Deaima

Moi, ce documentaire, c'est pas à prendre pour du cash. Ils disent qu'il injecte aux vaches des pesticides, ce qui est faux. Ils nous font encore à croire que l'on chasse les blanchons (bébé-phoque) ce qui est archi-faux depuis 1987. Le dernier blanchon abattu aux Îles de la Madeleine l'a été en 1978. En plus, le braconnier utilise l'akapik de la mauvaise mainière (on abat pas les phoques avec le pique). Les scènes d'abattoires sont désuètes et contrairement à ce que Georges Laraque dit, ces scènes ne se passent pas dans les abattoirs québécois (confirmé par un éleveur de veau et deux bouchers). Je trouve que ce film est plus une propagande végétalienne que d'autre chose. Bref, prendre avec un grain de sel casher... Je vous conseil plutôt d'aller aux journées des Fermes à porte ouvertes de l'UPA, visiter vos producteurs locaux (ces scènes se passent aux USA). Un film plus réaliste et beaucoup plus neutre, Food Inc (les aliementeurs) est à voir (saviez-vous que les employés qui font les jobs sales sont la plupart des immigrants mexicains payés à des salaires de merde ?)

Ils ne sont pas tous nécessairement inadoptables... http://www.nathanwinograd.com/?p=3116 Ils sont contre les refuges no kill et pour le BSL...

Je partage ta pensé. C'est important de faire ses recherches et de favoriser ceux qui respectent leur animaux au lieu de tout condamner. J'ai visiter un éleveur de veau qui respecte ses bêtes, des chasseurs qui abattent leur proies sans qu'elles souffrent inutilement et des éleveurs de chiens qui les traitent aux tits oignons alors que les animalistes les condamnes à cause de pommes pourrites.

Peta a un taux astronomique d'euthanasie (plus de 90%). Les pauvres hyènes risquent plus de se faire euthanasier que d'autre chose.

Ça dépend de l'éducation, mais aussi de l'âge des enfants. Je laisserait pas un coco de 2 ans jouer, même avec surveillance, avec des races fragiles (chihuahua, pékinois...), excitées (terriers, jeune labrador), ou carrément imposante (Saint-Bernard, Mastiff, Danois). À part de ça, j'ai lu qu'au début du XXième siècle, les pitbull étaient les chiens de famille les plus populaires aux USA.

Je suis ni pour ni contre, mais personnellement, je ne ferais pas subir ça à mon chien (ya la queue coupé, mais on l'a acheté de même ... )

Mon chien , lui , a des goût plus raffiné ! Il trippe sur la crème solaire.

J'ai pour mon dire que ce reportage est un gros spotlight sur l'hyprocrisie européene qui ose faire la morale aux madelinots , terreneuviens et inuits ...

M'a vous en dire une bonne sur PeTA : http://petatueanimaux.fr/ En gros Peta préfère garder son argent pour faire croire aux enfants que leur parents sont des sal*** parce que soit ils pêchent (ça fait mal aux poissssssssson !) , ils chassent , portent du cuir ou de la fourrure ou bedon faire des pub sexistes ou bedon harceler les vedettes ...

C'est vraiment important de savoir si ton père un St-Bernard et est-ce qu'il est prêt à en accueillir un. C'est pas nouveau , mais un St-Bernard , c'est gros , ça bouffe énormément , ça bave , ça perd du poil ... Disons que pour certain ça pourrait être un cadeau empoisonné. Il faut vraiment que tu sois sûre et certaine que ton père veut un chien et est prêt et dispo pour un chien , quitte a gâcher la surprise (bon ok , c'est poche , je l'avoue) En attendant , j'ai trouvé un beau Saint-Bernard chez Sophie's dog adoption http://www.adoptapet.com/pet2907753.html

J'ai lu a quelque part que son maître à mis un fil de pêche sur sa patte qu'il tirait.

Leur Teckel ont l'air consanguin en c... C'est ben beau des teckel «dapple» , mais y a des limites à reproduire avec ce gène. Pour en revenir à la lettre de la dame , un chien d'un éleveur de champion ne vaut pas 20 000 $ ! Je serais curieuse de faire un sondage.

Je suis en graphisme.

Quel hasard , j'étudie également à Rdl et je suis aussi dans les résidences.

Il y a le site Petfinder qu'on peut trouver beaucoup de refuge dont ceux nommer plus haut. On peut rechercher selon la race ou par province (states) Malheureusement , c'est seulement en anglais, mais on trouve des refuge québécois et canadiens.