussi qu'entre 1992 et 2006, le nombre d'orignaux abattus sur l'ensemble du territoire libre régional est passé de 861 à 4848. Le taux de succès de chasse sur notre territoire est de 21,5 % comparativement à 12 % pour le Québec. ... http://www.hebdosquebecor.com/riv/11112007/riv_11112007_A1.shtml
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15 novembre 2007- Agence France-Presse Chicago Les défenseurs des animaux sont en pleine confusion au Texas après le meurtre d'un chat errant par un ornithologue qui affirme avoir voulu protéger des espèces menacées et est aujourd'hui accusé de cruauté envers les animaux. ... L'ornithologue a admis avoir tué le chat avec une carabine 22 long rifle en novembre 2006, et plusieurs autres qui erraient sur sa propriété. Mais il affirme qu'il ne l'aurait jamais fait s'il avait su que l'animal en question avait été apprivoisé par John Newland, employé sur un pont à péage. Les avocats de M. Stevenson espèrent que cet argument sera suffisant pour le blanchir des accusations de cruauté envers les animaux, qui au moment de l'affaire interdisaient uniquement de tuer des chats étant «la propriété d'autrui». ... http://www.cyberpresse.ca/article/20071115/CPINSOLITE/71115103/5406/CPINSOLITE
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ENCORE.... Selon les plus récentes données du ministère, les phoques du Groenland ont notamment consommé 28 000 tonnes de morue dans la portion nord du golfe Saint-Laurent en 2003, dont 57 % des poissons étaient inférieurs à la taille commerciale. La Presse Canadienne Halifax 14 novembre 2007- Une trentaine de scientifiques du Canada, des Etats-Unis, d'Ecosse, de Norvège et d'Islande sont réunis depuis mardi, pour quatre jours à Halifax, pour participer à un atelier sur la problématique de la prédation des stocks de poisson par les phoques. La rencontre est organisée par Pêches et Océans Canada à la demande de l'industrie, selon qui la prédation par les phoques est un frein au rétablissement des stocks de morue du golfe du Saint-Laurent et les provinces maritimes. http://www.cyberpresse.ca/article/20071114/CPSOLEIL/71114214/6907/CPSOLEIL
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Le vendredi 16 novembre 2007 Marie-Claude Lortie Une fille et sa pêche Tout a commencé par la gourmandise, par l'envie de mangerdu poisson plus frais que tout. Puis, le plaisir de la pêche a pris le dessus. Le bonheur d'être au bord de la rivière aux aurores, le bruit de l'eau, la fraîcheur du courant. Et la paix de cette quête qui draine les idées noires. Je ne dirais pas que je n'aime pas la chasse, même que le texte sur les chasseuses signé par ma collègue Sophie Allard m'a donné drôlement envie d'y aller. ... Les filles qui sont parties ensemble à la chasse avec Sophie ont eu l'air d'avoir vraiment du plaisir. Et elles ont pris des bêtes. Et en ont mangé. Et toutes ensemble, elles sont passées par-dessus ces traditions qui font que ce sont les gars et pas les filles qui chassent et qui pêchent et qui ont tout le fun. Et qui se transmettent le savoir de génération en génération. C'est moins vrai que ce l'était avant, direz-vous. Peut-être. Mais c'est encore vrai. J'ai hâte de montrer à mes filles comment pêcher. Et aussi, d'aller à la chasse. http://www.cyberpresse.ca/article/20071116/CPOPINIONS05/711160982/6685/CPACTUEL
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Le vendredi 16 novembre 2007 Chasse au chevreuil: quand les femmes prennent les armes Sophie Allard La Presse La saison de la chasse au cerf de Virginie se termine dimanche. La chasse est généralement une affaire d’hommes, mais de plus en plus de femmes attendent avec impatience l’arrivée de l’automne. Notre journaliste raconte son week-end en compagnie de neuf chasseuses. Samedi dernier. Quatre heures trente du matin. Dans un chalet de la pourvoirie Lee St-Aubin, en Outaouais, neuf femmes s’activent. Dans un peu plus d’une heure, elles seront dans les bois à chasser le cerf de Virginie. Pour la moitié d’entre elles, il s’agit d’une première expérience. Certaines déjeunent, silencieuses. Elles attendent ce moment depuis longtemps. La fébrilité est palpable. « Aujourd’hui, ça va être live, on ne tirera pas sur une cible dans un champ de tir. Je ne sais pas comment je vais réagir. Ça sera un drôle de mélange d’émotions », lance Manon Bouchard, 41 ans. Infirmière et mère de deux enfants, elle accompagne souvent son mari à la chasse. Elle souhaite, elle aussi, appuyer sur la détente. Même chose pour Hélène Desgranges, 34 ans, directrice d’une association de gens d’affaires. Ça fait une semaine qu’elle « compte les dodos ». « J’avais même accroché un chevreuil de papier sur le mur de ma chambre ! J’espère que ça va bien aller. Si je blesse un chevreuil, est-ce que je serai capable de le tirer dans la tête pour l’achever ? On ne fait qu’en parler et je suis sur le bord de brailler », confie le boute-en-train du groupe, entre deux bouchées de frittata. Anne Pilon, la cuisinière, est aux fourneaux. Malgré la nervosité, l’appétit est au rendez-vous. « C’est normal d’être émotive, leur dit Estelle Purdy, qui chasse depuis 20 ans. Une fois, j’ai abattu une femelle. Son cri a été déchirant. Ça m’a bouleversée, mais pas longtemps. J’ai pensé au steak dans mon assiette, aux boulettes, à la fondue. » suite: http://www.cyberpresse.ca/article/20071116/CPACTUEL/71115244/6685/CPACTUEL
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15 nov. 2007-Le "Rainbow warrior", le navire-amiral de Greenpeace, a bloqué jeudi l'appareillage en Indonésie d'un cargo transportant de l'huile de palme, pour alerter des dangers de cette industrie sur le climat et les forêts, a annoncé l'organisation écologiste. Le Rainbow warrior, déployant une grande banderole affichant "l'huile de palme tue les forêts et le climat" a jeté l'ancre dans le port de Dumai dans l'île de Sumatra à proximité immédiate d'un cargo pouvant transporter un total de 30.000 tonnes d'huile de palme, a précisé Greenpeace. "Nous agissons pour révéler les conséquences désastreuses de l'industrie de l'huile de palme sur les tourbières d'Indonésie, les forêts et le climat", a expliqué Sue Connor, militante chargée de forêts chez Greenpeace. Ces dernières années, Jakarta a délivré sans compter des autorisations d'exploiter les palmiers à huile et les plantations gagnent du terrain souvent au détriment des forêts tropicales. L'Indonésie talonne la Malaisie pour devenir le premier producteur mondial de ce produit utilisé notamment dans la margarine, le rouge à lèvres, les crèmes glacées, les shampooings, les barre chocolatées ou les bio-carburants. Selon Greenpeace, des sociétés internationales comme Unilever, Nestlé ou Procter and Gamble sont "complices" de la déforestation car elles n'ont pas la capacité de savoir si l'huile de palme qu'elles utilisent provient de plantations nées de la déforestation. http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-33237036@7-50,0.html
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L'élevage de saint-bernards prospère en Chine...
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Message envoyé par Terrienne: 9 novembre, 2007 L'élevage des Saint-Bernard, à des fins culinaires prospère en Chine. L’élevage des saint-bernard est une activité en plein essor en Chine où le bon gros chien, symbole de la Suisse et du sauvetage en montagne, est principalement apprécié pour ses vertus culinaires.Mais contrairement aux affirmations de certaines associations occidentales de défense des animaux, les gourmets chinois ne consomment quasiment pas de véritables saint-bernards, mais seulement des chiens locaux issus de croisements avec des saint-bernards.”Un saint-bernard pure race, c’est beaucoup trop cher et puis c’est gentil”, s’exclame Shou Weiping, directeur de la société Xianglong, spécialisée dans l’élevage canin, lors d’une visite de l’une de ses fermes à Changping, à 40km au nord de Pékin.L’élevage ouvert l’an dernier abrite quelque 200 gros chiens, principalement des bâtards, enfermés dans des cages minuscules où ils passent leurs journées dans des conditions d’hygiène déplorables. Les reproducteurs sont un peu mieux traités: ils ont droit de sortir de leur cage une fois pour jour [sic] avant d’être attachés par une laisse à un piquet, mais à l’air libre.”Avec de 600 à 1000 chiens, cela commence à devenir véritablement rentable”, explique M. Shou, un technicien recyclé depuis trois ans dans l’élevage canin où il espère bien faire fortune.En reproduisant et en croisant des chiens de race, comme des saint-bernard, des bergers, des Pyrénées ou des pointers anglais, il vise tantôt le marché des animaux domestiques, tantôt celui de la viande de boucherie.”Les saint-bernards pure race servent uniquement à la reproduction. Seuls les croisements avec des chiens locaux peuvent être utilisés comme viande de boucherie”, explique-t-il.Les chiens de boucherie sont généralement abattus en étant saignés à la patte. “C’est vrai, ils mettent environ dix minutes à mourir, mais la viande est meilleure”, concède-t-il.Selon Dong Dehui, un responsable de “l’Institut de recherche sur la viande canine” de Shenyang (Nord-Est), l’engouement pour la viande de chien reste vif principalement dans le Nord-Est du pays, mais également dans le Sud.”Les chiens ont une très grande valeur nutritive, leur viande est tendre, et a un effet bénéfique sur les maladies des reins et de la rate” assure-t-il. En élevant des chiens de boucherie produits à partir de trois à quatre saint-bernards importés chaque année, son “institut”, partiellement financé par la province du Liaoning (Nord-Est), gagne de 2 à 3 millions de yuans (de 240 000 à 362 000 $ US) chaque année.L’intérêt des éleveurs chinois pour le saint-bernard s’explique par la taille de l’animal — qui peut peser jusqu’à 100 kg –, sa résistance physique et son bon rapport qualité-prix. “C’est un chien qui grossit très vite et ne mange pas pour plus de 2 yuans (0,24 US) par jour, voire moins pour un hybride, et dont la femelle a des portées de 10 à 12 chiots par an”, note M. Dong.La viande se vend elle à 17 yuans le kilo dans le Nord-Est, voire 20 yuans dans les environs de Pékin, ce qui la rend attrayante face au porc.”Les Chinois ont mangé du chien bien avant de manger du porc” observe M. Shou, selon qui de plus en plus de Chinois mangent du chien, même s’il s’agit encore principalement d’une spécialité régionale. Avec la baisse du prix du porc, l’intérêt de certains éleveurs s’est reporté sur le chien de boucherie qui permet des recettes plus substantielles.Des petits élevages se sont ouverts un peu partout en Chine, tandis qu’une vingtaine de gros centres industriels ont été répertoriés par l’association SOS Saint Bernard Dogs International qui a demandé au gouvernement suisse d’intervenir auprès des autorités chinoises.”Nous ne pouvons pas rester les bras croisés et si pour l’instant la viande de saint-bernard reste encore trop chère, cela risque de se banaliser dans quelques années” note Éléonore Moser, présidente de l’Association, basée à Genève.Le mystère reste entier sur la provenance exacte des saint-bernards importés par la Chine, pour des prix pouvant atteindre 100 000 yuans (12 000 $ US), alors que le gouvernement suisse assure qu’aucun ne provient d’élevages suisses.”Je crois qu’ils viennent de Suisse et qu’ils sont importés comme animaux de compagnie”, estime M. Dong, tandis que M. Shou a entendu parler d’une filière russe.Et vous, qu’en pensez-vous?Pour plus de renseignements et pour signer une pétition, cliquez ci-dessous: http://ddotb.wordpress.com/2007/11/09/lelevage-de-saint-bernards-%E2%80%A6/ -
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Bonjour ma belle hop ! Ta p'tite mère a-t-elle commencé à se lever ou reste-t-elle encore couchée? Pauvre petite chouette ! Je pense beaucoup à elle ces jours-ci... Les tables d'infos cette semaine sont sur le thème de la Solidarité Voici le résumé de ce qui s'y passe- j'y vais jeudi avec Cé Bonne journée ma belle hop et prends bien soin de toi aussi Lundi 12 au jeudi 15 novembre • Foire aux kiosques Où s'engager? On a beau vouloir donner de son temps, encore faut-il trouver un lieu d'implication passionnant. À la foire aux kiosques seront présents divers organismes désirant faire connaître leur mission et offrant mille possibilités d'implication. Lundi 12 novembre Party d'emballage des paniers de Noël • La politique municipale : une véritable proximité citoyenne? Conférence offerte par Richard Bergeron, chef de Projet Montréal. Il discutera d'action politique au niveau municipal : la participation politique citoyenne ouvre-t-elle la voie vers une nouvelle forme de démocratie? • Agir en citoyen du monde Conférence interactive offerte par Oxfam-Québec où il sera question de la place des jeunes dans les milieux d'implication communautaire et de l'importance de l'engagement concret, au Nord comme au Sud. • Être militant en 2007 Atelier - conférence avec Dominique Caouette, spécialiste des mouvements transnationaux. Tour d'horizon des enjeux reliés au militantisme de notre époque et des défis associés à l'implication concrète dans le paysage social québécois. La solidarité… ça se fête! Soirée d'ouverture de la Semaine de la solidarité tenue dans le tout nouveau local de l'AHC. Venez festoyer avec les comités solidaires du campus! Mardi 13 novembre Party d’emballage des paniers de Noël • Parcours d'une militante aguerrie Conférence de Françoise David sur son cheminement professionnel, de ses débuts de militante jusqu'à la création de Québec Solidaire, en passant par la FFQ. À travers son récit, c'est l'évolution du mouvement communautaire qui se dévoilera. • Quand disparition des frontières rime avec misère Conférence offerte par l'organisme ATTAC-Québec portant sur les derniers développements des accords de libre-échange en Amérique et prenant comme illustration le mouvement des Sans Terre au Brésil. Mercredi 14 novembre Party d’emballage des paniers de Noël • Débat politique : Jeunesse, solidarité et engagement Débat mettant en vedette des représentants des quatre grands partis politiques provinciaux sur le thème de l'engagement des jeunes sur la scène politique et de la place que prend l'action communautaire dans leur vision de la société québécoise. • Ciné-rencontre: Et si on changeait le monde? Projection suivie d'une discussion avec Julie Huard, réalisatrice à Radio-Canada. Elle présentera le documentaire qu'elle a réalisé sur quatre jeunes dont l'expérience de stagiaires pour Jeunesse Canada Monde a transformé leur vision du monde. • Pour une répartition plus juste de la production alimentaire Atelier-conférence animé par Moisson Montréal sur le parallèle entre les mécanismes du marché de production et l'accessibilité à la nourriture pour tous, et sur les actions menées par cet organisme pour une redistribution alimentaire plus juste et équitable. Jeudi 15 novembre Party d'emballage des paniers de Noël • Le mouvement communautaire au Québec Conférence offerte par Christian Jetté, spécialiste du mouvement communautaire, sur l'évolution du mouvement communautaire et ses perspectives d'avenir. Comment s'est-il développé au Québec? Quels sont les défis de demain? Venez le découvrir! Vendredi 16 novembre • Les différents visages de la solidarité Dîner-causerie en collaboration avec les étudiants de l'École de français. Que signifie le concept de «bénévolat» dans les différents pays du monde? De quelle façon le multiculturalisme peut-il enrichir le milieu de la solidarité québécoise? Venez partager votre opinion et votre lunch!
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Notre distribution à Ottawa contre la fourrure
Animal a répondu à un(e) sujet de linda lachapelle dans Annonces
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Notre distribution à Ottawa contre la fourrure
Animal a répondu à un(e) sujet de linda lachapelle dans Annonces
Merci à vous tous ! Vous avez fait du beau travail de sensibilisation ! Si seulement ça en a réveillé quelques-uns, ça sera toujours ça de gagné. Linda, quand tu auras le temps, pourrais-tu s.t.p. me faire parvenir les photos par courriel en plus gros formats comme la dernière fois ? Nous sommes pas mal occupés cette semaine, mais on essaiera quand-même de préparer un petit texte avec les détails de votre journée et on mettra tout ça en ligne d'ici à la fin de semaine. Fait un gros bisou à Alexandre pour nous ! Il est SUPER ton garçon ! BRAVO ENCORE UNE FOIS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!