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mars11

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Tout ce qui a été posté par mars11

  1. Il faut être con + con = doublement con pour dire une pareille connerie. Ça fait peur pour le reste de l'espèce humaine. C'est plutôt déprimant de faire parti de l'espèce humaine.
  2. Cela me parais très compliqué se problème,peut être tous en bicyclette.
  3. Des milliers de palmipèdes du Périgord produiront bientôt du foie gras et de l'électricité LE MONDE | 30.07.09 | 13h59 • Mis à jour le 30.07.09 | 13h59 PÉRIGUEUX CORRESPONDANT La révolution énergétique, en Dordogne, passe par le foie gras. La Ferme de l'oie, une exploitation expérimentale d'élevage et de gavage de 6 000 oies - dont 1 500 sont gavées - implantée à Coulaures dans ce département, met la dernière main au chantier d'installation d'une unité prototype de production d'énergie à partir des déjections des palmipèdes. Elle devrait être prête à fonctionner à la mi-septembre. Le système est simple : tous les lisiers et fumiers, intérieurs comme extérieurs, de l'exploitation sont récupérés et traités dans un "digesteur". Cette cuve en inox de 100 m3, chargée à raison de 3 m3 par jour, peut produire 400 m3 de gaz méthane par mois, alimentant en continu un groupe électrogène d'une capacité de 25 kWh. Ce qui suffit amplement à chauffer les emplacements où sont installés les oisons, 40 % de la production d'électricité étant même revendue à EDF. A terme, les professionnels du secteur espèrent que cette démarche servira d'exemple et même inspirera d'autres secteurs agricoles. DISPOSITIF COÛTEUX Une partie de la filière "foie gras", dont la France est le leader mondial avec 38 millions de têtes, générant 19 500 tonnes de foie gras cru (78 % de la production mondiale, selon le Comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras), pourrait en bénéficier. Ce système de production d'auto-énergie renouvelable par le méthane est "une expérimentation qui sera applicable en série à des exploitations de production de foie gras "moyennes"", explique Jean-Pierre Dubois, ingénieur agronome et directeur technique de la Ferme de l'oie. A l'image de cette ferme, une exploitation moyenne compte environ 1 500 oies à gaver par an pour un élevage de 6 000 têtes, le double pour les canards. Les petites exploitations, nombreuses en Dordogne comme dans le Gers, les deux départements en tête de la production de foie gras, ne sont donc pas concernées car le dispositif n'y serait pas rentable. Le projet de la Ferme de l'oie a en effet nécessité un investissement important, d'un coût total de 270 000 euros. Il a été financé à 80 % par des fonds publics européens, nationaux et locaux et de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), le reste étant assumé par les exploitants. Selon un calcul assez optimiste de ses promoteurs, l'investissement pour les éleveurs, dont certains pourront recevoir des aides, est amortissable en six ans. Michel Labussière
  4. Albert Einsteen avais dit que le jour ou les abeilles disparaitrais,il ne resterais plus que 4 ans de survie de l'humanité.
  5. La publicité pourais bouleversé les éleveurs de poulets.
  6. C'est pas beaucoup,un jour sans viande.J'espère qu'ils vont réussir!
  7. Il commence à être temps !!! À quand la fin de toute esclavage animale
  8. mars11

    Dans la ferme à Mathurin…

    De quoi parle donc ce crétin ? ! C'est ce qu'on appelle parler à travers son chapeau ! Je trouve aussi,il ne sais pas de quoi il parle,un clown !
  9. Cela ne me surprend guère,ça peut arriver par ici un moment donné aussi J'espère que non cependant !
  10. Végétalien et végan,ça serais mieux et plus rapide !!!
  11. On essais encore !!! http://www.makeanimaltestinghistory.org/ Cliquez pour choisir votre langue, enregistrez-vous dans le bas et rejoignez la marche virtuelle contre l'expérimentation animale. (il faut cliquer sur l'image (sur le site, en haut à droite) : et l'inscription est en bas de page)
  12. Sauver la planète? avec sa fourchette Urgence d'agir ! Quoi faire de plus pour la planète si déjà on recycle, on composte et on a réduit l'utilisation de l'auto ? Réduire grandement ou éliminer la viande est une des actions les plus efficaces pour améliorer le sort de la planète. Tous les organismes qui voient à la santé de la planète sont unanimes : la production massive de viande est un des plus grands fléaux environnementaux. À titre de porte-parole d'Expo Manger Santé et Vivre Vert, il me fait plaisir de partager avec vous ces donnés révélatrices, qui portent à réflexion et à passer à l'action. Gaz à effet de serre La FAO (Food and Agriculture Organisation), une organisation de l'ONU, a sonné l'alarme dans un rapport de 2006 : « L'élevage intensif des bovins cause davantage de gaz à effet de serre que toutes formes de transport, voitures, camions et avions réunis. » Les bovins sont responsables de 37 % des émissions de méthane (une tonne équivaut à 23 tonnes de CO2) et 65 % des émanations d'oxyde nitreux (une tonne équivaut à 296 tonnes de CO2). Dans le tableau suivant, on voit que c'est le bœuf qui est le grand gagnant pour ses émissions en CO2 : 65 fois de plus que la pomme de terre et 16 fois de plus que le blé. Équivalent de kilos de CO2 par kilo d'aliment Bœuf 13 kg Porc 6,2 kg Poulet 4,5 kg Blé 0,8 kg Patate 0,2 kg Source : Cool Farming, Greenpeace Mauvaise utilisation des grains En 2001, le département de l'Agriculture des États-Unis a évalué la quantité de grains nécessaire pour produire une livre de chair animale. Dans le monde, il s'abat près de 55 milliards d'animaux par année pour satisfaire notre goût pour la viande. S'il y avait moins d'animaux à nourrir, il serait alors possible de reconstituer les réserves mondiales de céréales et d'assurer un approvisionnement suffisant pour les pays où les humains souffrent de la faim. Nombre de livres de grains Agneau 21 lb Bœuf 13 lb Porc 8,4 lb Poulets 3,4 lb Économie d'espace La superficie moyenne des terres consacrées à l'agriculture en Amérique du Nord est de 3,5 acres par habitant. Avec une baisse marquée de la production de viande, cette superficie pourrait être réduite à 0,5 acre par habitant (sept fois moins). La production animale occupe 70 % des terres agricoles de la planète. Espace pour produire un kilo d'aliment Bœuf 323 m2 Porc 55 m2 Poulet 53 m2 Riz, pâtes 17 m2 Légumes et patates 6 m2 Source : WWF Switzerland Si l'on produisait moins de viande au Québec, on aurait davantage d'espace pour produire une belle diversité de légumes, de fruits, de grains, de graines et de légumineuses. Ainsi, nous aurions moins besoin de les faire venir d'ailleurs. Le pétrole Il faut 25 kilocalories (kcal) de combustible fossile pour produire un kcal de viande, mais il n'en faut que 2,2 pour faire un kcal de végétaux, c'est-à-dire 11 fois moins. Toute cette énergie est nécessaire pour : produire les fertilisants à base de pétrole; la machinerie pour cultiver les céréales; le transport en camion des grains, des animaux, de la viande transformée, etc.; la réfrigération de la viande. L'eau La commission pour le développement durable de l'ONU a évalué, en 2004, qu'il fallait 7 000 litres d'eau pour produire 100 grammes de bœuf. À peine croyable ! Environnement Canada nous apprend également que 40 livres de fumier sont produits pour chaque livre de viande comestible. Ces déjections provoquent de graves perturbations dans les cours d'eau, la faune et la flore. Un sujet évité! Seulement 5 % des articles parus sur l'environnement parlent de l'importance de manger moins de viande. Pourtant, c'est une action accessible à tous et ce, trois fois par jour. En plus, cela ne demande aucun investissement et pourrait se faire à très court terme. Un plaisir non coupable ! Manger végétarien donne une double satisfaction : un plaisir gustatif, certes, mais c'est également gratifiant de savoir que l'on participe à protéger notre planète. Dorénavant, il faudra penser plus loin que sa langue. Oui, il faudra avoir du plaisir à manger, mais il faudra aussi penser aux conséquences de nos choix alimentaires sur l'environnement. La FAO recommande de réduire de moitié la production mondiale de viande. Pourtant les prévisions vont dans l'autre sens : en 2050, il se mangera deux fois plus de viande sur la planète. URGENCE ! Il faut revoir nos habitudes alimentaires. PAR ANNE-MARIE ROY, DIÉTÉTISTE NUTRITIONNISTE
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