Néphélie-titmousefairycottage

Hélène, as-tu changé l'alimentation de tes puces il y a quelques temps ?

Les Espagnols veulent une meilleure protection des requins Les Espagnols veulent une meilleure protection des requins. Une pétition en ce sens a été déposée auprès du secrétariat d'Etat espagnol à la Mer courant mois de mars 2009. Au mois de février 2009, la Commission européenne a adopté un plan d’action pour la gestion et la conservation des requins. Vers le début des années 80, ce prédateur marin, redouté même par les humains, est victime d’une surexploitation en raison notamment de l’accroissement des demandes pour les produits dérivés du requin notamment les ailerons, un mets très prisé par les Asiatiques. Et ce prélèvement excessif n’est pas sans conséquence sur les stocks alors que l’on sait que les requins accusent un faible de taux de fécondité dû à plusieurs facteurs, notamment à une maturité sexuelle tardive et à laquelle s’ajoute une période de gestation très longue. En Espagne, les écologistes à l’instar d’Oceana et l'organisation Shark Alliance ne ménagent pas leurs efforts pour conserver l’espèce. Dernière action en date, une plainte déposée auprès du secrétariat d'Etat espagnol à la Mer dénonçant un fort taux de prélèvement. Le pays serait classé en quatrième position pour la capture de requins, la vente et la consommation de produits dérivés. Par cette requête, les pétitionnaires demandent la mise en vigueur dans les meilleurs délais des résolutions prises en début de cette année. Celles-ci devraient déterminer entre autres les quotas de pêche alloués à chaque pays en se référant à des données scientifiques. Elles devront en outre interdire le shark finning, technique consistant à couper les ailerons avant de rejeter le corps dans la mer. Il est utile de savoir qu’il existe plus de 300 espèces de requins et le déclin de leur population occasionnerait un effet dramatique sur la chaîne alimentaire et l’écosystème marin.

Je ne sais pas pourquoi ma Sonson, mais je me doutais que cela te dirait quelque chose...

Ah ça y est, je le vois enfin ce ptit bout ! Ma Jaja, vous allez me faire faire un malaise !

sur Chihuahua Angel, Aurell. Au plaisir de faire ta connaissance !

sur Chihuahua Angel, Christine ! J'espère que tu te plairas parmi nous. Je suis impatiente de découvrir tes petits bouts.

Ma Jaja, je ne vois pas la photo !

Encore un adorable petit Petouille !

Plusieurs centaines de kilos de denrées pour la LPA Les bénévoles annoeullinois de la Ligue protectrice des animaux ont organisé une collecte, samedi après-midi. Plusieurs centaines de kilos de denrées ont été offerts par les habitants. Plusieurs centaines de kilos de croquettes, pâtés et autres denrées alimentaires ont été collectés, samedi après-midi, pour les refuges d'animaux de la région. Les bénévoles annoeullinois de la Ligue Protectrice des Animaux (LPA) ont reçu, pour la cinquième année, les dons des habitants, à la salle des Magnolias. En plus des aliments, les Annoeullinois ont aussi offert des paniers, des couvertures et des jouets pour les chiens, chats, chiots et chatons pensionnaires bien involontaires des refuges de la LPA de la région. « En cette période difficile, constataient les participants, nous sommes heureux de voir que les donateurs ont répondu présents pour les animaux ». Les bénévoles ont rappelé qu'il était préférable d'adopter des bêtes abandonnées dans un refuge que d'acquérir des animaux « à des prix dépassant l'entendement », concluaient-ils.

Plus de 100 loups braconnés en France depuis 2000 ! En prenant une valeur minimale prudente, au moins une centaine de loups ont été éliminés illégalement depuis 2000, soit en moyenne plus de 10 par an, mais la réalité peut atteindre quelques dizaines certaines années. Avec un taux de croissance de 20 à 30 % par an, l’effectif de la population actuelle devrait être compris entre 250 et 500 individus alors que l’effectif estimé est de l’ordre de 150 individus Régulièrement, les ONG de protection et particulièrement Ferus ont appelé l’attention des partenaires du dossier loup sur l’importance du braconnage de cette espèce protégée. Nous avons quelques cas avérés que chacun connaît, auxquels s’ajoutent de nombreuses rumeurs invérifiables, des récits qui semblent fiables mais ne sont pas reproduits en public, et le constat de la disparition brutale de meutes dans certaines ZPP. Ferus vient de faire un travail plus rigoureux d’évaluation de la mortalité inexpliquée des loups dans la population française. Nous disposons désormais du recul nécessaire. Il s’agit bien de la mortalité qui ne peut pas être mise sur le compte des causes "normales" (manque de nourriture, intempéries, maladies, conflits entre loups, circulation routière, vieillesse, voire d’autres facteurs humains). Les accroissements admis par la littérature scientifique et constatés par l’ONCFS en France de 1992 à 2000 intègrent ces causes "normales". Il nous apparaît assez vain de disserter longuement sur les modalités de tirs légaux quand un si grand nombre de loups sont tués illégalement chaque année. Nous avions dit dès les premières réunions du groupe national que nous ne voulions pas que s’instaure en France une situation dite "à l’italienne" (sans offense pour nos voisins) où la gestion de l’espèce se fait en réalité par le braconnage. Administration et chasseurs citent volontiers le modèle du plan de chasse comme dispositif permettant d’encadrer l’accroissement d’une population sur un territoire donné. Quelle serait la fiabilité et la crédibilité d’un système de plan de chasse où pour un animal tué légalement, quarante seraient braconnés ? Il est clair pour nous que la priorité pour les mois et les années qui viennent est la mise en échec de ce braconnage et non l’octroi de facilités de tirs officiels supplémentaires dont on ne pourra jamais mesurer les conséquences réelles sur "l’état de conservation favorable" de la population de loups dans ces conditions. Ferus a adressé le 6 avril ce document aux participants du Groupe National Loup (administrations, éleveurs, élus …). Ce document a été validé par le conseil scientifique de Ferus. Source : FERUS

Absence d’un marché pour les peaux de phoques cette année La chasse aux phoques commerciale canadienne s’ouvre à nouveau dans le golfe du Saint-Laurent aujourd’hui, avec cette fois-ci 64,000 juvéniles destinés à l’abattage. IFAW (Fonds international pour la protection des animaux www.ifaw.org) se réjouit d’apprendre que de nombreux chasseurs de phoques n’y participeront probablement pas cette année en raison de l’absence d’un marché pour la fourrure de phoque. Sheryl Fink, Chargée de recherches pour le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) déclare « Si l’effondrement des marchés conduit à l’arrêt de ce massacre, nous nous en réjouirons. Si notre propre gouvernement est incapable d’agir au nom de la majorité des Canadiens qui souhaite l’arrêt de la chasse commerciale dans ce pays, et bien peut-être que l’absence d’un marché international pour la peau de phoque y contribuera. » Selon les dernières informations, les vendeurs ne recevraient que 15 $ par peau de phoque cette année, alors qu’elles se vendaient à plus de 100 $ en 2006. Les chasseurs craignent donc, à juste titre, que pratiquer la chasse à de tels prix ne peut être viable. Le prix de 30 $ pour des peaux vendues le mois dernier par les chasseurs des Iles-de-la-Madeleine était majoré de 9 $ par peau, une subvention provinciale québécoise, a-t-on appris. Il semblerait qu’un grand nombre de peaux prélevées sur les 20,000 phoques abattus au cours de la première phase de la chasse, n’aurait pas été acheté par les tanneries. « D’après Pêches et Océans Canada (MPO), le total autorisé de captures (TAC) pour la chasse est soumis aux lois du marché. Mais si cela s’avérait exact, le TAC 2009 aurait été réduit et non augmenté à ce niveau. A croire que le MPO méprise son propre plan de gestion. » Le mois dernier, la ministre des Pêches et des Océans Gail Shea a décidé d’accroître le TAC 2009 à 280,000 phoques du Groenland, passant outre les avertissements de ses propres scientifiques, stipulant qu’un TAC supérieur à 270,000 animaux ne respecterait pas les objectifs de gestion de son ministère. « Il apparaît évident que la chasse aux phoques n’est pas une industrie viable – excepté pour ce gouvernement canadien qui continue à maintenir cette activité avec l’argent de ses contribuables, et au nom du soutien de quelques politiciens qui s’accrochent désespérément à leurs sièges au Parlement, » continue Fink. Le gouvernement préfère apporter son appui à une industrie moribonde au lieu de répondre aux attentes de l’opinion publique canadienne et à la crise économique globale. La semaine dernière, le ministre du Commerce international Stockwell Day a réitéré son intention de porter plainte auprès de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) si l'Union européenne (UE) venait à interdire l'importation des produits dérivés du phoque. “Une telle démarche est irresponsable,” souligne Fink. « Un litige devant l’OMC coûterait au minimum des millions de dollars aux citoyens canadiens, alors que le propre ministère de M. Day, estime ce marché à 5.4 millions $ tout au plus. » Source : IFAW

Angleterre : une battue est organisée pour retrouver une oie Des vertes et des pas mûres, il y en aura toujours dans ce bas monde. A Rochendale en Angleterre, une battue est organisée pour retrouver une oie de Canada. L’oiseau, blessé, a une flèche plantée dans son dos. La vie n’est pas facile quand on est une oie sans défense. Alors que l’oiseau barbotait tranquillement sur un lac avec ses congénères, un nuage de flèches s’était abattu fâcheusement sur eux. Deux garnements armés d’un arc à flèches se sont en effet amusés à tirer dans leur direction et les tirs ne se sont pas arrêtés tant que l’un d’entre eux ne soit touché. Indubitablement pris de peur et de panique de ce que pouvait être la réaction des témoins de la scène, les deux chenapans se sont ensuite faits la malle ; quant à l’oiseau blessé, effrayé, il s’est envolé pour fuir et se mettre à l’abri des humains afin d’essayer de survivre malgré les blessures ou de se cacher pour mourir si aucune issue n’est possible. Mais après avoir été mis au courant de la situation, les défenseurs de la nature ont organisé une battue afin d’essayer de retrouver l’oie de Canada dans le but de lui ôter la flèche et de mesurer l’étendue de sa blessure pour pouvoir la soigner ou l’euthanasier… (?) On ignore si l’oie a pu être sauvée ou non mais on lira sans doute la suite sur le célèbre site zigonet qui nous abreuve d’histoires aussi insolites les unes que les autres principalement d'outre-Manche.

Bon et heureux anniversaire à Cantegrel qui fete ses 32 ans ce jour, et à Vita qui a 34 ans aujourd'hui !

Ton scrap est superbe ma Sonson !

Tite puce, qu'elle est belle !!!

Pauvre tit bout !