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La femme était incarcéré dans la voiture. Et la voiture a été endommagée. Et le boeuf??? On n'en parle pas du tout. Comme d'habitude, c'est rien que des humains et leurs biens qui comptent. . .

Et en plus, ces choses peuvent détourner des personnes qui ont un désir de s'orienter un peu sur le végétarisme. Ces personnes vont substituer la viande par les Happy Eggs, pensant qu'ils font du bien. Mais en réalité, ils feront probablement aussi bien de continuer à manger leur steaks.

250 cochons dans un même camion !

Malheureusement, il y aura toujours des abusers d'animaux aussi longtemps qu'on pense que c'est correct et normal de manger la chaire animale et de boire du lait. Donc, l'importance de continuer à militer pour que de plus en plus de monde adopte une régime végétalien.

Dommage.

Il y a des militantes qui critiquent souvent les agissements de PETA, et je trouve moi-même que certains de leurs actions sont de mauvais goût -- mais -- c'est PETA qui continue à obtenir des résultats. Alors, bravo, PETA!!!

Cette documentaire est vraiment bien faite.

Peut-être que le fait d'être végétarienne a failli la tuer, mais le fait de se bourrer de la viande va beaucoup plus sûrement la tuer un jour. . .

Les personnes qui écrivent ce genre de chronique dans les journaux cherchent toujours à dire des choses negatives, et ils aiment semer les scandales. En plus, les végétariens et les personnes qui sont impliquées dans le mouvement pour les droits des animaux sont parmi leurs cibles préférés. Georges est très sincère. Il est encore un peu inexperimenté dans son nouvel mode de vie et bien sur, donc comme tout le monde, il a encore des apprentissages à faire. Mais j'ai l'impression qu'il a une energie et une transparence hors du normal et qu'il va faire du bon chemin. Go, Georges, go!!

C'est vraiment une bonne alternative! Bien sur qu'il y a des côtes dans le Vieux-Québec, mais aujourd'hui il y a aussi des velos semi-motorisés qu'on pourrait utiliser pour aider le velo-cocher à monter des côtes. . . Merci pour ce lien, Animal. J'ai trouvé les réponses intéréssantes, surtout qu'il y avait d'autres anciens cochers qui suivaient cette triste histoire. Et comme un des répondents à conclu: il faut attendre les résultats de l'atopsie pour en connaître la vraie cause. En tout cas, le calvaire de Jim est terminé et il se répose en paix maintenant.

Les remorques à deux cheveaux sont les "tramways" qui circulent en bas du Vieux-Québec, faisant les tours du Vieux-Port. Ces véhicules sont apart des calèches dans le Vieux-Québec, mais ce sont les même compagnies qu'à l'haute ville qui les opèrent. On les a commencé durant les années 90. Je crois qu'il y a deux tramways qui circulent en même temps chaque jour, et leurs heures sont plus restraintes que ceux des calèches. En général, les cheveaux de tramway sont censés être encore plus gros que les autres cheveaux d'attelage. Les deux races qui sont souvent utilisés sont des shires et des belges. J'ai travaillé très brièvement pour une compagnie de tramway à Vancouver (Stanley Park) en 2002. Leurs cheveaux, des grands shires, étaient vraiment énormes. Cette compagnie à Vancouver, malgré tout, prennait grand soin de ses cheveaux, beaucoup plus qu'a Québec. Je ne peux pas parler des cheveaux qu'on utilise ici présentement, mais dans le temps, les cheveaux de tramway d'ici était trop petits, alors leur job était encore plus stressant pour eux. À ma connaissance, il y a encore au moins 17 calèches dans le Vieux-Québec: 14 du Dr. Bernier ("Les Calèches de la Nouvelle France"), et trois des frères Doyle (deux "Les Calèches du Vieux Québec" de Dany et une calèche de Russel). Je crois que France Carreau, l'associée de mon ancien patron André Beaurivage, opérait au moins une calèche durant un certain temps, mais je ne sais pas si elle est encore là. En général, les Doyles traitaient leurs cheveaux mieux aussi, avec deux changements de cheval au lieu d'un seul en temps chaud, et le transport en camion plûtot que des longs trajets par le cocher entre l'écurie et le park d'Esplanade. Les calèches étaient encore plus nombreuses avant mon temps. Durant les années 70 et avant, il y avait jusqu'à 50 calèches dans le Vieux-Québec. C'était très différent. Il y avait des écuries à l'Haute Ville dans le quartier St-Jean Baptiste et en bas à St-Sauveur. La plupart de ces écuries était plus proche. Il y avait beaucoup de propriotaires. Mais quelquepart vers le milieu des années 80, je ne me rappelle pas de l'année juste, la ville a passé une nouvelle reglementation, intérdisant les écuries dans les limites de la ville, jusqu'à l'arrondissement de Duberger. Alors le plupart de ces propriotaires était des vieux bonhommes, et André Beaurivage, qui était plus jeune, a réussi à achéter leur permis, sauf les trois des frères Doyle. Et il faisait du lobbying à l'hotel de ville pour réduire le nombre de permis et d'augmenter le prix des tours. Il voulait tout avoir pour lui. Mais il n'a jamais réussi à éliminer les frères Doyle, et cela lui rendait fou. Il forcait ses cochers à travailler le plus maximum, pour toujours faire de sorte que les Doyles en faisait moins d'argent. Et le plus le prix d'un tour de calèche augmentait, le moins du monde qui embarquait. C'était ridicule. On travaillait à commission, et on était obligé de passer des longues journées dans le Vieux-Québec toujours en attente des clients. Et les tramways, qui était beaucoup moins chers le tour, ont fait leur entré. . . Finalement, quand la ville a commencé à réduire le nombre de calèches (en 2001) c'était le temps. . . et André Beaurivage était déjà sur le point de faire faillite à cause de sa mauvaise gestion (faisant vivre trop de calèches en essayant d'éliminer des frères Doyle, ainsi qu'un train de vie très très extravagant!) J'ai travaillé là durant 91 et 92, et encore entre la fin de 2000 et le milieu de l'été 2002. Alors je ne peux pas trop commenter sur la situation actuelle. Les cochers m'ont dit que les choses se sont améliorées, mais quand on voit des decès comme la semaine passée on se posent des questions. . . Il y a beaucoup de cochers qui aiment leurs cheveaux, et qui prennent le plus soin possible, leur faisant des gestes pour améliorer leur confort ainsi que des petites gateries. Plusieurs, comme moi, allaient leur achèter un sac de carrotes chaque jour. Mais il y en a d'autres qui s'en foutent. . . tout ce qui compte, c'est de faire le plus grande nombre de tours, et de les faire rapidement (on travaillait à commission, alors c'était une question d'argent). En fin de compte, je crois qu'un jour on va finir par fermer les calèches et les tramways à Québec. . . et je ne suis pas la seule qui pense ça. . .

Et moi aussi!

Il y a toujours de l'espoir qu'un jour on ne verra plus de calèches dans le Vieux-Québec. Il y en a déjà moins que dans le passé. Quand je commencais à travailler, le nombre maximum de calèches était 30. Mais un peu après le début des années 2000, la ville a réduit ce nombre à 18. On disait que l'ancien maire Jean-Paul l'Allier n'aimait pas les calèches et qu'il a travaillé pour en avoir moins. À New York, où on a vu des accidents spéctaculaires et des déces, il y a des militantes qui travaillent pour fermer les calèches. Mais en fin de compte, les cheveaux dans le Vieux-Québec ont généralement un meilleure vie que les animaux dans les élévages industriels. Ils travaillent très fort durant la courte saison touristique, mais pour la reste de l'année la plupart de ces cheveaux se reposent, même s'il y a plusieurs qui sortent durant l'hiver pour donner des tours dans le Vieux-Québec, et d'autres qui sont loués aux compagnies de traineau. Mais, ça doit être fermé!!

En tant qu'ancienne cochère, je suis toujours triste d'apprendre des mauvaises nouvelles concernant des cheveaux de calèche. Chaque année, il y a toujours des histoires. . . Les plus spectaculaires vont passer dans les nouvelles, mais il y en a d'autres qui passent plus ou moins inappercu du public. Il y a aussi le Festival Western à St-Tite en septembre où un de nos cheveaux a déjà perdu la vie. Dans le temps où je travaillais dans les calèches, le patron à l'époque (qui a finalement fait faillite) envoyait à St-Tite des cheveaux qui avait été mis au repos forcé par le vétérinaire municipal !! Dans les années plus récentes, la situation dans le Vieux-Québec s'est améliorée depuis que le Docteur Bernier est devenu propriataire de la plupart des calèches. Mais l'industrie est croche. Les conditions du travail pour les cochers sont difficiles, et plus que l'été progresse, le plus stressés deviennent les cochers et autres employés, et au bout de la linge, c'est les pauvres bêtes qui en souffrant.

Pauvre chien! Au moins pour les cheveaux de calèche, dans le Vieux-Québec il y a maintenant un loi interdisant les cochers de faire des tours de calèche quand la température dépasse 30 degrés, et il faut que tous les cheveaux restent dans le parc en attendant que ça réfroidisse.

Il y a plusieurs choses qu'on peut faire pour aider nos animaux de compagnie à passer à travers cette vague de chaleur. Quand je travaillais sur les calèches dans le Vieux-Québec, on arrosait souvent les pattes de nos cheveaux durant les chaleurs pour les soulager. Cette semaine j'ai gardé mes trois oiseaux le plupart du temps dans une chambre au sous-sol chez moi, où la température était un bon 10 degrés plus frais qu'en haut et il y avait moins d'humidité. Je les ai monté en haut durant une partie de l'avant-midi et je les ai donné des bon bains dans l'eau tiède sans trop les essuyer après. Même des bains deux fois par jour au besoin. Ma pigeonne était bien contente, et par la suite elle s'est allongée dans un petit coin ensolleillé sur le plancher pour se secher. Bien sur ils ont passé la nuit dans le sous-sol, à côté de ma chambre à coucher. . . et même si je me suis faite reveiller très de bonne heure quand mes deux tourterelles se sont mis à chanter fort, ça vallait la peine.

Bravo !!!

Merci de vos voeux ! J'ajoute mes voeux aussi pour une bonne et mérvielleuse année, rempli de beaucoup d'enérgie et d'actions bénéfiques pour aider la cause animale !!!

Hier, j'ai reçu un copie en DVD du documentaire "FOWLPLAY" qui est basé surtout sur les enquêtes clandestins du group Américain MERCY FOR ANIMALS. Je l'ai écouté hier soir, et je dois dire que ce film est un des meilleurs sur le mouvement des droits des animaux que j'ai vu jusqu'au présent. Dans le film, on parlait beaucoup des actions de ce groupe, et on montrait des scenes qui étaient tournés dans les salles de classe aux écoles secondaires, où les membres de Mercy for Animals vont regulièrement pour donner des conférences sur les élevages industriels et le veganism. Le film était vraiment bien fait, et très complet. J'ai surtout aimé voir comment ça s'est passé dans les écoles avec des conférences !!!

Pas mauvais, cette idée, Animal!!! Tout le monde sait que l'homophobie est encore très présent dans les écoles, surtout envers les jeunes gars gais. Et il y a, depuis quelques années, un groupe de jeunes adultes (le nom de leur association est G.R.I.S. je crois) qui vont dans les écoles de parler de leur orientation sexuelle, et pour conscientiser les jeunes au sujet de l'homophobie. Est-ce qu'il y a des militants pour les droits des animaux qui ont fait quelquechose de semblant quelquepart, comme à Montréal? Je ne connais rien d'un tel initiative, mais je trouve l'idée intéressant. Il y a plein de sujets à aborder. . .

Oui, une bonne nouvelle! Elle a été chanceuse!