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seb et alex1

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Tout ce qui a été posté par seb et alex1

  1. seb et alex1

    Devine qui va poster

    Coucou les zamis, demain je vous présente un nouveau chinchilla qui à vu le jour il y a 1 heure .......lol Chantal ou Fab ?
  2. Le dermatite atopique constitue l'une des principales dermatites allergiques du chien, avec la dermatite par allergie aux piqûres de puces. Elle résulte d'une prédisposition héréditaire de l'animal à synthétiser divers anticorps contre des antigènes présents dans l'environnement. Il s'agit d'une dermatose aux mécanismes particulièrement complexes, et incomplètement connus que ce soit en allergologie vétérinaire ou humaine. Elle résulte à la fois de facteurs intrinsèques, notamment génétiques, propres à l'animal, et de facteurs extrinsèques présents dans l'environnement, comme des acariens ou des pollens. Il ne s'agit nullement d'une dermatose contagieuse, par contre elle est transmissible de l'animal à sa descendance. Il est donc fortement déconseillé de faire reproduire les chiens présentant une dermatite atopique sévère sous peine de voir apparaître les mêmes manifestations cliniques chez cette descendance. Epidémiologie Cette dermatite allergique apparaît généralement entre six mois et trois ans, mais les premières manifestations peuvent apparaître chez des animaux plus jeunes ou plus âgés. Il existe de très nombreuses prédispositions raciales, qui varient notamment selon les auteurs, et le pays dans lequel l'étude a été effectuée. En France, elle est principalement rencontrée chez les bouledogues français et anglais, le Boxer, les Labrador et Golden retriever, le Shar pei, le berger allemand, ou encore le Westie. Signes cliniques Cliniquement, la dermatite atopique canine va se traduire par l'apparition de rougeurs sur diverses localisations corporelles, comme les oreilles, les babines, les pattes, les régions génitales et l'anus. Avec le temps, une pigmentation et un épaississement cutané peuvent apparaître. Un pelage gras et une mauvaise odeur peuvent également survenir. Plus ces lésions auront mis de temps à apparaître, plus il faudra de temps pour les faire disparaître. Sur ces localisations, on va pouvoir observer des démangeaisons, plus ou moins sévères, mais aussi des complications infectieuses dues à des bactéries ou à des levures. Dans les oreilles, cela va entraîner une otite, et sur le corps, cela va se traduire par l'existence de boutons, pustules et croûtes. Dermatite atopique à un stade débutant Dermatite atopique à un stade plus avancé Diagnostic Le diagnostic et de la dermatite atopique canine est uniquement clinique. Autrement dit, il ne nécessite aucun examen complémentaire particulier en dehors de ceux qui doivent être réalisés pour éliminer les dermatoses qui ressemblent à une dermatite atopique. Il est donc notamment inutile d'effectuer des tests cutanés ou des tests sérologiques pour poser un diagnostic. Ces derniers ne servent qu’à déterminer à quels allergènes présents dans l'environnement l'animal est allergique, et ainsi à mettre en place une désensibilisation. La dermatite atopique doit être distinguée de dermatoses cliniquement proches, comme la gale sarcoptique ou la démodécie. Rougeur et infection des babines Dermatite atopique à un stade avancé chez un Berger allemand Inflammation des testicules chez un Yorkshire Traitements Le traitement de la dermatite atopique canine est simple et complexe à la fois. Avant tout, il est nécessaire de déterminer ce à quoi l'animal est allergique. La dermatite atopique peut ainsi résulter d'une allergie à des allergènes présents dans l'air, appelé aéroallergène, ou d'un ingrédient de son alimentation. S'il s'agit d'une allergie alimentaire, le traitement est simple puisqu'il consiste simplement à retirer l'ingrédient ou les ingrédients responsable de la dermatite atopique. Les tests sérologiques ne présentent aucun intérêt pour diagnostiquer une allergie alimentaire et pour déterminer à quel ingrédient l’animal est allergique. S'il s'agit d'une dermatite atopique due à des aéroallergènes, le traitement est bien plus complexe et il repose sur trois angles d'attaque. Le traitement étiologique, le traitement symptomatique, et la gestion de dermatoses associées et des complications infectieuses. Le traitement étiologique c'est la gestion de la cause même de la dermatite atopique. Il s'agit de contrôler la présence de ces aéroallergènes dans l'environnement, notamment les acariens, mais aussi et surtout de mettre en place une désensibilisation. Celle-ci doit être systématiquement mise en place chez un chien qui présente une dermatite atopique due à des aéroallergènes. En effet, c'est le seul traitement qui permette de guérir le chien, il est relativement peu onéreux, et il n'entraîne que de rares effets secondaires. On considère que l'on peut guérir environ 60 % des chiens allergiques aux acariens de la poussière de maison, ces derniers étant les principaux responsables de la dermatite atopique due aux aéroallergènes. Pour déterminer les sensibilisations allergéniques du chien, et ainsi mettre en place une désensibilisation adéquate, il faut de préférence réaliser des tests cutanés, qui constitue à l’heure actuelle la méthode dite de référence. À défaut, on pourra réaliser une sérologie allergologique tout en sachant qu'il s'agit d'une méthode moins fiable, et donc avec une chance de guérison moins élevée. Tests cutanés chez un Boxer Le traitement symptomatique correspond aux molécules qui peuvent être administrées à l'animal pour contrôler les symptômes de la dermatite atopique notamment les démangeaisons et les rougeurs. On peut ainsi employer diverses molécules comme les antihistaminiques, les acides gras essentiels, les dérivés de la cortisone appelée corticoïdes, ou encore la cyclosporine. Globalement, ces traitements ne permettent en aucun cas de guérir l'animal mais simplement de contrôler les symptômes liés à cette dermatite allergique. Le chien est donc plus ou moins amélioré par ces traitements, mais dès qu'on les arrête les symptômes réapparaissent. La gestion de dermatoses associées correspond au contrôle des dermatoses ou affections qui pourraient être associées à cette dermatite atopique, tandis que la gestion des complications infectieuses, correspond au contrôle des infections bactériennes ou fongiques résultant de cette dermatite allergique. C'est pourquoi, la gestion antipuces doit toujours être draconienne chez ces chiens atopiques, même si aucune puce n’est observée sur eux, et que dans bon nombre de cas un antibiotique et où un antifongique doit être associé, au moins en début de traitement. Complications infectieuses sévères chez un Boxer atopique Conclusion La dermatite atopique canine est donc une dermatite allergique qui, même si elle n’est qu’incomplètement comprise, ne doit pas être négligée ne serait-ce que du prurit lancinent et des infections parfois sévères qu’elle entraîne. Elle peut tout à fait être contrôlée voire guérie, notamment parce que l'on dispose actuellement de traitements de plus en plus efficaces.
  3. seb et alex1

    Devine qui va poster

    oui oui oui ma Chantaaaaaaaalll
  4. Une escarre (parfois appelée plaie de lit ou ulcères de décubitus) est une lésion cutanée d’origine ischémique liée à une compression des tissus mous entre un plan dur et les saillies osseuses[1]. L’escarre est décrite selon quatre stades, comme une plaie de dedans en dehors de forme conique (une partie des lésions n’est pas visible), à base profonde, ce qui la différencie des abrasions cutanées. Son origine est multifactorielle, cependant le rôle de la compression tissulaire associée à une perte de mobilité et à la dénutrition est prédominant. Le traitement de l’escarre peut être chirurgical, bien qu’il soit le plus souvent médical et préventif. Le véto est de rigeur !!!!!!
  5. Bon samedi à tous ici triste la est de sortie
  6. seb et alex1

    Devine qui va poster

    les amies Chantal ou Fab ?
  7. Les merveilles du comportement animal L’homme est un animal doué de parole. Bien que nous soyons capables de communiquer entre nous, nous sommes bien souvent incapables de comprendre certains comportements de nos propres congénères. Très fier de son cerveau sophistiqué, l’homme a toujours eu la prétention de tout expliquer. Depuis des millénaires, nous nous penchons avec intérêt sur les autres animaux. Plus notre technologie progresse et plus nous émettons des théories qui sont sensées décrypter la manière dont fonctionnent les sociétés animales ou la façon dont les animaux communiquent. Si nos ancêtres se sont intéressés aux autres animaux, c’est avant tout avec l’intention de s’en nourrir. Cependant, les peintures rupestres nous prouvent que leur intérêt dépassait déjà la simple nécessité de survivre. Les chevaux ponctués de Pech-Merle. La signification symbolique nous échappe. Ainsi, il y a près de 15 000 ans, un artiste de l’Age de Pierre nous a légué une peinture qui montre un bison et un homme à tête d’oiseau. Cette peinture de la Grotte de Lascaux est peut-être le premier témoignage connu d’une croyance en une parenté mystique entre l’homme et l’animal. Scène de la grotte de Lascaux mettant en action un bison blessé qui fonce sur un homme étendu, à tête d'oiseau. Aujourd’hui, à l’ère de l’exploration spatiale, nous en sommes toujours réduits à avouer notre ignorance et notre incompréhension devant certains comportements. Les anecdotes qui suivent sont là pour prouver que nous sommes encore très loin d’avoir percé tous les mystères de notre environnement. Une maman chien pour des petits tigres A plusieurs reprises en Chine, une chienne a fait office de maman à des petits tigres orphelins. Soit la tigresse refusait de s’occuper de ses petits, soit elle n’avait pas assez de lait pour les nourrir. Ces cas insolites se sont tous produits dans des zoos. A chaque fois, les employés ont tenté, avec succès, de faire adopter les jeunes par une chienne qui venait d’avoir des chiots. Il semble donc que l’instinct maternel animal ne connaisse aucun préjugé. Hogan et le faon Cette belle histoire s’est déroulée en Afrique du Sud en 2004. Une biche s’est fait mortellement heurter par une voiture. Elle était accompagnée de son faon qui, paniqué, s’est réfugié sous le porche d’une maison. Le nouveau-né a ainsi failli mourir de faim après 3 jours sans soin. C’est alors que Jennifer Aftanas, une habitante de la localité, a décidé de prendre en charge l’orphelin. Elle lui a préparé un biberon qu’il a goulûment avalé. Rapidement, le faon a repris des forces. Baptisé Bella, la petite orpheline apprécie particulièrement le lait de chèvre. Aucun asile pour animaux ne pouvant prendre en charge l’animal, Bella est restée dans son nouveau foyer. C’est alors que Hogan, le gardien des lieux, a lui aussi décidé de jouer les nounous. Ce gros toutou, en principe dressé pour la chasse, est tombé amoureux de la petite Bella. Il a lui-même pris en charge le toilettage du faon et a accepté qu’elle partage son lit. Bella a ainsi pu, avec l’amour des hommes et de Hogan, se rétablir. Quelques mois après, Bella a été confiée à un centre médical pour animaux où elle est restée jusqu’à ce qu’elle soit capable de réintégrer son environnement naturel. Un écureuil adopté par un chien En septembre 2005, aux Etats-Unis, un jeune garçon a trouvé un bébé écureuil Baptisé Chipper, le bébé a été aussitôt pris en charge par Pepper, le chien du jeune garçon. Agée de 4 ans, cette maman n’avait jamais eu de petits et a donc reporté tout son amour maternel sur ce rejeton insolite. Garfield et Gemma Non, il ne s’agit pas d’une aventure du chat star du grand écran mais d’une histoire d’amour réelle entre une jument et un chat. Cette rencontre insolite s’est produite en janvier 2006. Le chaton perdu et complètement affolé s’est réfugié dans une écurie où se reposait paisiblement Gemma. A-t-elle été émue par la fragilité de cette drôle de boule de poils ? Nous ne le saurons jamais. Toujours est-il que Gemma a décidé de prendre sous sa protection le petit Garfield. Cette amitié insolite entre deux animaux aussi différent semble basée sur la nécessité de se sentir sécurisé pour l’un et peut-être par la simple curiosité pour l’autre. A vrai dire, on ne peut réellement expliquer pourquoi cette jument a entrepris de s’occuper d’un chaton aussi gaffeur. En effet, ce dernier s’en est donné à cœur joie dans la ferme en semant la panique au sein des cochons et des volailles. Devenu adulte, Garfield est resté fidèle à son amie malgré l’hostilité évidente des autres locataires de la ferme. google_protectAndRun("render_ads.js::google_render_ad", google_handleError, google_render_ad);
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