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apache&nina

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Messages posté(e)s par apache&nina


  1. Chiens à poil dur pouvant être épilés (épilation - stripping)




    *Airedale terrier

    Photo prise sur le site http://www.cfatdt.fr/pairedale.htm

    *Barbu tchèque

    Photo prise sur le site http://www.drahthaar-club-france.com/Images/Vax.jpg

    *Bleu de Gascogne à poil dur

    Photo prise sur le site http://clubbleugascogne.free.fr/sommaire_principal.html

    *Border terrier

    Photo prise sur le site http://www.cfatdt.fr/pborder.htm

    *Bouvier des Flandres

    Photo prise sur le site http://www.club-bouvier-des-flandres.net/bouvier-des-flandres.php


    *Braque hongrois à poil dur

    Photo prise sur le site http://photos.scc.asso.fr/displayimage.php?pid=2102&cat=

    *Cairn terrier

    Photo prise sur le site http://photos.scc.asso.fr/displayimage.php?pid=3993&cat=


    *Fox terrier à poil dur

    Photo prise sur le site http://photos.scc.asso.fr/displayimage.php?pid=2659&cat=


    *Griffon Vendéen (grand basset)

    Photo prise sur le site http://photos.scc.asso.fr/displayimage.php?pid=428&cat=

    *Irish terrier

    Photo prise sur le site http://www.cfatdt.fr/pirish.htm


    *Lakeland terrier

    Photo prise sur le site http://www.cfatdt.fr/plakeland.htm

    *Norfolk terrier

    Photo prise sur le site http://www.cfatdt.fr/pnorfolk.htm

    *Schnauzer géant (Pas de photo mais c'est comme le moyen et le nain pour l"épilation)

    *Schnauzer moyen

    Photo prise sur le site http://photos.scc.asso.fr/displayimage.php?pid=170&cat=

    *Schnauzer nain

    Photo prise sur le site http://photos.scc.asso.fr/displayimage.php?pid=1810&cat=

    *Scottish terrier

    Photo prise sur le site http://photos.scc.asso.fr/displayimage.php?pid=4639&cat=


    *Teckel à poil dur

    Photo prise sur le site http://photos.scc.asso.fr/displayimage.php?pid=4769&cat=

    *Terrier australien

    Photo prise sur le site http://www.cfatdt.fr/paustralian.htm

    *Terrier noir Russe

    Photo prise sur le site http://photos.scc.asso.fr/displayimage.php?pid=3828&cat=

    *Welsh terrier

    Photo prise sur le site http://www.cfatdt.fr/pwelsh.htm

    *West Island White terrier (Westie, terrier blanc des Highlands de l’ouest)

    Photo prise sur le site http://photos.scc.asso.fr/displayimage.php?pid=1081&cat=

    Sources prises sur le site http://www.animachien.ca/chiens-a-poil-dur.htm

  2. Avant sa domestication, le Fox terrier se frottait contre les ronces épineuses pour soulager leur démangeaisons et, par la même occasion, il enlevait ainsi leur poils morts. Ce comportement naturel de l’animal explique donc le développement de la technique appelée "stripping" par l’humain après avoir fait de ces races de chien, des animaux de compagnie. Ainsi, le toilettage idéal et naturel des Fox terriers est le "stripping " qui est la méthode d’épilation manuelle de votre chien à poil dur.

    Cette technique consiste à débarrasser le chien de ses poils morts par très petites sections. Ceci est d’autant plus important que l'enlèvement des poils morts permet de libérer le sébum (huile naturelle de la peau du chien) afin d'hydrater sa peau adéquatement. Lorsque bien effectué, elle est par le fait même sans aucune douleur pour votre animal puisqu’on ne s’attarde qu’aux poils morts. La technique de "stripping " s’apprend aisément, avec patience et minutie. Une formation adéquate offerte par une personne expérimentée facilite l’apprentissage de la technique de « stripping » et le travail de toilettage des différentes parties du corps de votre chien vous permet d’acquérir la bonne méthode d’utilisation des outils.

    Il est important de savoir que si les poils sont coupés plutôt qu'épilés, comme dans un toilettage classique à la tondeuse, il peut survenir des problèmes de peau à votre Fox terrier tels que des démangeaisons, de la peau sèche, des boutons et/ou abcès. Lors de l'épilation, il est facilement observable que le poil épilé est blanc, laineux et dépourvu de bulbe puisqu’il est mort. Le poil toujours vivant, lui, a gardé toute sa coloration puisque son bulbe est toujours présent.

    Cette façon naturelle de le toiletter conservera le charme qui a fait la renommé de sa race depuis des décennies et contribuera à la fierté de son maître.

    Sources prises sur le site http://www.animachien.ca/epilation-stripping-chien-a-poil-dur.htm

  3. A quel professionnel du chien faire appel?


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    Sujet: A quel professionnel du chien faire appel?


    Avec l’apparition des nouveaux métiers liés aux animaux, il est parfois difficile de savoir à qui s’adresser lorsque l’on rencontre des problèmes avec son chien. Nous allons essayer d’y voir plus clair avec Laurence Bruder, qui exerce la profession de comportementaliste.

    Pour les questions de santé, les vaccins ou les opérations, une seule personne est compétente : le vétérinaire. Si vous souhaitez éduquer ou faire dresser votre chien, vous pouvez vous adresser aux clubs de dressage, ou à un professionnel. L’éducateur canin professionnel vous aidera à acquérir les bases de l’éducation, et le dresseur professionnel apprendra à votre chien une action spécifique, comme par exemple la chasse. On vous propose en général deux types de service : soit de vous joindre à des séances collectives, où plusieurs chiens et maîtres travaillent côte à côte, soit un service personnalisé lors de séances individuelles. Dans ce dernier cas, un spécialiste s’occupe exclusivement de vous et votre chien, à votre domicile ou sur un terrain.

    Enfin, si vous rencontrez un problème relationnel avec votre chien, si vous lui reprochez certains comportements, ou que vous aimeriez en comprendre les causes, c’est un comportementaliste qu’il vaudra mieux contacter. Expert en comportement canin, mais aussi en psychologie et en cognition animale, il vous aidera à améliorer votre relation avec votre chien, à la rendre encore plus harmonieuse et complice.

    Ce n’est pas en dressant un chien qu’on supprime son angoisse liée à l’absence du maître, ni en le gavant de médicaments. En revanche, certaines pathologies peuvent provoquer des attitudes agressives, à cause de la douleur qu’elles suscitent. Il faut donc en premier lieu faire examiner l’animal, avant de s’occuper des problèmes de comportements, et afin de ne pas passer à côté d’une maladie. Il s’agit de bien distinguer ces différentes compétences, l’idéal étant que les trois professionnels travaillent en étroite collaboration, pour le bien être des propriétaires, et de leurs compagnons.


    Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com

  4. Mon nouveau conjoint s'installe à la maison

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    Titre : Mon nouveau conjoint s'installe à la maison

    Les personnes seules qui sont propriétaires d’un chien se trouvent parfois inquiètes de ses éventuelles réactions lors de l’arrivée d’un nouveau conjoint. Certains animaux sont en effet très possessifs, mais ne perdons pas de vue que s’ils le sont, c’est parce qu’on a tout fait pour qu’ils le deviennent.

    Sachez que lorsque le chien et le nouveau venu sont du même sexe, on peut se retrouver face à quelques problèmes. Un chien mâle qui était habitué à l’exclusivité de sa maîtresse ne tolèrera pas forcément si facilement d’être remplacé. Il peut en aller de même dans le cas d’une femelle qui entend bien garder la possession de son « mâle ».
    Pour faire en sorte que votre chien accepte le mieux possible votre compagnon, on opèrera des changements le plus tôt possible afin de préparer le titulaire à l’arrivée de son remplaçant. Car c’est parfois de cela qu’il s’agit réellement : un humain prend la place du chien qui comblait le vide affectif de son maître.

    Habituer progressivement le chien au changement

    Si ce n’était pas déjà le cas, on interdira l’accès de la chambre à coucher et au lit bien avant l’installation du nouveau venu, et on réduira progressivement le temps où l’on ne s’occupait que du chien.
    On organisera différentes activités qui permettront à la personne qui arrive de prendre peu à peu une place importante pour le chien. Cette personne pourra jouer avec l’animal, l’emmener se promener, lui donner à manger, s’occuper de le brosser, participer à son dressage. Parallèlement, le propriétaire habituel se détachera peu à peu pour faire une place à son conjoint. Il faudra bien sûr garder des moments durant lesquels son chien et lui se retrouvent seuls à seuls, mais permettre aussi à l’autre humain de s’intégrer.
    Tout cela n’est pas chose aisée, et certains chiens résistent avec hargne au changement qu’ils voient s’opérer. Il peut alors s’avérer utile de faire appel à un comportementaliste afin de réussir l’intégration d’un ou de plusieurs éléments, à fortiori lorsque des enfants sont aussi concernés.


    Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com

  5. Votre chien est bon pour votre santé
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    SUJET : Votre chien est bon pour votre santé


    Cette chronique régulière sur les relations Homme/Chien ne serait pas complète si l’on ne s’interrogeait pas sur les bienfaits de la présence de notre chien pour notre santé.

    Tous les propriétaires d’animaux en conviennent : ils nous apportent un bien-être affectif considérable. Médor est utile à notre moral, grâce à l’affection mutuelle qui nous lie et aux interactions sociales qui se produisent quotidiennement.
    Il n’est plus exceptionnel de citer les nombreuses situations où le chien est l’assistant indispensable d’une personne handicapée, voire tenant le rôle de co-thérapeute, en intervenant en appui d’un psy comme dans les milieux hospitaliers ou carcéraux. Tout le monde a déjà vu un chien guide d’aveugle ou accompagnateur d’une personne en fauteuil roulant.

    Des études scientifiques attestent qu’en plus de notre confort moral, un chien est aussi bénéfique à notre santé physique.
    Posséder un animal induit une diminution, de près de 50%, des problèmes de santé mineurs (étude du Dr Serpell de l'université de Cambridge). La raison la plus évidente est qu’un chien doit être baladé régulièrement. Ainsi, malgré le froid, la pluie ou simplement le temps maussade qui incite à rester chez soi, le propriétaire responsable fait l’effort de sortir quand même.

    Le fait de promener son animal entretient le souffle et le rythme cardiaque, et réduit les risques de fractures de col du fémur.

    Grâce aux jeux que l’on peut avoir ensemble tous les jours, nous restons en bonne forme physique et psychologique.

    Selon une enquête menée en Chine, en Allemagne et en Australie, c'est-à-dire sur trois continents différents, les propriétaires d'animaux de compagnie auraient une meilleure santé que les non-propriétaires. En conséquence, ils rendraient en moyenne de 15 à 20 % moins souvent visite à leur médecin.

    On peut penser aussi aux personnes âgées vivant en établissement spécialisé qui ne peuvent plus bouger en temps normal mais font l’effort de se pencher pour caresser le chien, ou dont les yeux s’éclairent lorsqu’ils voient arriver l’animal près d’eux.

    Enfin, certains lieux d’accueil de personnes en difficultés mentales ou sociales reçoivent régulièrement des animaux. Il est constaté que même parmi les pensionnaires qui sont parfois violents, un auto contrôle se met en place, le chien thérapeute étant considéré comme « intouchable ». Avec le temps, ce changement de comportement peut se généraliser et permettre une meilleure intégration dans la société humaine. Grâce à l’intervention de l’animal.


    Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com/

  6. On divorce, qui prend le chien ?


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    Sans entrer dans les détails des relations de couple, nous nous intéressons aujourd’hui au devenir de l’animal dans une situation de divorce.
    Une séparation, même d’un commun accord, est souvent synonyme de souffrance, voire de violence. Un peu à la manière des enfants parfois, il n’est pas rare que le chien se trouve pris en otage par l’un ou l’autre des protagonistes. Il peut alors devenir l’objet idéal de chantage, utilisé pour obtenir quelque chose de l’autre, ou pour provoquer des sentiments supplémentaires de peine et de tristesse. Certains animaux sont même abandonnés, parce que personne ne veut d’eux dans leur nouvelle vie, ou parce que leurs maîtres n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur celui qui les gardera.

    Mais tout ne se passe pas toujours mal : certaines personnes réfléchissent ensemble à la meilleure alternative, et arrivent à se mettre d’accord.

    Celui qu’il aime ou celui qui l’aime ?

    Entre celui qui pense aimer l’animal plus que l’autre, et la personne à laquelle le chien semble, plus attaché, il est parfois difficile d’y voir clair. N’oublions pas que lui aussi, à sa manière, souffre de la situation. Perdre tous ses repères peut être traumatisant : l’un (ou plusieurs) de ses maîtres, son territoire, ses lieux de promenades, ses habitudes quotidiennes. Ces rituels sont primordiaux pour son équilibre émotionnel. Il ne comprend pas les raisons de ces changements et il est impossible de les lui expliquer. Par contre, on peut tenter d’en limiter les retentissements, en le confiant à la personne la plus à même de veiller sur lui. Celle des deux qui pourra lui consacrer le temps pour les sorties, l’éducation, les contacts affectifs, et l’argent pour les soins, la nourriture etc. Lorsqu’il y a des enfants impliqués, il faut redoubler de prudence. On court le risque de leur ajouter une douleur en plus de la souffrance liée à la séparation, en leur retirant un ami solide à qui confier leur peine.

    Il faudra que le (ou la) propriétaire puisse assumer seul(e) la charge qui était auparavant partagée. Bref, un dilemme de plus à solutionner objectivement et de façon réfléchie, dans une situation déjà très difficile pour tout le monde.


    Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com

  7. La mort de son chien


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    Les personnes qui aiment la compagnie des animaux ont un jour été confrontées à la douleur de leur mort. Même si on ne compare pas un animal avec un humain, il est tout à fait normal d’avoir de la peine à se séparer d’un être qui a accompagné notre vie pendant des années. Malgré les jugements des autres et les injonctions à « prendre sur soi », la perte d’un membre de la famille est très douloureuse, et nécessite un vrai travail de deuil.

    Chacun fait face comme il peut : certains se précipitent dans la journée pour trouver un autre compagnon, totalement différent ou au contraire, copie conforme du précédent, d’autres jurent qu’ils ne reprendront jamais d’animal, la douleur étant trop insupportable.

    Remplacer un chien par un autre ?
    Le risque de prendre un chien de remplacement ne doit pas être négligé. Il consiste à adopter un animal physiquement identique au précédent. Il arrive alors qu’on confonde la ressemblance physique avec une similarité de caractère, ce qui est rarement le cas : chaque chien est différent. Le « nouveau » sera souvent comparé à l’absent, et entamera sa relation avec ses propriétaires avec un handicap, surtout si c’est un chiot à éduquer : on se souvient du vieux chien parfaitement obéissant, mais on oublie le travail d’éducation effectué lorsqu’il était jeune pour en faire ce qu’il est devenu. La déception est parfois au rendez vous, et ce n’est pas toujours le fait de l’animal qui se retrouve dans une situation qu’il ne comprend pas, et dont il n’est pas responsable.

    On peut aussi vouloir adopter immédiatement un autre chien pour limiter sa peine, comme si cela rendait la perte du défunt moins douloureuse. Malheureusement, on ne remplace pas un être vivant par un autre, la tristesse ne se balaie pas si facilement.

    Il n’y a pas de conseil à donner quant au temps qu’il faut prendre ou non avant l’achat d’un autre chien, car la peine de chaque personne est différente. Il faut se sentir prêt à entamer sereinement une nouvelle relation. Pour le bien être de l’animal, et du vôtre. Même si cela ne soulage pas, souvenons nous qu’un chien ne meurt jamais : il est toujours là, dans nos mémoires, et ne peut pas être oublié.


    Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com


    VOICI QUELQUES OBJETS SOUVENIR POUR NE PAS LES OUBLIER
    http://www.frenchanimoshop.com/index.html?lang=fr&target=d349.html

  8. L'ÉLEVAGE


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    Les pensions sont pleines de chiens indésirables, notamment de croisements, et chaque année il en arrive des dizaines de milliers d’autres.

    Pour les chiens de race en revanche, plus la demande est grande, plus des entreprises d’élevage peu sérieuses " produisent " des milliers de chiots sans pour autant sélectionner soigneusement les animaux d’élevage.

    Cela donne fréquemment des chiens ayant des maladies héréditaires ou dont le comportement est perturbé, ce qui n’est normalement pas le cas dans un élevage sérieux

    Réflexions préalables à un élevage

    Un élevage sérieux exige beaucoup de l’éleveur, du point de vue du temps, de l’argent, des connaissances spécialisées et de l’espace dont il dispose.

    Même lorsque ces conditions sont remplies, il n’est pas certain que tous les chiots trouveront une place. N’oubliez pas qu’une portée peut compter jusqu’à dix chiots. C’est pourquoi vous devriez trouver préalablement à votre projet d’élevage des personnes intéressées suffisamment sûres et remplissant les conditions nécessaires.

    Le chien d’élevage

    Les chiens d’élevage doivent absolument être en bonne santé et en forme et avoir un caractère équilibré. Un chien d’élevage ne doit en aucun cas manifester des caractéristiques telles que le manque d’assurance, l’anxiété, ou la timidité dans les situations quotidiennes.

    Les raisons en sont d’une part que ces caractéristiques sont héréditaires, et d’autre part que les chiots évoluent beaucoup en fonction du comportement de la mère et en prennent nettement le relais.

    Conseil : ce n’est que lorsque qu’on accouple deux animaux sains, sans défauts de caractère, que les perspectives d’obtenir une portée en bonne santé sont les plus grandes. Présentez donc votre chien au vétérinaire avant de l’utiliser pour l’élevage.

    L’élevage de chien de race

    Une personne qui souhaite élever une race particulière et sait déjà laquelle avant d’acheter un chien devrait se procurer un chiot auprès d’un élevage reconnu par la FCI et être membre d’une organisation.

    Des obligations relativement strictes concernant les chiens d’élevage garantissent, dans une certaine limite, que seuls des chiens sains et équilibrés serviront à l’élevage.

    Si votre chien obtient une autorisation pour l’élevage à l’âge correspondant et que vous souhaitez qu’il y ait une portée, les chiots seront également reconnus par la FCI.

    L’élevage des chiens croisés

    Il est rare que les portées de chiots croisés soient attendues. La gestation peut être interrompue par le vétérinaire le plus tôt possible après la saillie, afin d’épargner aux chiots un avenir incertain. Si vous souhaitez faire un élevage de chiots croisés, veillez à bien associer les races.

    Evitez d’accoupler des races qui ont des caractéristiques telles qu’un instinct batailleur, des sautes d’humeur, ou un instinct marqué de garde et de défense.

    Dans ce cas, les chiens croisés posent en général plus de problèmes que leurs parents de race pure.


    Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com

  9. LA SOLITUDE


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    Votre absence courte ou prolongée lui pèse énormément.

    A l’heure de votre départ votre chiot va tenter de vous attendrir par ses gémissements et son regard attristé.

    Ce peut-être l’enfer (difficulté par rapport au voisinage avec ses hurlements) les quatre cents coups dans la maison.

    C’est de votre attitude et seulement d’elle que dépendra la suite des événements :

    --- Ne pas " tourner en rond " avant de quitter la place.

    --- Pas de grand délire de caresses émues, ni de bisous, re-bisous.

    --- Vêtements dissimulés pour partir " en douce ".

    Votre chiot n’est pas dupe.



    Vous le quittez d’un air détaché un simple " au revoir, son nom, à tout à l’heure ".

    N’attachez aucune importance à votre départ. Votre chien n’a pas la notion du temps. Pour lui, dix minutes ou trois heures de votre absence ne modifieront rien à son comportement.

    Vous pouvez faire un faux départ, retour deux ou trois minutes attitude identique.

    Le grand silence martelant encore plus votre absence, pendant celle-ci, laissez un fond sonore : musique d’ambiance, radio, etc...

    Si vous devez l’attacher utilisez la fixation en trolley ceci lui permettra beaucoup plus d’exercices.

    A votre retour final, pas d’effusions exagérées un "ça va" accompagné de son nom suffira.

    Puis le rythme de votre vie intérieure reprenant son cours, vous aurez loisir d’entamer avec lui une séance " tendresse - promenade - détente et jeux ".


    Sources et photo prises sur le site http://www.frenchtoutou.com

  10. LES ANIMAUX ET LA MUSIQUE


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    Votre chien et votre chat, tout comme vous, sont amateurs de musique.
    L'idée a été inspirée par des recherches menées à l'université de Belfast sur les effets sur 50 chiens de différents types de musique.

    Il s'avère qu'une musique douce et relaxante est bénéfique pour nos amis animaux, sachant qu'ils sont sensibles à une gamme de fréquences sonores plus variées et plus larges que l'oreille de l'homme.

    La musique a des effets thérapeutiques reconnus sur nos compagnons à quatre pattes, elle leur procure un environnement sécurisant et apaisant, même en votre absence.



    Les vétérinaires confirment que presque tous les animaux laissés seuls pendant une longue période préfèrent des mélodies apaisantes plutôt que du silence.

    D’ailleurs, selon un sondage effectué en 1998 par le American Animal Hospital Association (AAHA), 53 % des propriétaires d’animaux domestiques au Canada et aux États-Unis laissent de la musique à leurs animaux lorsqu’ils quittent la maison pour le travail.

    Les vétérinaires sont d’accord avec les pros de la musique. Qui plus est, ils expliquent que la musique peut aider à calmer les animaux qui souffrent d’anxiété ou de dépression causée par la séparation.


    Sources et photo prises sur le site http://www.frenchtoutou.com

  11. Entre chien et loup : quelles différences?


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    La différence flagrante que l’on observe entre le loup à l’état sauvage (canis lupus) et le chien familier (canis familiaris), résulte de leurs statuts au sein de notre monde d’humains.

    Alors que leur ancêtre évoluait pour sa survie et celle de son groupe, nos braves toutous sont parfois supposés prendre, rien que ça, la place d’un humain.

    Quant les premiers doivent assurer leur subsistance en chassant le gibier et en protégeant les leurs au péril de leur vie, les seconds dorment sur les canapés et sont devenus « croquettivores ».



    Certes la vie de leurs cousins n’est pas paisible, mais la lourde charge émotionnelle qui pèse sur nos chiens de compagnie au point de générer parfois des troubles du comportement, n’est pas non plus de tout repos.

    Combler les attentes conscientes et inconscientes de leurs maîtres est une tâche quasiment impossible à accomplir.

    On leur demande de prendre le rôle d’un ami, de combler un vide affectif, de valoriser une image sociale, de protéger la maison, d’écouter d’une oreille attentive les malheurs des propriétaires ou de participer à l’éveil des enfants, pour ne citer que les plus couramment évoquées.

    Quand les uns profitent du grand air et évoluent librement dans des hectares de forêt, les autres sont privés de liberté et limités, pour certains, à trois promenades de 10 minutes par jour.

    Les contraintes de la nature imposent l’alliance de tous les membres d’une meute de loups sous l’autorité paisible (la plupart du temps) d’un leader qui fixe les règles, les privilèges et les devoirs de chacun. Cette organisation sociale est indispensable à l’équilibre de tous et ne nécessite aucunement l’usage de la brutalité.

    Et voilà que les humains, avec la meilleure intention du monde, voulant traiter leurs animaux avec équité et respect, les positionnent dans des places qu’ils ne peuvent ni tenir ni assumer : un égal (bénéficiant des mêmes avantages que son maître) ou un chef (j’entend souvent dire un « dominant »).

    Il en résulte une confusion et un inconfort chez eux, voire des troubles du comportement. Etant captifs et dépendants comment pourraient ils tenir une autre place que celle de subordonné ?

    Et si le respect de l’autre était précisément le respect de sa différence d’avec les humains ?


    Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com
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