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nadege et gilles

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  1. comme caro la signaler si les géniteur sont teste sain pour la FIV ET FELV les chatons aussi
  2. heureusement pour nous l’ancêtre du chat ne traine plus dans la rue Le smilodon, le redoutable félin à dents de sabre smilodon Le plus puissant félin de tous les temps est célèbre pour avoir massacré, en bande-dessinée, la famille de Rahan. Véritable machine à tuer et chasseur très opportuniste, le smilodon s'attaquait aussi à de jeunes mammouths. Nom scientifique Appelé smilodon gracilis, fatalis, ou populator, le plus grand félin de tous les temps est plus connu sous le surnom de "tigre à dents de sabre", en raison de ses très grandes canines supérieures, qui ont la forme de véritables poignards. Il appartient à la famille des machairodontinés, du grec "dents de sabre". Découvertes Environ 2 000 squelettes de smilodons ont été découverts dans un gisement d'asphalte naturel à Rancho La Brea, à Los Angeles, et sont datés entre - 33 000 et - 12 000 ans. Habitat Le smilodon vivait principalement en Amérique du Sud, puis a conquis l'ensemble du continent américain. Le smilodon populator, qui vivait à l'est, était séparé de son congénère fatalis par la Cordillère des Andes. Age d'or Il y a 2,5 millions d'années, le smilodon était redouté par de nombreuses espèces. Son arrivée a contribué à la fin au règne des "oiseaux terreurs", ces carnivores féroces, comme le diatryma ou le gastornis. La supériorité du tigre à dents de sabre s'est confirmée lors du Miocène, période chaude et propice au développement des mammifères. Un redoutable prédateur Le smilodon était friand de mégatheriums (gros paresseux), de chevaux, de machrauchenias (mélange entre le cheval et le dromadaire), mais aussi de mastodons, de jeunes mammouths et de bisons. Son mode de vie est fréquemment rapproché de celui des lions ; on suppose ainsi que seules les femelles chassaient, de préférence en groupe, et que le clan était soumis à un mâle dominant. Extinction Le smilodon a disparu il y a 10 000 ans, à la fin de la dernière période glaciaire. La disparition des grands herbivores qui composaient ses menus lui a sans doute été fatale. Certains pensent que la panthère longibande, qui habite l'Asie, pourrait descendre de cette véritable machine à tuer, que Roger Lécureux, créateur de Rahan, a fait connaître au grand public sous le nom de "Gorak". Le smilodon face au lion SMILODON FAMILLE félidés S.FAMILLE machairodontinae HABITAT Amérique,Eurasie TAILLE 3m POIDS 300kgs CANINE 20cm ALIMENTATION chevaux,mammouth QUANTITÉ 8kg/jour LION FAMILLE félidés S.FAMILLE pantheridés HABITAT Afrique,Asie TAILLE 2m POIDS 180kgs CANINE 6cm ALIMENTATION zèbre,antilope,girafe QUANTITÉ 5kg/jour [img][/img]
  3. http://www.tsarsdefoncourt.com/le-chat-dans-lhistoire.php http://planete.chats.pagesperso-orange.fr/mage.htm http://pages.infinit.net/feliweb/Sec_culture/h_siecles.htm http://www.chat-bombay.com/chat-noir-superstition.php
  4. Statuette de chat. Le chat était l'un des nombreux animaux dont les attributs furent vénérés dans l'Égypte antique. Il était notamment associé au symbole de protection. Tout d'abord avatar du dieu Rê en tant que pourfendeur du serpent Apopis, il connaîtra le sommet de son influence en tant qu'incarnation de la déesse Bastet. Sommaire [masquer] 1 Le chat égyptien 2 Le chat au quotidien 3 Les chats dans la mythologie égyptienne 4 Bubastis et le culte du chat 5 Traditions funéraires 6 Le déclin du culte du chat 7 Notes 8 Voir aussi 8.1 Articles connexes 8.2 Sources Le chat égyptien[modifier] Chat serval. On connaît trois espèces du genre Felis ayant vécu dans l'Égypte antique. Le chat sauvage d'Afrique ou chat ganté (felis silvestris libyca) est le chat le plus répandu. Espèce endémique, on le retrouve partout en dehors du Sahara et des forêts tropicales. Sa taille varie de 50 à 70 cm et son poids de 3 à 7 kg. D'une morphologie comparable aux Abyssins d'aujourd'hui, il possède un pelage foncé pour les groupes vivant en forêt, plus clair pour ceux vivant dans le désert. Animal de préférence nocturne, il chasse au crépuscule ou durant la nuit. La journée, il se protège de la chaleur dans des terriers ou dans des arbres. Le chat des marécages ou chaus (felis chaus) est un chat vivant dans les zones humides (on en trouve jusqu'en Asie). Plus grand qu'un chat sauvage, mais court sur pattes, il mesure de 60 à 75 cm pour un poids variant de 10 à 15 kg. Il a un museau long et fin, des pinceaux noirs sur les oreilles et une queue annelée. Son pelage est d'un brun épais ou rougeâtre marqué de bandes noires sur les pattes antérieures. Le chat serval ou serval (felis serval) est un chat originaire de Nubie (on le retrouve du sud du Sahara à l'Afrique australe). Préférant la nuit, il vit dans la savane. D'une taille moyenne d'environ 70 cm et d'un poids variant de 14 à 18 kg, il possède un corps élancé avec de longues pattes. Son pelage tacheté est d'un brun fauve et s'éclaircit sous son corps. Il a de grandes oreilles, une petite tête et de grands yeux. Le chat au quotidien[modifier] Momie de chat (Musée du Louvre). Les Égyptiens de l'Antiquité nommaient le chat par l'onomatopée « miou », dont la transcription est miw au masculin et miwt au féminin (le français utilise également ce genre d'onomatopée qu'on retrouve dans le verbe miauler). W19 i w E13 ou W19 i w F28 miw miw1 On pense que la domestication du chat eut lieu en Égypte au cours du IIIe millénaire av. J.‑C.. Avant de devenir un animal de compagnie apprécié pour sa douceur, sa grâce et sa nonchalance, le chat est avant tout un animal protecteur. En chassant les petits rongeurs, il protège les silos à grain où les Égyptiens entreposaient leur récolte (notamment le blé), ressource vitale pour ce peuple d'agriculteurs. En chassant les rats, le chat élimine un vecteur de maladies graves (comme la peste). Enfin, en chassant les serpents (notamment les vipères à cornes), il rend plus sûrs les alentours des foyers proches d'où il a établi son territoire. Il semble que chaque temple possédait ses propres chats dont le « gardien des chats » (poste important transmis héréditairement) avait la charge. Le chat, comme les autres animaux sacrés, avaient un statut particulier dans la société égyptienne. Ainsi il était interdit de tuer ou même de maltraiter les chats, et les contrevenants risquaient une peine très lourde pouvant aller jusqu'à la mort (peine sûrement proportionnelle à l'importance du-dit chat). Diodore de Sicile (un historien grec) décrit une scène s'étant déroulée vers -60 : un char romain écrasa par accident un chat égyptien et en dépit des ordres du pharaon Ptolémée XII, un soldat égyptien tua le conducteur. Les milliers de momies de chat retrouvées dans des cimetières pour chats peuvent nous faire penser qu'il était l'animal le plus populaire de l'Égypte antique. Cependant, le grand nombre de momies de chats retrouvées peut aussi s'expliquer par sa petite taille (on enterre plus facilement un chat qu'un taureau). Dans les palais, le chat était l'animal domestique par excellence, élevé dans l'abondance. La tradition voulait que leurs maîtres se rasent les sourcils en signe de respect quand le chat venait à disparaître et un deuil de soixante-dix jours avait lieu le temps de sa momification. Le chat accompagne parfois son maître dans l'au-delà sous forme de statuette (ou sculpté sur les sépultures). On trouve également le chat représenté sur de nombreux vases, bijoux et vaisselle, ainsi que dans les peintures (notamment sous le siège de la femme, comme symbole protecteur). Les chats dans la mythologie égyptienne[modifier] Le chat, divinité égyptienne, statue de Bastet. L'Égypte, tant politiquement que culturellement, n'a pas toujours formé un bloc uniforme. À l'origine, il y avait de nombreux royaumes, dirigés par des tribus, pour la plupart totémistiques, axant leur culte sur des animaux. On attribuait alors tel ou tel animal à tel ou tel membre, en fonction de ses qualités, de ses services rendus, de son courage, etc. Quand une tribu ou un membre remportait une victoire, il était en droit d'exiger de la part du perdant qu'il adore son totem. Un Empire fut formé sous Ménès, vers le XXXIe siècle av. J.‑C., adoptant une religion plus éclectique : des ibis, des aigles, des scarabées étaient adorés et, sûrement, des chats. Les Égyptiens voyaient les dieux non pas comme de simples esprits, mais comme des entités intelligentes, capables de s'incarner dans tout être ou objet. Une coupe de cristal, décorée de l'image de la déesse à tête de lion Mafdet, date d'environ -3100 : c'est la plus ancienne forme de déité représentée en Égypte. Bastet, la déesse à tête de chat, était à l'origine peinte comme un lion protecteur et belliqueux. Son image, au cours du temps, a été modifiée pour l'associer aux chats domestiques, bienveillants mais sauvages. Les chats, en tant qu'incarnation de Bastet, étaient momifiés. Le respect qu'ils recevaient après la mort reflète celui qu'ils inspiraient chaque jour de leur vie. L'historien grec Hérodote écrivait que les Égyptiens se postaient autour des incendies pour s'assurer qu'aucun chat n'irait se brûler. À la mort d'un chat, écrivait également Hérodote, la famille était en deuil et se rasait les sourcils, en signe de tristesse2. Bubastis et le culte du chat[modifier] Un chat tuant le serpent Apopis. Bien que le culte du chat soit déjà un mouvement religieux important à l'avènement du Nouvel Empire, il prit de l'ampleur quand Sheshonq Ier développa la ville de Bubastis (arabe : Tell Basta), chef-lieu de la déesse Bastet, située à l'est du delta du Nil. Bastet devint très populaire et importante au sein de la population, représentant alors la fertilité, la maternité, la protection et l'aspect bénévole (dans le sens étymologique, de bon vouloir) du soleil - de même que Sekhmet, elle était appelée l'Œil de Rê. Réunissant des milliers de croyants et autant de pèlerins, le culte du chat était responsable de l'arrivée annuelle d'une population immense dans les rues de Bubastis. Bubastis devint un autre nom de Bastet. Les chats étaient embaumés puis momifiés. Près du centre de la cité, on pouvait voir le temple de Bastet. Ce temple était rabaissé par rapport au reste de la cité, pour éviter l'érosion de l'eau, mais a été surélevé par la suite pour éviter les inondations. Hérodote, qui visita Bubastis en -450, disait de ce temple que, s'il n'était pas aussi grand ou n'avait pas coûté autant que ceux des cités alentours, nul n'offrait plus de plaisir aux yeux. Hérodote décrit en détail le temple. Un canal, qui entoure le temple, donne à ce dernier une allure d'île déserte. Dans la cour se trouvait une allée d'arbres, menant vers l'entrée intérieure, qui exposait une statue massive de Bastet, ainsi qu'un nombre important de chats sacrés dont les prêtres s'occupaient grâce aux dons des pèlerins. Ces chats, très respectés, n'en restaient pas moins extrêmement nombreux, et un sacrifice périodique était organisé. Les chats sacrifiés, souvent des chatons, étaient ensuite bénis et momifiés, puis vendus comme reliques sacrées. Bubastis devint un centre de commerce, que ce soit dans la vente du bronze, des sculptures ou des amulettes à l'effigie du chat. Hérodote écrivit que le festival annuel en l'honneur de Bastet qui se tenait dans la cité était l'un des plus populaires, faisant se déplacer des croyants de toute l'Égypte. Le mercantilisme et l'influence de Bubastis inspirèrent les auteurs de la mythologie judéo-chrétienne. Au VIe siècle av. J.‑C., Ezéchiel écrivait : « Les jeunes hommes d'Aven et de Pibeseth [Bubastis] tomberont par l'épée, et ces cités seront captives3. » — Ezekiel 30:17 Ezéchiel percevait par l'importance de Bubastis, à l'instar de la ville de Ninive, un paganisme et un péché qui vaudrait aux deux villes une punition. Vers -525, l'Égypte était le principal Empire que la Perse n'avait pas encore conquise. Cambyse II, fils de Cyrus II, se fixa donc l'objectif de changer cet état de fait. Avec son armée, il parcourut 56 km à dos de chameau à travers le désert jusqu'à l'avant-poste égyptien de Pelesium. Ils attaquèrent l'armée égyptienne, qui n'osa pas riposter à la vue des boucliers perses, sur lesquels on pouvait voir un chat de bronze. Cependant, la cité fut défendue plus efficacement grâce aux renforts de l'armée égyptienne, qui mit en déroute les combattants perses. Traditions funéraires[modifier] Les chats étaient vénérés et momifiés. Hérodote écrivit que les chats qui mouraient, où que ce soit en Égypte, étaient amenés à Bubastis pour être momifiés et enterrés dans le grand cimetière4. Cependant, il semble que ce ne fut que très exceptionnel. L'égyptologue suisse Henri Edouard Naville a trouvé près de 20 m³ de cadavres de chats, et des traces de crémation, des os dans des vases, des puits, de l'argile. À côté de chaque puits, un autel et un foyer, noirci par le feu. La momification est censée permettre au ka (l'esprit) du défunt de retrouver son hôte et y renaître dans l'autre monde. Pour cela, le corps doit rester intact - la crémation interfère avec ce processus. Néanmoins, brûlés ou non, les chats recevaient les rites funéraires et l'embaumement, au même titre que leurs propriétaires. En 1888, la découverte du temple de Bastet, en dehors de Beni Hassan, amena à l'excavation de près de dix-neuf tonnes de momies et de restes animaux - dont relativement peu de chats. Récemment, Roger Tabor découvrit un autre cimetière félin au temple de Bastet, soulevant une couche épaisse de vingt centimètres de momies compressées par les débris du temple, étalées sur une largeur de six mètres. Le déclin du culte du chat[modifier] Le culte de Bastet a été officiellement interdit par décret impérial, vers 390. Le chat en Égypte a donc vu un déclin progressif de son intérêt, bien que resté en tant qu'animal de compagnie, il n'était plus adoré dans les temples. À cause notamment du recul des maladies, et notamment de la peste dont il freinait la transmission, le chat n'a plus, aujourd'hui, l'importance qu'il a eue en Égypte.
  5. Certains soins d’hygiène deviennent plus importants avec le temps. Votre chat appréciera d’autant plus ces séances qu’elles seront courtes et effectuées avec douceur. Son pelage En devenant moins actif, le chat âgé consacre moins de temps à se toiletter. Brossez-le régulièrement pour compenser. Débarrasser sa fourrure du poil mort pour éviter que ses poils ne s’emmêlent et qu’il en ingère une trop grande quantité, néfaste au transit intestinal et pouvant provoquer des vomissements. Les séances de brossage vous permettront d’examiner sa peau et de détecter l’éventuelle présence d’écorchure, piqure d’insecte, pellicules, plaque sans poil, rougeurs, présence de parasites pour lesquelles il faudrait consulter votre vétérinaire. Ses dents Examinez la bouche de votre chat âgé pour vérifier l’état de ses gencives et de ses dents. La plaque dentaire qui se dépose et se transforme en tartre est à l’origine d’inflammations de la gencive et du déchaussement des dents. Douloureuses, ces affections sont la principale cause de difficultés à se nourrir du chat âgé. Ses yeux Un coton imbibé de sérum physiologique ou d’une lotion réservée à cet usage vous permettra de nettoyer les possibles salissures au coin des yeux. Si ses yeux sont larmoyants ou si la 3ème paupière devient visible de façon permanente, ce peut être un signe d’affection qui doit vous a mener à consulter votre vétérinaire. Située dans le coin interne de l’œil, près de son nez, la 3ème paupière rarement visible participe à la protection de l’œil et à l’élaboration du film lacrymal. Ses oreilles Passer un coton légèrement humidifié avec du sérum physiologique ou une lotion appropriée, sur la face interne des oreilles vous permettra de vérifier qu’aucun écoulement ne se produit dans le conduit auditif. Ses griffes et coussinets Les griffes continuent de pousser alors que, le chat devenant moins actif, elles s’usent moins et deviennent plus cassantes. Pour éviter qu’elles ne le gênent, ou ne le blessent, il faut les raccourcir. Les soins courants. Vérifiez que ses coussinets ne sont pas abimés et qu’aucun élément susceptible d’abimer sa peau ne s’est glissé entre les espaces qui les séparent. L’élimination Il est utile de surveiller la quantité d’eau absorbée par votre chat. En nettoyant sa litière, vous pouvez vérifier le volume de l’urine déposée, celui des selles et leur qualité. Toute modification de leur volume et de leur consistance doit vous alerter. La propreté Avec l’âge, surtout après 12 ans, peuvent survenir des problèmes de propreté. Assurez-vous qu’ils ne sont pas liés à la hauteur du bac à litière que votre chat a peut être désormais du mal à franchir. Il est conseillé de nettoyer les éventuels « accidents » avec de l’eau gazeuse qui fait très bien disparaître l’odeur puis avec un détergent de votre choix suivi d’un bon rinçage. L’eau de javel en revanche ne doit pas être utilisée car son odeur attire le chat et l’encouragerait à recommencer. Chez le vétérinaire Un chat âgé doit être vacciné et traité contre les parasites avec autant de régularité qu’un chat plus jeune, selon un protocole que votre vétérinaire fixera. A titre préventif, une visite est conseillée une à deux fois par an. La détection précoce d’éventuels problèmes permet en effet un meilleur traitement. Votre vétérinaire le pèsera, vérifiera par exemple l’état de sa dentition, qui conditionne grandement une bonne prise de sa nourriture, élément primordial de sa forme.
  6. nous utilisons de la litière agglomérante canadien litière de chez royal canin qui contient du talc bébé elle aggloméré bien les urine et les odeurs,nous retirons bien sur les excréments tous les jours(6 litières XL a faire )en ce qui concerne le filtre du dessus je peux vous conseillez de prendre du filtre a charbon pour hotte aspirante vous trouverez cela a auchan au prix de 4,50€ la plaque
  7. es principales races élevées en France (chiffres naissances LOOF 2010) Le Persan (23%) Sacré de Birmanie (16%) Maine Coon (13%) Chartreux (12%) Norvégien (6%) British shorthair (6%) Exotic Shorthair (3%) Bengal (3%) Siamois + Oriental (3%) Ragdoll (2%)
  8. Comment est provoquée l'allergie au chat ? L'allergie au chat , et à la plupart des animaux, n'est pas produite par leurs poils, qu'ils soient courts ou longs, mais par leurs urines, leur salive et les secrétions de leurs glandes sébacées. En se léchant, ils déposent leurs allergènes sur leurs poils, entraînant des réactions allergiques chez ceux qui les touchent ou les approchent. Leurs allergènes s'accumulent sur les tapis, moquettes, tentures, vêtements qu'ils foulent. On peut ainsi retrouver des allergènes d'animaux plusieurs mois, voire un ou deux ans après qu'ils ont quitté un lieu. Les manifestations de l'allergie au chat Les allergènes du chat sont une des causes les plus importantes d'allergies respiratoires. Les symptômes causés sont essentiellement un asthme et/ou une rhinite. Une conjonctivite, un eczéma ou une urticaire peuvent parfois s'observer La sensibilisation au chat prédisposerait à la survenue d'un asthme. Eviction du chat L'éviction du chat est un moyen de prévention qui doit toujours être discutée car son impact psychologique peut être important, surtout pour les enfants. Race, couleur, taille et longueur des poils L'allergie à un chat ne dépend ni de sa race, ni de sa couleur, ni de sa taille et ni de la longueur de ses poils (valable pour tous les animaux) Particularités de l'allergie à un chat En dehors de la présence d'un chat Une personne allergique à un animal, un chat par exemple, pourra déclencher des manifestations allergiques sans avoir aucun contact avec l'animal mais en s'approchant d'une personne ayant des poils sur ses vêtements. Longtemps après le premier contact L'apparition de manifestations peut s'observer plusieurs mois, voire plusieurs années après le premier contact avec le chat. Les personnes présentant subitement des manifestations alors qu'elles vivent depuis plusieurs années avec leur chat admettent difficilement que celui ci en soit le responsable.
  9. je ne peux écrire la douleur de perdre un membre de la famille,mais cela est très pénible.mais a chaque fois cela nous touche très fort,car nous avons du prendre a chaque fois des décisions très dure
  10. nous sommes desolé, a part le consoler,le caressé et le dorloter pour la décision finale je pense qu'il ne faut pas le laissez souffrir et dépérir,cela est certainement facile a dire mais très difficile a faire et des fois cela est la meilleur solution,mais sache que quelques soit ta décision cela est très dure a encaisser et nous sommes très attriste de cette nouvelles et nous sommes avec toi et tout le reste de la famille pour t'accompagner dans la douleur
  11. [quote="CerisElfie"]comment peut on savoir le poids idéal de son chat ? tu dois le palper au niveau des cotes et si tu les sent ou si il y a une fine couche entre les cotes et la peau,ton chat est a un bon poids par contre si il y a une grosse épaisseur entre les cotes et la peau et que tu ne touche plus les cotes,ton chat est un peu voir beaucoup obèse
  12. définitions La majorité des races actuelles provient de croisements entre des individus très éloignés morphologiquement et génétiquement. Race, espèce, variété : voilà bien des termes qui sont parfois utilisés l’un pour l’autre alors qu’ils ne définissent pas du tout les mêmes populations… Si le chat de race connaît un réel (et justifié) engouement de nos jours, il convient avant tout de revenir sur ce qui correspond à ces trois mots: chat - de - race. La race, au regard de la loi La loi du 06 janvier 1999, définit par l’article 276-5 ces termes en indiquant : « Ne peuvent être dénommés comme chiens ou chats appartenant à une race que les chiens ou les chats inscrits à un livre généalogique reconnu par le ministre de l'agriculture. » Le seul livre d’origine reconnu par le Ministère de l’agriculture est le Livre Officiel des Origines Félines, c'est-à-dire les chats possédant un pedigree L.O.O.F. La race, du point de vue du zootechnicien Au sein de l’espèce féline, on distingue différentes sous-espèces inter-fécondes, c’est-à-dire qu’elles sont capables de se reproduire entre elles, même si elles présentent parfois des différences morphologiques importantes. Et selon les régions, différentes sous-espèces ont été à l’origine de notre chat domestique et ont participé aux différences morphologiques que l’on observe aujourd’hui chez le chat de race. Cet ensemble d’individus constitue une entité distincte des autres populations. La notion de race n’est pas figée dans le temps mais peut évoluer selon la pression de sélection qu’exerce l’Homme sur cette population. Cette pression de sélection peut être motivée par divers facteurs, goût personnel pour un certain type par exemple. L’ensemble des individus qui constituent la race sont bien distincts génétiquement. La majorité des races actuelles provient de croisements entre des individus très éloignés morphologiquement et génétiquement. Race ou variété ? L’origine de la plupart des races est souvent méconnue. En réalité, la création des races s’est fait souvent en plusieurs étapes opposant deux types de comportements : l’isolement géographique, la sélection par la main humaine et le croisement d’individus de races différentes. Cela permit d’apporter de nouveaux caractères au sein d’une race donnée. Lorsque le croisement inter-racial est utilisé, il est possible de ne pas « créer » une race mais une variété. La variété correspond à une partie de la population de la race qui se distingue par un caractère (poils longs/poils courts par exemple).
  13. . Qui ne connait pas le Chat botté, Félix le chat, Sylvestre, les Aristochats…. La liste des chats célébrés par la littérature, les dessins animés, la bande dessinée ou encore le cinéma n’est plus à présenter. Le chat fut largement représenté au cours des siècles à commencer par une de ses premières représentations des plus respectueuses puisqu’il était considéré comme un Dieu par l’ancienne Egypte. Bastet et autres divinités égyptiennes Le chat entra au panthéon des dieux égyptiens en premier sous les traits du dieu Râ (le soleil) puis c’est la déesse Bastet qui prit les traits félins. La séduisante déesse à tête de chat, sacrée, protectrice des femmes et des enfants, détient le pouvoir magique qui stimule l’amour et l’« énergie charnelle ». Un atout qui lui valait un culte tout particulier de la part des Égyptiens. De même qu’OSIRIS, dieu des moissons évoquant le soleil avait pour symbole le chat, une fonction admirable puisqu’il devenait un dieu à la fois symbole lunaire et solaire. A cette époque, le chat avait pris une telle place dans la famille qu’à sa mort, il était embaumé et tous ses membres se rasaient les sourcils en signe de deuil. Muezza Fut selon la légende, la chatte de Mahomet. S’étant endormie dans la manche du prophète, celui-ci préféra couper son habit plutôt que réveiller sa compagne. La chatte en fut reconnaissante ; son maître lui conféra alors la faculté de toujours retomber sur ses pattes et d’avoir sept vies. Le Chat botté Si le chat est largement représenté et vénéré dans l’époque antique, le Christianisme lui attribue des pouvoirs maléfiques. Ensorceleur, orgueilleux, le chat est chassé, écorché crucifié durant toute la période médiévale. Il faudra attendre le XVII ème siècle pour que le chat regagne une image positive. Charles Perrault (1697) y contribue grâce à son conte Le Chat botté, chat malin et fidèle qui va offrir à son maître le pouvoir et la fortune. Félix le chat Créé en 1920 par Otto Messmer, Félix le Chat est une des premières vedettes du dessin animé parlant. Grâce à ses facéties, il remporta un immense succès et devint même la mascotte d’une entreprise aéronautique. Garfield Gros chat orange tigré héros de bande dessinée créé par Jim Davis (1978), chat paresseux et irascible qui mène la vie dure à son maître John. Pourtant, ils ne peuvent pas se passer l’un de l’autre. Les aristochats Quittons le monde de la bande dessinée pour celui du dessin animé. Walt Disney, dans les Aristochats, fait une extraordinaire peinture du monde humain aristocrate incarnée par des chats sympathiques et bienveillants. Nombreux sont les dessins animés dans lesquels Walt Disney intègre des chats souvent au second plan soit perfides, soit menteurs (les 2 siamois de Belle et Clochard). Le chat noir Un des plus célèbres cabarets parisiens « Le Chat Noir » porte le nom d’un chat, étant décrit comme un lieu qui fit preuve d’une grande indépendance d’esprit.
  14. oui;je pense que l'avis d'un veto peu nous aider
  15. Le chat contemporain s’est développé au cours d’une évolution d’au moins quarante millions d’années. Il faut revenir à 50 millions d’années en arrière (début de l’ère tertiaire) pour trouver les plus anciens ancêtres du chat, les Miacidés. De nombreux fossiles permettent de reconstituer l’origine des félidés dont le chat fait partie. Du chat sauvage au chat domestique Le chat domestique actuel appartient à la même espèce que les chats sauvages : les félidés. Les félidés sauvages sont des carnivores les mieux adaptés de tous les animaux à la capture de proies vivantes. La famille des félidés comprend des sous-espèces auxquelles appartiennent les guépards, les grands félins (panthère) et les petits félins (félis) d’où le chat domestique est issu. en Europe : Felis silvestris, en Afrique : Felis lybica, en Inde : Felis ornata. Notre chat de compagnie actuel serait issu de plusieurs espèces sauvages dont le chat ornata vivant en Iran, au Pakistan et en Inde. La domestication La domestication reste assez mystérieuse. Le chat serait rentré dans la maison de l’homme quelques 3 ou 4000 ans avant J.C., pour chasser les rongeurs qui pillaient les récoltes. Les premières traces de sa domestication nous conduisent à l’ancienne Egypte, l’Inde et la Perse. Par la circulation des marchands, il gagna la Grèce et l’Empire Romain puis l’Europe occidentale avec la conquête des Gaules. Aujourd’hui, plus de 42 millions de chats vivent en Europe et partagent notre vie. La raison de cet engouement a probablement plusieurs origines. Par son physique, ses yeux et ses attitudes, le chat symbolise la beauté et la séduction. De plus, le chat personnifie des valeurs fortes de ce début de XXIème siècle : l’indépendance, la personnalité et le naturel. Enfin, le chat a des caractéristiques naturelles (petite taille, autonomie…) qui s’adaptent à notre mode de vie. Il est le compagnon idéal notamment pour les personnes qui travaillent et celles qui vivent en appartement. La place du chat aujourd’hui Au fil des siècles, le chat est devenu une espèce domestique puisque l’homme est intervenu dans sa sélection et sa reproduction. Aujourd’hui, un nouveau cap est franchi puisque le chat bénéficie d’un statut qui marque une réelle reconnaissance, une relation intime avec l’Homme, partageant son intérieur et sa vie. Mieux soigné, mieux compris, débarrassé du souci de se nourrir par lui-même et fidélisé à l’homme, le chat invente un nouveau dialogue : réclame à manger, exige qu’on lui ouvre la porte, sollicite pour être caressé. Le chat serait-il l’animal du XXIème siècle ? L’augmentation de la population féline et l’engouement du public pour ce petit félin pourraient en être la preuve. La population féline française compte plus de 11 millions d’individus. C’est l’animal domestique le plus possédé par les foyers français. La France arrive en tête des pays européens pour sa possession de chats.
  16. Le pelage du chat a, au-delà de son aspect esthétique, de nombreuses fonctions. Peau, poils : caractéristiques La peau est le plus vaste organe du corps, associée aux poils, elle représente 12% du poids d’un chat adulte. La peau du chat est caractérisée par la présence d’une fourrure particulièrement dense (800 à 1600 poils par cm2) en comparaison avec d’autres espèces. Les follicules sont rassemblés en groupe de 10 à 20 poils, comprenant deux à trois poils primaires et de nombreux poils secondaires. Une « Barrière » cutanée Son rôle principal est celui de protection de la peau et du corps, en terme d’isolation thermique, de protection contre la déshydratation et de barrière physique contre les agents extérieurs (UV, chocs). Le sébum, sécrété par les glandes sébacées, a également un rôle de lustre pour le pelage, mais également une fonction de protection contre les agents infectieux. Le miroir de la santé du chat Chez le chat, la détérioration de la qualité du pelage est considérée comme un signe de maladie ou de carence. En effet, la plupart des affections endocriniennes, parasitaires, comportementales ou une alimentation non équilibrée retentissent immédiatement sur la qualité ou l’aspect du pelage. nombre de follicules par groupes:hommes 1 chiens 2 a 15 chats 10 a 20 densité du poils:poils aux cm2: hommes 200/300 chiens 100/600 chats 800/1600 vitesse de pousse millimètre par jour: hommes 0.35 chiens 0.25/0.40 chats 0.25/0.30 Un rôle de communication Le pelage a également un rôle de communication. Le hérissement du poil permet d’émettre des signaux spécifiques intra ou inter-espèce. Quant au toilettage, individuel ou commun, il permet de maintenir l’hygiène du pelage, de réguler la température mais participe également à l’établissement de relation sociale entre individus. La couleur du pelage : une origine complexe La couleur du pelage du chat est une caractéristique complexe, influencée par son patrimoine génétique (la présence de rayures ou la couleur des pigments produits sont transmis selon les lois de l’hérédité) ; par son environnement (la température, les UV, l’humidité font évoluer la couleur du chat, par dégradation des pigments) et par son alimentation (de nombreux nutriments interviennent dans la production des pigments). Chez le chat, l’accumulation de pigments peut se faire uniformément le long du poil (poil uni) ou de façon alternée. Dans ce cas, le poil est qualifié d’“agouti”, en référence à un petit rongeur d’Amérique centrale, dont tous les poils présentent cette caractéristique. Le type ancestral du chat était un pelage rayé. Les rayures sont la conséquence de la répartition, en fonction des parties du corps, de poils agoutis et unis. Seules les robes de l’Abyssin et du Somali, sont intégralement composées de poils agoutis.
  17. Un chat est en surpoids s’il dépasse de 15 à 20% son poids idéal, il est obèse au-delà de 30 à 40% d’excès de poids. Pour détecter une éventuelle surcharge pondérale, la meilleure méthode est d’établir le score corporel du chat en utilisant l’observation et la palpation. Dans la nature, le chat consomme essentiellement des proies, son métabolisme est donc adapté à un régime riche en protéines et pauvre en glucides. Un chat qui ingère plus d’énergie qu’il n’en dépense stocke cet excédent sous forme de graisse. C’est pourquoi le chat adulte, stérilisé, vivant en appartement sans accès extérieur, et nourri en libre-service, est devenu un candidat idéal à l’obésité ! Certains chats sont prédisposés à l’obésité Chat de type européen à poils ras, les chats de race étant moins exposés pour des raisons génétiques. Chat adulte entre 5 et 10 ans, car son activité commence à diminuer. Chat mâle, plus souvent obèse que la femelle (contrairement à ce qui est observé chez le chien). Chat stérilisé, car la castration augmente la prise alimentaire, diminue l’activité et entraîne des déséquilibres hormonaux favorisant l’accumulation de graisse. Chat nourri en libre-service, dont la prise alimentaire peut devenir excessive s’il se régule mal. Chat d’intérieur, qui ne sort jamais, reste souvent seul la journée et manque d’exercice physique. Pourquoi l’obésité nuit-elle à la santé du chat ? Il faut considérer l’obésité comme une véritable maladie, qui diminue considérablement le bien-être du chat ainsi que son espérance de vie. Les conséquences sont nombreuses : Arthrose, qui aggrave la prise de poids en limitant les déplacements de l’animal. Diabète sucré : env 80% des chats obèses ont un diabète, souvent réversible en cas de perte de poids. Affections urinaires, car les chats obèses ont du mal à se déplacer jusqu’à leur litière (ils peinent à entrer et à sortir de leur litière) et urinent moins souvent. Problèmes cutanés, car ils se toilettent moins. Lipidose hépatique : ce risque est le plus grave, car si le chat obèse cesse de s’alimenter (suite à un stress ou à un régime inadapté), il risque une insuffisance hépatique mortelle. Maladies cardiovasculaires et respiratoires. L’obésité réduit l’espérance de vie du chat Comme l’Homme et le chien, le chat obèse a sans doute une durée de vie plus courte. De plus, il est beaucoup plus difficile à soigner: l’excès de tissu adipeux rend l’examen clinique et les prélèvements très difficiles, et augmente le risque anesthésique. Mieux vaut donc prévenir que guérir, en sensibilisant les nouveaux propriétaires de chats aux bonnes pratiques alimentaires. La mise au régime est toujours une contrainte et le chat qui a maigri conservera une grande sensibilité à la reprise de poids.
  18. Des 5 sens connus que sont la vision, l’audition, l’olfaction, la gustation et la sensibilité tactile et thermique, il faut rajouter aux félins la proprioception qui est la perception de la position de son propre corps dans l’espace. La vision L’œil du chat a de nombreuses particularités : Vision binoculaire parmi les plus importantes chez les mammifères (120° environ), pour une meilleure perception des reliefs et des distances. Son cristallin, très mobile, permet une mise au point rapide sur sa proie. Excellente vision nocturne lui permettant la prédation la nuit. L’ouverture de la pupille s’adapte en fonction de la lumière. Pupille ronde et large en pénombre – Pupille ovale et rétrécie en lumière modérée – Pupille en fente verticale en lumière intense. Perception des couleurs n’est pas très performante : il semblerait que le chat ne perçoive que 2 couleurs allant du rouge au vert et les nuances résultant de leur mélange. L’olfaction L’olfaction n’est pas aussi performante chez le chat que chez le chien. Néanmoins, l’odorat du chat très développé a une place prédominante dans la consommation de son aliment et dans ses relations sociales. Toute perturbation de l’olfaction entraînerait un refus de s’alimenter. Sa perception des odeurs est très riche, il peut décoder un nombre incalculable d’odeurs différentes, les mélanges chimiques les plus complexes pouvant être reconnus. Le goût Le goût, peu performant chez le chat vient compléter le sens olfactif. Il a été admis qu’il ne détecte que 4 saveurs de base : acide, amer, salé, sucré. L’acide et l’amer sont très bien perçus, bien mieux que chez le chien, seule la saveur sucrée n’est reconnue qu’à des concentrations élevées. L’audition L’ouïe du chat est très développée, capable de détecter une gamme de sons à la fois très étendue et d’une intensité très faible. L’étendue de la gamme des vibrations qu’il perçoit est environ 3 fois plus vaste que celle de l’homme. La localisation de la source sonore est permise par la possibilité d’orienter les pavillons dans différentes directions, et de façon indépendante à droite et à gauche. Le toucher La peau est un détecteur performant, sensible à de très faibles écarts de pression ou de température. Les zones les plus réceptives sont la face, les extrémités (pattes et coussinets) et les zones anales et génitales. Les grands poils sur le museau sont des vibrisses très sensibles au rôle tactile très développé. La proprioception et l’équilibre Le chat est bien connu pour son remarquable sens de l’équilibre. Déplacements en hauteur, sur des zones très étroites et atterrissage sur ses 4 pattes lors d’une chute. Cette performance a pour origine une détection fine, inconsciente et quasi permanente de la position de la tête dans l’espace. Chaque mouvement est détecté par des capteurs situés dans l’oreille interne. De la même façon, des récepteurs musculaires et tendineux comparent en permanence la tension qui règne au sein de chaque groupe musculaire.
  19. Le chat fait preuve de talents de communication “hors normes”. Il utilise d’ailleurs des modes de communication différents selon qu’il veut se faire comprendre de l’homme ou d’autres animaux. Son language avec l’homme Si votre chat ne comprend pas votre language, hormis certains mots, il est très sensible à vos attitudes. Il peut comprendre ce que vous ressentez (peine ou joie) et même anticiper ce que vous allez faire. Votre chat communique en permanence avec vous au travers d’un language corporel “complet et explicite” et d’une grande variété. Il vous parle avec sa tête La forme de ses yeux et la position des oreilles sont des indicateurs précis sur ce qu’il veut exprimer. wikichat demo Importance de ses moustaches Ne jamais couper les moustaches de votre chat, car ses vibrisses lui servent à l’exploration tactile de son environnement et à la communication avec ses congénères. Il vous parle avec son corps Il frotte sa tête ou sa queue contre vos jambes : c’est le bonheur. Il se sent bien près de vous et veut partager avec vous son odeur. Il vous pétrit longuement les genoux : c’est le plaisir intense. Le chat exprime la jouissance qu’il ressentait lors des tétées. Il utilisait le mouvement de ses pattes autour des mamelles de sa mère pour stimuler l’afflux de lait. Il reproduit ce mouvement qu’il associe au plaisir pouvant même aller jusqu’à vous identifier à sa mère. Il se roule par terre dès qu’il vous voit : c’est la soumission. Cette position n’est possible qu’avec les personnes avec lesquelles il est parfaitement détendu : c’est un acte de soumission associé à un moment de détente préalable. Il remue la queue : ce geste exprime une excitation. Si vous caressez votre chat et qu’il commence à remuer la queue, mieux vaut arrêter tout de suite car il n’apprécie pas et il vous le montre. ATTENTION : Contrairement au chien, le chaton qui remue la queue n'est pas nécessairement content. Il vous parle avec des sons Le ronronnement : c’est la soumission et le contentement. Les chatons commencent à ronronner lors des premières tétées ce qui exprime à la fois une très grande satisfaction et une dépendance totale vis-à-vis de la mère. Lorsqu’il ronronne avec vous, votre chat vous démontre sa soumission et son contentement. Les grognements et les sifflements : c’est l’intimidation. Utilisés en cas d’agression, ils représentent des signaux d’intimidation dans sa stratégie de défense. Le miaulement : il en existe une grande variété ayant chacun leur propre signification. Ils peuvent exprimer la demande, la plainte, la déroute, le refus…Vous apprendrez très vite à les reconnaître en observant votre chaton. Il vous parle avec des gestes Le frôlement : c’est l’intégration dans son territoire. Par ce geste, le chaton dépose contre vos chevilles des sécrétions hormonales, les phéromones, issues de glandes situées sous l’oreille. Il partage son odeur avec vous, vous montre son bien-être et vous intègre dans son territoire. Les griffades : ces marques que votre chat peut laisser sur vos meubles, papiers peints, canapés ou arbres sont forcément indésirables. Ce type de marquage est souvent associé à des projections d'urine quand le chat marque son territoire. La gestion passe par des thérapies comportementales : suppression de l'accès au lieu des griffades, modification de la nature du support, punition à distance (à l'aide d'un pistolet à eau par exemple), etc.
  20. Le marquage de son territoire par votre chat est un comportement naturel et un moyen de communication. Il s’effectue par dépôt d’odeurs, de sécrétions d’hormones ou par griffades. Si la plupart de ses modes de communication sont tout à fait supportables, le marquage de son territoire doit être canalisé. LE DÉPÔT D’ODEURS : le marquage par l’urine et/ou les fèces est de loin le plus courant. Il concerne prioritairement les mâles et intervient suite à un stress ou à une émotion (transport, intrusion d’un congénère…). Ce marquage du territoire a pour but d’inspirer la crainte et de faire fuir tout intrus. Le marquage du territoire est également pratiqué par les chats entiers et les chattes en chaleur. Le jet d’urine est horizontal et puissant; il marque généralement une surface verticale (arbre, bas de mur, canapé et tout ce qui dépasse…). Ce comportement cesse la plupart du temps avec la stérilisation. LA SÉCRÉTION D’HORMONES : des hormones particulières, appelées phéromones, jouent un rôle majeur dans le comportement sexuel et territorial du chaton. Laissées par frôlement sur un objet ou sur un autre animal (chien ou chat), elles lui permettent de partager son territoire. C’est un signe d’acceptation qui ne peut se faire que si le chaton est en parfaite confiance. LES GRIFFADES : l’action de griffer des objets (canapé, mobilier…) de la maison fait partie des comportements normaux du chat, mais ce comportement s’accommode parfois mal avec la vie en appartement. Si le chat est appelé à vivre majoritairement à l’intérieur, il est important de « l’éduquer » dès son plus jeune âge. Un simple « non » direct accompagné d’un claquement sec des doigts ou des mains suffit souvent à le corriger. On peut également lui proposer un griffoir ou arbre à chat pour qu’il puisse s’exercer à condition d’en changer régulièrement.
  21. Chez la chatte, pendant la saison sexuelle, les chaleurs reviennent régulièrement, avec de très importantes variations en fonction de la race et de l’individu. La puberté La puberté est l’apparition de la capacité à se reproduire. Chez la chatte, la puberté est marquée par l’apparition des premières chaleurs. L’âge de la puberté est en partie relié au poids de la femelle : il faut en général qu’elle atteigne au moins 2,5 kg si son poids adulte est de 3 à 3,5 kg. Plusieurs facteurs influencent l’âge de la puberté : La croissance. Les interactions sociales : une femelle isolée, sans contact avec d’autres chats aura des chaleurs plus tardives qu’une femelle dans un environnement stimulant. La race modifie considérablement l’âge de la puberté : celle-ci apparaît dès 4 mois chez certaines femelles (le plus souvent des chattes de maison ou de type oriental) alors qu’il faut attendre 12 à 18 mois voire deux ans pour les reproductrices de races persanes ou assimilées. Apparition des chaleurs Chaque cycle débute par le développement sur l’ovaire de follicules, petites structures rondes contenant l’ovocyte ou ovule. La première phase des chaleurs,dure environ 2 à 3 jours. Elle se caractérise par un début de sécrétion d’hormones. Durant cette phase, la femelle exprime un comportement de chaleurs, mais refuse le mâle. Lorsque les follicules sont plus gros, la femelle entre alors dans une phase de chaleurs avec acceptation du mâle, qui dure en moyenne 7 jours. Les modifications comportementales associées aux chaleurs sont caractéristiques : la chatte miaule beaucoup, se frotte un peu partout, se roule et se raidit dès qu’on la touche, dans une position proche de celle de l’accouplement, dite de “lordose” : le dos creusé et la queue déviée latéralement. Chez la chatte, les chaleurs ont une durée de 8 à 10 jours pendant la saison sexuelle, (du printemps à l’automne) avec de très importantes variations en fonction de la race et de l’individu. La mise en reproduction La chatte est capable de sa première gestation dès le 5ème mois, mais il est préférable d’attendre qu’elle ait 8 à 9 mois. En conditions optimales, de nombreuses femelles peuvent mettre bas jusqu’à deux fois par an, à n’importe quelle époque de l’année. Les femelles peuvent mettre bas jusqu’à 8 ou 10 ans, mais la période la plus fertile se situe entre deux et cinq ans. Les femelles de plus de 7 ans tendent à avoir des cycles sexuels irréguliers, des portées moins nombreuses, davantage d’avortements ou de chatons présentant des malformations. Particularité biologique féline, l’ovulation est provoquée par l’accouplement ce qui nécessite, pour qu’il y ait fécondation, plusieurs accouplements successifs. Une femelle en chaleur peut donc s’accoupler avec plusieurs mâles, les chatons issus d’une même portée peuvent naître de pères différents.
  22. sur ma dernière portée la demoiselle n'avait plus de lait au bout de deux jours,donc nous avons du les allaitez tous les deux heures jours et nuit,franchement pas une partie de rigolade merci a mon épouse qui s'est charge de cette tache,moi je m'occupez de la préparation des biberon et de leur stérilisation,mais pour ce qui est du reste la maman les lecher pour faire leurs besoins et les tenez bien au chaud,mais ce n'est pas toujours le cas mon ami éleveur de persan lui a eu le même problème que moi sauf que lui doit faire la maman pour les besoins et le tenir au chaud; aloirs quand je vois des jeunes énergumène qui crois que l’élevage c'est seulement mettre le mâle en présence de la femelle et qui sont les premiers a critique les éleveurs . franchement ca
  23. ils sont trop craquants tous ses bout'chou bravo a la maman et papa
  24. . Vous avez décidé d’accueillir un second chat et souhaitez que son arrivée se passe dans les meilleures conditions pour votre compagnon actuel tout comme pour le nouveau venu. Une fois sur deux, l’arrivée d’un nouveau chat déclenche des réactions de peur ou d’hostilité chez les chats installés à la maison. L’introduction du nouveau venu doit-être progressive en observant quelques techniques qui permettront de faciliter l’acceptation. Est-il important pour un chat de ne pas être seul ? Non, à la différence des humains et des chiens, les chats n’ont pas besoin à tout prix de compagnie. Ils peuvent tisser des liens très forts avec les humains ou leurs congénères, mais la solitude leur convient tout autant, du moment qu’ils satisfont leur besoin d’espace et d’activité. Si un chat semble heureux seul, il n’est donc pas obligatoire de lui chercher un compagnon. Tenir compte du tempérament de votre chat Les chats tissent des liens individuels : ils en fréquentent certains et évitent les autres. Un chat de tempérament inquiet, qui a tendance à se cacher, risque d’être stressé par l’arrivée d’un chat audacieux et préfèrera un chat calme. Un chat âgé aura du mal à gérer la présence d’un chaton turbulent. Un chat qui a toujours vécu seul aura du mal à s’habituer à un colocataire, surtout dans un petit appartement. Dans les cas douteux, privilégier l’adoption de deux individus de même sexe et de la même famille peut améliorer l’harmonie générale. Introduire le nouveau chat très progressivement Installer une zone de transition temporaire fermée, réservée au nouveau chat (il ne doit pas voir les autres) et équipée de nourriture, eau, bac à litière. Mélanger les odeurs des chats en les frottant avec la même serviette laissée ensuite dans la pièce. Quand le nouveau chat s’est habitué à son espace, lui laisser explorer la maison, après avoir éloigné le/les autre(s) chat(s). Après une semaine, si les chats ne se manifestent pas d’agressivité de part et d’autre de la porte de la zone de transition, les mettre en contact visuel 2 à 3 fois par jour, sans qu’ils se touchent (séparés par une vitre ou une caisse), en associant un stimulus agréable (jeu, nourriture préférée…). En l’absence de réactions hostiles, permettre le contact pendant de brèves périodes, sous surveillance, puis définitivement. Quelle attitude adopter quand votre chat manifeste un comportement d’anxiété? Face à un chat qui agresse, urine ou marque sous l’effet du stress : Ne pas tenter de rassurer le chat, car outre le risque de morsure/ griffure, cette attitude peut conforter la réaction de l’animal au stress et l’inciter à la reproduire ; mieux vaut caresser le chat au moment opportun, quand il réclame ouvertement de l’attention. Ne pas punir le chat, car ce nouveau stress risquerait d’aggraver le comportement indésirable. Parlez-en avec votre vétérinaire qui saura définir l’origine du stress et vous conseiller la solution appropriée.
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