Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

cristal rose

Membres
  • Compteur de contenus

    2 992
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par cristal rose

  1. Je me suis toujours demandé si ce n'était pas une arnaque cette histoire??? Facile de peindre ce que l'on veut sur un animal. Je vais essayer de vous mettre une série de photos de chats peints. Des oeuvres d'art sur des chats. Vraiment suprenant, je vous jure... À renouveller dès que les poils poussent un peu trop sur le minet. À gros prix, évidemment, pour ceux qui ont les moyens de payer se payer ce genre de chose.
  2. Ninine, cherche plus! Lili a trouvé la solution! Un cadeau pour ta copine, non???
  3. Kallimereau! Malheureusement, on ne peut pas voir les photos! Mais ne t'en fait pas, il y a moyen d'arranger ça! Bienvenue et au plaisir d'admirer tes ptites puces chéries!
  4. cristal rose

    week end

    Quelle belle photo! Merci de tout coeur Kanelle!
  5. Au plaisir d'échanger avec toi sur la passion des chihuahuas!
  6. et au plaisir de discuter chihuahuas avec toi!
  7. :tchicoeur: Coucou ma petite puce adorée!
  8. Toutes craquantes ces petites puces!
  9. Cool, une ninine plus en forme que jamais!
  10. Qu'est-ce qui t'arrive ma puce de ninine chouette?
  11. Ma tite fée Zelie, Tom Cruise à l'air d'un vilain canard à côté du futur amoureux de Évanescence!
  12. Elle est géniale ta belle Duchesse!
  13. Flora! Bienvenue à toi chez les Elfes!
  14. Vivement que la semaine finisse mes tites fées!
  15. On m'a envoyé cette histoire et j'ai le goût de la partager avec vous. Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à coté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre devait passer ses journées couché sur le dos. Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et de leurs familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors. L'homme dans l'autre lit commença à vivre pendant ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur. De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux en modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre coté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque. Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante. Les jours et les semaines passèrent. Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps. Dès qu'il sentit que le moment était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul. Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or, tout ce qu'il vit, fut un mur ! L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle. Epilogue : Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé. Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter. Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle présent.
×
×
  • Créer...