-
Compteur de contenus
14 605 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Animal
-
L'ambassadeur pour la conservation des pêches est en Europe afin de faire valoir que la chasse au phoque est humaine et durable Le 26 mars 2007 Nº 45 Le ministre des Affaires étrangères et ministre de l’Agence de promotion économique du Canada atlantique, l’honorable Peter MacKay, et le ministre des Pêches et des Océans, l’honorable Loyola Hearn, ont annoncé aujourd’hui que l’ambassadeur pour la conservation des pêches du Canada, M. Loyola Sullivan, se trouve en Europe pour faire valoir que la chasse au phoque au Canada est sans cruauté et durable. « Je veux signaler aux Européens que la chasse aux phoques est sans cruauté, durable, bien encadrée et réglementée. Elle fait partie de notre patrimoine culturel et économique », a déclaré l’ambassadeur Sullivan. Du 26 mars au 6 avril 2007, l’ambassadeur Sullivan se rendra en Belgique, au Royaume-Uni, en Allemagne, aux Pays-Bas et en Autriche. Il sera accompagné de plusieurs groupes importants qui dépendent de la chasse aux phoques, notamment des phoquiers et des représentants de communautés inuites. http://www.news.gc.ca/cfmx/view/fr/index.jsp?articleid=287109
-
-
-
-
2009, plus d'animaux en magasin (29/03/2007) La loi a été votée hier. Les particuliers devront aussi être obligatoirement agréés s'ils vendent la portée de leur animal BRUXELLES Pour les protecteurs des animaux, c'est une victoire. Pour les marchands, c'est un désastre. La commission de la Santé publique de la Chambre a adopté, hier, le projet de loi interdisant la vente de chiens et de chats dans les magasins à partir du 1er janvier 2009. Seuls les CD & V et Vlaams Belang ont voté contre. Que dit le texte ? Dès 2009, vous ne verrez plus de mignons chiots et chatons dans des magasins. Interdit ! Si vous désirez acheter un animal, il faudra vous adresser à l'éleveur ou au magasin, qui pourra vous montrer des photos... sur catalogue ou sur ordinateur. Mais il n'y aura plus d'animaux aboyant ou miaulant dans les copeaux des cages de verre. "O n voulait une interdiction totale de la vente en magasin, finalement on obtient ce compromis qui est quand même une sérieuse avancée ", notent Michel Vandenbosch pour Gaia et Jean-Marc Montegnies pour Animaux en Péril. "Celui qui vend une portée, éleveur ou amateur, devra aussi être agréé. Actuellement, l'agrément était imposé à partir de trois portées par an. Cette mesure permettra d'inventorier plus précisément tous ceux qui vendent des animaux et de lutter contre le marché noir." Le ministre Demotte (PS), en charge du bien-être animal, a soutenu le vote. "L'agrément mettra fin à une sorte de clandestinité", explique Pierre Du Ville, au cabinet Demotte. "Les vendeurs auront été contrôlés par les vétérinaires du SPF bien-être animal". Et seuls les vendeurs agréés pourront faire de la pub pour leurs animaux et uniquement dans des revues professionnelles ! Plus question d'apposer sa petite annonce au supermarché du coin. "C'est désastreux ", souligne Léonard Monami pour Andibel, l'association des marchands. "Je suis un petit vendeur, mais je vends 800 chiens par an et j'emploie 4 personnes dont je n'aurai plus besoin en 2009. Beaucoup de commerces vont devoir mettre la clé sous le paillasson. Nous demandons des mesures sociales pour le secteur, comme l'accès au chômage direct pour les indépendants qui vont se retrouver sans boulot... Au moins 10.000 portées sont vendues par an par des particuliers aux magasins : que vont-ils faire de leurs animaux en 2009 ?" Notre interlocuteur, lui, a songé à une solution alternative : transformer son magasin en refuge et proposer les animaux à l'adoption plutôt qu'à la vente. Nancy Ferroni La Dernière Heure 2007
-
Chats et chiens en magasin : un compromis pour 2009
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
-
Bonjour ma belle hop ! Est-ce que Céline c'est toi ? juste une petite réflexion Céline Jeudi 29 Mars 2007 @ 5:26 Je viens de lire les commentaires qui font suite à votre article, commentaires sensibles et éclairés, et je constate que, faute de pouvoir contre-argumenter, vous vous rabattez sur les sempiternels : "Vous devez faire avec et accepter que ça existe. Vous n'avez pas à être d'accord, vous n'avez pas non plus à vouloir imposer votre mode de vie. " Avec ce genre de principes, les femmes seraient encore des personnes mineures sous tutelle, l’esclavage serait toujours florissant partout. Heureusement que des femmes et des hommes "radicalement" contre ces injustices ont refusé "d’accepter que ça existe" et ont œuvré pour l’abolition de ces systèmes d’oppression. Pour vous, le massacre de phoques à coup de gourdin se résume à ceci : "Ce n'est pas beau, certes, mais c'est la manière de faire. " Et voilà, pour vous tout est dit : "C’est la manière de faire" ! Combien d’horreurs, perpétrées sur des humains ou sur des animaux, a-ton légitimé au nom des us, des coutumes et des traditions séculaires ? Vous accusez les militants pour les droits des animaux de s’acharner sur les chasseurs, de nuire à leur mode de vie, d’oublier l’humain... Il faudrait quand même savoir de quoi on parle ! On ne peut décemment pas mettre sur le même plan le fait que des gens soient contraints de changer d’activité pour vivre et le fait que des animaux soient massacrés ! Je tiens cependant à vous rassurer ; les animalistes ne se critallisent pas sur la chasse aux phoques et beaucoup d’entre eux dénoncent toutes les formes d’exploitation animale ! Mais la chasse aux phoques est une pratique odieuse et elle doit être abolie, quand bien même cela bouscule le mode de vie, les habitudes et les principes de ceux qui en vivent et de ceux qui la soutiennent. céline (France)
-
Tout simplement Merci à Animo et Animal
Animal a répondu à un(e) sujet de linda lachapelle dans Annonces
-
Des porcs aux petits soins laterre.ca 28 mars 2007 redaction@laterre.ca Des cochons ingérant des probiotiques seraient plus résistants aux infections à la salmonelle, dévoile une étude scientifique. Les probiotiques, ces bactéries ajoutées aux produits laitiers pour leurs bienfaits sur la flore intestinale humaine, pourraient également être bénéfiques en médecine vétérinaire, selon une étude réalisée en Irlande et publiée dans le Science Daily. Un groupe de porcs ayant ingéré des probiotiques pendant un mois auraient ensuite mieux réagi à une contamination provoquée aux salmonelles, selon cette étude. Les porcs en question ont, tout comme le groupe témoin, souffert de diarrhées, mais celles-ci étaient moins sévères et auraient duré moins longtemps. Après 15 jours, leurs fèces contenaient moins de bactéries que les porcs qui n’avaient pas reçu de probiotiques.
-
Le MPO annoncera jeudi le plan de gestion 2007 de chasse aux loups-marins ILES-DE-LA-MADELEINE (PC) - Le ministre des Pêches et des Océans, Loyola Hearn, annoncera jeudi le plan de gestion 2007 de chasse aux loups-marins. Selon les différents scénarios proposés par les scientifiques du MPO, le quota de 325 000 têtes de l'an dernier pourrait passer entre 290 000 et 150 000 têtes, cette année. Ces niveaux de capture pourraient même être abaissés, étant donné le haut taux de mortalité des nouveaux-nés cette année, à cause des faibles conditions de glace. Selon le dernier recensement mené par le ministère en 2004, 260 000 phoques du Groenland sont nés autour des Iles-de-la-Madeleine. http://info.branchez-vous.com/Nationales/070328/N032884U.html
-
-
Petcetera to stop selling bunnies before Easter Fiona Anderson Vancouver Sun Wednesday, March 28, 2007 CREDIT: Steve Bosch, Vancouver Sun Nancy Wheaton, manager of Petcetera store at Rupert and Grandview, with a cute bunny. The chain is going to stop selling rabbits because so many people abandon them. CREDIT: Steve Bosch, Vancouver Sun Petcetera's decision to stop selling rabbits is 'really, really good news' to the people at the Vancouver Humane Society. One of British Columbia's biggest pet stores is celebrating Easter by phasing out the sale of rabbits, which sell like hot cross buns at this time of year but often end up without a bed at the inn by Christmas. Vancouver-based Petcetera said it would no longer sell rabbits in its 11 Lower Mainland stores because of concerns raised by the British Columbia Society for the Prevention of Cruelty to Animals that there were too many rabbits in shelters, Petcetera's vice-president Richard Kaga said in an interview. So starting next week, Petcetera will sell off its rabbit inventory in the Lower Mainland and start finding homes for abandoned rabbits through its in-store adoption centres. Rabbits will still be sold in Petcetera's other 34 stores across Canada where no concerns about abandoned rabbits have been raised, Kaga said. Petcetera's decision to stop selling rabbits was welcome news to Olga Betts, president of Vancouver Rabbit Rescue & Advocacy which has about 45 abandoned rabbits in its care, many in foster homes. People think bunnies are cute presents so they buy one, Betts said. "And they don't have any clue how to look after it and then they're bored with it after a few months and they throw it out in the park," Betts said. And rabbits breed every month starting at the age of five months, so a few rabbits can turn into thousands very quickly, she said. "Impulse buying of baby rabbits in pet stores causes huge problems for the rabbits and the community," Betts said. So Petcetera's decision is a "real breakthrough," she said. "We're hoping other pet stores will follow [Petcetera's] lead so they can be a solution rather than a problem," Betts added. Debra Probert, executive director of the Vancouver Humane Society called Petcetera's decision "really, really good news." People don't understand that rabbits need a lot of attention, Probert said. "They're very social. They're very intelligent. They need companionship and intelligent stimulation," Probert said. "It's cruel that people buy them and just put them in a cage outside or a cage in the garage and just ignore them," she said. "So we're really pleased [Petcetera has] decided not to sell them." Since it opened its first store in Vancouver in 1997, Petcetera has provided satellite adoption centres for cats and dogs in each of its stores. "There is an overabundance of dogs and cats in particular that can't find homes and if they can't find homes over time they're put down by groups like the BCSPCA because they have no choice," Kaga said. Kaga believes Petcetera's decision not to sell cats or dogs, and now rabbits, is not only socially responsible but also good business. "We felt that by not getting into [selling cats and dogs] in the long run we'd probably be better off," Kaga said. "Because our customers would understand that we are a responsible pet retailer and that would go a long way to gain the kind of confidence that all retailers want to gain from a loyal customer." The Vancouver Sun 2007
-
Burger King mettent-ils aussi de la viande de cochon dans leurs hamburgers ? Burger King Shifts Policy on Animals By ANDREW MARTIN Published: March 28, 2007 In what animal welfare advocates are describing as a “historic advance,” Burger King, the world’s second-largest hamburger chain, said yesterday that it would begin buying eggs and pork from suppliers that did not confine their animals in cages and crates. The company said that it would also favor suppliers of chickens that use gas, or “controlled-atmospheric stunning,” rather than electric shocks to knock birds unconscious before slaughter. It is considered a more humane method, though only a handful of slaughterhouses use it. http://www.nytimes.com/2007/03/28/business/28burger.html
-
-
Mise à jour le mercredi 28 mars 2007 Fertilité Le boeuf aux hormones montré du doigt Certains problèmes de fertilité masculine pourraient avoir pour cause l'alimentation de la mère durant la grossesse. Selon une étude américaine réalisée à l'Université de Rochester, les garçons dont la mère était une grande consommatrice de viande de boeuf traité aux hormones pourraient connaître des problèmes de fertilité à l'âge adulte. Ces résultats pourraient non seulement avoir des incidences sur la santé humaine, mais aussi sur les échanges commerciaux internationaux. L'étude a porté sur 387 Américains nés entre 1949 et 1983. Les analyses de sperme montrent que les jeunes hommes dont la mère avait consommé du boeuf aux hormones plus de sept fois par semaine avaient un sperme de 25 % en moyenne moins riche en spermatozoïdes que celui d'autres hommes dont les mères avaient suivi un régime moins riche en boeuf. Ainsi, la probabilité que ces enfants aient un sperme d'une qualité insuffisante, selon la définition de l'Organisation mondiale de la santé, est multipliée par trois. Plus la mère avait consommé de boeuf, plus la qualité du sperme de son fils s'en ressentait. L'étude de la controverse La recherche présente toutefois une faiblesse. Elle porte sur un échantillon restreint, et le lien entre la présence d'hormones dans le boeuf et la baisse de la fertilité n'est pas absolument établi. Les données suggèrent quand même que la consommation maternelle de boeuf et, peut-être, de xénobiotiques (substances chimiques) dans le boeuf, peuvent altérer le développement des testicules de l'embryon dans l'utérus et nuire à sa capacité reproductrice. Quand vous perturbez les hormones en phase prénatale, vous touchez toute une chaîne. En particulier, les oestrogènes et les androgènes affectent le développement testiculaire. — Shanna Swan, de l'Université de Rochester Relations commerciales en jeu Les éleveurs américains utilisent beaucoup d'hormones pour accélérer la croissance de leur bétail. L'Union européenne les ont bannis en 1988, en raison du potentiel impact sur la santé. Depuis ce moment, les deux superpuissances s'affrontent sur le sujet. L'Organisation mondiale du commerce doit rendre un jugement technique sur ce contentieux le 17 avril, selon une source européenne. D'autres tests Les chercheurs affirment que d'autres expériences sont nécessaires, notamment une étude évaluant la fertilité des Européens nés après 1988. Actuellement, selon eux, leurs données ne sont pas assez solides pour entraîner une modification de la réglementation ou pour donner lieu à des actions dans le domaine de la santé publique. Avec les données sur l'animal dont nous disposons déjà, il y a matière à s'inquiéter. Je ne pense pas que nous puissions dire que ces produits sont sans risque. — Shanna Swan Les résultats complets de l'étude sont publiés dans la revue Human reproduction. La Fédération américaine des exportateurs de viande critique la méthodologie de l'étude, soulignant qu'elle ne distinguait pas les femmes ayant pris des hormones à des fins thérapeutiques. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Science-Sante/2007/03/28/003-boeuf-consommation.shtml
-
----------------------- Le mercredi 28 mars 2007 Photo Alain Roberge, La Presse La télé, seule source d'information des Québécois? Émilie Côté La Presse Environ 90 % des Canadiens et des Québécois suivent l'actualité régulièrement. Mais au Québec, il est plus fréquent que le téléviseur soit la seule source d'information. Les journaux, l'Internet et la radio sont moins consultés qu'ailleurs au pays. «On constate que la variété des sources d'information peut être directement liée à la taille du marché médiatique», indique la chercheure Leslie-Anne Keown dans une étude de Statistique Canada dévoilée hier. La chercheuse a analysé le rapport aux médias de la population canadienne à partir de l'Enquête sociale générale (ESG) de 2003 sur l'engagement social. Le Canada a été divisé en cinq régions : l'Atlantique, le Québec, l'Ontario, les Prairies et la Colombie-Britannique Les Canadiens consultent en moyenne 2,7 sources d'information, contre 2,44 au Québec. Bien que la télévision soit la source numéro un pour tous les Canadiens, c'est encore plus significatif chez les Québécois (91 %, contre 94 % ). D'une région à l'autre, les autres sources d'information ont relativement le même ordre d'importance, mais dans presque tous les cas, les pourcentages sont plus bas au Québec. Que ce soit les journaux (moyenne canadienne de 70 %, contre 62 % au Québec), la radio (53 %, contre 46 %), l'internet (30 %, contre 23 %) et les magazines (23 %, contre 19 %). Les hommes, les gestionnaires, les professionnels, les couples, les gens diplômés et les personnes au revenu familial supérieur à 60 000 $ sont plus enclins à consulter plusieurs médias. «Les Canadiens qui suivent l'actualité avec assiduité auprès d'une vaste gamme de sources d'information semblent être les plus enclins à être politiquement engagés», souligne Leslie-Anne Keown, précisant que l'étude ne s'est pas penchée sur le vote. Ainsi, «les anglophones assidus aux nouvelles qui vivent en milieu urbain ont moins tendance à se fier uniquement à la télévision», note l'étude. Et ceux qui se fient uniquement à la télévision sont moins enclins à offrir leur aide à un parti politique, à signer une pétition ou à exprimer leur opinion dans les journaux. suite: http://www.cyberpresse.ca/article/20070328/CPACTUEL/703280711/1015/CPACTUEL
-
COMPTE-RENDU ACTION AEQUO A./ Mont./Ottawa/ CHASSE AU PHOQUE
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans Événements
-
"Un monstre de crapaud"
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
-
Consommateurs européens et "bien-être" animal
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
-
Quand l'INRA se penche sur la castration des porcelets...
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents