-
Compteur de contenus
14 605 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Animal
-
Bioniche livre sa première commande du vaccin bovin contre E. coli O157:H7 Belleville (Ontario), 23 août 2007 - Bioniche Life Sciences Inc., société biopharmaceutique canadienne de recherche axée sur la technologie, a annoncé qu'un premier permis a été délivré pour son vaccin bovin contre E. coli O157:H7 et que la première commande de ce vaccin a été livrée au client. Le vaccin sera utilisé pour réduire l'excrétion de E. coli O157:H7 chez les bovins. Les bactéries évacuées dans les fèces peuvent contaminer les aliments, l'eau et l'environnement. On estime que l'exposition de l'humain à cet agent pathogène entraîne 100 000 cas de morbidité par année en Amérique du Nord. Selon Bioniche, l'administration du vaccin contribuera à diminuer la quantité de bactéries excrétées par les bovins et à atténuer les conséquences de ces bactéries sur la santé humaine. Le vaccin fait toujours l'objet d'un examen par l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) et le Department of Agriculture des Etats-Unis. En décembre, dans le cadre de son processus d'examen, l'ACIA a avisé Bioniche que la délivrance de permis en vertu de la réglementation relative au Permis de dissémination de produits biologiques vétérinaires était acceptable. Cette réglementation autorise les propriétaires de bovins à demander à leur vétérinaire de leur fournir le vaccin en question par l'intermédiaire de Bioniche. Au moment où cette autorisation a été accordée à la société, le vaccin n'était pas encore disponible en quantité importante. Depuis, Bioniche a amorcé la production de son vaccin bovin contre E. coli O157:H7 à ses installations de Belleville, en Ontario. Le vaccin est à présent distribué aux vétérinaires qui en font la demande en vertu de la réglementation relative au Permis de dissémination canadien. Les activités de Bioniche continueront de progresser lorsque la société recevra de nouvelles approbations à l'échelle nationale et internationale. D'ici à ce qu'elle les reçoive, le vaccin sera distribué aux vétérinaires canadiens au fur et à mesure que les demandes de permis seront acheminées à l'ACIA et approuvées par l'organisme. Pour que Bioniche obtienne un permis complet pour son vaccin plutôt qu'une autorisation à le distribuer sur délivrance d'un permis, elle doit, conformément aux directives de l'ACIA, fournir des données additionnelles confirmant la réduction des excrétions de E. coli O157:H7 chez les animaux vaccinés. Ces données ont été communiquées à l'ACIA au printemps et font actuellement l'objet d'un examen. De plus amples renseignements sur les premières commandes du vaccin seront communiqués lorsque les clients concernés consentiront à leur diffusion et que Bioniche présentera ses résultats financiers. Bioniche Life Sciences Inc. Bioniche Life Sciences Inc. est une société biopharmaceutique canadienne de recherche axée sur la technologie qui découvre, met au point, fabrique et commercialise des produits exclusifs destinés au marché mondial de la santé humaine et animale. La société entièrement intégrée emploie environ 185 personnes qualifiées évoluant au sein de trois divisions : santé humaine, santé animale et salubrité des aliments. Le principal objectif de la société est la mise au point de traitements anticancéreux exclusifs dont le financement est assuré par la commercialisation des produits de santé animale et humaine. bulletin des agri
-
La CSN veut une concertation de tous les intervenants pour sauver le seul abattoir de bouvillons du Québec Valleyfield (Québec), 21 août 2007 - C'est une nouvelle tuile qui tombe sur la région du Suroît. Le seul abattoir de bouvillons au Québec, l'abattoir Z. Billette de Saint-Louis-de-Gonzague, a fermé ses portes le 2 août 2007. Ce sont près de 300 emplois de qualité qui quittent le Québec. La Confédération des syndicats nationaux lance un appel à tous les intervenants du milieu afin de trouver une solution pour relancer l'abattoir. Pour le président de la Fédération du commerce CSN, Jean Lortie, il importe de trouver des solutions à la fermeture de l'abattoir dans une région très durement touchée par la crise que vit le secteur manufacturier depuis quelques années. La fermeture de l'abattoir entraîne la perte de nombreux emplois de qualité. Le syndicaliste y voit également un défi posé à tout le Québec puisqu'il s'agit du seul abattoir de bouvillons au Québec. Le seul autre abattoir (Colbex) n'abat que des vaches de réforme. « Est-il normal que le Québec ne dispose plus d'abattoir de jeunes bouvillons ? Ces boeufs seront dorénavant abattus ailleurs au pays(=Ontario) ou aux Etats-Unis. Nous croyons qu'il est dangereux pour le Québec de mettre tous ses oeufs dans le même panier. Cela mine la sécurité et la souveraineté alimentaire du Québec et handicape notre capacité à faire face à d'éventuelles crises comme celle de la vache folle. Et puis, quels seront les impacts de cette fermeture pour les petits éleveurs de bovins et pour l'avenir de cette industrie ? Enfin, il faut souligner qu'en faisant abattre les bouvillons hors de nos frontières, on augmente le transport par camion, donc les coûts et la pollution atmosphérique. Il est absolument nécessaire que tous les intervenants de l'industrie se rencontrent pour trouver des solutions. C'est ce à quoi nous les convions », explique Jean Lortie. Pour sa part, la présidente du Conseil central de la Montérégie-CSN, Pierrette Poirier croit qu'on doit tout mettre en oeuvre pour éviter ce nouveau choc pour l'économie de la région. « L'exportation des emplois dans le secteur manufacturier, il faut que ça cesse. Après le textile à Huntingdon, Gildan, Goodyear, aujourd'hui c'est au tour de Z. Billette. Ce sont près de 2500 emplois perdus en quelques années. Nous avons le devoir de nous asseoir tous ensemble et de trouver des solutions viables. S'il est clair que les gouvernements provincial et fédéral détiennent une partie de la solution, nous avons tous nos responsabilités à prendre », estime-t-elle. Quant au président du syndicat CSN, Stéphane Ménard, il rappelle que le syndicat compte faire sa part. « Nous avons consenti récemment d'importantes concessions au niveau de l'organisation du travail et des horaires dans le but de relancer l'abattoir. Nous sommes toujours ouverts à effectuer les aménagements nécessaires pour permettre à l'entreprise de renouer avec la rentabilité », soutient-il. Un abattoir en difficulté L'entreprise Les abattoirs Zénon Billette inc. a connu des difficultés financières importantes au cours des dernières années. Bien qu'elle ait enregistré des profits avant la réouverture de la frontière au commerce de boeufs vivants, en juillet 2005, la flambée du dollar canadien et des problèmes de compétitivité ont eu raison de l'entreprise. Il faut par ailleurs souligner que tout le secteur de l'abattage de boeuf au Canada et aux Etats-Unis a connu des difficultés durant cette période. Pour redevenir concurrentiel, l'abattoir de Saint-Louis-de-Gonzague doit se développer davantage et accueillir de nouveaux investissements afin d'en améliorer la productivité. Jean Lortie a ainsi invité formellement le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, Laurent Lessard, la ministre du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs, Line Beauchamp, le ministre fédéral responsable de la grande région de Montréal, Michael Fortier, le président de la Fédération des producteurs de bovins du Québec, Michel Dessureault, propriétaire de l'abattoir à hauteur de 80 % ainsi que les élus et les acteurs socio-économiques de la région à faire le point sur la situation et à bâtir un plan de relance. Le Syndicat des abattoirs Z Billette inc - CSN est affilié à la Fédération du commerce ainsi qu'au Conseil central de la Montérégie. Fondée en 1921, la CSN compte 300 000 travailleuses et travailleurs de tous les secteurs d'activité dont plus de 10 000 dans le secteur agroalimentaire. bulletin des agri
-
Des fermes ouvertes au public laterre.ca 31 août 2007 La journée Portes ouvertes sur les fermes du Québec aura lieu le dimanche 9 septembre prochain. Quelque 130 fermes sont inscrites à l’évènement cette année. Comme par les années passées, les visiteurs auront droit à des visites guidées de fermes gratuites. Ils pourront se familiariser avec les bâtiments et les équipements nécessaires pour la production agricole. Ils recevront des explications concernant les étapes de transformation des produits. Certaines fermes offriront aussi des dégustations de produits régionaux. Les entreprises participantes sont spécialisées dans plusieurs productions telles que le lait, le porc, le bison, les fruits et légumes, les fines herbes, le sirop d’érable, le miel, le vin et le bois. La liste des fermes inscrites est disponible sur le site Internet www.portesouvertes.upa.qc.ca . Elles seront ouvertes de 10 h à 16 h. Cette activité en est à sa cinquième édition cette année. Mise de l’avant par l’Union des producteurs agricoles (UPA), les Portes ouvertes visent à rapprocher les citadins du monde agricole. L’an dernier, l’activité avait attiré 125 000 personnes. Ils auront sûrement eu le temps de cacher les cadavres avant l'ouverture!
-
Les présentations suivantes ont été traduites en français: -La théorie des droits des animaux: http://www.abolitionistapproach.com/media/slides/theory1fr.html -Les animaux comme propriété: http://www.abolitionistapproach.com/media/slides/theory2fr.html -Droits des animaux vs bien-être animal: http://www.abolitionistapproach.com/media/slides/theory3fr.html -Le droit animal: http://www.abolitionistapproach.com/media/slides/theory4fr.html Toutes les videos: http://www.abolitionistapproach.com/video/
-
encore un autre incendie de ferme non annoncé dans les journaux... et comme on ne peut copier cette nouvelle sur le site de 911, je la retranscrit INCENDIE MAJEUR DANS UNE FERME LAITIÈRE DE AUDET 29-08-2007 Mercredi, les pompiers de Audet ont dû combattre un violent incendie de ferme laitière du 70 Chemin Vallerand. Le service d'incendie de Audet a demandé l'assistance de St-Ludger et Lac-Drolet. Plusieurs bêtes ont péri dans l'incendie. (le nombre n'est pas indiqué)
-
Le vendredi 31 août 2007 LA CIBLE À ATTEINDRE: 2800 ORIGNAUX Chasse au record Selon les prévisions les plus optimistes, 2800 orignaux pourraient être abattus au Saguenay-Lac-Saint-Jean cette année, ce qui constituerait un record historique. Samedi matin, une première cohorte de chasseurs, les utilisateurs d'arc ou d'arbalète, envahiront les forêts de la zone 28 pour traquer l'élan d'Amérique. Le 22 septembre, ce sera au tour des chasseurs armés d'une carabine de se lancer à l'assaut de leur trophée automnale. Comme le prévoit le plan de gestion actuel, implanté par le ministère en 1999, les sportifs auront droit de prélever la femelle orignal sur l'ensemble du territoire, ce qui n'est permis qu'une année sur deux. En 2005, dans des conditions similaires, environ 2600 bêtes avaient été tuées. "Le plan de gestion a très bien fonctionné et l'on est en droit de s'attendre, encore cette année, à d'excellents résultats", exprime le biologiste Claude Dussault, de la Direction de l'aménagement de la faune du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Ce dernier note en ce sens l'impressionnante croissance du taux de succès depuis 1999, alors que 1454 orignaux avaient été abattus. "En 2001, on était passé à 1775, puis à environ 2300 en 2003", dit-il. Le biologiste laisse entendre que le nombre d'abattage pourrait atteindre jusqu'à 2800 bêtes cette année, tout en demeurant très prudent dans ses affirmations. "Je ne veux pas créer de fausses attentes car il y a des limites à ce qu'un plan de gestion peut avoir comme impact. Je crois toutefois que nous pouvons atteindre le chiffre de 2800 orignaux au Saguenay-Lac-Saint-Jean", signale-t-il. suite http://www.cyberpresse.ca/article/20070831/CPACTUALITES/708310405/5056/CPQUOTIDIEN
-
Pas de suspension de la chasse après les incendies (Grèce)
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
-
-
Août 2007- Grande convoitise pour les singes de Maurice Les méthodes d’élevage scientifiques des singes ont fait de Maurice une référence en la matière. Le nombre des singes exportés ne fera qu’augmenter dans les années prochaines car le business est aussi assez juteux. Mary-Ann et Owen Griffiths dans leur élevage de singes où toutes les précautions sont prises pour éviter la contamination. Nazir Jaffar a le bout de l’auriculaire de la main droite presque sectionné. Une profonde cicatrice témoigne de la férocité de la morsure dont il a été victime. «Les dents des singes sont extrêmement coupantes. Malgré tout mon expérience, je me suis fait mordre», dit cet homme de 33 ans qui place depuis voilà plusieurs années des pièges à singe dans la nature, à Midlands et dans la région de Montagne-Blanche. Le business lui rapporte gros. «J’ai construit plus de la moitié de ma maison avec l’argent obtenu de la vente des singes que je capture», affirme-t-il. Et il ne compte pas abandonner malgré certaines déboires. «Souvent, on me vole mes pièges avec les singes qui s’y trouvent. L’autre jour, j’avais oublié de nourrir les singes capturés. Ils se sont battus à l’intérieur des cages et quand j’ai ouvert, j’ai été mordu et ils se sont enfuis.» Debout fièrement devant une cage contenant six singes, dont une guenon et ses petits, Jaffar dit qu’il a placé une quinzaine de pièges dans différentes régions du centre de l’île. Il part chaque jour à bicyclette vers 4 heures du matin pour vérifier ses pièges et enlever les animaux pris. Il embarque alors les singes capturés dans des sacs en jute (bal gouni) pour les transporter chez lui. Méthode artisanale qui lui a valu des morsures. Mais l’affaire rapporte gros. Environ Rs 1 000 minimum par singe à Jaffar. Mais ce que Jaffar ne sait pas, ce que des éleveurs payent cash entre Rs 3 000 à Rs 6 000 par singe, dépendant de l’état et l’âge de l’animal. Et le prix de l’animal à l’exportation : «A few thousand dollars», nous dit un exportateur qui ne veut pas préciser les chiffres. Mais on sait que les trois exportateurs de singes du pays donnent 70 dollars au National Park pour chaque singe exporté. Ainsi, le National Park obtient en moyenne Rs 12 millions chaque année avec l’exportation des singes. Le commerce des singes est donc devenu un marché juteux. Et des éleveurs se bousculent en ce moment aux portillons, car le singe mauricien est en ce moment très recherché par les laboratoires étrangers. Un laboratoire américain n’a-t-il pas payé cash Rs 500 millions pour acheter 40 % de l’actionnariat Noveprim, l’élevage de singes du groupe mauricien CIEL l’année dernière ? Depuis cet événement, le gouvernement s’est retrouvé devant deux demandes de permis pour des fermes d’élevage de singes. C’est, paraît-il, la méthode d’élevage qui a fait de Maurice une référence en la matière et donné lieu à une ruée pour les macaques du pays. Un environnement nickel et aseptisé Ce marché juteux donne aussi lieu à des braconniers en tous genres. Ils sont ainsi plusieurs milliers à travailler dans l’ombre, loin du regard des autorités avec leurs «bal gouni». Les éleveurs, eux, ont préféré jusqu’ici travailler dans le secret le plus total. La ferme Bioculture des Griffiths a cependant levé le rideau. «Nous jouerons maintenant la transparence», dit Owen Griffith. La raison de ce revirement se trouve dans le fait qu’une photo montrant un singe ensanglanté dans une cage circule en ce moment sur Internet. «Regardez comment ils traitent les singes à Maurice», dit en substance la légende accompagnant l’horrible photo. Owen Griffith affirme que cette photo ne montre pas un singe venant de Maurice. Selon lui, ce primate a été exporté d’un des pays asiatiques qui élèvent et exportent en masse des singes, sans trop se soucier des normes. Mais à Maurice, le monde des éleveurs accrédités surprend le visiteur par sa propreté et l’absence totale des odeurs qu’on s’attend à trouver dans un tel lieu. Un environnement nickel, aseptisé et javelisé où tous ceux qui entrent, doivent porter masque et bottes pour éviter de contaminer les singes en cage. «Les singes asiatiques sont porteurs du virus de l’herpès, ce qui n’est pas le cas des singes de Maurice. Nous traitons nos singes pour toutes les infections mineures qu’ils auraient pu contracter dans la nature et nous prenons d’énormes précautions pour éviter des contaminations ici dans les cages», dit Mary-Ann Griffiths. Et les précautions ne concernent pas uniquement la contamination. Beaucoup de soins et de recherches pour éviter que les guenons ne s’engraissent pas trop dans les cages, qu’elles allaitent bien leurs petits, que chaque groupe soit constitué d’un mâle dominant séparé des autres dominants, que lors des exportations, des singes du même groupe se trouvent dans les mêmes cages. «Si ou mette deux mâles dans même la cage, zotte pou laguere et blese zotte», nous avait expliqué Nazir Jaffar. Narain L… de Chemin-Grenier, qui a vu des mâles nouvellement capturés s’entretuer dans une cage confirme. Là, on se rend compte que ne pourra être éleveur de singes qui le veut. L’investissement n’est pas tout, car on n’élève pas des singes comme on élève des poulets. «Le choix des singes pour les différentes cages, les aménités placées dans ces cages se fait avec l’aide d’un expert en comportement des primates qui travaille à plein temps chez nous», dit Owen Griffiths. «Et l’alimentation est calculée sur des bases scientifiques, parce que ces singes ne bougent pas autant que dans la nature», explique Mary-Ann Griffith qui précise qu’elle n’a pas recours à des trappeurs indépendants pour capturer des singes pour son élevage. Maurice a, en ce moment, 14 000 singes en élevage, contre 100 000 en Chine. L’île exporte environ 7 000 singes annuellement alors qu’on estime que la population de ces macaques dans la nature est d’environ 60 000. On doit s’attendre à une multiplication de cette exportation avec la réputation que se fait Maurice. Et une multiplication de braconniers en tout genre qui échappent à tout contrôle en ce qui concerne la capture et l’alimentation de ces macaques avant la vente. Air Mauritius ne transporte plus les singes Les mouvements de défense et les sociétés protectrices des animaux sont si actifs que les gouvernements étrangers, les laboratoires et les compagnies mêlées de près ou de loin prennent des précautions. Ainsi Air Mauritius a cessé de transporter les singes des éleveurs mauriciens à la suite des pressions des groupes britanniques. Les importateurs des singes vérifient eux-mêmes avant d’importer pour éviter qu’on vienne manifester devant leurs locaux.« Nous exportons vers les états-Unis et la Grande-Bretagne. Le gouvernement britannique et les laboratoires délèguent régulièrement des inspecteurs pour constater de visu les conditions d’élevage. Les Britanniques viennent d’annuler l’accréditation de la Chine qui a environ 100 000 singes d’élevage. La Chine ne peut plus exporter vers la Grande-Bretagne et cherche aujourd’hui à copier la méthode d’élevage de Maurice », explique Owen Griffiths. Rs 40 millions pour une ferme « Pour mettre sur pied une ferme pouvant élever environ 1 500 singes, il faut investir entre Rs 30 à 40 millions », explique Owen Griffiths, directeur de Bioculture qui est un des plus importants éleveurs et exportateurs de singes à Maurice. Ces singes seront vendus aux éleveurs qui ont des permis pour l’exportation de ces animaux vers des laboratoires américains et européens. De fait, la plupart des laboratoires exigent des singes d’élevage uniquement et non des singes capturés dans la nature. Nazir Jaffar, le trappeur de singes devant ses cages. Raj JUGERNAUTH http://www.lexpress.mu/display_article.php?news_id=48024
-
-
-
Un hippo "de cirque" relâché dans une réserve en A
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
-
Pas de suspension de la chasse après les incendies (Grèce)
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
-
Le vendredi 31 août 2007 Un groupe d'écologistes dit avoir contaminé des produits de santé Associated Press Londres Un groupe d'écologistes anglais affirme avoir contaminé des produits de santé en Grande-Bretagne et en France dans le cadre d'une campagne contre les tests sur les animaux, a-t-on appris vendredi auprès de la police britannique. Dans l'Hexagone, une solution d'entretien pour lentilles de contact pourrait être concernée. La compagnie CIBA Vision, filiale du groupe Novartis, a demandé vendredi à toute personne ayant acheté un flacon de SOLO-Care Aqua entre le 25 et le 30 août de ne pas l'utiliser et de le rapporter dans son magasin d'origine pour un échange. Des analyses sont en cours pour déterminer si le produit a effectivement été contaminé. La société précise dans un communiqué qu'elle a été informée par les autorités d'une «possible action malveillante qui consisterait en la dégradation volontaire du contenu de 85 flacons» de cette solution. «Malgré l'absence de preuve formelle d'un tel délit», CIBA Vision dit prendre «très au sérieux» cette information. L'organisation britannique Animal Rights Militia affirme avoir contaminé des produits fabriqués par le groupe pharmaceutique suisse Novartis, c'est-à-dire la solution pour lentilles commercialisée en France et la crème antiseptique Savlon vendue en Grande-Bretagne. Il reproche à la compagnie de faire appel à la société Huntingdon Life Sciences, laboratoire d'expérimentation animale. Selon Novartis, plusieurs milliers de tubes de sa crème ont été rappelés. «Au cours des cinq derniers jours, plus de 250 tubes et flacons du produit antiseptique Savlon de Novartis ont été contaminés», expliquait mardi le groupe sur le site Internet du magazine «BiteBack» de l'ALF (Animal Liberation Front), une organisation américaine. «Nous ne voulons tuer aucun être vivant comme Novartis, mais les effets secondaires et le séjour hospitalier inévitable donneront aux gens une idée de ce que Novartis paie pour Huntingdon Life Sciences.» Le groupe radical aurait contaminé la solution d'entretien pour lentilles avec du peroxyde d'oxygène, qui peut provoquer des irritations. En France, le parquet de Paris a saisi conjointement la section antiterroriste de la brigade criminelle et la division nationale antiterroriste (DNAT) «par précaution et par prévention», a-t-on appris de source policière. Les résultats des analyses ne sont pas encore connus et «il est trop tôt pour savoir» si la menace est réelle. En mars, trois activistes britanniques avaient été condamnés à des peines allant de 15 mois à quatre ans de prison pour avoir menacé des employés d'Huntingdon Life Sciences et d'autres compagnies. En 2001, des hommes masqués armés de bâtons de baseball avaient attaqué le responsable de la société à son domicile. Novartis a confirmé avoir retiré le Savlon en Grande-Bretagne par précaution. «La compagnie prend cette affaire très au sérieux et est en contact étroit avec la police, les revendeurs et les autorités sanitaires», précise le groupe dans un communiqué. http://www.cyberpresse.ca/article/20070831/CPMONDE/70831116/6108/CPENVIRONNEMENT
-
Sears Canada s'associe avec l'entreprise de la Nouvelle-Écosse Clearwater pour permettre aux Canadiens de partout au pays de commander du homard accompagné de fruits de mer sur le web. Les crustacés de l'Atlantique sont livrés vivants ou congelés, selon la province de destination, dans un délai de 2 à 5 jours. http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2007/08/30/005-NE-homard-Internet_n.shtml
-
oui et depuis quelques temps, la majorité des chercheurs qui s'établissent au Québec proviennent de pays étrangers ! Ils savent qu'en venant ici, ils ne se feront pas embêtés ! p.s; vu sur ce site, qu'il y aurait 2 millions d'animaux utilisés en recherche chaque année au Canada...mais je suis persuadée que c'est beaucoup plus http://www.landfood.ubc.ca/animalwelfare/research/lab_animals.htm
-
Roosmalen, trafiquant ou victime d'exploitants forestiers ?
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
-
Pétition 'Non' aux tests de toxine botulique sur les souris
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans Pétitions-Sondages-Suggestions
-
L’avenir de notre agriculture : le maïs, prochain mal-aimé ?
Animal a posté un sujet dans Environnement
Le jeudi 30 août 2007 L’avenir de notre agriculture : le maïs, prochain mal-aimé ? Le Soleil Québec Oubliez le porc et son odeur dérangeante. C’est par le maïs que viendra la pollution et la confrontation dans les municipalités au cours des prochaines années. ... Le maire de Lac-Etchemin voit venir le jour où, en manque de lisier de porc, les agriculteurs auront recours à davantage d’engrais chimiques, bourrés de phosphore, pour faire pousser les épis. Et il s’en inquiète. Bien plus que du nombre de cochons sur son territoire. http://www.cyberpresse.ca/article/20070830/CPSOLEIL/70830018/6907/CPSOLEIL -
Le jeudi 30 août 2007 Rappel d'épinards contaminés par la salmonelle Associated Press Washington Une entreprise de fruits et légumes frais de la Californie a annoncé mercredi le rappel de paquets d'épinards frais distribués au Canada et aux États-Unis. Des tests ont montré que ces légumes étaient contaminés par la salmonelle. http://www.cyberpresse.ca/article/20070830/CPACTUEL/708291197/6685/CPACTUEL
-
Des chats sont tués en Suisse pour leur fourrure!
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
-
New York First State to Ban Anal Electrocution for Fur August 28, 2007 Foxes and other animals on New York fur farms will be spared the painful deaths of electrocution, but they still suffer enormously just to supply a little trim for a collar or cuff. New York made history today by becoming the first state in the nation to ban the practice of electrocuting animals to make fur coats and fur-trimmed jackets. Across the United States, electrocution—including anal and genital electrocution—is still used in killing foxes, chinchillas, mink and other animals for their fur. Abroad, electrocution is also widely used, and anal electrocution of foxes is common. When they are not slammed into the ground or beaten before being skinned alive, raccoon dogs are also anally electrocuted. In banning electrocution, New York joins the U.K., which had already banned this cruel practice (replacing it with barbiturate injection) before banning fur farming altogether for its unethical nature. Extraordinary Cruelty The one-step process of anal and genital electrocution forces a surge of electricity into the animal's body through electrodes, and although the animal can appear rigid and motionlessness, he or she may remain conscious and suffering while experiencing the full force of a heart attack. Such a method of killing is considered unacceptable by American Veterinary Medical Association (AVMA) guidelines. Unfortunately, the opinions of the public and veterinarians have done as little to stop fur-factory operators from using electrocution as they have done to discourage fur trappers from using their cruel methods. Some of these methods include the steel-jawed leghold trap, which the AVMA considers "inhumane;" the Conibear-style body-crushing trap which killed multiple family dogs in New York last year; and the neck snare, which can cause coyotes to experience the horrific phenomenon of "jellyhead"—wherein the animal remains alive as fluid builds up in his or her head. Lawmakers Set Example for Compassion New York—the country’s top fur market—has taken a significant step this year by both banning electrocution and closing the fur labeling loophole. Senator Frank Padavan, sponsor of both bills on his side of the legislature, was joined by bill sponsors Assemblymember Deborah Glick on the law to ban electrocution, and by Assemblymember Linda Rosenthal on the law calling for truthful fur labeling. By passing these commonsense laws, the New York state legislature and Governor Spitzer have set examples of decency that other states should soon follow.
-
Reuters - Mercredi 29 août, 10h47 MEXICO (Reuters) - La police mexicaine a saisi plusieurs dizaines de milliers d'oeufs d'une espèce rare de tortue en démantelant un réseau de contrebande de cette marchandise prisée pour ses vertus censément aphrodisiaques. Six personnes ont été arrêtées près d'une plage dans l'Etat méridional d'Oaxaca, après la découverte de 57.000 oeufs de tortues "Olive Ridley", a déclaré le gouvernement mardi. Ces oeufs sont un plat traditionnel dans la région côtière du Pacifique, où elles viennent migrer tous les ans pour leur reproduction. L'"Olive Ridley" est aujourd'hui classée parmi les espèces en voie d'extinction.