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aline12

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À propos de aline12

  • Date de naissance 11/12/1980
  1. oui tu peux recopier l'article du moment que tu indique la source ( 2001 – Melissa C. Alexander 2003 - Traduction - Emma)
  2. Comparaison entre les méthodes d'entraînement :TRADITIONNELLES et PROGRESSISTES par Jean Donaldson Les modes de pensée relatifs à l'entraînement canin suivent un continuum. À une extrémité, on retrouve des entraîneurs qui utilisent des moyens aversifs tels la douleur, l'inconfort et le tressaillement. Les colliers étrangleurs, les vaporisateurs, les chocs électriques, les chaînes jetées près de l'animal pour le saisir de même que les bruits stridents en sont d'autres exemples. À l'autre extrémité se trouvent des entraîneurs qui emploient uniquement des récompenses - les donnant et les retirant - afin de modifier les comportements du chien. Finalement, au centre, on retrouve des entraîneurs qui utilisent les deux types d'approches dans des proportions variées. Les entraîneurs qui emploient des méthodes aversives, que ce soit de façon abondante ou modérée, argumentent qu'elles sont un mal nécessaire si on ne veut pas voir les chiens se faire euthanasier à cause de problèmes comportementaux. Ils peuvent même dire que ce sont des moyens bénins et efficaces à l'accomplissement du travail. Ils utilisent fréquemment un langage moralisateur auprès du gardien (le chien "sait que ce n'est pas correct", mais il est délibérément insubordonné) tout en minimisant l'importance des effets secondaires potentiels de ces techniques, et ce, dans le but d'acquérir le consentement du gardien. Les tenants du renforcement positif, dont je fais partie, soutiennent que les méthodes aversives ne sont pas nécessaires dans la grande majorité des cas et que les effets secondaires peuvent être dommageables et souvent désastreux. Ce groupe d'entraîneurs a également un travail à faire auprès des gardiens qui peuvent avoir toutes sortes de bagages culturels quant au fait de donner au compte-gouttes des récompenses de façon systématique pour des comportements que leur chien devrait faire par amour ou gratitude. Il y a une vingtaine d'années, le courant de pensée en entraînement canin était largement constitué d'entraîneurs utilisant des méthodes aversives. On montrait aux chiens à marcher au pied, à s'asseoir, se coucher et rester, tout cela en utilisant un collier étrangleur. Si vous mettez la main sur un livre dédié à l'entraînement et publié dans les années 1970 ou 1980, vous y trouverez comme recettes à des problèmes comportementaux des ingrédients consistant en diverses punitions : quelle force utiliser sur le chien, utiliser la main ouverte ou fermée, sur quelle partie du corps frapper le chien, avec quel type d'arme frapper le chien, est-ce mieux de frapper le chien ou de lui lancer un objet ou de l'asperger avec une substance nocive, si on doit lui infliger de la douleur ou le faire sursauter ou s'en remettre à un élément de l'environnement pour y arriver? Malgré le fait que nous ayons l'impression de nous trouver devant un choix de recettes multiples, elles varient toutes finalement sur un même thème : la punition physique. À la fin des années 1980, les entraîneurs canins ont commencé à changer leur fusil d'épaule (en anglais : crossing over), c'est-à-dire qu'ils ont commencé à abandonner la douleur et le tressaillement en tant que motivations et qu'ils se sont plutôt mis à utiliser de plus en plus et de façon plus sophistiquée l'utilisation du renforcement positif, selon les principes établis par BF Skinner. De nos jours, le terme " entraîneur mutant " ou " entraîneur transfuge " se réfère à un entraîneur qui utilisait par le passé des méthodes aversives, mais qui utilise maintenant des méthodes à renforcement positif. J'ai fait la mutation en 1987. Fait à noter, cette mutation est à sens unique : il n'y a pas eu et il n'y a pas de courants d'entraîneurs passant des méthodes positives aux méthodes aversives. Il existe actuellement - et cela constitue un développement très stimulant dans le domaine - une flopée d'entraîneurs n'ayant jamais utilisé de méthodes aversives. La plupart des notions que vous désirez enseigner à un chien peuvent être accomplies à l'aide de méthodes aversives ou non. Les deux types d'approches, si elles sont habilement utilisées, peuvent fonctionner. Cela dépend de ce avec quoi vous êtes à l'aise. Je n'ai jamais été à l'aise avec les méthodes aversives. Je me souviens d'un séminaire donné en 1986 par une entraîneure en obéissance de compétition, hautement reconnue, durant lequel elle nous a démontré ce qu'était un rapport d'objet forcé : on apprenait au chien à attraper rapidement dans sa gueule un haltère afin de faire cesser - et plus tard d'éviter - que l'entraîneure lui pince l'oreille. Le pincement d'oreille est encore et toujours une technique utilisée quand on veut enseigner aux chiens à rapporter. Il arrive que des entraîneurs utilisant cette technique se défendent en disant que cela ne fait pas mal aux chiens. Quoique les chiens gémisent régulièrement, crient et mordent lorsqu'on leur pince une oreille, cela est rapporté comme étant un comportement théâtral, exagéré ou comme étant une manipulation de la part du chien. De plus, l'argument disant que cela ne fait pas mal au chien n'est même pas logique. S'il n'y avait pas de douleur, cela ne fonctionnerait pas. Il est évident que le pincement d'oreille provoque de la douleur - cela fait en sorte que le chien évite cette situation, c'est justement cela dont il s'agit! Donc, lors du séminaire, l'entraîneure démontrait la technique sur l'un de ses propres chiens déjà entraînés. Le chien faisait du rapport d'objet sur une distance d'environ 9 m (30 pi). Il portait un collier à pointes relié à une laisse extensible. L'entraîneure a lancé l'haltère, puis a donné la commande au chien. Il a décollé immédiatement, puis, à mi-parcours, a lâché un cri strident. L'entraîneure avait mis le frein sur la laisse extensible, ce qui a fait entrer les pointes du collier dans le cou du chien. Elle s'est ensuite dirigée lentement vers le chien. Lorsque le chien a vu l'entraîneure se diriger vers lui, il s'est affaissé sur le côté et s'est mis à uriner. Elle s'est approchée de lui et lui a pincé l'oreille tout le long du trajet menant à l'haltère. Le chien a crié tout le long du parcours. L'entraîneure nous a expliqué que la laisse extensible et le collier à pointe faisaient en sorte que l'animal coure assez vite. Cette fois-ci, il ne l'avait pas fait. Cela m'a donné la nausée et je me suis levée, mon sang se vidant de ma tête. Je regardais autour de moi. Plusieurs des participants portaient un air stressé, mais personne ne s'est rué vers la porte ni n'a appelé la Société protectrice des animaux. J'ose avouer que je ne l'ai pas fait non plus. J'aime croire que si j'avais eu à l'époque la confiance et la force de conviction que j'ai aujourd'hui, je l'aurais fait. Les gens prenaient des notes, consciencieusement, je me suis assise, les yeux pleins d'eau, troublée. Par bonheur, le chien a été remis dans sa cage et le séminaire s'est poursuivi. Ce soir-là, lors d'un souper regroupant les participants, l'entraîneure nous a montré l'ongle de son pouce, un ongle artificiel, en acrylique, bien aiguisé, qu'une manucure avait fabriqué expressément pour qu'elle puisse pincer plus fort. J'ai quitté la table, j'avais le haut-le-cœur. Sur quelle planète était-je donc? Un an plus tard, j'entraînais un Whippet à faire du rapport d'objets. Il n'avait absolument aucune aptitude à rapporter. En voyant sa petite face, je savais que j'étais destinée à être une " distributrice de bonbons ". Je l'ai tout d'abord conditionné à associer le son du clicker à une toute petite récompense alimentaire. Le son du clicker signifie " voici la récompense ". Je me suis donc mise à clicker chaque fois qu'il tournait la tête vers l'haltère que je tenais dans la main. Rapidement, il s'est mis à toucher l'haltère avec son museau, sans arrêt, récoltant récompense après récompense. Par la suite, je me suis mise à sélectionner les meilleures poussées de museau, celles démontrant le plus d'enthousiasme ou lorsqu'il mordillait légèrement l'haltère. À la fin de notre première session, il touchait l'haltère avec une certaine force, le mordillant occasionnellement. Lors de la session suivante, je ne récompensais que les touchers où il mordillait l'haltère, puis ces derniers sont devenus de plus en plus fréquents. Au milieu de la session, il a placé l'haltère directement dans sa gueule : cette réponse magnifique lui a valu de récolter ce qui restait de récompenses dans mon sac. Une fois qu'il a eu l'habitude de prendre de façon régulière l'haltère dans sa gueule, j'ai pratiqué la durée du mouvement et lui ai appris que le jeu fonctionnait même quand l'haltère se retrouvait sur le sol plutôt que dans ma main. Il adorait ce jeu, un peu à la manière des cruciverbistes qui sont absorbés à résoudre des mots croisés. Son rapport d'objets est devenu excellent. Il apprit également à jouer au Flyball, cette activité requérant un très bon rapport. J'ai appris le rapport d'objets à des douzaines de chiens en utilisant le façonnement par approximation successive. Cette technique spectaculaire a fonctionné à tout coup. Lorsque je repense à ce pauvre chien se faisant pincer l'oreille, je renouvelle ma résolution de faire de l'entraînement avec renforcement positif la méthode de choix pour tous les chiens.
  3. Histoire de la théorie de la dominance et quelques idées fausses Note : Les informations contenues dans cet article sont tirées d’un entretien avec le docteur Ian Dunbar, qui a passé neuf années à étudier le comportement social des chiens dans le cadre de l’étude mentionnée ci-dessous. Dans une version plus ancienne de cet article, l’étude de 30 ans avait été attribuée au Dr. David Mech. C’était une erreur. Le chercheur qui a mené cette étude était le Dr. Frank Beach. Un effort a été fait pour corriger cette erreur. La théorie originale de la dominance de l’alpha est née à la suite de courtes études sur les meutes de loups dans les années 40. Celles-ci étaient les premières études dans leur genre. Ces études furent un bon départ, mais des recherches plus récentes ont réfuté la plupart des résultats. Il y avait 3 défauts majeurs dans ces études : 1. Il s’agissait d’études à court terme. Les chercheurs se sont donc concentrés sur les parties les plus manifestes et évidentes de la vie des loups, telles que la chasse. Les études ne sont donc pas représentatives puisqu’elles schématisent le comportement du loup seulement sur 1% de sa vie. 2. Ces études ont observé ce qui est aujourd’hui connu comme des démonstrations rituelles. Ces démonstrations ont été mal interprétées à l’époque. Malheureusement, c’est de là qu’est issue la majeure partie du modèle de la dominance, et bien que ces considérations aient été solidement réfutées, elles continuent de prospérer dans l’opinion et la pratique du dressage canin. Par exemple, l’alpha qui retourne l’autre chien. Les premiers chercheurs observèrent ce comportement et conclurent que le loup dont le rang était le plus élevé faisait rouler le soumis pour exercer sa dominance. Eh bien, pas exactement. Il s’agit en fait d’un rituel d’apaisement dont le SUBORDONNE a l’initiative. Le dominé offre son museau et quand le loup de plus haut rang mordille son museau, le dominé roule volontairement et présente son ventre. Il n’y a pas de rapport de force. Tout est entièrement volontaire de la part du dominé. Un loup renverserait un autre loup contre sa volonté uniquement s’il avait l’intention de le tuer. Imaginez dès lors un seul instant ce que le fait de retourner un chien contre sa volonté peut avoir comme conséquences sur son psychique ! 3. Finalement, après ces études, les chercheurs ont fait des extrapolations cavalières en transposant leurs résultats sur des modèles chien-loup, chien-chien, humain-chien. Malheureusement, ces absurdités abondent toujours. Alors quelle est la vérité ? La vérité c’est que les chiens ne sont pas des loups. Honnêtement, si vous tenez compte du nombre de générations écoulées (entre le loup et le chien), en disant : "Je veux apprendre à interagir avec mon chien, donc je me base sur les loups". Ca a à peu près autant de sens que de dire : "Je veux améliorer mes relations avec mes parents, voyons comment font les chimpanzés". Le Dr. Frank Beach effectué 30 ans d’études sur les chiens à Yale et à Berckley. Dix-neuf années de cette étude ont été consacrées au comportement social d’une meute de chiens (pas une meute de loups, mais bel et bien une meute de chiens). Les chiens mâles ont une hiérarchie rigide. Les femelles ont une hiérarchie, mais elle est plus variable. Lorsque vous mélangez les sexes, les règles se confondent. Les mâles tentent de suivre leur constitution, mais les femelles ont des variations, des adaptations. Les jeunes chiots ont ce que l’on pourrait appeler un "permis de chiot". En soi, ils ont le droit de faire tout ce qu’ils veulent. Le "permis de chiot" est révoqué à l’âge de 4 mois environ. A ce moment-là, les chiens plus âgés situés au milieu de la hiérarchie transforment la vie du chiot en un véritable enfer en le torturant psychologiquement jusqu’à ce qu’il adopte les comportements d’apaisement appropriés et qu’il prenne sa place tout en bas de la hiérarchie. Les chiens haut-placés ignorent totalement ce processus. Il n’y a pas de domination physique. Tout est accompli au travers du harcèlement psychologique. Tout est ritualisé. Une petite minorité de chiens alpha montrent leur position par l’intimidation et la force. Ceux qui font cela sont rapidement destitués. Personne n’aime les dictateurs. La grande majorité des chiens alpha règnent de manière bienveillante. Ils ont confiance en leur position. Ils ne se bagarrent pas pour prouver où est leur place. Procéder ainsi rabaisserait leur statut, car… Les chiens situés au milieu de la hiérarchie se bagarrent. Leur position est fragile et ils veulent dépasser les autres chiens dont le rang est également au centre de la hiérarchie. Les chiens situés tout en bas de la hiérarchie ne se battent pas. Ils savent qu’ils perdraient. Ils connaissent leur position et l’acceptent. Alpha ne signifie pas d’être physiquement dominant. Cela signifie "maître des ressources". Beaucoup de chiens alpha sont trop petits ou trop faibles pour dominer de manière physique. Mais ils ont gagné le droit de contrôler les ressources. Un unique chien détermine quelles ressources il considère comme importantes. Ainsi, un chien alpha peut renoncer à un lieu de couchage de premier choix car il s’en fiche éperdument (puisqu’il dort où il veut). Que signifie tout cela dans la relation homme-chien ? User de n’importe quelle sorte de force physique diminue votre rang. Seuls les animaux de rang moyen qui sont peu sûrs à leur place se bagarrent. Pour être l’alpha, contrôlez les ressources. Pas les choses ordinaires comme interdire le lit au chien ou le précéder pour le passage des portes. Je parle plutôt de créer un contingent de ressources liées au comportement. Le chien veut être nourri. Bien ! Demandez-lui d’abord de s’asseoir. Le chien demande à sortir. Faites-le d’abord asseoir. Il veut saluer des gens, il veut jouer ? Faites-le d’abord asseoir. Si vous êtes assez proactif pour contrôler les choses que votre chien désire, vous êtes alors l’alpha par définition. Eduquez votre chien. C’est l’équivalent humain de la révocation du "permis de chiot" dans le développement du chien. Les enfants, les femmes, les personnes âgées, les personnes handicapées sont tous capables de dresser un chien. A l’inverse, très peu de gens sont capables de domination physique. Récompensez les comportements de respects et d’obéissance, plutôt que les comportements présomptueux, arrivistes, désagréables ou agressifs. J’ai 2 chiens. Si l’un des deux fait le forcing devant l’autre, essaie d’obtenir quelque chose par la force, s’excite ou veut se faire remarquer, c’est l’autre qui obtient l’attention ou la nourriture. Même si c’était le premier chien qui voulait quelque chose. Tirer sur la laisse ne mènera le chien nulle part. Les portes ne s’ouvriront pas tant que les chiens ne seront pas assis et que je leur dirai qu’ils peuvent sortir. Récompensez les comportements mauvais et vous n’obtiendrez que du mauvais. Votre job consiste à être un meneur, et non un chef ou un dictateur. Etre un meneur est une lourde responsabilité. Votre travail est de pourvoir à tous les besoins de votre chien… nourriture, eau, soins vétérinaires, besoins sociaux, sécurité, etc. Si vous ne lui fournissez pas ce dont il a besoin, il essaiera de satisfaire ses besoins par lui-même. Dans un article récent de l’APDT (Association of Pet Dogs Trainers), le Dr. Ray Coppinger – un professeur de biologie au Hampshire College, co-fondateur du Livestock Guarding Dog Project, auteur de plusieurs livres dont "Dogs : A startling new understanding of canine origin, behavior and evolution" et membre très respecté de la communauté de l’éducation canine – explique, en référence au modèle de la dominance (et du retournement du chien) : "Je ne peux imaginer aucune situation de dressage où je souhaiterais voir mes chiens répondre par la peur et incapables de bouger et de réagir. Jamais je ne voudrais que mes chiens pensent à la hiérarchie sociale. Car une fois qu’ils y penseront, ils passeront leur temps à essayer de trouver comment monter d’un rang dans la hiérarchie. " C’est un bon résumé, n’est-ce pas ? 2001 – Melissa C. Alexander 2003 - Traduction - Emma
  4. aline12

    Les signaux d’apaisement

    les signaux d'apaisement ont été decouvert et repertoriés par Turid Rugaas Mondialement connue pour ses recherches sur les gestes d’apaisement chez les loups et les chiens, Turid RUGAAS, (éthologue ou biologiste) norvégienne, nous explique, quand et comment ces signaux sont utilisés par les animaux ainsi que la façon dont nous pouvons les employer dans la communication avec nos chiens. j'ai eu l'occasion de voir turid en conference il a a peu et c'est hyper interessant
  5. Ces signaux utilisés par le chien servent à éviter certaines situations déstabilisantes émotionnellement ou à arrêter, voire modifier, un début d’interaction non souhaitée (calmer un maître trop nerveux, peur, insécurité, situations difficilement contrôlables). Ces signaux peuvent devenir une aide précieuse pour la personne désirant comprendre l’état émotionnel de son chien dans un contexte environnemental particulier. Voici les principaux : Détourner le regard est un signal d’apaisement. Le chien qui détourne le regard devant un autre chien ou un humain signale qu’ il ne veut pas de confrontation. Il peut tourner sa tête légèrement à un côté, la faire tourner complètement au côté, ou se retourner complètement.. C’est un des signaux que vous pouvez voir très souvent chez les chiens. Quand quelqu’un s’approche de votre chien, quand vous semblez fâché, agressif ou menaçant, vous verrez également un de ces variations du signal. Quand vous vous pliez au-dessus d’un chien pour le frotter, quand vous rendez vos sessions d’éducation trop longues ou trop difficiles, il tournera sa tête Le reniflement de la terre est un signal fréquemment utilisé. Dans les groupes de chiots vous le verrez souvent, et également quand vous vous promenez avec votre chien et quelqu’un vient vers vous, dans les endroits bruyants ou quand le chien voit des objets où il n’est pas sûr de ce que c’est. Le reniflement de la terre peut consister à déplacer le nez vite vers le bas où a coller le nez à la terre et renifler constamment pendant plusieurs minutes. Les yeux qui tournent de droite à gauche : à peu près le même signal, que la tête qui se tourne sur le côté, le chien l’utilise quand un congénère approche, lorsqu’on le fixe ou lorsqu’on arrive droit sur lui. Le chien se tourne pour nous présenter son arrière-train : calme une situation ou un individu trop énervé. Peut servir pour dissuader les chiots qui sautent nerveusement. La position d’appel au jeu : incite au jeu pour calmer un individu en colère, soit pour prendre les devants face à un individu dont le chien n’est pas sûr. La position "assis" : utilisée par le chien pour garder une atmosphère détendue ou pour mettre en confiance un individu qui ne l’est pas. La position couchée très droit regard fixe : souvent employé par un chien d’un rang élevé pour signaler ses bonnes intentions et pour adoucir les interactions dès le départ. Calme immédiatement les intentions de l’autre. Se gratter : pour échapper mentalement à une situation que le chien n’arrive pas à gérer. Le baillement est un signal d’apaisement. Quand le chien est mal à l’aise, inquiet ou simplement excité en attendant quelque chose d’agréable comme la promenade journalière, bâiller lui permet de se calmer. De même façon il essaie de calmer un autre chien (ou un humain) qui s’approche et dont il ne connaît pas les intentions - ou le maître dont il a l’impression qu’il se fâche..... Les battements de queue : sont utilisées pour calmer, mais ne signifient pas toujours un sentiment de joie. L’étirement : indique que le chien est confus et qu’il veut se sortir de la situation. Marcher lentement est un signal d’apaisement. Le chien est mal à l’aise et cherche à se calmer. Votre chien vient-il très lentement quand vous l’appelez ? Si oui, vérifiez la tonalité de votre voix .... Semblez-vous fâché ou strict ? Cela peut être la raison pour qu’il veuille vous calmer en marchant lentement. Une autre raison de vous calmer peut être que le chien est toujours mis en laisse en venant une fois appelé. Si quelqu’un (ou un autre animal) s’approche très vite - et direct - au chien, il comprend cela comme une menace. l’immobilisation : le chien peut s’immobiliser lorsqu’il ne se sent pas à l’aise dans une situation. C’est un comportement qui ressemble à la prédation : lorsque la proie court, le prédateur attaque. Si elle s’immobilise, il fait de même et attend le moment opportun pour attaquer. Lorsqu’il est en relation avec l’humain, le chien qui s’adonne à ce comportement peut ressentir de la peur (si on crie, si on est agressif, si on l’inquiète, s’il voit approcher un autre chien etc.) et a besoin d’adopter ce comportement pour se calmer. Il peut aussi évoluer selon différentes séquences comme marcher lentement, puis s’arrêter, s’asseoir, attendre quelques secondes puis se relever, se coucher en tenant la tête bien droite (en sphinx), se relever et rester immobile, et ainsi de suite. se lécher la truffe: le chien a du mal à gérer une situation, il ne se sent pas très à l’aise. Il arrive que le « coup de langue » soit très rapide, presque imperceptible pour quelqu’un qui n’a pas l’habitude d’observer ce signe (utilisé par les chiens qui ont les poils devant les yeux, ou ceux dont la morphologie n’aide pas à identifier les mimiques faciales). Certains chiens le font tout en marchant. Même exécuté de façon rapide, les autres chiens s’aperçoivent de ce signal et y répondent à leur manière. Variante : se gratter, se secouer D’autre signes peuvent encore être évoqués, même s’ils se présentent moins souvent : - le « sourire » : certains chiens montrent les dents comme s’ils souriaient - le léchage des lèvres de l’humain ou des babines d’un autre chien - Les battements de queue : sont utilisés pour exprimer les émotions, éventuellement calmer un autre individu perçu comme inquiétant - uriner sous lui : associé à d’autres signes (se recroqueville, rampe vers son maître etc.), ce signal indique une forte émotion de peur. Il peut aussi sauter sur son maître et essayer de lui lécher les lèvres pour l’apaiser - se tourner pour présenter son postérieur : Peut servir à calmer l’excitation des chiots qui gesticulent nerveusement. - se coucher sur le dos en présentant son ventre : fréquemment interprétée comme une marque de soumission, cette attitude a aussi pour effet de montrer son intention non agressive et a un pouvoir auto apaisant se positionner entre deux individus : peut servir pour s’imposer face au chien pour qu’il cesse ce qu’il est en train de faire. Tous ces signaux sont à adapter et prennent toute leur importance en fonction du regard du chien dont il faut également tenir compte. exemple d'une morsure qui aurait put être évité en regardant un peu plus les signaux d'apaisement émis par le chien
  6. aline12

    Besoin d'aide !!!!

    as tu l'impression d'etre en conflit avec ta chienne ? est tu toi meme emotive ou nerveuse ? je pense qu'en plus de son emotivité ta chienne eprouve le besoin de t'apaiser a repetition cela est peut etre du a une incompréhention de sa part sur ce que tu desire d'elle, as tu commencer a lui apprendre des choses ? si oui de quelle maniere. je sais ca fait beaucoup de questions mais j'aimerai essayer de t'aider
  7. aline12

    Besoin d'aide !!!!

    se n'est pas un probleme de propreté mais d'émotivité, ta chienne essaie de t'apaiser car elle doit avoir du mal a gerer les reprimandes, essaie d'utiliser le "non" gratifiant c'est a dire quand il y a betise "non" et des qu'elle stop sa betise recompense (balle friandise ..) quel age a ta chienne ? beaucoup de chiot font des pipis d'apaisement, il suffit de ne pas continuer a gronder toutes les reprimandes doivent etre tres courte (le non suffit) et suivit d'un apaisement par le maitre lors de l'arret
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