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En Abitibi... 23 novembre 2007 La saison de chasse à l'orignal a été stable au Québec, mais le nombre d'animaux abattus est à la baisse en Abitibi-Témiscamingue, selon des données préliminaires. Au Québec, près de 24 600 bêtes ont été abattues. Dans la région, 3600 orignaux ont été abattus cette saison par 30 000 chasseurs. Ce nombre est moins élevé que les prévisions des spécialistes. Dans la zone 13, on enregistre une baisse de 7 % par rapport à la moyenne des années 2001 à 2006. Un début de chasse plus tardif a fait fléchir le nombre de mâles abattus. Les mauvaises conditions météorologiques pendant la première semaine de chasse ont vraisemblablement eu des impacts sur cette baisse. « Sur les autres indicateurs que nous suivons, il n'y a pas de signe d'essoufflement ou de manque réél au niveau de la population d'orignaux », précise le biologiste Marcel Paré, du ministère de la Faune. La saison de chasse dans la région a pris fin le 14 octobre ou le 21 octobre 2007, selon les secteurs. Un reportage de Jocelyn Corbeil http://www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2007/11/23/001-chasse-orignal.shtml
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Au Saguenay.... 23 novembre 2007- La chasse à l'orignal a connu une saison record cette année dans la région. Au total, 2730 bêtes ont été abattues sur le territoire du Saguenay-Lac-Saint-Jean. De ce nombre, seulement 34 ont été tuées avec un arc ou une arbalète, la plupart des chasseurs utilisant la carabine. « Avec les mesures qui ont été prises dans le cadre des plans de gestion partout au Québec, ce qu'on voit c'est que les populations ont augmenté et évidemment la récolte et le succès de chasse », affirme le biologiste Claude Dussault, du ministère des Ressources naturelles et de la Faune. Cette année, les chasseurs avaient le droit d'abattre tant les femelles que les orignaux mâles, conformément au plan de gestion de la chasse, en vigueur depuis 2004, et qui permet la chasse des femelles une année sur deux. Le plan de gestion, qui vise à protéger le cheptel, a également pour but de faire augmenter le nombre de chasseurs, ce qui semble fonctionner. Cette année, 22 000 permis de chasse ont été vendus, nombre qui n'avait pas été atteint depuis de très nombreuses années. Selon Claude Dussault toutefois, la région est parvenue à l'équilibre entre le nombre de chasseurs et le nombre d'orignaux. « Ce que l'on voit c'est que même si on augmente le nombre de chasseurs, ça ne se traduit pas par une augmentation de la récolte. Dans le fond, chaque nouveau chasseur qui se rajoute ça fait juste faire baisser le succès de chasse globalement », dit-il. http://www.radio-canada.ca/regions/saguenay-lac/2007/11/23/006-chasse-orignal.shtml
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Le vendredi 23 novembre 2007 Agence France-Presse Rio de Janeiro Des militants de Greenpeace ont exposé jeudi sur la plage de Copacabana, à Rio de Janeiro, un camion chargé de deux énormes morceaux de troncs d'arbres abattus en Amazonie, pour témoigner de la déforestation et réclamer le «déboisement zéro immédiat» de la forêt amazonienne. http://www.cyberpresse.ca/article/20071123/CPENVIRONNEMENT/71123093/6108/CPENVIRONNEMENT
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Le samedi 24 novembre 2007 Une étude remise à l'ONU par le gouvernement suédois révèle en effet que l'homme a sur l'environnement un impact beaucoup plus grand que la femme. Bien que cette dernière consomme davantage de biens, l'homme a des habitudes encore plus nuisibles, notamment celle de se déplacer en automobile. «Les pollueurs sont en majorité des hommes», conclut simplement le ministère suédois de l'Environnement. «Un changement de comportement des hommes - particulièrement les décideurs ayant beaucoup d'argent - peut être crucial dans la lutte contre les changements climatiques.» http://www.cyberpresse.ca/article/20071124/CPENVIRONNEMENT/711240751/6108/CPENVIRONNEMENT
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Le samedi 24 novembre 2007 Un guide pratique des poissons à éviter La Presse Montréal Mangez du poisson, disent les médecins, c'est bon pour la santé. Pas si sûr selon un nouveau Guide canadien des poissons et fruits de mer, le tiers des poissons couramment consommés au Canada serait à éviter et un autre tiers aurait une origine «préoccupante». Des groupes environnementaux, dont la fondation David Suzuki et le Sierra Club du Canada, sont derrière la publication de ce premier guide pour les consommateurs qui veulent aller au-delà du goût. Selon eux, il ne suffit pas de vérifier si le poisson contient ou non des contaminants, il faut s'assurer qu'il a été pêché dans les règles de l'art. Dans la mer ou en aquaculture. «Les consommateurs entendent parler de la pêche durable et ils veulent poser des questions, ils veulent en savoir davantage sur le poisson qu'ils achètent», explique Jay Ritchlin, de la Fondation David Suzuki. Leur guide est on ne peut plus simple d'utilisation. Trois catégories, vert, jaune, rouge, qui aident les consommateurs à faire des choix écologiques. Une version francophone, imprimée à 25 000 exemplaires, a été envoyée au Québec. On peut aussi consulter ce guide en ligne au www.seachoice.org Les indications du guide ne sont pas très rassurantes: l'aiglefin, le caviar d'esturgeon, les pétoncles de mer, le saumon chinook d'aquaculture et la crevette tigrée sont tous à éviter. Ainsi que 16 autres poissons et fruits de mer. Parmi les raisons invoquées pour les mettre au ban, une mauvaise gestion des stocks et la possibilité de déclarer l'espèce en voie de disparition. Certaines espèces sont en plus accompagnées d'un logo précisant qu'elles peuvent contenir trop de mercure, de dioxines, de BPC ou de pesticides. De quoi rapidement faire passer une envie de bisque de fruits de mer. Fort bien, dit Éric Vigneau, poissonnier originaire des Îles-de-la-Madeleine. Selon lui, plus le consommateur sera informé sur les conditions dans lesquelles ont été pêchés ses poissons, plus il fera des choix avertis. Lui-même est ultra-consciencieux lorsqu'il fait les achats de sa poissonnerie Fraîcheur des Îles, de Brossard. Pas de crevette de Chine, pas de pétoncles contenant des additifs. «Je viens d'une famille de pêcheurs ; c'est important de savoir d'où vient le poisson qu'on mange», dit-il en précisant que peu de consommateurs s'informent de la provenance avant l'achat. Consommation en hausse La consommation de poisson est à la hausse au Canada depuis 10 ans, portée par les bénéfices liés aux oméga-3, présents dans les poissons gras, tel le saumon. Le Guide alimentaire canadien recommande de consommer au moins deux portions de poisson par semaine. Santé Canada limite toutefois la consommation de thon blanc pour les femmes enceintes et les enfants, à cause du taux de mercure qu'il peut contenir. Selon Éric Vigneau, les bénéfices de la consommation de poisson surpassent largement les risques liés à la présence de dioxine. À condition de bien choisir son souper. Le guide recommande d'ailleurs de se renseigner avant d'acheter un poisson. Quitte à être le client difficile au restaurant qui demande au serveur la provenance du tilapia au menu ou qui veut savoir si les huîtres sont sauvages ou cultivées. Par ailleurs, il y a fort à parier que le serveur ne possède pas ce genre d'information. «C'est vrai et c'est précisément ce que nous voulons changer, dit Jay Ritchlin. Si les consommateurs demandent à répétition à leurs épiciers et leurs restaurateurs d'où viennent leurs poissons, leurs questions finiront par remonter la chaîne d'approvisionnement. Les restaurateurs demanderont ensuite à leurs distributeurs la provenance de leurs produits. Nous, en tant que consommateurs, nous avons un petit pouvoir parce que nous achetons une petite quantité de poissons. Eux en achètent des tonnes. Ils ont le pouvoir de faire changer l'industrie de la pêche.» http://www.cyberpresse.ca/article/20071124/CPACTUEL/711241065/6730/CPACTUALITES
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24-25 novembre 2007 L'industrie porcine, qui fait face à une crise importante depuis deux ans, a fait surgir au grand jour l'existence d'un «village gaulois» parmi les 4300 producteurs québécois, lequel propose rien de moins que l'abandon de la politique de la conquête des marchés et une baisse de la production de 25 % pour ramener celle-ci à son niveau d'avant 1996, c'est-à-dire à 5,2 millions de porcs par année au lieu des sept millions qui auront été produits cette année. C'est la première fois qu'une instance dûment reconnue au sein de la Fédération des producteurs de porcs du Québec (FPPQ) prend d'assaut l'objectif de doubler la production dont le gouvernement, dirigé par Lucien Bouchard, avait convenu avec l'ensemble de la filière porcine. Cette instance est le Syndicat des producteurs de porcs de Lanaudière, l'une des régions à forte concentration de production porcine. Jacques Clermont, président de ce syndicat qui compte 220 producteurs, est un militant dans le syndicalisme agricole depuis 25 ans. Installé à Saint-Jacques-de-Montcalm, il produit environ 6000 porcs par année, mais sa plus grande fierté est d'être un producteur indépendant. En fait, 95 % des membres de son syndicat sont des producteurs indépendants, et Lanaudière est la seule région au Québec où la majorité des producteurs porcins sont des indépendants et non des intégrés, c'est-à-dire des producteurs qui ne possèdent que leurs bâtisses, alors qu'ils travaillent à contrat pour les intégrateurs qui eux sont propriétaires des animaux et sont aussi généralement des fournisseurs d'intrants et des propriétaires d'abattoirs. «La croissance de la production des dernières années s'est principalement réalisée par la voie du réseau de l'intégration et ce sont les exploitations porcines indépendantes qui en ont davantage subi les impacts négatifs», soutient ce syndicat. Cette prise de position fait ressortir de façon spectaculaire un certain malaise qui existe depuis assez longtemps au sein de la FPPQ entre les producteurs indépendants et les intégrateurs. Solidement appuyé par son syndicat et même par la Fédération des producteurs de la région de Lanaudière, qui représente toutes les productions et pas seulement celle du porc, M. Clermont entend mener la bataille jusqu'à la victoire finale, tant au sein de la FPPQ qu'au congrès général de l'Union des producteurs agricoles (UPA) dans deux semaines. Et en cas de refus, où ira-t-il? Il promet d'aller plaider sa cause devant le monde politique et Guy Coulombe, mandaté par le gouvernement pour mettre tous les intervenants de la filière porcine d'accord sur un plan d'action. M. Coulombe doit présenter son rapport au plus tard le 3 mars prochain. Pour l'instant, M. Clermont cherche des tribunes pour expliquer son projet. Il souhaite être invité à le faire devant les membres de la FPPQ, qui tiendra une assemblée semi-annuelle la semaine prochaine. «Plus on explique notre position, plus on a des appuis», affirme avec assurance ce président, qui ne vise rien de moins que d'entraîner dans son sillage l'ensemble des producteurs agricoles du Québec. La Fédération prépare son propre plan Jeudi soir, le syndicat de Lanaudière tenait une assemblée de ses membres et recevait la visite de Jean-Guy Vincent, président de la FPPQ, dans le cadre de sa tournée de toutes les régions. Tous les efforts ont été faits pour obtenir son appui à la désescalade de la production porcine. M. Vincent a refusé complètement de prendre parti. On le soupçonne quand même de pencher du côté des intégrateurs. Il a refusé de garantir à M. Clermont qu'il pourra expliquer son plan devant le conseil d'administration de la FPPQ la semaine prochaine, laissant à ses 16 administrateurs le soin de décider s'il y aura ou non une présentation du plan de Lanaudière. En revanche, la FPPQ, qui prépare de son côté son propre plan, demande des changements à ses règlements en vue d'ajouter un siège à son conseil d'administration pour un producteur intégrateur, lequel serait nommé par l'Association québécoise des industries de nutrition animale et céréalière (AQINAC). Le syndicat de M. Clermont s'oppose catégoriquement à un tel ajout. Cette question a d'ailleurs rebondi cette semaine au conseil général de l'UPA, alors que celui-ci faisait le point sur la crise porcine. Dans une résolution de soutien aux producteurs porcins, il y a un point spécifique concernant cette proposition de la FPPQ qui se lit comme suit: «les membres du conseil général de l'UPA ont unanimement résolu de mettre en garde la Fédération du précédent dangereux que pourrait créer, pour notre démocratie syndicale et la mise en marché collective, la présence d'un autre intervenant de la filière, comme l'AQINAC, dans la gestion de nos instances syndicales et de nos plans conjoints». Il ne s'agit pas d'une interdiction, mais bien d'une mise en garde, ce qui a permis à M. Vincent et sans doute à d'autres membres du conseil général de voter en faveur de la résolution. Néanmoins, une certaine ambiguïté demeure. Environ 60 % des producteurs de porcs au Québec ont des contrats avec les intégrateurs. Comment se fait-il que Lanaudière soit devenue ce village gaulois? Il y a eu dans les années 1980 l'imposition d'un moratoire dans la région, à la suite de nombreuses plaintes de pollution de la rivière L'Assomption. Il y a eu alors un programme de réduction volontaire de la production porcine, qui a bien fonctionné et qui a coûté environ 12 millions. Le moratoire a eu aussi pour effet qu'il n'y a eu aucune intégration de la production dans la région. Cette expérience a bien sûr inspiré M. Clermont à concevoir son projet, à le faire examiner par un comité de ses producteurs, à en faire une proposition formelle adoptée par son syndicat. Dans la foulée d'une agriculture de plus en plus industrielle, Lanaudière semble faire un virage à 180 degrés, ce qui n'est pas tout à fait le cas puisque M. Clermont veut assurer la pérennité de la production porcine à son niveau de 5,2 millions de porcs par année. Il pense pouvoir obtenir l'appui de l'ensemble des agriculteurs, du monde politique et bien sûr des milieux environnementaux. Il rejoint M. Vincent sur la nécessité d'avoir des fermes rentables et il insiste sur la nécessité d'un équilibre entre la production et la capacité d'abattage des usines. Des droits compensatoires à l'horizon Il y a présentement plus de 40 000 porcs en surplus, qu'on essaie de vendre ailleurs au Canada et aux États-Unis. Malheureusement, il y a pratiquement autant de porcs de l'Ontario qui viennent se faire abattre au Québec. Personne ne parle de bloquer l'autoroute 20, comme cela a été fait dans le passé, mais plusieurs songent à empêcher les porcs d'ailleurs d'entrer dans les abattoirs du Québec, tout en voulant exporter plus de porcs québécois aux États-Unis. Un instant, répond M. Vincent, en expliquant que le Conseil canadien du porc vient de mettre 10 millions à son budget en prévision de droits compensatoires que le gouvernement américain va bientôt imposer, comme il l'a fait pour le bois d'oeuvre. Qu'à cela ne tienne, certains parlent d'une grève du porc, c'est-à-dire refuser de livrer des porcs aux abattoirs pendant une semaine ou un mois. Bref, la nervosité est grande et de nombreux producteurs se sentent démunis. Selon le plan de M. Clermont, on pourrait, avec un programme de rachat des fermes détenues par des indépendants, diminuer la production de 25 % en moins d'un an. Le coût des rachats, effectués selon des conditions précises pour éviter les abus, se situerait à près de 750 millions. Toutefois, les baisses des sommes versées par le gouvernement en assurance stabilisation du revenu diminueraient ce coût de 445 millions sur une période de 20 ans, ce qui ramènerait le coût net à 300 millions. Mais, en supposant que la production de porcs aurait continué d'augmenter jusqu'à neuf millions de porcs par année en 10 ans, il y aurait eu des coûts d'assurance additionnels de 175 millions et d'autres pertes reliées à la production, Bref, en tenant compte de tout cela, on arriverait à un gain net de 27 millions pour le gouvernement. Peu importe la crédibilité accordée à ces chiffres, il y a des producteurs qui avouent craindre que, si la tendance actuelle se maintient, le gouvernement puisse décider de laisser complètement tomber son aide financière. «Il se pose des questions, c'est certain. C'est pour ça qu'il a nommé M. Coulombe», rappelle M. Clermont. Pour ceux qui sont en difficulté et qui préféreraient demeurer en production, M. Clermont propose un programme de prêts sans intérêts pendant cinq ans et amortis sur 25 ans avec un maximum de 200 000 $ par entreprise. Selon M. Vincent, environ 40 % des producteurs ont des arrérages de paiements à la Financière agricole ou à des fournisseurs. La Financière précise que, dans son cas, 12 % ont des arrérages de paiement, en comparaison de 17 % en mars. La moyenne habituelle est de 5 %. Les paiements de la Financière dans le cadre de l'assurance stabilisation du revenu seront cette année de 300 millions, en comparaison de 254 millions en 2006, de 31 millions en 2005 et de zéro en 2004. La réglementation prévoit qu'un déficit doit être remboursé dans un délai de cinq ans. Ce régime d'assurance est payé aux deux tiers par le gouvernement et au tiers par le producteur, qui se voit imposer une surprime de 20 % à défaut de payer dans les délais prévus. Actuellement, le porc se vend entre 76 et 88 $, alors que le coût de production se situerait à 145 $. http://www.ledevoir.com/2007/11/24/165819.html
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Clônage
Animal a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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23 nov. 2007- Les producteurs frappés par la crise du porc sont branchés sur le respirateur artificiel, et plusieurs ne parviennent même plus à obtenir du financement pour survivre, constate Marc Aubin, un éleveur de porcs de la région des Laurentides ... Le « beau rêve » des 4 000 producteurs, qui avaient été encouragés par l’État québécois au début des années 2000 à ouvrir des porcheries en région, tourne au cauchemar. ... « Ce n’est pas facile, mais je me tire d’affaires parce que ma ferme est très productive », dit-il. Pour amortir les mauvais coups, il a diversifié ses activités. « Chaque année, j’expédie aux États-Unis 2 000 porcelets de lait (à New York et Boston). Il s’agit d’un produit haut de gamme, très prisé chez nos voisins du Sud », fait-il valoir. suite: http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2007/11/20071122-221040.html
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23/11/2007 Pour installer ses réservoirs de gaz liquéfié sur la côte de Lévis, les promoteurs du port méthanier Rabaska devront abattre au moins 65 000 arbres. Des 286 hectares dont le consortium Rabaska s’est porté acquéreur, quelque 116 sont boisés, accueillant quelque 49 hectares en boisés feuillus, 34 hectares de boisés mixtes (résineux et feuillus) et 33 hectares de plantations, selon un inventaire forestier déposé devant le Bureau d’audience publique en environnement. http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/11/20071123-105530.html
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p.s.: La production d'huile de palme extermine les orangs-outans. Le vendredi 23 novembre 2007 Greenpeace tente d'empêcher le déchargement d'huile de palme à Rotterdam Agence France-Presse La Haye Une vingtaine de militants de Greenpeace se sont attachés vendredi aux conteneurs d'un cargo transportant de l'huile de palme en provenance d'Indonésie, afin de l'empêcher de livrer sa cargaison dans le port de Rotterdam, a indiqué l'agence ANP http://www.cyberpresse.ca/article/20071123/CPENVIRONNEMENT/711231108/6108/CPENVIRONNEMENT
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Le «Viagra aux fourmis» ruine des milliers de Chinois
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
23 novembre 2007 Le «Viagra aux fourmis» ruine des milliers de Chinois Voilà une histoire malheureuse qui fait partie des aléas du capitalisme sauvage à la chinoise: des dizaines de milliers de Chinois se sont saignés pour élever des fourmis afin de produire un aphrodisiaque qui devait les enrichir. Jusqu'à ce que tout s'écroule et les laisse sans le sou. http://www.cyberpresse.ca/article/20071123/CPMONDE/71122150/6723/CPMONDE -
Je sais que c'est pas drôle ma pauvre hop, mais c'est temporaire et puis de cette façon, la petite est quand même protégée des microbes des deux autres tant qu'elle n'est pas totalement rétablie Pas facile de gérer tout ça ! Tu es très courageuse Ça règlera sûrement le problème ! Elle doit vouloir «marquer» son territoire étant donné qu'il y a d'autres chats dans la maison
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23-11-2007- One Voice a envoyé des enquêteurs en Chine cet automne. Suite à ce qu'ils ont découvert, nous demandons l'adoption rapide d'une loi de protection des animaux dans ce pays. Notre objectif est aussi d'aider concrètement les défenseurs des animaux sur place. Un rapport sur la situation des animaux dans les zoos, deux pétitions en ligne et un vidéo clip sont consultables sur notre site: www.onevoice-ear.org. La vidéo est également diffusée sur les sites spécialisés (youtube, dailymotion), avec la pétition et le rapport en anglais (également consultables sur http://www.onevoice-ear.org/english/index.html). Nous vous invitons à signer les pétitions et à les diffuser largement. Les associations des réseaux et coalitions dont One Voice est membre vont également pouvoir diffuser les informations dans leur pays - et donc dans le monde entier - et s'associer à notre demande d'une législation protégeant les animaux en Chine. Nous vous donnerons d'autres nouvelles de Chine début 2008. Merci pour votre mobilisation, Pour les animaux, L'équipe de One Voice
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la lettre hebdo de gérard charollois (21/11)
Animal a répondu à un(e) sujet de terrienne dans Environnement
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ENGLISH WILL FOLLOW Bonjour à tous, Même si l’hiver semble se pointer le bout du nez, les animaux continuent à arriver en grand nombre à la SPCA ces temps-ci. Par conséquent, nous avons un grand nombre de chats et de chiens en attente d’un placement temporaire. En voici une liste; CHIENS 131 : Maggie et ses 7 chiots, Labrador, toux de chenil 733 : Lafie, Pitbull X Boxer, 1 an, femelle, gestante 209 : Dagobert, Berger X, 4 mois, mâle, toux de chenil 741 : Shadow, Berger X, 5 ans, femelle, toux de chenil 124 : Hercules, Doberman X Rottweiler, 1 an, mâle, toux de chenil 004 : Maggie, Border Collie X, 4 ans, femelle, toux de chenil 018 : Pablo, Cattle Dog X, adulte, mâle, toux de chenil 095 : Puppy, Bichon X, 5 ans, mâle, toux de chenil La toux de chenil est un virus comparable à la grippe. Il est contagieux pour les autre chiens non vaccinés. CHATS 758 : Sabiha et ses deux chatons, noire, femelle, 1 an 758 : Dolly, tigrée, 1 an, femelle, gestante **Il y a 2 numéros 758, c’est normal…** 050 : Loulou & maman, chatte tigrée et chaton gris, rhino 757 : Hart & Bart, noir/blanc et gris, mâles, 5 mois, rhino 137 : Poochy, tigré, mâle, adulte, rhino 54 : Ulysse, tigré gris, mâle, 3 mois, rhino 175 : Mom & Baby, Noir et Noir/blanc, rhino La rhino est un virus comparable à la grippe. Il est contagieux pour les autre chats non vaccinés. J’aimerais vous rappeler que nous fournissons la nourriture pour le départ et que nous avons un vétérinaire que vous pouvez consulter pour 5$ en cas de besoin. SVP TRANSFÉREZ CE MESSAGE À TOUS VOS CONTACTS. Je sais que plusieurs d’entre vous sont déjà occupés avec des animaux venant d’ici, mais peut-être que vos amis, collègues et parents pourraient nous aider. Si un de ces animaux vous intéresse, communiquez avec nous le plus rapidement possible au 514-735-2711, poste 2237 ou via courriel à pfa_fp@spcamontreal.com. Merci et bonne journée, Maude Dagenais Desmarais Coordonnatrice du programme des familles d'accueil / Foster program coordinator SPCA Montréal 514.735.2711 x 2237 pfa_fp@spcamontreal.com ------------------------------- Hi everyone, Even if the winter is almost here, a great number of animals still arrive at the SPCA these days. Consequently, we have lots of cats and dogs waiting for a temporary placement. Here is a list of those animals; DOGS 131 : Maggie and her 7 puppies, Labrador, kennel cough 733 : Lafie, Pitbull X Boxer, 1 year, female, pregnant 209 : Dagobert, Berger X, 4 months, male, kennel cough 741 : Shadow, Berger X, 5 years, female, kennel cough 124 : Hercules, Doberman X Rottweiler, 1 year, male, kennel cough 004 : Maggie, Border Collie X, 4 years, female, kennel cough 018 : Pablo, Cattle Dog X, adult, male, kennel cough 095 : Puppy, Bichon X, 5 years, male, kennel cough The kennel cough is a virus we could compare to the flu. It is contagious to other unvaccinated dogs. CATS 758 : Sabiha and her two kittens, black, female, 1 year 758 : Dolly, tabby, 1 year, female, pregnant **There are 2 number 758 and it is normal…*** 050 : Loulou & maman, tabby cat and grey kitten, rhino 757 : Hart & Bart, black/white and grey, males, 5 months, rhino 137 : Poochy, tabby, male, adult, rhino 54 : Ulysse, tabby grey, male, 3 months, rhino 175 : Mom & Baby, Black and black/white, rhino The rhino is a virus we could compare to the flu. It is contagious to other unvaccinated cats. I would like to remind you that we provide food to start and that we have a vet you can see for 5$ if the need is. PLEASE FORWARD THE MESSAGE TO ALL YOUR CONTACTS. I know that many of you are already busy with some of our animals, but maybe your friends, family and colleagues could help out. If you are interested in any of those animals, please communicate with us soon at 514-735-2711, extension 2237 or by email at pfa_fp@spcamontreal.com. Thanks and have a great day, Maude Dagenais Desmarais Coordonnatrice du programme des familles d'accueil / Foster program coordinator SPCA Montréal 514.735.2711 x 2237 pfa_fp@spcamontreal.com
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Non maman, je ne fais pas partie d’une secte
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans Végétarisme
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Un nouveau blog ... Un apperçu ------------------------- Non maman, je ne fais pas partie d’une secte À force d’entendre tous les jours que les défenseurs des animaux sont des terroristes sanguinaires qui se nourrissent de chair humaine, plus précisément de viande de chasseurs et de scientifiques de tout poil, un jour ma mère va me dénoncer ! Mon fils est végétalien ! Mon fils est un militant ! Militant / militaire, il n’y a qu’un pas, et s’il y en avait plus, on dirait qu’il marche au pas. Mon fils est un criminel puisqu’il ne tue ni ne laisse tuer d’animaux pour lui, des bouchers, des éleveurs, d’honnêtes commerçants meurent de faim et errent dans les rues à la recherche d’une poubelle de sa faute. Mon fils fait partie d’une secte, il ne côtoie plus que des végétariens et ne sait plus parler d’autre chose que d’animaux, il lui ont nettoyé le cerveau, c’est certain, il ne sait plus penser par lui même. Le pire de tout c’est qu’il a monté sa propre association et qu’il cherche à enrôler de nouveaux disciples, je pense sérieusement à créer un groupe de mères de végétariens, pour en discuter toutes ensemble et trouver des solutions pour les aider à s’en sortir sans trop de graves séquelles. J’ai peur que pour mon fils ce soit trop tard, à force d’en manger c’est devenu un légume. Cependant, si je peux sauver d’autres vies, protéger d’autres familles de la cassure définitive, c’est mon devoir d’agir. Mon fils est un terroriste, il combat les valeurs de la France, le monde entier envie notre gastronomie et nos produits de luxe et lui il ne trouve rien de mieux à faire que les piétiner chaque jour et, pis encore, il le revendique et va le clamer haut et fort dans les rues toutes les semaines. Chaque semaine aux infos, on en voit des jeunes de son style, endoctrinés par des prophètes qui méprisent l’Homme, des extrémistes qui brûlent des laboratoires, qui volent des animaux à leur propriétaire, en se foutant complétement qu’ils ont dérobé à la fois une bête choyée et aimée et plus encore occasionnant des pertes financières parfois énormes à des hommes qui n’ont souvent que ces revenus modestes pour subsister. Un jour il tournera comme eux, si ce n’est déjà fait, il deviendra intégriste, ce jour là j’espère qu’il tombera sur un policier compréhensif, peut-être qu’il ne lui reste plus que cela pour comprendre, la prison, ou le fusil d’un chasseur pour lui mettre un peu de plomb dans la tête. Des hommes meurent de faim partout dans le monde et lui s’est lancé dans une lubie, défendre des poules et des cochons. Quelle absurdité, quelle futilité. Quel est ce monstre que j’ai mis au monde… http://www.troon.fr/blog/ http://www.troon.fr/blog/?m=200711
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AHAHHAHAH C'est très imprévisible ! Je n'y suis jamais arrivée ! Mais je crois qu'on peut quand même leur montrer que ça n'est pas bien de nous griffer sans aucune raison... Quand ma Fanie me mord ou me griffe, j'hausse le ton et elle sait que je ne suis pas contente car elle met ses 2 petites oreilles par en arrière... Je suis contente de savoir que tout continue de bien aller pour la petite Loustic
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CANADA: Food inspection officials to cull B.C. and ALBERTA cattle in bovine TB scare 11.nov.07 Canadian Press/Edmonton Journal The discovery of bovine tuberculosis in a bull will, according to these stories force the slaughter of 470 cattle and has resulted in the quarantine of almost 30 farms in B.C. and Alberta. The problem became widespread because the Vanderhoof, B.C. farmer who owned the infected bull downsized over the summer, selling almost 400 head of cattle at an auction in Innisfail, Alta., to 22 other farms. Seven farms in B.C., including the one where the bull was born, have also been quarantined. Maria Koller-Jones of the Canadian Food Inspection Agency was cited as saying all the animals sold at auction and the 70 cattle that remain on the Vanderhoof farm will be slaughtered and tested, adding that only if another animal tests positive for TB will the agency take action on one or more of the quarantined farms. Most of the ranches, which Koller-Jones was cited as saying are centred around Red Deer, acquired cattle at an Innisfail auction. While humans are susceptible to bovine TB, Koller-Jones was cited as saying that since food inspections and controls are effective at spotting the disease, the only real risk is to humans who work closely with cattle. The ranchers who came into contact with the infected bull have tested negative for tuberculosis. The infected bull was processed in a Quebec slaughterhouse in August and was found to be infected with TB during a routine check. Ted Haney of the Canada Beef Export Federation was cited as saying the government's quick response to the outbreak should safeguard the country's reputation, adding "Clearly, by international standards and by risk based assessment, Canadian beef is safe to eat and Canadian cattle are safe to trade." Rancher Hugh Lynch-Staunton was cited as saying if anything the quick response of Canadian food safety officials should reassure world markets, adding, "It is an indication that our tracking and tracing is working really well because we pick up these things when there aren't very many of them." Larry Sears, who owns a cattle ranch near Stavely, Alta., was cited as saying he can only hope the U.S. government and beef industry will respond to the outbreak in a rational way, adding, "I would hope that it will be dealt with a lot more intelligently than BSE (mad cow disease) has been."
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19 novembre 2007 ... Quelque 200 personnes ont assisté, dimanche, à une assemblée de consultation à Sainte-Anne-des-Monts particulièrement houleuse. La réunion a été ponctuée de rappels à l'ordre et de commentaires parfois acerbes à l'endroit du projet des Micsmacs de Gesgapegiag. Le fossé entre blancs et Amérindiens demeure entier même si les Micmacs ont revu à la baisse la portion de territoire qu'ils comptent utiliser. Selon les recommandations du rapport du conseiller mandaté par le gouvernement, la communauté de Gesgapegiag demande maintenant une zone réservée de 312 kilomètres carrés plutôt que 421 kilomètres. Un droit d'accès sera accordé aux chasseurs locaux. Les Micmacs entendent fixer les droits d'accès à la nouvelle pourvoirie à 500 $ par chasseur gaspésien. ... Développement économique De son côté, le conseil de bande de Gesgapegiag juge qu'il s'agit d'un projet vital pour la communauté aux prises avec d'importants taux de chômage. Une vingtaine de personnes travailleraient à la pourvoirie. Le projet générera des investissements globaux de plus de 2 millions de dollars, dont la moitié pour la construction d'un gîte hôtelier de 24 places au lac Sainte-Anne. La pourvoirie permettrait un prélèvement annuel de 73 orignaux, de cerfs de virginie et de dix ours noirs. La gestion de la pourvoirie autochtone s'effectuera en partenariat avec la Société des établissements de plein air du Québec. Les travaux d'aménagement sont prévus pour 2008. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2007/11/19/002-pourvoirie.asp