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L'Australie reprend ses exportations vers l'Indonésie
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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4 500 poulets meurent à cause de la chaleur
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Publié le 06 juillet 2011 à 07h49 | Mis à jour à 07h49 Une journée s'ajoute au Festival de chasse Gabriel Delisle Le Nouvelliste (La Tuque) Le Festival de chasse du Haut-Saint-Maurice prend une fois de plus de l'expansion et ajoute une journée aux festivités de la 39e édition. Du 22 au 29 octobre prochain, la tente du chasseur accueillera Boom Desjardins, l'humoriste Dominic Paquet, le groupe Akasha ainsi que Rick Hughes et Émilie Lévesque du spectacle I Love Rock N'Roll avec la participation spéciale de Marie-Chantal Toupin. ... http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/vie-regionale/haute-mauricie/201107/06/01-4415394-une-journee-sajoute-au-festival-de-chasse.php
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Arrestation d'activistes pour les Droits des Animaux
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Le 22 juin, 12 activistes du mouvement pour les droits des animaux furent arrêtés dans différents lieux d’Espagne, accusés d’avoir libérés en 2007 des visons dans différentes fermes de l’industrie de la fourrure en Galice. Des unités antiterroristes de la Garde Civile, armées avec des fusils et accompagnées de chiens spécialisés dans la détection d’explosifs débarquèrent à 7h du matin au domicile des activistes, réquisitionnant ordinateurs et matériel de travail comme t-shirts et pin’s et les transportèrent menottés et en fourgons blindés aux tribunaux. Ils furent mis en cellule jusqu’à leur déclaration devant le juge. Les activistes arrêtés sont membres d’associations légalement constituées et à but non lucratif comme Equanimal et Igualdad Animal, qui sont fréquemment présentes dans les moyens de communication en raison de leurs investigations dans les fermes d’élevage d’animaux pour la consommation humaine. Ont également reçu un fort écho médiatique les sauvetages à visage découvert d’animaux qui seraient morts dans ces fermes avant d’être dépecés afin d’obtenir sa viande ou des sous-produits, à cause des conditions d’exploitation. Considérés comme de simples produits, les animaux sont souvent abandonnés à leur sort s’ils tombent malades car les soigner peut être plus coûteux que les remplacer. Les animaux sauvés à visage découvert par les activistes ne sont pas réintroduits dans la nature mais sont accueillis dans des familles qui leur offrent une vie libre d’exploitation afin qu’ils puissent vivre de façon naturelle dans un environnement contrôlé et sûr. L’arrestation de ces activistes a été interprétée par le mouvement pour les droits de animaux comme une réponse de répression et un message clair des entreprises d’exploitation animale aux investigations et à la diffusion des images de mauvais traitements et torture que souffrent les animaux de l’industrie de la viande, de la fourrure, des œufs et du lait, depuis leur naissance jusqu’à leur mort. La tentative de criminalisation des activistes, qualifiés d’ ”éco-terroristes” présente d’évidents parallélismes avec la tentative de criminalisation que souffre l’ensemble du mouvement pour les droits des animaux aux Etats-Unis, avec par exemple le vote de lois comme la AETA, Animal Enterprise Terrorism Act, qui tente d’éviter l’influence des activistes sur les opérations économiques des entreprises d’exploitation animale en étiquetant leur activité comme « terrorisme d’entreprise » et qui considère comme un délit le fait de filmer le quotidien des fermes, afin d’éviter que le grand public soit informé de la réalité et puisse modifier ses habitudes de consommation en arrêtant de consommer les produits dérivés de l’exploitation animale. Il existe également de forts parallélismes avec la criminalisation d’activistes pour leur combat contre l’industrie de la fourrure en Autriche, où 10 activistes, tous membres de grandes associations à but non lucratif et légalement constituées, furent accusés de dommages matériels contre l’industrie de la fourrure et où des millions d’euros furent investis dans les investigations. Un fonctionnaire de la police du Bureau Criminel fédéral déclara à ce sujet dans le journal "Osterreich": “Lorsque nous investiguons des trafiquants de drogue, des suspects de pornographie infantile ou des mafias russes, chaque heure extra est un problème budgétaire. Mais dans ce cas l’argent n’a jamais été un problème”. Le député des Verts Peter Pliz révéla preuves à l’appui la réunion secrète entre les propriétaires de fermes de fourrure et les forces de police. La réponse du mouvement pour les droits des animaux a pourtant été une union entre tous pour défendre la présomption d’innocence des activistes, car aucune preuve de leur participation à des libérations massives ne fut apportée et il existe seulement la preuve qu’ils sont entrés dans des fermes afin de filmer et documenter les conditions d’exploitation des animaux pour diffuser le plus possible et faire prendre conscience à la population de ce que provoque ses habitudes de consommation. Pour les activistes, les changements individuels grâce à l’information et à la prise de conscience doivent permettre un changement éthique dans notre société qui permette aux personnes de comprendre que la discrimination pour faire partie d’une ethnie, d’un genre sexuel, ou d’une espèce est tout aussi injuste, et que tous les individus dotés d’un système nerveux qui leur permet de sentir du plaisir ou de souffrir, qui ont leurs propres intérêts pour être libres et ne pas être maltraités ou tués pour les intérêts d’autres individus, possèdent des droit basiques qui ne peuvent être méprisés et ignorés. Les moyens de communication appellent de façon erronée les activistes arrêtés “éco terroristes”. Les activistes qui défendent les droits des animaux ne sont pas des écologistes, car ils n’acceptent d’aucune façon la mort des individus d’une espèce. Au contraire, certains écologistes défendent la destruction d’individus allochtones comme les visons d’Amérique du Nord lorsqu’ils envahissent le territoire d’autres espèces autochtones, oubliant que c’est le commerce de la fourrure qui a permis ces invasions écologiques : selon les données des exploitations de fourrure, chaque année s’échappent 2 visons sur 1 000, ce qui suppose la fuite de plus de 100 000 visons dans les forêts espagnoles les 10 dernières années. Le Ministère de l’Environnement déclare lui-même dans un document de 2006 “Le vison américain est une espèce carnivore originaire d’Amérique du Nord qui fut introduite récemment en Espagne. Les fermes de fourrure où est élevé ce mustélidé sont les responsables de cette invasion”… Pourtant, pour le moment, personne n’a accusé d’”éco terrorisme » les propriétaires de fermes de fourrure ni les a mis en prison, malgré les preuves évidentes de leur responsabilité dans les fuites de vison à cause de l’état de leurs installations. Dans le brouillon du Catalogue des Espèces Exotiques Envahissantes approuvé comme Décret Royal en automne dernier, le vison américain est considéré comme une "grave menace pour les espèces autochtones, l’habitat naturel et les écosystèmes » Cette inclusion dans le catalogue suppose “l’interdiction générique de sa possession, transport, trafic et commerce d’exemplaires vivants ou morts”. Cette interdiction jouit de certaines exceptions, lorsque les animaux sont considérés ressources pour la pêche, l’agriculture ou l’alimentation, mais aucune de ces exceptions ne permettrait cependant l’élevage de ce vison dans les fermes espagnoles. Pour cela a été créée une exception particulière pour le “neo vison vison” qui autorise l’élevage et la production “lorsque qu’ils sont correctement justifiés et sous réserve de mesures de sécurité suffisantes » afin que les animaux ne puissent être introduits dans la nature. Ceci représente une contradiction totale, puisque simplement grâce aux données du Ministère de l’Environnement ces conditions de sécurité ne sont pas respectées, que ce soit à cause des fuites d’animaux comptabilisées par les propriétaires des fermes, des prétendues libérations par des activistes, d’auto-sabotages de la propre industrie de la fourrure afin de toucher les assurances ou bien encore de supposées attaques de la concurrence du même secteur. Certaines chaînes de télévision ont diffusé de façon erronée des images d’actions violentes réalisées aux Etats-Unis et en Angleterre par des personnes sans relation avec aucune association légalement constituée afin de manipuler l’opinion publique au sujet du mouvement pour les droits des animaux, de façon tout aussi lamentable que Telemadrid le fit en illustrant les images des indignés de Barcelone par des images des révoltes grecques ou le journal « La Razón » qui a littéralement effacé grâce à Photoshop des personnes participant aux manifestations, certaines personnes apparaissant ainsi décapitées, avec l’objectif de discréditer l’ampleur du mouvement et ses normes de non violence. Selon différents moyens de communication, les activistes sont accusés de choses très différentes, y compris certaines qui n’existent pas dans le Code Pénal, comme l’”éco-terrorisme” , association illégale, dommages économiques… des mots qui criminalisent le mouvement et l’associent à une violence qui n’existe pas, des mots qui oublient que la seule violence réelle est celle exercée sur les animaux, comme justement l’ont documenté arfaitement les activistes des organisations injustement accusées. Comme l’explique Javier Moreno, l’un des accusés et porte-parole d’Igualdad Animal, chaque année dans les fermes de fourrure, plus de 300 000 mustélidés vivent dans de terribles conditions avant d’être dépecés. La répercussion médiatique des travaux d’investigation de Equanimal et Igualdad Animal n’a pas laissée indifférente l’industrie de la fourrure et a également eu un grand impact sur des personnes qui ont découvert pour la première fois le niveau de souffrance que représente ce commerce. Les activistes d’Equanimal et Igualdad Animal travaillent d’une façon très bien définie et se rendent bien compte de la lecture intéressée et déformée qui a été faite par certains moyens de communication. Afin d’être clairs quant aux mots clés du mouvement de défense des animaux, nous devons utiliser les mots antiespécisme et véganisme. L’antiespécisme considère que la discrimination par espèce est tout aussi injuste que le racisme qui discrimine en fonction d’une race ou le sexisme qui discrimine en fonction d’un genre ou sexe, qu’il faut en être conscient et lutter de la même manière contre toutes ces injustices. Le véganisme est un mode de vie qui exclut l’usage de tout animal ou produit dérivé de l’exploitation animale, que ce soit pour manger, pour s’habiller, travailler, se divertir ou quoi que ce soit, car cela suppose la déconsidération morale d’autres individus pour le simple fait d’appartenir à des espèces différentes à la notre. Les trois activistes qui sont toujours prisonniers sont des prisonniers politiques, des prisonniers antiéspecistes et vegan, prisonniers de conscience. Des personnes en avance sur leur temps, tout comme le furent à l’époque les premiers activistes pour l’abolition de l’esclavage ou pour les droits des femmes, qui sont punies par un système qui ne souhaite pas perdre les avantages d’un fonctionnement discriminatoire vis-à-vis des individus qui ne peuvent pas se défendre par eux-mêmes et qui ont besoin de personnes qui diffusent la réalité et d’autres qui prennent des décisions éthiques dans leur vie quotidienne afin de changer cette réalité. Pour toutes ces raisons, le mouvement pour les droits des animaux demande la libération immédiate et sans charges des activistes, et demande à tous de prendre conscience que nos décisions quotidiennes contribuent à construire un monde d’exploitation et mort ou, au contraire, un monde juste et libre pour tous. http://vimeo.com/25988462 -
Publié le 05 juillet 2011 à 05h30 | Mis à jour à 05h30 À l'heure des vacances, le refuge de la SPCA de l'Outaouais déborde 160 félins orphelins en une semaine La semaine dernière, 160 petits félins ont été confiés à l'organisme dévoué à la prévention de la cruauté envers les animaux. Son refuge déborde. La grande majorité des petites bêtes sont en parfaite santé. Et, malheureusement, ils ne trouveront pas tous un nouveau chez soi. ... http://www.cyberpresse.ca/le-droit/actualites/gatineau-outaouais/201107/04/01-4414995-160-felins-orphelins-en-une-semaine.php
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Un projet de loi trop mordant pour les Mushers...
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Publié le 05 juillet 2011 à 08h22 | Mis à jour à 08h22 Un projet de loi trop mordant Le Quotidien, Gimmy Desbiens Marc St-Hilaire Le Quotidien (ALMA) La nouvelle loi visant à enrayer les usines à chiots risque d'emporter dans son sillon toute l'industrie des chiens de traîneaux. Tant et si bien que l'un des responsables du Club mushers jeannois, Mathieu Gagné, prédit l'euthanasie forcée de plus de 10 000 Huskies en parfaite santé au Québec, dès la mise en application de la loi. Publiée dans la gazette officielle le 23 juin dernier, la loi prévoit une série de mesures qui seront difficilement applicables, voire impossibles à respecter, pour les mushers. Selon Mathieu Gagné, qui suit le dossier depuis plusieurs mois, aucun musher privé ne pourra survivre à cette loi, compte tenu des coûts que celle-ci engendrera si elle est appliquée mur à mur. Il estime que l'hécatombe frappera également la plupart des personnes qui font commerce de cette pratique hivernale excessivement prisée par les touristes européens. Prêt à livrer bataille afin de contrer l'adoption définitive de la loi, il précise toutefois que le temps presse. Aussi a-t-il multiplié les efforts au cours des derniers jours afin de s'adjoindre des alliés, notamment le député de Lac-Saint-Jean Alexandre Cloutier. « Nous avons un délai de 45 jours pour nous manifester contre une loi, après sa publication dans la Gazette officielle. Après le 5 août, il sera trop tard», prévient-il. Derrière sa résidence, Mathieu Gagné nourrit et entraîne une quinzaine de chiens de traîneaux, hiver comme été. Il soutient que pour rendre ses installations conformes, il lui faudrait investir au moins 10 000 $ sur-le-champ, sans tenir compte de nombreux frais récurrents. Beaucoup trop cher, dit-il, pour quelqu'un qui fait de cette activité un simple hobby. « Imagine le gars qui fait du tourisme avec ça et qui a une centaine de bêtes, continue-t-il. C'est sûr qu'il doit fermer ses portes. » // La version complète du texte est disponible dans votre Quotidien http://www.cyberpresse.ca/le-quotidien/actualites/201107/05/01-4415084-un-projet-de-loi-trop-mordant.php -
Proposition de loi pour l'abolition de la chasse à courre
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Peste porcine en Russie
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193 rhinos tués en Afrique du Sud
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Marée noire en Chine: 840 kilomètres carrés de mer polluée
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Publié le 05 juillet 2011 à 08h33 | Mis à jour à 08h33 Marée noire en Chine: 840 kilomètres carrés de mer polluée Agence France-Presse Pékin Le pétrole qui s'est échappé depuis un mois dans le golfe du Bohai (nord) a pollué une surface maritime de 840 kilomètres carrés, a annoncé mardi le Bureau national des affaires maritimes (State Oceanic Administration, SOA). http://www.cyberpresse.ca/environnement/201107/05/01-4415097-maree-noire-en-chine-840-kilometres-carres-de-mer-polluee.php -
La chasse aux loups-marins vue par Claire Vigneau
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Publié le 04 juillet 2011 à 06h39 | Mis à jour à 06h39 La chasse aux loups-marins vue par Claire Vigneau (Sherbrooke) La chasse aux phoques a fait couler beaucoup d'encre et anime beaucoup de discussion depuis quelques années. Mais bien au-delà de la prise de position, pour ou contre, ce sont les humains qui se trouvent derrière cette pratique ancestrale. Ce point de vue, Claire Vigneau le transpose dans un conte, Le chasseur de loups-marins, qui vient tout juste d'être mis en nomination pour le Prix TD de littérature canadienne pour l'enfance et la jeunesse. Sherbrookoise d'adoption, Claire Vigneau a grandi aux Îlesde-la-Madeleine. Le vent, la mer, la banquise et la pêche sont donc pour elle bien plus qu'un imaginaire, c'est le mode de vie de ses proches et de sa famille. Et si le livre raconte la vie d'un chasseur, le personnage principal lui a été inspiré par son beau-frère, lui-même pêcheur, et ce, même si son père a fait la chasse aux loups-marins. «Je parle de moi, de mon enfance, de choses que je connais. Quand on vient des Îles, on a une vision différente de la chasse aux loups-marins. On a de la difficulté à voir ça comme quelque chose de différent de la pêche. Et quand on voit ce que les autres en pensent ou quand on lit les journaux, eh bien, ça nous touche», explique l'auteure, consciente du fait qu'il n'est pas facile d'aborder cette question. OuVerture sur d'autres CuLtures De fait, le texte de Claire Vigneau est arrivé à point dans la collection du Carré blanc de la maison d'édition Les 400 coups. Cette collection se concentre sur des oeuvres dérangeantes et des illustrations, une façon de sensibiliser les enfants à ce qui constitue l'humanité. «Je souhaite montrer que derrière la chasse, il y a quelque chose qui n'est pas épeurant, qu'il s'agit d'une situation qui peut être transférée à plein d'autres situations. Il s'agit, en fait, de s'ouvrir à une culture différente», souligne-telle. ... http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/la-nouvelle/scene-culturelle/201106/29/01-4413704-la-chasse-aux-loups-marins-vue-par-claire-vigneau.php -
Des taux anormalement élevés de coliformes fécaux retrouvés dans le canal Lachine Mise à jour le jeudi 30 juin 2011 à 23 h 43 HAE La Société pour vaincre la pollution (SVP) a rendu publics les résultats de la campagne d'échantillonnage qu'elle a menée mercredi sur le canal Lachine, à Montréal. Selon l'association, les eaux du canal présentent, en trois endroits distincts, des taux anormalement élevés de coliformes fécaux. Au fil du canal, « on a identifié trois points problématiques, dont un qui est très problématique », annonce Daniel Greene, toxicologue et co-président de la SVP. L'endroit en question est situé à l'est de la voie maritime, à proximité du pont Wellington, la même où vont bientôt être construits 1800 condos au bassin du Havre. « On y a relevé des taux de 150 coliformes par 100 millilitres d'eau », déclare M. Greene, qui prévient qu'il « ne faut normalement pas toucher à cette eau-là ». Pour l'instant, le toxicologue ne sait pas encore pourquoi ces bactéries pathogènes se retrouvent dans l'eau du canal Lachine. « Théoriquement, il ne devrait pas y avoir d'égout à cet endroit », précise l'écologiste, qui parie sur l'existence de raccordements illégaux au réseau d'évacuation des eaux pluviales. « Il va falloir qu'on enquête pour trouver ces tuyaux », ajoute-t-il. ... http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2011/06/30/012-pollution-canal-lachine.shtml
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27 juin 2011 Des producteurs de viande de l'Abitibi-Témiscamingue affirment qu'ils ont fait abattre leurs animaux dans un abattoir du sud du Québec, mais que ce ne sont pas leurs bêtes qu'on leur a renvoyées. Les animaux ont été expédiés à l'abattoir Jacques Forget de Terrebonne, à plusieurs centaines de kilomètres, parce qu'il n'y a aucun abattoir en Abitibi-Témiscamingue. Le producteur de Saint-Bruno-de-Guigues au Témiscamingue, Éric Smith, a constaté la situation. « On a envoyé des agneaux et ce dont on s'est rendu compte avec notre acheteur, c'est que les carcasses avaient changé d'une semaine à l'autre, dit-il. On avait effectué une validation avec les numéros d'Agri-Traçabilité Québec (ATQ) et ce n'était plus les mêmes numéros. Alors, ce n'était pas nos agneaux qu'on avait fournis. » ... http://www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2011/06/27/001-abattoir-viande-inquietudes.shtml
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Animaux d'élevage- Dernière chance pour vous prononcer
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Déversement de lisier de porc en Beauce Mise à jour le vendredi 1 juillet 2011 à 13 h 38 HAE Environ 200 000 litres de lisier de porc se sont répandus sur une terre agricole de Saint-Gervais, plus tôt cette semaine, en Beauce. L'intervention d'urgence-environnement a permis de récupérer une partie du déversement, mais une quantité indéterminée a atteint la rivière Boyer. Des poissons morts ont été retrouvés le long des berges. Une erreur humaine est à l'origine du déversement, explique Frédéric Fournier du ministère de l'Environnement. « Une pompe a été laissée en marche et qui a continué à pomper malgré le fait qu'il n'y avait plus de réservoir en dessous, donc c'est une erreur qui est survenue », confirme-t-il. Le ministère enquête afin de déterminer s'il y a eu négligence et le cas échéant, l'agriculteur fautif s'exposerait à une amende. http://www.radio-canada.ca/regions/Quebec/2011/07/01/006-deversement-lisier-beauce.shtml
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Animaux d'élevage- Dernière chance pour vous prononcer
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Québec- Population invitée à soumettre ses commentaires...
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Québec-Le Nouveau Règlement sur le Bien-être des Animaux
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June 29, 2011 Les Groupes de Défense des Animaux du Québec affirment que le Nouveau Règlement sur le Bien-être des Animaux Ne Fait Pas le Poids Humane Society International/Canada Kathy Milani MONTRÉAL—Humane Society International/Canada, la SPCA de Montréal et les Centres d'adoption d'animaux de compagnie du Québec (caacQ) ont fait part de leur déception à l'annonce du projet de règlement sur la sécurité et le bien-être des animaux mis de l'avant par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ). Les trois organisations insistent pour que le Ministère se penche à nouveau sur le projet de règlement et apporte les changements nécessaires pour assurer la protection des animaux de compagnie au Québec. En outre, ces organisations, chacune forte de son expertise sur diverses questions ayant trait au bien-être animal, appellent le grand public à se mobiliser pour dénoncer leurs inquiétudes au ministre au cours de la période de consultation de 45 jours. Il est décevant de constater que ce projet de règlement, attendu depuis près de trois ans, ne permet toujours pas de remédier à la crise en matière de bien-être et de protection des animaux au Québec, a dit Johanne Tassé, directrice des caacQ. Le grand public doit profiter de cette fenêtre de 45 jours, qui prend fin le 5 août, pour dénoncer la situation. Les gens doivent insister pour que le gouvernement mette en place une réglementation plus rigoureuse afin de protéger les chiens et les chats du Québec. Sans de nouvelles améliorations, ce projet de règlement ne fera rien pour abréger la souffrance endurée chaque jour par des dizaines de milliers de chiens et de chats partout dans la province. Sous sa forme actuelle, le nouveau règlement pourrait faire en sorte qu'un chien, au Québec, soit enfermé dans une petite cage toute la journée, jour après jour, sans jamais voir la lumière du jour, sans soins vétérinaires et sans avoir l'occasion de socialiser, a dénoncé Lauren Scott, responsable de campagne pour Humane Society International/Canada. Dans les faits, ce projet de règlement légaliserait l'existence des usines à chiots au Québec. En plus d'apporter des modifications à ce projet de règlement, le gouvernement doit également s'engager à augmenter considérablement les sanctions pour chaque infraction, a dit Alanna Devine, directrice de la protection des animaux pour la SPCA de Montréal. D'autres provinces prévoient des sanctions qui comprennent des amendes allant jusqu'à 75 000 $ et une peine de prison pouvant atteindre deux ans; au Québec, la sanction maximale pour une première infraction est d'à peine 600 $. Si nous voulons que ce règlement ait un quelconque effet dissuasif, nous devons faire plus qu'augmenter les amendes de quelques centaines de dollars; il faut prévoir des amendes sévères et des peines d'emprisonnement fermes. En 2008, Humane Society International/Canada a uni ses forces à ceux de la SPCA de Montréal pour porter secours à 330 chiens dans une usine à chiots du Québec. Les chiens étaient émaciés et déshydratés; ils étaient sans nourriture, sans eau et sans soins vétérinaires et certains étaient déjà morts dans leur cage. L'outrage du public a contraint le gouvernement Charest en 2009 à créer un groupe de travail spécial pour renforcer la législation et l'application de la loi au Québec. Pendant deux ans et demi, le groupe de travail sur le bien-être des animaux de compagnie, formé notamment de spécialistes en protection des animaux, de vétérinaires et de représentants de l'industrie, s'est penché sur les dispositions de la Loi sur la protection sanitaire des animaux (P 42) du Québec. L'expertise, les travaux de recherche et les recommandations du groupe de travail ont permis au MAPAQ de bénéficier des meilleures connaissances disponibles pour mettre à jour les règlements provinciaux en matière de protection des animaux. Il y a lieu de noter cependant qu'avec une gamme d'opinions aussi large, le projet de règlement n'est pas nécessairement le fruit d'un consensus. Le projet de règlement annoncé récemment prévoit l'instauration de certaines mesures importantes, dont des séances d'exercice obligatoires pour chacun des animaux, le toilettage régulier et une ventilation adéquate pour enrayer les contaminants comme la poussière et l'ammoniaque. Malheureusement, plusieurs éléments clés n'ont pas été mentionnés dans le projet de règlement du MAPAQ, dont les soins vétérinaires, le nombre de chiens reproducteurs autorisés par installation, les conditions de vie des chiens et des chats confinés à des cages pour de longues périodes ainsi que les lacunes au niveau des méthodes d'euthanasie. La nécessité de mettre à jour la loi P-42 fut réaffirmée avec la publication récente du classement des lois canadiennes en matière de protection des animaux de l'Animal Legal Defense Fund pour l'année 2010, le « Canadian Animal Protection Laws Rankings, qui compare les lois de chacune des compétences examinées. Le rapport révèle notamment que le Québec recule de manière constante depuis 2008. Cette année, le Québec arrive en queue de peloton et récolte la triste mention de pire province au Canada. Ainsi, le fait que le rapport classe le Québec comme meilleure province pour maltraiter un animal souligne l'urgence de prendre des mesures décisives. HSI Canada, la SPCA de Montréal et la caacQ produiront un rapport officiel pour transmettre leurs recommandations d'ici le 5 août, soit la fin de la période des consultations. Ce rapport conjoint sera rendu public trois semaines avant la date butoir. Les trois organisations invitent également le grand public à écrire au MAPAQ pour demander une révision approfondie et une refonte du projet de règlement annoncé. Tous les commentaires doivent être transmis par la poste ou par télécopieur à l'attention de Mme Madeleine Fortin : Madeleine Fortin Sous-ministre adjointe, Direction générale de l'alimentation 200, chemin Sainte-Foy, 12e Étage Québec (Québec) G1R 4X6 Téléc. : 418-380-2171-30- Humane Society International/Canada est un leader en matière de protection animale. Notre organisme représente des dizaines de milliers de membres et participants à travers le pays. HSI Canada met en oeuvre des programmes de protection des animaux de compagnie, de la faune et de son habitat naturel, de préservation de mammifères marins et de bien-être des animaux de ferme. HSI Canada est fière de faire partie de la Humane Society International – l’un des organismes de protection animale les plus importants au monde, avec plus de 11 millions de membres et participants. Rendez-nous visite sur le Web à l’adresse hsicanada.ca. http://www.hsi.org/french/news/press_releases/2011/06/ministere_reglement_062911.html -
28 juin 2011 En dépit de protestations massives par les communautés juive et musulmane, le Parlement a voté aujourd'hui d'interdire l'abattage rituel sans étourdissement. La proposition de loi de la Parti pour les Animaux (PvdD) a été appuyée par une solide majorité d'électeurs néerlandais et parlamentaires avec le résultat de 116 votes pour et 30 contre. La Suède, le Luxembourg, la Norvège et la Suisse ont déjà interdit l'abattage rituel. Cette décision historique va certainement envoyer des signaux très forts à des politiciens partout dans le monde.
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quand l'écologie échoue
Animal a répondu à un(e) sujet de terrienne dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Les poules sont de retour à Montréal
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans ANIMAUX - Amérique du Nord
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Plus de place pour le bien-être animal
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Plus de place pour le bien-être animal Le bien-être animal sera un des points majeurs de la refonte de la politique européenne en santé animale attendue pour 2012. De leurs côtés, les éleveurs français améliorent progressivement la qualité de vie de leurs animaux, comme Christian et Régine Clayer, installés en polyculture-élevage dans le département de la Mayenne depuis 1981. Point sur l’amélioration du bien-être animal avec l’éleveuse. « Au début les veaux étaient en cases individuelles et manquaient d’espace. Mais maintenant ils sont en cases collectives, ils ont l’air de se sentir mieux et il n’est pas rare de les voir s’amuser » se réjouit Régine Clayer au moment même où un veau vient la voir pour se faire caresser. Depuis le 1er Janvier 1998, la directive 97/2/CE interdit le logement des veaux en cases individuelles après l’âge de 8 semaines, la date butoir de mise aux normes étant 2003. De nombreuses autres normes ont été instaurées telles que l’apport obligatoire d’aliments solides (paille, maïs) pour un meilleur confort digestif des jeunes veaux et pour éviter les problèmes d’anémie. Les nouvelles normes bien-être ont rendu « l’ambiance de travail plus agréable en compagnie de veaux joueurs car ils ont plus de place », explique Régine Clayer, installée en polyculture-élevage dans la Mayenne. ... http://www.campagnesetenvironnement.fr/plus-de-place-pour-le-bien-etre-animal-4351.html ================================== C'est mieux c'est sûr, mais pourquoi sont-ils en case, à l'intérieur d'un bâtiment ? Pourquoi les vaches et leurs veaux ne sont-ils pas sur l'herbe, à l'extérieur? -
HLM ET ANIMAUX- AU QUÉBEC LES LOCATAIRES ONT LEUR MOT À DIRE
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La plupart des gros offices autorisent maintenant la présence des animaux, à la condition de respecter certaines règles afin que le droit individuel d'avoir des animaux de compagnie ne nuise pas au droit collectif des voisins de vivre en paix. Si le règlement de votre HLM interdit les animaux et que la majorité des locataires n'est pas d'accord avec cette décision, demandez à votre association ou au CCR de tenir un référendum. Les locataires ont leur mot à dire ! La SHQ autorise les associations de locataires ou les CCR à tenir, en collaboration avec leur office, un référendum pour déterminer si les animaux devraient être permis. L'office doit respecter les résultats du référendum. En effet, la SHQ écrit dans son Guide de gestion du logement social : «Si une majorité de locataires se montre en faveur de la présence des animaux en HLM, l'office ne pourra l'interdire de façon générale et il devra émettre des balises à cet effet et les intégrer au règlement d'immeuble de l'office selon les procédures habituelles prévues le tout conformément aux lois et règlements municipaux en vigueur.» Des conditions à respecter Afin de ne pas priver un locataire des bienfaits de la présence d'un animal et de s'assurer en même temps le bien-être des autres locataires, plusieurs offices ont un règlement d'immeuble qui énumère les conditions à respecter pour garder un animal. Ces conditions garantissent que la présence des animaux ne crée pas de préjudice aux autres locataires. La politique sur la présence des animaux domestiques dans les logements de l'OMH de Saguenay est un bon exemple de ce qu'on peut y retrouver. Recours légaux Accepter la présence d'animaux de compagnie ne signifie pas que l'OMH ne peut pas agir s'ils causent des nuisances aux autres locataires. L'office peut, lorsqu'il reçoit des plaintes des locataires, s'adresser à la Régie du logement pour contraindre une personne à se départir de son animal en invoquant certains articles du règlement municipal ou l'article 1860du C.c.Q. qui dit que le locataire est tenu de se conduire de manière à ne pas troubler la jouissance normale des autres locataires et que l'OMH peut, au cas de violation de cette obligation, demander la résiliation du bail. Pour en savoir plus sur la question des animaux en HLM, vous pouvez consulter : •Animaux : un référendum où tout le monde gagne sur le site de la FLHLMQ •Le bulletin spécial de la FLHLMQ sur la présence des animaux •L'article Les animaux dans nos logements : c'est possible, ça fonctionne dans l'Info-Express de la SHQ de janvier 2000 •Des témoignages de directeurs d'OMH qui ont accepté la présence d'un aninmal dans les HLM : Coaticook, Longueuil, Trois-Rivières http://www.flhlmq.com/content/animaux