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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Exclusif: Couvercle Grillagé en acier inoxydable, anti-corrosion et adapté à un plafonnier à pince (aucune barre en plastique présente). Exclusif: Ouverture de la porte vitrée Frontale avec serrure à ressort. Ce couvercle grillagé particulier permet de maintenir le doseur d’insectes à l’intérieur tout en fournissant une plus grande pénétration des rayons UVA et UVB dans le terrarium
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Cette petite couleuvre tricolore a été décrit seulement qu'en 1978 par Williams. Pourtant, il s'agit du plus populaire faux-corail en captivité. Ils sont aussi appellé serpent laitier ou encore, en anglais, milk snake. Description La coloration du Lampropeltis triangulum sinaloae est tricolore. Il arbore la coloration typique de la majorité des triangulum avec les bandes rouge-noir-blanc-noir-rouge. Le blanc et le rouge ne se toucheront jamais. C'est ce qui vient le différencier avec un Micrurus qui est un Elapidae fortement venimeux. Sa couleur prédominante est le rouge. Ceci est un moyen d'identification de l'espèce avec les autres triangulum par de très larges bandes rouges trois fois la largeur des bandes noires. La tête est noire avec une bande jaunâtre ou crème sur le dessus de la tête, juste derrière les yeux. La coloration ventrale est jaunêtre ou crème. Le faux-corail du Sinaloa a un corps élancé. Sa queue est longue et effilée. Le cou sera très peu démarqué. Le Lampropeltis triangulum sinaloae mesure entre 80 et 120 cm. Habitat Ce serpent se trouve jusqu'au Mexique à partir du désert du Sinaloa, allant jusqu'au Chihuahua. Il y aurait quelques mentions aussi de fait dans le sud-ouest du Sonora. On le retrouve dans des milieux semi-désertiques, secs, arides et rocheux. Dans la plupart des cas, nous le trouvons dans la végétations clairsemée. Le jour, on le trouvera souvent se reposant sous des roches ou des débrits sur le sol. Ce triangulum est essentiellement terrestre même s'il a des tendances fouisseuses. Il est peu actif le jour, il est plutôt nocturne. Il n'hésite pas à se faufiler dans des terriers pour aller y chercher des rongeurs de petite taille et des petits lézards qui constituent son régime alimentaire. On peut trouver des oeufs de cette espèce sous le bois en décomposition, des roches et dans la végétation en décomposition. En captivité Il est préférable de garder ce serpent seul à cause de ses tendance d'ophiophage. Un terrarium de 50 cm X 40 cm X 40 cm comme taille est requis comme minimum. Par contre, un terrarium de 80 cm X 50 cm X 50 cm serait parfait. Les températures diurnes requises se situent entre 26 et 28°C. On peut descendre la température de 4 ou 5°C la nuit. Un taux h'humidité de 50-60% est respectacle. Le substrat du terrarium devra toutefois être toujours sec. Comme tous les Lampropeltis, le faux-corail du Sinaloa est un serpent timide. Ça reste tout de même un serpent calme et inoffensif. Reproduction Ce faux-corail atteint la maturité sexuelle vers l'âge de 2 à 3 ans. L'espèce est ovipare, la femelle peut pondre de 2 à 14 oeufs. Une hibernation est préférable pour tenter une reproduction. La ponte aura lieu environ 45 jours suivant l'accouplement. Les oeufs prendront environ 60 jours à éclore s'ils sont incubés à 30°C avec une hygrométrie moyenne de 80%. Les bébés sont parfois difficile à nourrir lors des premiers repas. Le gavage est souvent nécessaire. Si vous prodiguez les soins nécessaires à votre petit compagnon, il sera votre meilleur ami durant une bonne dizaine d'année.
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Un oiseau dévoré par une araignée Francois Saison: Thu, 12/25/2008 - 07:00. Aussi insolite que cela puisse paraître, un oiseau a été dévoré par une araignée. Cela s’est passé en Australie, plus précisément à Artheron. Un photographe amateur mordu de volatiles a pu immortaliser cette macabre scène. Courant troisième semaine du mois d’octobre 2008, les lecteurs du quotidien australien Cairns Post ont pu lire un étrange article relatant l’exploit d’une araignée qui s’en est pris à un oiseau… des photos en font foi. On pouvait y voir des clichés montrant un oiseau pris au piège sur une toile d’araignée et le propriétaire des lieux s’agrippant sur sa proie. Selon Joel Shakespeare, responsable du vivarium «Reptile Park» situé dans la Nouvelle-Galles du Sud, c’est un fait rarissime. Les arachnides étant des prédateurs redoutables, il leur arrive de s'en prendre à de gros insectes, à de petits serpents ou à de rongeurs tels que les rats. De l’avis du scientifique, les morsures de l’araignée, une Goldon Orb Weaver, n’auraient pas été fatales pour l’oiseau, un Chestnut-breasted Mannikin, une espèce de petit moineau. Ce dernier aurait été terrassé de peur ou aurait succombé d’épuisement ou de déshydratation emprisonné dans la toile. Il est nécessaire de savoir que la toile d’araignée est tissée avec un fil de soie plus résistant que le Kevlar et plus solide qu’un fil d’acier. Elle sert à la fois d’habitation, de protection et d’outil de chasse à l'araignée. Source
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Echis carinatus Toutes les échides adoptent la même posture de défense. Le serpent enroule son corps en fer à cheval, de façon à ce que les écailles spécialisées, à carène denticulée, d'une section des flancs soient près de celles d'une autre section, mais orientées en sens inverse. Lorsque les anneaux du serpent bougent, les carènes frottent les unes contre les autres, et produisent un sifflement strident. L'échide se défend également en mordant avec vigueur et à plusieurs reprises.
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On trouve des fers-de-lances dans toute l'Amérique du centrale et du Sud, et aux Antilles. Le plus commun, et donc le mieux connu, est le fer-de-lance d'Amérique centrale, Bothrops asper, qui vit aussi dans le nord de l'Amérique du Sud. Son nom espagnol, terciopelo, signifie velours, ce qui décrit bien son aspect. Il est responsable de la mort d'un grand nombre d'hommes.
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D'aspect variable, le cascabelle, Crotalus durissus, a la plus grande aire de répartition de tous les crotales. C'est aussi la seule espèce que l'on trouve au sud du Mexique. Il est responsable de plus de cas de morsures de serpents en Amérique du Sud que toute autre espèce, et sans traitement la mortalité est élevée. La mise au point d’un sérum antivenimeux spécifique a permis de réduire le taux considérable de mortalité à dix pour cent contre soixante quinze pour cent, voire quatre vingt dix pour cent chez les jeunes enfants.
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Le crotale cornu, Crotalus cerastes, est une espèce nord-américaine vivant dans le désert. C'est l'espèce de crotale la plus corpulente. Grâce à la forme de son corps et de sa tête, tous les deux aplatis, le serpent se déplace sur le sable, en maintenant la plus grande surface possible en contact avec le sol. Les traces du crotale cornu sont constituées d'empreintes parrallèles, orientées à 45° environ par rapport à la direction du déplacement. Chaque trace présente un petit crochet à chaque extrémité, là où le serpent courbe la tête ou la queue.
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Michel Le Blanc au téléthon
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Télé et DVD
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Dipsosaurus dorsalis - Iguane du désert
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Fiches sur les lézards
Il est grand temps que je vous parle de l'une des espèces de lézards m'ayant le plus captivé, l'iguane du désert. Ce lézard fait parti d'un genre mono-spécifique dont règne une grande confusion concernant les sous-espèces. La sous-espèce nominale, Dipsosaurus dorsalis dorsalis, endémique au sud des États-Unis, est sans aucun doute reconnu par tous. La sous-espèce Dipsosaurus dorsalis catalinensis, provient du Mexique et est parfois considéré comme espèce à part entière. La troisième sous-espèce reconnue est le Dipsosaurus dorsalis sonoriensis. Il y aurait possiblement une quatrième sous-espèce, qui est largement discuté par les taxonomistes, Dipsosaurus dorsalis mojavensis. Elle est assez commune dans son milieu naturel mais elle est protégée localement dans certains états des États-Unis. Cette espèce n'est aucunement visé par la CITES. Description L'iguane du désert mesure généralement entre 20 et 35 cm mais elle peut atteindre jusqu'à 40 cm. Les 2/3 de sa longueur total appartient à sa queue. Ce lézard arbore des couleurs claires, gris et sable, avec beaucoup de nuances. On peut voir des cercles blancs le long du dos. Pendant la période de reproduction, les flancs peuvent être rouge, orange ou rose. La queue est plus claire que le corps et est recouverte d'anneaux gris plus sombres. L'iguane du déser possède une large bande dorsale. La face ventrale est blanche et l'écaillure ventrale est plus fine que celle dorsale. Sa tête est petite et ronde avec de grandes ouvertures pour les oreilles et son museau est de forme triangulaire. Les yeux sont petits et sont protégés du soleil par des bourrelets occipitaux assez marqués. Les narines rejettent du sel (sécrétions blanches), c'est un fait assez communs chez de nombreux agamidae et iguanidae désertiques. Sa mâchoires est très puissante pour sa taille. Les pattes sont dotées de cinq longs doigts adaptés à la marche sur des sols peu stables. Les membres postérieurs sont musclés et adaptés à la course et au sauts. Il s'agit d'un lézard robuste avec un corps massif et des jambes solides. Il est capable en cas de suite de courrir uniquement sur les pattes arrières, le haut du corps dressé. D'où le surnom de "Roadrunner" lui vient. Ce surnom lui a été donné aux États-Unis lorsqu'il traverse les routes à l'approche d'un véhicule. Sa queue lui sert aussi de moyen de défense en fouettant son adversaire. Les mâles ont tendance à être plus grands que les femelles. Ils ont aussi la tête plus large et la base de la queue aussi. On peut aussi le sexer comme chez les agamidae par les pores fémoraux bien marqués. L'iguane du désert peut vivre une dizaine d'années mais 12 à 15 ans peut se voir aussi. Il s'agit d'une espèce héliophile, ce qui veut dire qui aime l'exposition au soleil. Habitat L'iguane du désert vit aux États-Unis et au Mexique. Son aire de répartition est largement liée à la présence du buisson de créoste (Larrea tridentata). On peut le voir dans les déserts du Mojave et de Sonora, quelques îles et îlots du golfe du Mexique, le sud-est de la Californie, le sud-est de l'Utah, le centre et le sud du Nevada et le nord-ouest du Mexique. On trouve l'iguane du désert, le plus souvent, dans des étendus désertiques et sableuses où seuls poussent les cactus et autres broussailles rares ou encore des succulentes, des graminées et d'autres arbustes dont le besoin en eau est réduit. L'iguane du désert vit également dans des zones rocheuses, des zones argileuses, des zones steppiques ou des zones semi-arides. Elle vit surtout à proximité des côtes ou encore sur des petites îles et généralement en pleine. Ce n'est pas un animal qui a tendance à vivre en haute altitude. Le maximum ayant été enregistré a été relevé à 1304 mètres au-dessus du niveau de la mer sur un éperons rocheux dans le désert du Mojave. Pour échapper aux chaleurs extrêmes de son milieu naturel, elle creuse des terriers d'une cinquantaine de cm au pied des buissons de créosotes. Il peut se cacher de certains de ses prédateurs par le fait même tel que les rapaces, coyotes, renards du désert et rats mais aussi de d'autres prédateurs qui peuvent entrer facilement dans ces terriers comme certains colubridaes désertiques ou le lézards à collier, Crotaphytus collaris, qui fait des ravages parmi les juvéniles. En captivité Pour les maintenir en captivité, il faudra un terrarium de 100 cm X 50 cm X 50 cm pour un couple. Le montage du terrarium sera de type désertique avec des souches, écorces ou encore des cactus artificiel. Étant une espèce semi-arboricole, malgré qu'il passe beaucoup plus de temps à terre, il est important de lui fournir de quoi grimper, comme des branches solides, pour lui permettre de faire l'exercise nécessaire. Il lui faudra aussi une bonne épaisseur de substrat. Même si plusieurs recommandent le sable de calcium, personnellement je suis beaucoup plus partisans de sable de rivière ou encore de substrat de noix concassés qui sont tous les deux des ressources naturelles. Tout ça est une question de choix personnel. Il est important aussi de choisir un substrat meuble puisque l'iguane du désert peut passer des heures à creuser. Le sol doit toujours être sec. L'humidité de l'air doit tourner autour de 40% et ne doit jamais excéder 50%. La température tournera autour de 35°C du côté chaud et environ 30°C au point froid avec une légère baisse de température la nuit. Il peut tolérer des températures allant jusqu'à 45°C. Cette espèce est diurne donc l'éclairage UV est indispensable. Un néon dégageant 10% de rayons UVB sera l'idéal. On lui fournira cet éclairage durant 12 heures par jour au printemps et de 13 à 14 heures en été. Aucun éclairage ne lui sera donner durant ses deux mois d'hibernation. Cet animal est très actif à ses heures. L'iguane du désert est vif et rapide. La vélocité et la nervosité de la bête devront être considéré lors des manipulations. Pour le nourrir, il faudra varier avec quelques insectes et des végétaux tel que frisée, scarde, trèfle, pissenlit et quelques fruits finement tranchés. Ce sont tout de même de bons mangeurs. Il est aussi important de savoir que les mâles peuvent se démontrer très territoriaux entre eux. Il vaut mieux de ne pas les maintenir ensemble. Cette espèce a des comportements sociaux très variés ce qui les rend très intéressants à observer. Reproduction L'iguane du désert atteint la maturité sexuelle vers l'âge de 2-3 ans. La femelle peut être fertile jusqu'à 8 ans. La période d'accouplement a lieu à partir de la fin mars et se poursuit jusqu'au début de mai. Suite à une période de gestation d'environ un mois, la femelle pondra de 2 à 10 oeufs qui seront préfondément enterrés. La moyenne d'oeuf par ponte se situe entre 3 et 5 oeufs. Il faudra creuser le sol délicatement pour y extraire les oeufs et les déposer soyeusement dans l'incubateur. Les oeufs sont volumineux et fragiles donc il faudra être très vigilants. Ils sont d'ailleurs fragile à la pourriture donc il faudra faire attention à l'humidité que l'on maintiendra entre 65 et 75%. Si on excède cette hygrométrie, la pourriture apparaîtra. Si on incube les oeufs à une température de 30-31°C, on verra les jeunes iguanes du désert éclore après 63 à 71 jours d'incubation. Les petits mesurent 65 à 80 mm à la naissance et leur croissance est très lente. Je recommande cette espèce pour les débutants. Ils sont très résistants. -
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Profitez du temps des fêtes pour dire à vos proches qu'ils vous sont chers à vos yeux. On ne sait jamais ce qu'il peut arriver et comment ils se sentent dans leur coeur et leur tête. Sinon passez un joyeux temps des fêtes tout le monde. Je vous souhaite du bonheur, de l'amour et la santé puisque quand on a ces trois choses là, tout le reste vient avec par la suite. Et n'oubliez pas qu'il y a nez rouge au besoin.
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Le gecko vert de Manapany vous dit merci Qui veut la peau du gecko vert de Manapany ? De plus en plus menacé dans son milieu naturel, le petit lézard vert fait l’objet d’une action de sensibilisation financée par la Diren qui vient d’éditer un guide pratique et pédagogique pour apprendre à le protéger efficacement. À lui tout seul, le gecko vert de Manapany symbolise l’extrême fragilité de la biodiversité réunionnaise. Paré d’une magnifique robe vert pomme réhaussée de petites tâches rouges sur le dos, ce petit reptile diurne vit principalement dans les arbres où il trouve à la fois refuge, site de ponte et nourriture. Endémique de l’île, il s’observe exclusivement dans le Sud, dans une bande de 5 km seulement située entre les communes de Saint-Joseph et Petite-Ile. Bien qu’il affectionne tout particulièrement le vacoa, on le retrouve également sur d’autres espèces ainsi que dans les habitations. Mais dans cet espace très restreint et urbanisé, la question de la conservation de l’inoffensif gecko de Manapany se fait pressante. PLANTER DES VACOAS Mobilisée par la sauvegarde du sympatique saurien, l’association Nature océan indien vient d’éditer un guide aussi pratique que pédagogique financé par la Diren. Distribué à la population de Manapany, ce fascicule très bien fait présente l’animal sous ses différents aspects (mœurs, nourriture, reproduction…) et propose des conseils simples à mettre en pratique dans son jardin pour le protéger. Si la limitation voire la prohibition des produits chimiques néfastes tels que les anti-marguouillats, insecticides et autres herbicides paraissent évidentes, le maintient en l’état de son habitat naturel est encore la meilleure chance de le voir s’épanouir dans les jardins. “La sauvegarde du gecko passe par de petits choses auxquelles ont ne pense pas forcément comme planter des vacoas où arrêter de les tailler car cet arbre est directement lié à leur présence”, souligne Mickaël Sanchez, ingénieur écologue et membre de l’association basée à Saint-Denis. Le week-end dernier, plusieurs de ses membres sont descendus à la rencontre des habitants du quartier pour une opération de sensibilisation. “L’objectif est de montrer que si nous le voulons, nous pouvons tous sauver le gecko”, ajoute Thomas, vétérinaire et président de l’association Nature Océan Indien Pierre Verrière Quelques astuces pour sauver le petit lézard vert Garder dans son jardin ses habitats favorables : vacoa, latanier, cocotier et multipliants. Éviter la destruction des pontes lors des activités de jardinage ou de nettoyage à la maison. Ne pas introduire d’autres reptiles prélevés dans la nature qui peuvent lui être nuisibles. Proscrire les dépôts d’ordures attirant les prédateurs du gecko vert : rats, fourmi, oiseaux et musaraignes. Bienvenue à Geckoland` Si les efforts de préservation du gecko vert de Manapany étaient notés, nul doute que Marie-Claude serait l’une des meilleurs élèves. Littéralement tombée sous le charme du petit lézard vert, elle lui a ouvert grand sa case et le terrain qui l’entoure, à deux pas de la plage de galet où une colonie entière a élu domicile depuis. “Une bonne cinquantaine d’individus”, estime Marie-Claude, très fière de ce qu’elle appel son “Geckoland”. “Un jardin sans gecko, c’est inconcevable pour moi, confie-t-elle. Je fais en sorte qu’ils s’y sentent bien. Avant j’avais l’habitude de tailler mes vacoas mais désormais je laisse faire la nature. C’est une forme de cohabitation intelligente car en plus d’être beaux ils sont très utiles pour lutter contre les insectes notamment”. Et pour remercier ses anges gardiens petits formats, Marie-Claude a un secret. “Je pratique le tri sélectif et ils adorent se retrouver dans le bac où je jette mes briques vides de jus de fruits bio”. Des geckos qui apprécient le jus de fruit bio, une raison de plus de les sauver Source
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Amphibien transgénique Le xénope, sorte de crapaud d'Afrique du Sud, est un modèle très prisé des biologistes. Mais jusqu'ici il était très difficile de modifier de façon stable et spécifique les embryons de cet amphibien par génie génétique. C'est maintenant chose faite: une équipe californienne dirigée par Sylvia Evans vient de mettre au point une méthode de transgenèse relativement simple (Y. Fu et al ., Nature Biotechnology , 16 , 253, 1998). Pour élaborer la construction génétique destinée à être insérée dans les cellules embryonnaires, elle s'est notamment servie de fragments du génome d'un adénovirus, appelés séquences terminales inversées. L'expérience est spectaculaire car pour vérifier l'efficacité de leur méthode les chercheurs ont employé deux gènes qui colorent les cellules. Dans le premier cas, ils ont obtenu des têtards transgéniques ayant une couleur bleue homogène. Dans le second, avec un gène s'exprimant spécifiquement dans certains tissus, seuls ces derniers (le coeur et les muscles) arboraient un vert fluorescent. Source
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Un gros appétit pour les scorpions Kanchana Kaetkaew, 39 ans, « reine » autoproclamée des scorpions en Thaïlande, a battu hier un nouveau « record du monde » en tenant dans sa bouche un scorpion vivant de 18 centimètres pendant plus de deux minutes avant de le recracher . Kanchana a ensuite entrepris une autre tentative de record, en s'installant dans une cage en verre avec 5.000 scorpions avec l'objectif d'y rester pendant 33 jours. Cette performance très spéciale a lieu dans la galerie marchande d’un centre commercial de Pattaya, une station balnéaire, au sud-est de Bangkok. Source
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Mekong : découverte de 1000 nouvelles espèces Des scientifiques ont découvert dans la région du Mekong (sud de l’Asie) plus de 1000 nouvelles espèces cette dernière décennie. Un serpent aussi gros qu’une assiette (A Gumprechts green pitviper, un crotale vert), un mille-patte rosé appelé "Dragon Millipede", un rat disparu il y a 11 millions d’années : un véritable trésor biologique. Alors que l’on clame haut et fort que le réchauffement climatique toque à notre porte, que les espèces disparaissent, etc, etc, etc,...il ne faut pas oublier que chaque jour l’on découvre de nouvelles formes de vie animales. Cette région qui enthousiasme tant les biologistes du monde entier est l’asie du sud : Cambodge, Laos, Thaïlande. Ces pays sont traversés par le Mekong, la rivière où entre 1997 et 2007, 1068 agglutinements de cellules ont eu le privilège d’être élevés au rang d’espèce. Une découvertes de taille (et c’est le cas de le dire) est le plus grand serpent chasseur du monde (huntsman spider) avec une envergure de 30 cm. Ils ont également découvert un mille-pattes, de paillettes roses vêtu sécrétant le tout autant glossy cyanure....glup. Le nom de cette veuve rose est le "dragon millipede". Si la plupart des nouvelles espèces ont été découvertes dans la jungle, une exception a montré le bout de son museau dans les rocailles Laotienne : le rat des montagnes du Laos (Laotian rock rat). Disparu il y a près de 11 millions d’années, on a revu ses petites moustaches pour la première fois en 2005. "Cette région est semblable à celles décrites dans les histoires des Charles Darwin quand j’étais petit", a déclaré Le Docteur Thomas Ziegler, qui fait parti du programme de recherche . Les nouvelles espèces mises au jour dans le rapport remis à la WWF sont 519 plantes 279 poissons 88 grenouilles 88 araignées (roh, on aurait pu s’en passer...) 46 lézards 15 mammifères 4 oiseaux 4 tortues 2 salamandres un crapaud. Ce travail représente environ deux nouvelles espèces par semaine durant dix ans. Laissons donc de côté le psychodrame autour du thon rouge et mangeons tant qu’il en reste des rats laotien et des crotales verts ! Source
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Maroc: deux nouveaux géants préhistoriques découverts dans le Sahara 17.12.08 - 08:43 Des paléontologues britanniques et marocains ont annoncé mardi la découverte dans le Sahara de deux nouvelles espèces présumées d'animaux préhistoriques géants lors d'une des plus importantes excavations du genre en Afrique depuis un demi-siècle. Cette équipe de paléontologues britanniques et marocains a mis au jour des restes de ce qui est considéré comme une nouvelle espèce de ptérosaures, des reptiles volants du Mésozoïque (ère secondaire) ainsi qu'une autre de sauropodes (un quadrupède herbivore de la famille des dinosaures). Les deux animaux auraient vécu il y a près de cent millions d'années, a indiqué mardi dans un communiqué l'Université de Portsmouth, dans le sud de l'Angleterre. Ils ont en particulier mis au jour un important fragment de bec appartenant à un reptile volant, ainsi qu'un os de plus d'un mètre de long provenant d'un sauropode d'une taille minimale de vingt mètres. Ces découvertes sont considérées comme exceptionnelles et les plus importantes à survenir depuis un demi-siècle en Afrique. Ces fouilles, menées dans le sud-est du Maroc, avaient été entamées en 1984 mais des tempêtes de sable les avaient interrompues. La mission était revenue bredouille mais l'équipe avait tenu à revenir, un quart de siècle plus tard. Au terme d'un mois de chantier, les paléontologues ont finalement fait cette "découverte majeure".... Source