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P.I.F. (péritonite infectieuse féline) chez le chat
Hagalaz a répondu à un(e) sujet de Tartiflette111 dans Santé des chats
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Le lait pour chaton est-ce une bonne idée ?!
Hagalaz a répondu à un(e) sujet de Chatouille111 dans Alimentation des chats
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Suggestion de thème pour les concours photo de chats à venir...
Hagalaz a répondu à un(e) sujet de Wolfen-chats dans Les concours photos du forum du chat
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Quel type d'alimentation vous donnez à votre chat ?
Hagalaz a répondu à un(e) sujet de Tomcat11 dans Alimentation des chats
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Hagalaz a répondu à un(e) sujet de Tomcat11 dans Alimentation des chats
En fait le plus gros problème du cru avec les chats c'est le ménage, enfin moi ils en trainent partout, c'est purement dégueulasse. Mais la cage de Tarti m'a donnée une idée, je pense que je vais adoptée le même système d'autant que j'ai déjà la cage, elle sera ouverte par le haut comme ça les chats ne pourrons pas trainer la viande en dehors, et en prime elle sera protégée du chiens. -
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D'hier à aujourd'hui Recréer le physique du félin sauvage sur un chat domestique : ce rêve, de nombreux éleveurs ont entrepris de le réaliser. Avec des fortunes diverses. Si le Bengal s’est imposé, d’autres races sont actuellement en cours de sélection. C’est le cas du Chausie. Il figure actuellement dans la catégorie des « Nouvelles races » (NR). Le Chausie est un hybride de chats domestiques, d’Abyssin notamment, et de Felis chaus, un félin sauvage (pesant entre 10 et 20 kilos) dont l’aire de répartition s’étend de l’Egypte jusqu’à l’Asie du Sud-Est. Les premières hybridations eurent lieu dans les années 1970-1980 aux Etats-Unis. Son look Le Chausie est un chat au gabarit imposant. La tête est triangulaire et anguleuse, les oreilles ont des « lynx tips » (plumets). Son corps est long et substantiel, les postérieurs particulièrement puissants. La queue est plus courte que celle des autres chats. La fourrure, à la fois soyeuse et élastique, possède un « ticking ». Trois couleurs sont reconnues : noir, brown ticked tabby et silver tipped. Cette dernière n’existe que chez le Chausie. Sa compagnie Le Chausie se montre affectueux et joueur. Mais son gabarit et sa puissance le destinent davantage à vivre dans de grandes maisons que coincé dans de petits studios ! Attention, les Chausies qui ont des ancêtres sauvages dans leurs quatre dernières générations sont considérés par la loi comme des animaux sauvages et doivent répondre aux exigences de la CITES en la matière.
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D'hier à aujourd'hui Race de chat « naturelle », le Ceylan est issu… de l’île de Ceylan, rebaptisée depuis « Sri-Lanka ». C’est en 1984 que l’Europe le découvre grâce à Paolo Pellegatta, un vétérinaire italien qui en ramène plusieurs à Milan avec l’aval du directeur du zoo de Colombo. Et en 1993 qu’elle est reconnue officiellement. Son élevage s’est fort peu répandu depuis : on ne recense que quelques sujets en Italie et en France. Son look Le Ceylan est un chat de taille moyenne mais bien musclé. Les pattes arrière sont légèrement plus hautes que les pattes avant. La tête présente des pommettes saillantes et un nez assez court. Les oreilles sont portées haut sur le crâne. Les yeux lumineux, de jaune à vert, arborent une expression "rêveuse". La fourrure est courte, fine et soyeuse, avec peu de sous-poil. Quelle que soit la couleur de la robe, celle-ci présente la caractéristique du "ticking", c'est-à-dire une alternance de bandes claires et foncées sur chaque poil. Contrairement à l’Abyssin, le Ceylan possède (en plus du ticking) des marques tabby : aux pattes, à la queue, autour du cou et au front. Sa compagnie D’un entretien facile grâce à son poil court, le Ceylan est joueur et de bonne compagnie. Affectueux et loyal envers ses maîtres, il reste néanmoins assez indépendant.
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D'hier à aujourd'hui Au début des années 1980, la baronne Miranda von Kirchberg fut témoin d’une mésalliance : son Persan chinchilla profita d’un moment d’inattention pour aller subrepticement saillir une jolie femelle Burmese anglais. Deux mois plus tard, naquirent quatre petites femelles qui avaient la morphologie de leur mère et la couleur argentée de leur père. La baronne comprit rapidement l’intérêt de cette union involontaire. En 1982, elle mit au point un programme d’élevage, avec la participation d’autres éleveurs et de généticiens, dans le but de fixer la couleur silver chez le Burmese, pour cette nouvelle variété appelée « Burmilla ». Mais l’histoire ne s’arrêta pas là. En voulant créer des Burmeses argentés, les éleveurs anglais donnèrent le jour à des Burmeses d’autres couleurs : entièrement noir, chocolat, bleu, tabby…. En raison du Persan d’origine, certains d’entre eux avaient même le poil long. Les Anglais décidèrent d’appeler Asians les sujets à poil court et Tiffanies ceux à poil long. Son look Burmilla, Asian et Tiffany sont des chats de taille moyenne au physique athlétique et harmonieux. Vue de face, la tête forme un triangle avec des pommettes hautes et un museau arrondi. De profil, le front est légèrement arrondi. Il y a une cassure nette au niveau du nez qui est droit. Les oreilles sont placées dans le prolongement du triangle. Les yeux sont grands avec une ligne supérieure oblique et une ligne inférieure arrondie. L’encolure, de taille moyenne, est bien musclée. Le corps est assez élégant avec certaines rondeurs notamment au niveau de la poitrine qui est large et forte. Les pattes sont plutôt fines, les pieds ovales. La queue est de longueur moyenne. Courte, la fourrure est douce et brillante comme de la soie, bien couchée sur le corps. Elle est mi-longue et soyeuse chez le Tiffany. Le Burmilla est de couleur silver ou golden shaded. Toutes les couleurs solides, tabby et silver, en catégorie traditionnelle, et sépia, sont acceptées chez les Asians et les Tiffanies Sa compagnie En raison de leurs origines, les Burmillas, Asians et Tiffanies ont le même caractère que leur cousin Burmese anglais : raffiné et aimant. Chats d’humeur égale, ils font des compagnons agréables toujours présents sans être envahissants. Faciles et sains, on passera avec eux plus de temps en câlins qu’en toilettage ! Leur fourrure ne demande guère plus d’entretien qu’un petit coup de peau de chamois, avec tout juste un brossage hebdomadaire chez les poils longs.
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D'hier à aujourd'hui Comme les Siamois, les ancêtres du Burmese ont été ramenés du sud-est asiatique en Occident par les Européens et les Américains en poste dans ces contrées lointaines entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle. Le premier Burmese connu s’appelait Wong Mau. C’était une petite chatte aux yeux or et à la couleur tout en dégradés de marron ramenée en 1930 à Los Angeles par le Major Thomson, médecin en poste à Bangkok. Avec l’aide d’amis éleveurs et sur les conseils d’un généticien, il réalisa des croisements avec d’autres chats venus de Thaïlande dont des Siamois qui, à l’époque, n’avaient pas le type élégant d’aujourd’hui. Vers la fin des années 50, des Burmeses furent importés en Grande-Bretagne où l’on continua à les marier avec des Siamois pendant une période assez longue. C’est à ce moment que le Burmese anglais se différencia de son frère américain par un type plus élégant et une abondance de couleurs inconnues Outre-Atlantique. Son look Le Burmese anglais est un chat de taille moyenne au physique athlétique et harmonieux. Vue de face, la tête forme un triangle avec des pommettes hautes et un museau arrondi. De profil, le front est légèrement arrondi. Il y a une cassure nette au niveau du nez qui est droit. Les oreilles sont placées dans le prolongement du triangle. Les yeux sont grands avec une ligne supérieure oblique et une ligne inférieure arrondie. L’encolure, de taille moyenne, est bien musclée. Le corps est assez élégant avec cependant certaines rondeurs notamment au niveau de la poitrine qui est large et forte. Les pattes sont plutôt fines, les pieds ovales. La queue est de longueur moyenne. Courte, la fourrure est douce et brillante comme de la soie, bien couchée sur le corps. La palette de couleur est large : seal (noir), bleu, chocolat, lilas, red, crème, tortie etc. toujours avec le patron sépia, c'est-à-dire avec un contraste modéré entre le corps, qui plus clair, et les extrémités. Les yeux sont idéalement jaune doré à or. Sa compagnie La couleur du Burmese anglais, tout en camaïeu, ainsi que son physique doux et harmonieux préfigurent aisément son caractère : raffiné et aimant. Bien que d’un naturel enjoué en raison de ses origines orientales, ce chat est d’humeur assez égale et fait un compagnon agréable toujours présent sans être envahissant. Le physique équilibré du Burmese anglais fait de lui un chat facile et sain avec lequel on passera plus de temps en câlins qu’en toilettage ou en soins ! Sa fourrure ne demande guerre plus d’entretien qu’un petit coup de peau de chamois, histoire de mettre sa texture lustrée en valeur.
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D'hier à aujourd'hui Quand en 1871 à Londres, une chatte British Shorthair bleu tabby remporte la toute première exposition féline, ce n’est pas tant le travail des éleveurs qui est récompensé que l’œuvre de Dame Nature : elle avait façonné un chat parfaitement adapté au rude climat des Iles britanniques grâce à sa fourrure laineuse et quasi imperméable. La première Guerre Mondiale faillit sonner le glas de cette race magnifique. La famine qui frappait les hommes toucha aussi leurs chats qui furent presque tous décimés et il fallut introduire des chats sans pedigree pour reconstituer la race. Cet ajout eut pour effet d’affiner les British. Les éleveurs eurent recours au Persan pour « arrondir » leurs chats, ce qui introduisit du même coup le gène « poil long ». Longtemps, ces British à poil long furent cachés mais ils sont aujourd’hui reconnus sous le nom de British Longhair. Son look Le British est un chat de taille moyenne à grande, construit tout en rondeur. Sa grosse tête ronde est éclairée par deux grands yeux, ronds eux aussi et très expressifs. Les oreilles sont plutôt petites et bien espacées. L’encolure est trapue et courte. Le corps, semi-cobby, est puissant et musclé avec des épaules et des hanches larges et rondes. Les pattes sont solides et fermes, la queue plutôt courte et arrondie à l’extrémité. Chez le British Shorthair, la fourrure est courte, dense et dressée, avec un sous-poil important. Parfois les poils s’entrouvrent comme les brins d’un tapis de laine. Chez le British Longhair, la fourrure mi-longue a la texture du mohair. Elle est plus fournie sur la collerette et l’arrière des pattes. L’introduction de Persan chez le British a favorisé l’émergence du bleu alors très populaire. Aujourd’hui, toutes les couleurs sont reconnues. Sa compagnie Le caractère du British joue largement dans le succès qu’il rencontre aujourd’hui. Calme et posé, toujours présent sans être envahissant, il offre une alternative apaisante à ceux qui sont stressés par la vie moderne et qui peuvent se ressourcer à son contact. Sa petite voix contraste avec son physique de gros nounours. Il demande un toilettage modéré sauf en période de mue où sa fourrure double nécessite de vigoureux brossages. Source: http://www.loof.asso.fr/races/desc_race.php
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D'hier à aujourd'hui La chatte à l’origine de tous les Burmeses s’appelle Wong-Mau. Elle a été ramenée en 1930 à San Francisco par le Major Thomson, alors médecin en poste à Bangkok. Sur les conseils d’un généticien, il fit des croisements avec d’autres chats venus de Thaïlande, dont des Siamois, pour fixer sa robe aux délicats dégradés de brun. Vers la fin des années 50, les éleveurs américains arrêtèrent complètement ces mariages et n’acceptèrent plus qu’une seule couleur, le seal sépia (appelé aussi sable ou zibeline). Dans les années 1970, l’emploi de quelques chats d’exception renforça le type du Burmese américain : tête arrondie, front bombé, yeux ronds et corps ultra court. Le Bombay est le petit frère du Burmese américain. Cette race a été créée par Nikki Horner, une éleveuse américaine qui rêvait d’un chat domestique au look de panthère noire. Après divers essais, elle eut l’idée de croiser des Burmeses avec des American Shorthairs noirs. De 1966 à 1972, c’est au total 27 portées et plus d’une centaine de chatons qui furent nécessaires avant que Nikki reconnaisse avoir atteint son but. Le Bombay était né. Son look Le Burmese américain et le Bombay sont des chats très puissants et athlétiques avec un poids surprenant pour leur taille. La tête est ronde, avec un front arrondi et un stop marqué et, surtout, de grands yeux ronds d’une belle couleur dorée. L’encolure est plutôt courte. Le corps est compact avec une cage thoracique bien ouverte. Les épaules et les hanches sont arrondies. La queue est de taille moyenne. La fourrure, caractéristique, est très courte, près du corps et satinée. Si le Bombay est noir de jais, le Burmese américain a un patron de robe typique appelée sépia, où la couleur est plus claire sur le corps pour s’intensifier aux extrémité sans que le contraste soit toutefois très marqué. Quatre couleurs sont acceptées : le seal sépia (zibeline), le chocolat sépia, le blue sépia et le lilac sépia. Sa compagnie Le Burmese américain et le Bombay sont des chats faciles à vivre. Plutôt calmes et posés, ils peuvent avoir des moments de grande activité quand ils jouent avec leur maître ou partent dans une partie de chasse imaginaire. Leur fourrure ultra courte est sans entretien particulier, les caresses suffisant à lustrer leur poil. Contrairement aux autres chats noirs, la couleur du Bombay ne souffre pas de l’exposition prolongée au soleil qui lui donne des reflets roux. Tant mieux, car il adore les bains de soleil ! Source: http://www.loof.asso.fr/races/desc_race.php
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D'hier à aujourd'hui En Amérique, l’American Shorthair est une star, capable de rivaliser en concours avec les plus beaux Persans, Siamois, etc. ! Comme le British en Angleterre et l’European en France, l’American Shorthair est un « chat du terroir amélioré ». Ses ancêtres ont débarqué en Amérique du Nord à la fin du XVIIIe siècle en même temps que les premiers immigrants européens. Une fois sur place, la race s’est développée. D’abord appelée « Domestic Shorthair » jusque dans les années 1960, elle est reconnue officiellement en 1966 sous le nom d’« American Shorthair » (ce qui signifie : Américain à poil court). Pour améliorer son type, les éleveurs se sont permis quelques croisements avec du British, du Burmese et du Persan. Croisements aujourd’hui totalement interdits. Très populaire dans certains pays comme le Japon, l’American Shorthair reste rare en France. Plus rare encore que l'American Shorthair, l’American Wirehair. Apparu pour la première fois dans une ferme près de New York en 1966 (à la suite d’une mutation), ce chat a la particularité d’avoir un poil crépu et rêche. Reconnu en 1978 aux Etats-Unis, l’American Wirehair peut être marié avec l’American Shorthair. Son look L'American Shorthair est un chat de taille moyenne avec un corps athlétique. L’équilibre est primordial chez ce chat rustique. Toute exagération morphologique qui viendrait troubler son potentiel physique est à rejeter. Le corps est puissant, avec une large poitrine, spécialement chez les mâles. La tête est large, avec des joues particulièrement fortes. Le nez et la face sont moyennement courts, avec des yeux et des oreilles largement espacés. Le museau doit avoir un aspect carré sans être trop court. Courte et régulière, la fourrure est dense et bien lustrée, donnant l’impression d’une protection naturelle aussi efficace contre les intempéries que contre les égratignures. Toutes les couleurs traditionnelles sont reconnues sauf le chocolat, lilas, fawn et cinnamon. L’American Wirehair présente la même morphologie. Sa robe se caractérise par des poils un peu crépus et rêches, se terminant par un léger crochet (« hook »). Les trois types de poils sont présents, donnant une robe dense, courte, voire moyenne à courte. Les moustaches sont ondulées. Sa compagnie Plus gentils qu’eux, tu meurs ! L’American Shorthair, tout comme le Wirehair, sont des chats équilibrés et bien dans leurs poils. Pas le genre à vouloir dominer à tout prix. Ils peuvent donc cohabiter avec d’autres chats sans le moindre souci. Quant aux enfants, ils les adorent ! Des compagnons parfaits ? Sauf avec les souris, lapins et autres campagnols, vu leurs redoutables qualités de chasseurs ! Source: http://www.loof.asso.fr/races/desc_race.php
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D'hier à aujourd'hui En anglais, « curl » signifie bouclé, comme les oreilles de cette petite chatte noire aux yeux dorés recueillie en Californie du Sud par Grace et Joe Ruga, un beau jour d’été 1981. Au début, Grace et Joe ne firent pas très attention à ce signe distinctif. Il le prenait pour une petite bizarrerie, sans plus. Ils commencèrent pourtant à s’y intéresser quand Sulamith ramena à la maison une portée de chatons, d’un matou inconnu, dont certains avaient les oreilles recourbées. Les Ruga interrogèrent alors des spécialistes de l’élevage félin qui déclarèrent que les oreilles en croissant de lune de la petite Sulamith étaient dues à un gène dominant, et que certains de ces descendants en hériteraient. De là à créer une nouvelle race de chats à oreilles bouclées, il n’ y avait qu’un pas qui fut franchit rapidement puisque la TICA, importante association américaine, reconnu l’American Curl dès 1985. Son look L’American Curl est chat de taille moyenne et élégant. De face, la tête est triangulaire, sans face plane et avec de douces courbes vues de profil. Les yeux sont assez grands et en forme de noix. Les oreilles ont un élément essentiel et constitutif de la race. Recourbées au dessus de la tête comme deux croissants de lune, elles forment un arc dirigé vers l’arrière sans toute fois que la pointe de l’oreille ne touche le crâne. L’encolure est longue et gracieuse, le corps élégant et rectangulaire. La queue est aussi longue que le corps. Il existe deux variétés d’American Curl : à poil court et à poil long. Chez le premier, la robe est courte et soyeuse. Chez le second, elle est mi-longue avec une texture fine et peu de sous-poil. Bien fournie, la queue a une forme de plume. Toutes les couleurs de robes et d’yeux sont admises. Sa compagnie Grâce à son riche patrimoine hérité de ses ancêtres des rues et des chats de races diverses dont il est issu, l’American Curl est, sous son allure un peu sophistiquée, un chat robuste et sans soucis particulier. Tout au plus faut-il surveiller un peu ses oreilles et en nettoyer régulièrement l’intérieur avec une lingette imprégnée d’une lotion adaptée - n’utilisez jamais de coton tige !-, mais guère plus souvent que vous ne le feriez chez un chat aux oreilles ordinaires. Grâce à l’absence de sous-poil, la fourrure de l’American Curl à poil mi-long s’emmêle peu et est d’un entretien facile. Source: http://www.loof.asso.fr/races/desc_race.php