Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Xenochrophis vittatus est une espèce de serpents de la famille des Natricidae. Décrite par Linnée en 1758 sous Coluber vittatus. Entre dans le genre Xenochrophis en 1965 avec MAKLNATE & MILTON, pourtant elle restera longtemps plus connue sous Natrix vittata. Noms communs : Confus : Serpent jarretière d’Indonésie, couleuvre à bandes, couleuvre piscivore à bandes, « xeno » à bandes. Ce serpent atteint 50 cm pour les mâles et 70 cm pour les femelles. Il a un corps robuste. Sa tête est distincte de son cou. Ses yeux sont grands et à pupilles rondes. Le corps est svelte. Sa coloration dorsale est noire avec quatre bandes brun-jaunâtre allant de la tête jusqu'à la queue. La coloration ventrale est blanche avec une large bande noir sur chaque écailles ventrales. Le Xenochrophis vittatus a une dentitition opistoglyphe donc possède des crocs à l'arrière dans sa bouche et est légèrement venimeux, mais il est considéré comme inoffensif. Il se rencontre en Indonésie sur les îles de Bangka, de Java et de Sumatra, ainsi qu'en Malaisie péninsulaire. Il a aussi été introduit à Singapour dans les années 1980 où on le trouve dans les champs et les garrigues. Sa présence est incertaine au Sulawesi. Ce serpent diurne se trouve dans les rizières, étangs, fossés, marais et les jardins familiaux. Dans le centre de Java, il est également pas rare que le Xenochrophis vittatus est conservés par les enfants comme animaux de compagnie. Il a la réputation d'être très affable et mord rarement. Aux États-Unis, des Xenochrophis vittatus capturés dans la nature sont souvent importés et vendus comme des «couleuvres», typiquement «couleuvres canadien» ou «couleuvres indonésiennes", mais ils ne sont pas liés à Thamnophis. Un petit terrarium convient très bien, par exemple un 60cmx40cmX45cm pour un spécimen seul ou un couple. Un bac à eau sera indispensable. La taille du bac? 1/3 du terrarium avec 10 cm de profondeur, mais attention à l'hygiène de l'eau. La température au point chaud sera de 30 à 32 °C, de 26 à 28°C au point froid et on peut descendre autour de 24.°C la nuit. Pensez à mettre des plantes dans son terrarium qui lui serviront de cachette. Idéalement, on y met aussi des branches qui surplomberont au dessus de l'eau. Le sol doit être meuble. Cette espèce est relativement sociable et peut vivre très bien en groupe de même taille à la comdition de bien surveiller lors des repas, C’est un petit serpent très facile à élever et à nourrir, conseillé aux débutants. Mon défaut? Je suis un serpent provenant le plus souvent de capture et comme je ne suis pas très cher à l'achat je peux tomber facilement sur des "faux terrariophiles" et là c'est la catastrophe pour moi. Il se nourrit de divers amphibiens, poissons et petits lézards. Il s'adapte bien aux poissons morts. Si vous optez pour des poissons de type éperlans, faîtes les bien tremper avant afin de les dessaler. Les jeunes seront nourris aux guppies ou aux danios. Il peut aussi manger des lombrics et même des souriceaux nouveaux-nés. Dans la nature,mil mange surtout des amphibiens, des vers de terre et des poissons. Il n’y a pas de véritable saison de reproduction, celle-ci pouvant se dérouler toute l’année. Elle ne pose pas de problèmes majeurs et peut se dérouler plusieurs fois par an, 2 pontes n’étant pas rares. Certains éleveurs préconisent une période de " mise en repos " d’1 à 2 mois, les serpents étant maintenus dans une pénombre plus importante et la température étant diminuée aux alentours de 18-20°C, avant de revenir à des conditions optimales. Mais ceci ne semble pas indispensable. Après 2 à 2 mois et demi de " gestation ", les œufs (4 à 12 en moyenne) seront placés en incubateur à 27-29°C et 95-100 % d’humidité, l’incubation durant 70 à 95 jours. Enfin, il est nécessaire de séparer les individus de stades intermédiaires susceptibles de s’accoupler trop tôt, ce qui pourrait avoir des conséquences néfastes pour la santé de la femelle (œufs non fécondés, rétention, trouble de croissance…). C’est une règle générale chez beaucoup de reptiles, et particulièrement chez cette espèce encline à se reproduire sans hibernation.
  2. Ministère de la Forêt, de la Faune et des Parcs La tortue molle à épines fait partie des espèces menacées que l'on retrouve au Québec. NATURE. L'Outaouais vient au second rang des régions les plus riches en biodiversité, mais cela ne signifie pas pour autant que la situation est rose. NATURE. L'Outaouais vient au second rang des régions les plus riches en biodiversité, mais cela ne signifie pas pour autant que la situation est rose. Ministère de la Forêt, de la Faune et des Parcs La tortue molle à épines fait partie des espèces menacées que l'on retrouve au Québec. Autres Nouvelles Les efforts sont là pour protéger la biodiversité et les espèces Structure et financement à revoir, selon le ministre Lessard La faune du Québec de plus en plus en danger Plantes en déclin Yoan de retour sous les projecteurs avec un premier album Michel Bérubé quitte le Club de natation de Gatineau La CSD va de l'avant avec ses transferts vers la polyvalente Le Carrefour Centre multifonctionnel: le huis clos se poursuivra pour quelques rencontres La vallée de l’Outaouais compte parmi les aires naturelles les plus riches sur le plan de la biodiversité au Québec. Mais il existe une stratégie de gestion pour les nombreuses espèces menacées par la fragmentation de leur habitat. Deux facteurs représentent des menaces: l'agriculture et le développement urbain. Milaine Saumur est coordonnatrice de projets à Conservation de la nature Canada. Elle est à même de constater les forces et les problématiques du territoire de l'Outaouais: « L'Outaouais est un "hot spot" de biodiversité. La flore est très impressionnante, on retrouve une grande variété qu'il n'y a pas ailleurs. » Chez les animaux, il y a aussi une bonne variété d'espèce. Par contre, certaines espèces sont vulnérables, d'autres carrément menacées. Mme Saumur est sur le terrain pour le constater par ses observations et ses interventions. Comme pour la rainette faux-grillon, une bataille est en cours pour s'assurer que son milieu de reproduction ne soit pas détruit au moment clé. Il existe certaines stratégies pour favoriser la reproduction de l'espèce. « La rainette va commencer ses chants de la mi-avril au début-mai. Pendant ces deux à trois semaines, la métamorphose des têtards prend forme et il faut un milieu humide de 30 à 250 mètres. Ça peut avoir l'air anodin, mais les mares d'eau sont très importantes pour elles. » Et ces mares, on les retrouve sur des terrains qui, en milieu rural, servent pour l'agriculture. Habituellement, c'est à cette période que commencent les remblais ou l'approvisionnement en eau. Les organismes comme Conservation de la faune doivent faire un travail de sensibilisation. « On doit les informer, leur expliquer l'importance, car eux, ils veulent commencer le plus tôt possible leur récolte et c'est normal, indique la biologiste. Et en ville, les colonies sont menacées par les projets de construction. Là aussi, c'est un défi de sensibilisation. » Pourquoi la rainette est si vitale? « Le nombre amphibiens que l'on retrouve est un indicateur de la qualité de l'environnement. Ils apportent l'équilibre dans un milieu naturel. Sa présence signifie que le milieu est en santé. » Idem pour la tortue mouchetée, qui a besoin d'habiter des milieux humides, des endroits où s'installent des castors pour concevoir leurs barrages. « Ces espèces sont menacées, parce que si on détruit les barrages des castors, ça signifie un danger direct pour cette espèce. » Amélioration dans certains cas Le portrait n'est pas que sombre. Dans le cas des faucons pèlerins, un aménagement d'une aire de reproduction dans le nord du secteur d'Aylmer, a fait en sorte que l'espèce s'est reproduite suffisamment, jusqu'à présent, pour ramener une population suffisante. « Le projet de rétablissement de la population a bien réussi jusqu'à maintenant, explique Mme Saumur. Des observations, nous avons vu une belle augmentation, il y a eu plus d'accouplements qu'anticipé. » La tortue géographique est aussi une espèce moins menacée en Outaouais qu'ailleurs au Québec. Bien que la coordonnatrice n'a pu l'observer partout où elle aurait été vue, notamment sur l'île Kettle, on la retrouve en bon nombre près de Bristol. « Je ne l'ai pas vu à cet endroit. Il faut dire qu'il y a beaucoup de perturbations causées par la présence de bateaux à moteur. Le développement près des berges la menace et il faut y porter une certaine attention. » Espèces vulnérables Faucon pèlerin anathum, tortue des bois, tortue géographique, pygargue à tête blanche, petit blongios, fouille-roche gris, rainette faux-grillon de l'Ouest. Espèces menacées Tortue-molle à épines, râle jaune, tortue mouchetée, carcajou, pie-grièche migratrice, pic à tête rouge, paruline azurée, tortue musquée. Source
  3. Une collaboration du MFFP, de l'OBVBM et du Zoo de Granby ESPÈCE MENACÉE. Une équipe formée de représentants du Zoo de Granby, de l'Organisme de bassin versant de la baie Missisquoi (OBVBM) et du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP) travaille depuis six ans au rétablissement de la tortue-molle à épines à Saint-Armand. L'équipe prélève des œufs de cette espèce aquatique en juin et les incube au jardin zoologique pendant 60 jours avant de relâcher les nouveaux-nés dans la nature en août. «Le taux de survie avec l'incubation artificielle est de 83 % alors qu'il ne dépasse pas 28 % en nature. Cette méthode préserve les œufs contre les braconniers et les prédateurs (le raton-laveur notamment) tout en permettant aux nids d'échapper à la crue des eaux», signale Patrick Paré, directeur de la recherche et de la conservation au Zoo de Granby. L'équipe de Patrick Paré a recueilli 50 nids, incubés 900 œufs et remis à l'eau plus de 625 tortues entre 2010 et 2014. «Les bébés sont relâchés dans les 48 heures suivant leur naissance. L'an dernier, le MFFP nous a autorisés à conserver 28 jeunes sujets au Zoo pendant dix mois avant de les remettre à l'eau», précise le porte-parole de l'équipe de rétablissement. En 2015, le nombre de jeunes tortues gardées en captivité pour une période de dix mois grimpera à 40. Quelques sujets seront prêtés à d'autres jardins zoologiques alors que les autres réintègreront les eaux du lac Champlain et de la rivière aux Brochets en juin 2016. Ce printemps, le Zoo de Granby mènera par ailleurs un projet pilote à l'école Saint-Joseph (Notre-Dame-de-Stanbridge) avec l'appui financier de la Fondation de la faune du Québec. La population étudiante est l'une des cinq clientèles ciblées par le programme. «Nos deux tortues ambassadrices arriveront à l'école le 14 avril et y demeureront jusqu'à la mi-juin. Les élèves auront la responsabilité de les nourrir. Ces derniers participeront par ailleurs, le 18 juin, à la relâche dans la nature des tortues de dix mois», résume M. Paré. L'équipe de rétablissement de la tortue-molle à épines devrait poursuivre l'aventure dès l'an prochain avec les élèves des écoles primaires de Saint-Armand et de Clarenceville. Le Zoo de Granby s'implique . Rétablissement de la tortue-molle à épines (baie Missisquoi) . Rétablissement de la chauve-souris (province de Québec) . Suivi des populations d'écureuil-volant (Estrie, Montérégie) . Inventaire de la faune aux Boisés Miner (Granby) . Inventaire de la faune à l'île St-Quentin (Trois-Rivières) Source
  4. Cinq animaux menacés, huit vulnérables et 19 susceptibles d’être désignés menacés ou vulnérables habitent sur le territoire de Montréal. Parmi ceux-ci se trouve la tortue géographique, pour laquelle les efforts de protection seront dirigés par un nouveau plan d’action. Très bientôt, des tortues de taille moyenne dont la carapace s’apparente à une mappemonde sortiront de leurs lieux d’hibernation situés principalement dans le nord-ouest de l’île. Elles pondront non loin de là leurs œufs jusqu’à la mi-juin. Durant l’été, elles seront de 500 à 1000 à déambuler sur les berges de Montréal, de Laval et des îles environnantes. De nombreuses menaces planent toutefois sur la tortue géographique au Québec et à Montréal, si bien que cette dernière a le statut d’espèce vulnérable. «Il y a les collisions avec les bateaux à moteur ou avec les voitures. Il y a la modification des rives, notamment par le bétonnage. Il y a la prédation par les raton-laveurs, augmentée par une mauvaise gestion des déchets près des berges. C’est aussi un problème quand les gens ramassent les tortues, les déplacent ou les gardent en captivité», a énuméré Annie Ferland, chargée de projets à Conservation de la nature Canada. Tortue géographiqueC’est l’organisme de Mme Ferland qui a dirigé l’élaboration d’un plan de conservation visant à harmoniser les actions de tous ceux travaillant déjà à la sauvegarde de la tortue. «Il y a beaucoup d’initiatives, de gens motivés qui veulent s’impliquer, alors ça promet pour le futur», a commenté Mme Ferland. La protection de la tortue géographique passe d’abord par celui de son milieu de vie. Des membres de divers organismes s’affairent donc à aménager des sites d’hibernation, de ponte ou encore d’exposition au soleil, comme des billots de bois immergés. «Les tortues s’exposent au soleil pour augmenter leur métabolisme», a exposé Mme Ferland. Parmi les autres actions qui sont prises, notons l’installation de structures de protection des nids pour bloquer les prédateurs et de bouées indiquant aux plaisanciers la présence de l’espèce sur les rives. Par ailleurs, Conservation de la nature Canada négocie présentement l’acquisition de six hectares dans la région de Montréal afin de protéger des sites importants pour les tortues géographiques. Source
  5. Une petite grenouille capable de modifier totalement son apparence en quelques minutes a été découverte dans les hautes forêts andines en Equateur, un des pays comptant la plus importante biodiversité au monde, a indiqué un chercheur à l'AFP. De couleur verdâtre, l'étrange amphibien baptisé Pristimantis mutabilis est l'unique espèce de vertébré répertoriée à ce jour capable de faire disparaître les protubérances et rugosités de sa peau pour la rendre lisse et glissante. Une rareté «C'est une rareté. On a déjà noté que des reptiles pouvaient changer de couleur de peau, comme les caméléons, mais nous n'avions jamais observé des changements si notables de texture», a expliqué à l'AFP le biologiste Juan Manuel Guayasamin, à la tête d'une équipe de chercheurs. En seulement 330 secondes, cette grenouille de moins de 2,5 centimètres de long peut changer d'apparence, probablement pour échapper à ses prédateurs, a ajouté ce directeur du Centre de recherches sur la biodiversité et le changement climatique de l'Université technologique indo-américaine d'Équateur. «Le plus extraordinaire est que ce changement de texture apparaisse chez un vertébré», a souligné Manuel Guayasamin, rappelant que les invertébrés disposent eux d'une pulpe qui peut changer de couleur et de d'aspect. Elle se fond dans la mousse L'habitat de cette grenouille est constitué de mousse, avec laquelle elle se mimétise totalement. Également caractérisée par un large répertoire de chants, Pristimantis mutabilis «est assez commune», bien qu'elle vive «dans un environnement difficile d'accès». A ce jour, on en a recensé seulement sept individus. Si son existence vient d'être rendue publique par la revue Zoological Journal de la Linnean Society de Londres, sa découverte remonte à 2009, par les scientifiques américains Tim et Katherine Krynak, dans la réserve Las Gralarias, à environ 35 kilomètres à l'ouest de Quito. «C'est surprenant de pouvoir encore découvrir des animaux totalement nouveaux», s'est réjoui Manuel Guayasamin, qui cherche notamment à comprendre comment cette grenouille peut modifier sa texture en si peu de temps et pourquoi sa peau est si flexible. Source
  6. Chez la mère araignée Stegodyphus lineatus, la dissolution des organes internes est programmée pour offrir aux bébés un déjeuner liquide, comme le montre une étude israélienne. MATRIPHAGIE. Miam, slurp… C’est un extraordinaire "déjeuner liquide" que la mère araignée Stegodyphus lineatus offre à ses bébés. Une bouillie riche en sucs maternels, mijotée pendant quelques semaines et formée de ses propres organes internes auto-dissous. Un bel exemple de cannibalisme appelé "matriphagie" (de matri – la mère – et de phage – qui mange), une stratégie évolutive radicale plutôt rare dans le monde animal. Longues d’environ 16 mm, les Stegodyphus lineatus sont des araignées velues familières de l’Europe, de l’Asie et de l’Afrique du Nord. Elles appartiennent à la famille des Eresidae, toutes cannibales. "On savait déjà que dans cette famille d’araignées, tous les petits mangeaient leurs génitrices, explique l’entomologue Mor Salomon de l’Institut israélien Cohen pour le contrôle biologique. Ce que nous venons de montrer (voir illustration ci-contre), c’est qu’avant même que les petits n’éclosent, les tissus abdominaux de la mère commencent à se déliter, de façon à pouvoir être ensuite ingurgités par les plus jeunes". Avec des chercheurs des universités de Jérusalem et du Neguev, elle a publié dans the Journal of Arachnology des coupes histologiques détaillées de l’abdomen de plusieurs araignées eurasiennes montrant, à plusieurs stades, la lente et quasi inéluctable dégradation des tissus. Ci-contre : Coupes histologiques des tissus de l'abdomen de l'araignée Stegodyphus lineatus à plusieurs stades: maturité sexuelle, naissance des petits, puis cannibalisme. En violet, les tissus de plus en plus liquéfiés (LT). Journal of arachnology ACCOUPLEMENT. Tout commence avec le coït : c'est ce que montre l’examen comparé des organes internes des araignées vierges et des araignées fécondées. "L’accouplement déclenche une production accrue d’enzymes digestives, qui permettent à l’araignée femelle d’ingérer plus de nutriments avant que ses petits n’émergent", explique la biologiste israélienne. C’est le printemps, les proies abondent, les futures mères mangent à n’en plus pouvoir stockant ainsi des réserves pour plus tard. Mais ce même emballement enzymatique entraine, semble-t-il, peu à peu la dégradation des propres organes digestifs de la mère. Le phénomène d’auto-liquéfaction s’accélère ainsi pendant l’incubation des œufs. "Toutefois, pendant que ses tissus se dissolvent, son cœur, ses intestins et surtout ses ovaires restent un temps fonctionnels", observe la chercheuse. La mère araignée garde la capacité d’enfanter tant que sa couvée n’aura pas éclos de son cocon de soie et grandi une à deux semaines. Au cas où un prédateur ou un mâle infanticide détruirait ses petits. "Mais au bout d’un certain temps après la naissance, le phénomène devient irréversible", note Mor Salomon. SACRIFICE. Une fois les petits éclos, la mère araignée régurgite, pendant deux semaines, des fluides provenant de ce qu’elle a mangé et stocké pour les nourrir (voir notre photo). In fine, ses dernières réserves épuisées, son intérieur totalement liquéfié, elle offre son propre flanc à la dévoration. Les jeunes l’escaladent, percent son abdomen avec leurs tous nouveaux chélicères-sortes de pinces ou crochets. Il ne leur faut que deux ou trois heures pour extraire les derniers sucs maternels, ne laissant derrière eux qu’un exosquelette desséché. "Pendant la régurgitation, la mère Stegodyphus lineatus perd 41% de son poids, les petits en dévorent ensuite 54% supplémentaires, calcule encore Mor Salomon. Bref 95% de la masse corporelle maternelle sert à nourrir les bébés". MORT PROGRAMMEE. Et ils profitent, prenant trois fois leur poids entre le moment de leur émergence et celui leur dispersion! Notons que chez cette espèce d'araignée, les jeunes sont incapables de chasser à leur naissance et mourraient sans l'apport nutritionnel fourni par leur mère. La découverte de ces processus biologiquement induits et de cette lente transformation des tissus internes montre qu’il ne s’agit certainement pas d’un "sacrifice maternel", mais bien plutôt d’une sorte de mort cellulaire programmée. Source
  7. Le reptile a été decouvert par le salarié d'une agence immobilière qui faisait un état des lieux de la maison inoccupée depuis 2 mois. Les pompiers spécialisés sont venus récupérer le serpent. C'est en faisant l'état des lieux d'une maison inoccupée depuis 2 mois que le salarié d'une agence immobilière a fait l'étrange découverte samedi dernier. Il s'agit d'un serpent des blès , une couleuvre originaire d'Amérique , totalement inoffensive pour l'homme.Elle était dans le meuble sous le lavabo de la cuisine.Un reptile d'1m50. Le maire de St Sorlin en Valloire , Louis Julien s'est rendu sur place. Source
  8. Le reptile, qui se trouvait dans sa cage de verre dans une pièce adjacente au salon où dormait les deux petits garçons, faisait office d'animal de compagnie de M. Savoie, qui était aussi propriétaire de l'animalerie exotique située juste au-dessous de l'appartement où s'était joué le drame. ILLUSTRATION - DR Jean-Claude Savoie, 38 ans, est d'accusé de "négligence criminelle ayant causé la mort" en lien avec le décès de deux jeunes garçons étouffés par un python le 5 août 2013 à Campbellton, au Nouveau-Brunswick. Le propriétaire du python qui avait tué par étouffement deux jeunes enfants dans leur sommeil à l'été 2013 au Canada, a été inculpé mardi d'homicide involontaire. Jean-Claude Savoie, 38 ans, est d'accusé de "négligence criminelle ayant causé la mort" en lien avec le décès de deux jeunes garçons le 5 août 2013 à Campbellton, au Nouveau-Brunswick, a annoncé la Gendarmerie royale du Canada (GRC). Noah Barthe, âgé de quatre ans, et son frère Connor, âgé de six ans, avaient été asphyxiés par un python de 4 mètres de long et de 45 kilos alors qu'ils passaient la nuit chez leur copain et fils de M. Savoie. Le reptile, qui se trouvait dans sa cage de verre dans une pièce adjacente au salon où dormait les deux petits garçons, faisait office d'animal de compagnie de M. Savoie, qui était aussi propriétaire de l'animalerie exotique située juste au-dessous de l'appartement où s'était joué le drame. M. Savoie, qui avait été arrêté le 5 février à Montréal, comparaîtra le 27 avril au tribunal de Campbellton, a précisé la GRC. La mort dans des conditions atroces des deux frères avait suscité une vive émotion d'autant qu'il s'agissait "d'un cas exceptionnel au Canada", a souligné la gendarme Jullie Rogers-Marsh, de la GRC au Nouveau-Brunswick. "Ces espèces de serpent étaient interdites dans la province" Cette enquête de près de deux ans "a permis de déterminer qu'il y avait suffisamment de preuves pour porter une accusation" pour négligences criminelles, a-t-elle ajouté, précisant que la police canadienne s'était appuyée sur "des experts connaissant ce type de python". Après le drame, les autorités de la province du Nouveau-Brunswick avaient clairement indiqué que "ces espèces de serpent" étaient "interdites" dans la province. Le reptile n'aurait jamais dû se trouver dans le même logement que les jeunes garçons, pas plus que dans l'animalerie, selon la législation provinciale. Le chef d'inculpation de négligence criminelle ayant entraîné la mort, sans circonstances atténuantes, est passible d'une peine maximale d'emprisonnement à perpétuité, soit une sentence incompressible de 25 ans au Canada. Source
  9. Les carapaces rouges ne sont pas toujours synonymes de Mario Kart. Et dans le cas de la petite tortue léopard Cleopatra, il est surtout question de se soigner. Sauvée par la Nico Novelli, l’association de protection des reptiles de Canyon Critters dans le Colorado, Cleopatra souffrait de malnutrition qui lui a causé plusieurs problèmes au niveau de sa carapace. Certaines parties de sa coquille formaient des pyramides risquant de blesser ses congénères tandis que d’autres étaient trouées, ce qui pouvait engendrer des infections plus graves. Afin de l’aider dans son quotidien, un étudiant de l’université du Colorado a décidé de lui développer une nouvelle carapace de protection, intégralement imprimée en 3D. Après 600 heures de travail sur un logiciel afin de créer un dôme qui pourrait s’adapter parfaitement à la tortue, la carapace a été « imprimée » à l’aide d’un plastique biodégradable conçu à base de blé, qu’elle devra la conserver le temps que ses blessures guérissent. Le créateur de la coquille explique sa fierté dans le Denver Post : « C’est fantastique de savoir que cette tortue va être capable de se remettre de sa malnutrition ». Il faut dire que l’impression 3D est de plus en plus utilisée pour aider des animaux mutilés. On se souvient notamment du canard dont le bec a été reconstitué à l’aide d’une imprimante 3D ou encore d’une prothèse pour un chien dont les pattes avant souffraient de malformation. Source
  10. Sifis, un crocodile de deux mètres apparu mystérieusement l'an dernier dans un lac de Crète, et devenu depuis une vedette locale, y a été retrouvé mort dimanche, sans doute de froid, ont annoncé ce lundi les autorités. «Le crocodile a été retrouvé mort dimanche. Nous allons l'emmener au musée d'histoire naturelle d'Héraklion pour des examens», a déclaré un responsable des eaux et rivières, Vangelis Mamangakis, ajoutant que les premiers examens concluaient à une mort de froid. Vedette nationale Sifis -Joseph en crétois- était devenu une vedette nationale l'été dernier après avoir été découvert dans un lac artificiel, à quelque 15 kilomètres de la ville de Rethymno. Sa dernière apparition remonte à mi-février, a indiqué Vangelis Mamangakis. La Crète a été frappée par une vague de froid le mois dernier, avec des températures proches de zéro, ce qui est inhabituel dans cette partie de la Grèce. L'été dernier, de nombreux curieux s'étaient précipités vers le lac pour tenter d'apercevoir Sifis, dont la légende n'avait fait que croître au fur et à mesure que les tentatives pour l'attraper échouaient, notamment une menée par le spécialiste français Olivier Behra. Selon les spécialistes, Sifis avait sans doute été abandonné à cet endroit par son propriétaire il y a deux ans. Sifis n'était pas le premier crocodile égaré en Europe. En 2001 par exemple, les pompiers autrichiens avaient dû secourir dans le Danube un crocodile d'Amérique du Sud, qui avait ensuite été transféré au zoo de Vienne. Source
  11. Adopter un bébé iguane vert peut paraître très "in". Or, ces bêtes mignonnes ne restent pas petites bien longtemps et exigent des installations particulières, sans quoi des accidents graves peuvent arriver. ACCIDENT. Un iguane, une lampe et une baignoire ne font vraiment pas bon ménage. La preuve. Ce reptile a dû subir une intervention importante car la lampe chauffante placée au-dessus de la baignoire où il était hébergé s’est renversée et a pris feu. Résultat : des brûlures au quatrième degré et une amputation d’une partie de la queue et de la patte arrière droite. C’est le Dr Minh Huynh, vétérinaire responsable des Nouveaux animaux de compagnie au Centre Hospitalier Vétérinaire Frégis à Arcueil (92) qui a pratiqué l’intervention qui s’est bien déroulée. Et après ? Le plein rétablissement de l’animal à la suite d’une telle intervention chirurgicale demande environ un an. "Ce processus de cicatrisation est particulièrement long. La peau doit cicatriser, les écailles doivent se refaire et le lézard doit muer", décrit le Dr Huynh. Quant aux membres retirés, la queue repoussera un peu, mais le reptile devra se débrouiller sur trois pattes. "Ce n’est pas une situation idéale, mais les lézards amputés peuvent mener une vie normale. Pour un animal, passer de quatre à trois pattes est plutôt bien toléré", conclut-il. Toutefois, en raison d'un autre accident (la bête s'est étouffée avec sa nourriture), l'iguane opéré est malheureusement décédé peu de temps après sa convalescence. Source
  12. Enorme frayeur pour un pêcheur australien. Alors qu'il sortait de l'eau un poisson de belle taille qui avait mordu son hameçon, il a également remonté un terrifiant crocodile. Ben Stark est un pêcheur expérimenté qui écume les eaux de la région de Cape York, dans le nord de l'Australie. Au cours d'une sortie récente, il avait ferré un poisson imposant qu'il s'apprêtait à sortir de l'eau après l'avoir longtemps fatigué. Mais à ce moment précis, la prise est soudainement devenue insoulevable, comme si la ligne s'était accroché dans des branchages immergés. Ben Stark a alors entrepris de dégager sa proie à pleines mains. Face-à-face Les eaux, dans se secteur ne sont pas limpides, et empêchent de distinguer correctement tout objet situé à quelques centimètres de la surface. C'est donc au tout dernier moment que le pêcheur exténué s'est aperçu qu'il remontait un terrifiant crocodile d'eau salée qui s'était aussi emparé du poisson. Le face à face dure quelques secondes : Ben Stark et le saurien ne sont séparés que de quelques dizaines de centimètres. Un instant qui a duré plus d'un siècle, raconte le pêcheur sur Facebook. Source
  13. Ce mardi, vers 11h, un Athusien habitant rue de la Brise a eu la désagréable surprise de découvrir que son boa de deux mètres venait de s’échapper. Il a directement appelé les secours. Les pompiers d’Aubange se sont rendus sur place mais ils n’ont pas pu retrouver le serpent. Celui-ci, qui ne présente aucun danger, devrait toujours être dans l’habitation. Le boa est resté introuvable, malgré les recherches minutieuses des cinq pompiers présents sur place. Pas de panique toutefois. L’animal doit en effet toujours être présent dans la maison, dont toutes les issues ont été calfeutrées. Il ne s’agit donc que d’une question de temps avant de le retrouver. Ce que nous a confirmé Jérôme Barthélémy, spécialiste des Nouveaux Animaux de Compagnie, qui est venu aider aux recherches. Le boa serait bien plus en danger si il était parvenu à sortir de la maison, à cause des températures très basses. Ce qui ne semble pas avoir été le cas. Source
  14. Baptisée "Metoposaurus algarvensis", cette espèce de salamandre était un prédateur aussi longue qu'une petite voiture. Des ossements fossilisés découverts sur le site d'un ancien lac au Portugal appartenaient à une espèce jusqu'alors inconnue d'une sorte de salamandre géante ressemblant à un crocodile qui étaient parmi les plus grands prédateurs de la planète il y a plus de 200 millions d'années. Cette espèces appelée "Metoposaurus algarvensis" était contemporaine des premiers dinosaures et du début de la dominance de ces derniers qui a duré plus de 150 millions d'années, ont expliqué ces scientifiques dont la découverte est publiée mardi dans la revue scientifique américaine, Journal of Vertebrate Paleontology. Le Metoposaurus algarvensis faisait partie d'un groupe plus étendu d'amphibiens primitifs qui étaient répandus dans les basses latitudes il y a 220 à 230 millions d'années, précisent ces chercheurs. Ces amphibiens formaient aussi une partie des ancêtres dont descendent les amphibiens modernes comme les grenouilles et les tritons. "Un monstre tout droit d'un mauvais film d'horreur" Ces créatures, qui avaient une parenté éloignée avec les salamandres d'aujourd'hui, pouvaient atteindre deux mètres de long et vivaient dans des lacs et rivières à la fin du Triasique comme les crocodiles d'aujourd'hui, se nourrissant surtout de poissons. "Ce nouvel amphibien ressemble à un monstre sorti tout droit d'un mauvais film d'horreur", note Steve Brusatte, un scientifique de l'école de géoscience de l'Université d'Edinbourg au Royaume-Uni, le principal auteur de ces travaux. "Il était aussi long qu'une petite voiture et avait des centaines de dents effilées dans sa grande tête plate...", précise-t-il. "C'était le type de prédateur redoutable dont les tous premiers dinosaures devaient éviter de se tenir trop près dans l'eau et ce longtemps avant les jours de gloire des T-Rex et des brachiosaures", ajoute le paléontologue. Disparues lors de l'extinction de masse d'il y a 201 millions d'années Cette découverte révèle que ce groupe d'amphibiens était plus diversifié géographiquement que ce qu'on pensait précédemment. Cette espèce est le premier membre de ce groupe d'amphibiens préhistoriques a être mis au jour dans la péninsule ibérique, relèvent ces scientifiques. Des fossiles d'ossement d'espèces appartenant à ce même groupe ont été trouvés en Afrique, en Europe, en Inde et en Amérique du Nord. Des différences dans le crâne et la mâchoire des fossiles mis au jour au Portugal révèlent qu'ils appartenaient à une espèces séparée, précisent les scientifiques. Cette nouvelle espèce a été découverte dans un site qui pourrait contenir de nombreux ossements fossilisés de plusieurs centaines de créatures mortes quand le lac s'est asséché, supputent ces chercheurs. Seule une petite partie a fait l'objet à ce jour d'une excavation, soit environ quatre mètres carré. L'équipe continue à excaver les lieux dans l'espoir de mettre au jour de nombreux autres fossiles. La plupart des membres de ce groupe de salamandres géantes ont disparu lors de l'extinction de masse qui remonte à 201 millions d'années qui marque la fin de la période triasique quand le super-continent de Pangée, qui comprenait tous les continents actuels, avant qu'ils commencent à se séparer. L'extinction a fait disparaître de nombreux groupes de vertébrés comme les grands amphibiens ouvrant la voie à la domination des dinosaures eux-mêmes emportés par une autre grande extinction il y a 65 millions d'années. Source
  15. ANIMAUX - Les opossums peuvent être considérés comme "dégoûtants", "sales" voire "laids". Pourtant, cet animal souvent comparé à un "rat d'égout" pourrait bientôt permettre de soigner les morsures des serpents les plus venimeux. Une équipe de scientifiques dirigée par Claire Komives de l'université de San José (Californie) auraient en effet trouvé un moyen de soigner les hommes des morsures de serpent grâce au sang des opossums, rapporte National Geographic. De précédentes études ont déjà démontré que les opossums ont une capacité hors du commun à résister aux morsures de serpents grâce à un peptide (substance chimique constituée d'au moins deux acides aminés) qui leur est propre. Cultivée en laboratoire par les chercheurs, cette molécule serait capable de neutraliser les effets de la morsure, sans les effets secondaires des traitements actuels. "Les souris qui ont reçu le venin incubé avec le peptide n'ont jamais montré aucun signe (de maladie)", souligne Claire Komives. 94.000 vies sauvées ? Cette avancée permettrait de sauver la vie de 94.000 personnes mordues par des serpents venimeux chaque année, d'après l'Organisation mondiale de la Santé. Pourtant, Zoltan Takacs, explorateur pour National Geographic, est sceptique. "Une morsure de serpent est une agression multipoints. Une série de toxines attaque vos cellules nerveuses tandis qu'une autre série attaque vos muscles". "Une fois que vous avez une centaine de toxines, ou plus, dans votre corps, vous devrez toutes les désactiver, ou du moins les plus dangereuses, pour prévenir des symptômes de la morsure", explique-t-il. Il ajoute par ailleurs que les composants spécifiques trouvés dans le venin d'un serpent peuvent varier selon les espèces, le sexe, l'âge du serpent, et même son emplacement géographique. Des affirmations que ne dément pas Claire Komives qui admet que l'explorateur a surement raison sur certains points mais que sa découverte parle d'elle-même". Une opinion que partage Robert Harrison, expert en venin à l'école de médecine tropicale de Liverpool (Royaume-Uni), selon qui cette avancée est "vraiment révolutionnaire" mais nécessite davantage d'expérimentation. Source
  16. SCAN TÉLÉ / VIDÉO - Le journaliste Paul Rose a été «attaqué» par une tortue géante d'Aldabra sur l'île de l'Assomption, aux Seychelles, après l'avoir surprise en plein accouplement. Lentement, mais sûrement. Si l'île de l'Assomption est située dans l'une des régions les plus reculées et inhabitées de l'archipel des Seychelles, elle a reçu cette semaine l'attention du monde entier. La raison? Elle a accueilli l'une des plus lentes poursuites de l'histoire. L'explorateur Paul Rose était sur l'île pour les besoins d'un tournage pourNational Geographic. Après avoir entendu un bruit étrange, Paul est tombé sur deux tortues géantes en plein accouplement. Et comme la plupart d'entre nous, elles n'aiment pas être dérangées pendant ces moments intimes. À la surprise du reporter, le mâle n'a pas été effrayé par la présence des humains et s'est même mis à les charger. Si l'animal ne s'est pas montré très rapide, sa mâchoire puissante a suffit à faire battre en retraite Rose et ses collègues. Il s'en est suivi alors une course-poursuite d'une extrême lenteur. Les tortues géantes d'Aldabra, qui proviennent de l'atoll du même nom, un site classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, sont l'une des plus grandes espèces de tortues géantes dans le monde avec un poids moyen de 250 kg. Ces tortues peuvent être très agressives, en particulier pendant la saison des amours. CQFD. La poursuite la plus lente du monde: Source
  17. CAUDEBEC-EN-CAUX (Seine-Maritime). Le 15 mars, en après-midi, une patrouille de gendarmerie Caudebec-en-Caux, en Seine-Maritime, est programmée pour effectuer un service de police de la route. A 15 heures 35, l’attention des militaires est attirée par un véhicule stationné en désordre sur la voie publique. Les gendarmes se présentent au niveau de la vitre du conducteur et constatent qu’une forte odeur d’alcool se dégage de l’habitacle. Soumis au dépistage de l’alcoolémie, ce dernier se révèle positif. Alors que les militaires invitent le conducteur à sortir et à les suivre jusqu’au véhicule de service pour être soumis à l’éthylomètre afin d’obtenir le taux d’alcoolémie précis, ce dernier refuse. La force doit être employée pour stopper le conducteur qui tente de partir. Il insulte les militaires copieusement et se rebelle. Une fois maîtrisé, il refuse de souffler et est alors placé en dégrisement. Le lendemain matin, une mesure de garde à vue est prise à son encontre et il est auditionné. Les militaires déposent plaintes et se portent partie civile. Le véhicule est saisi et un python est découvert à l’intérieur. L’animal est remis à l’association du Chêne à Allouville. Il est mis fin à la garde à vue le 17 mars Les infractions de conduite en état d’ivresse, conduite malgré annulation du permis de conduire, outrage et rébellion sont relevées. L’auteur, un homme âgé de 60 ans, fait l’objet d’une comparution immédiate et se voit condamner à 8 mois de prison avec sursis et 200 euros de dommages et intérêts pour chacun des militaires. Source
  18. après-midi, en accédant à une canalisation d’un parc de Nivelles, des ouvriers communaux de la ville ont eu une grosse surprise. Ce lundi après-midi à Nivelles, des ouvriers communaux ont eu la surprise de découvrir dans des canalisations d'un parc un reptile mort et en décomposition. Boa ou python Selon pascal Rigot, l’échevin de l’environnement de Nivelles, contacté par notre rédaction, il s’agit probablement d’un boa ou d’un python. "Ça fait peur !", remarque l’échevin en se souvenant de la vision de l’animal mort. "L’animal était en train de se décomposer." Comment s’est-il retrouvé là ? Les ouvriers et les échevins ne peuvent que faire des suppositions. "On ne sait pas comment il est arrivé dans les canalisations. Quelqu’un a dû le déposer là." L’échevin n’en sait pas plus. "Avec l’odeur que ça dégage, je n’ai pas fait de fouilles minutieuses !" "Ce n'est pas la première fois qu'un serpent domestique s'échappe" L’échevin précise que pour détenir un tel animal de compagnie, il faut une autorisation spéciale, délivrée par le collège communal et la région wallonne. "Il y a des conditions claires pour détenir ces animaux. Ce n’est pas la première fois qu’un serpent s’échappe", rappelle Pascal Rigot. "En été un python s’était échappé d’un vivarium. Par chance, il n’y a eu aucun incident, il a été retrouvé dans la cave de son propriétaire." Malgré tout, l'échevin rassure: "Ces animaux sont importés, il est évident qu'ils ne vivent pas dans nos parcs!" Source
  19. Des vétérinaires, des pompiers et des agents de la sécurité civile étaient mobilisés ce jeudi à Buenos Aires pour localiser un boa de trois mètres de long, qui a fugué dimanche. Le reptile de 30 kg, une femelle baptisée Margarita, a fugué pendant le repos dominical de son propriétaire, résidant dans une maison du quartier de Banfield. Pour les vétérinaires, le boa n’a pas pu aller très loin. Le reptile avait l’habitude de sortir de l’aquarium installé dans la salle à manger et de se promener à sa guise dans la maison. Les habitants du quartier sont terrorisés à l’idée de se trouver nez-à-nez avec Margarita. Le propriétaire du serpent a été convoqué au commissariat, car il a enfreint l’interdiction de détenir en captivité un animal sauvage. En janvier, c’est un python de 3,5 mètres, nommé Coco, qui avait semé la panique à Pablo Podesta, une localité du nord-ouest de Buenos Aires, avant d’être capturé. Source
  20. Ce mardi, un vétérinaire de Saint-Ghislain a fait une étrange découverte devant la porte de son cabinet. Un vivarium avait été déposé devant son entrée. Il contenait un serpent de plus de 2 mètres. L’animal avait à sa disposition de l’eau et la boîte était équipée d’un chauffage. Le vétérinaire a contacté la police boraine. Le service de proximité s’est rendu sur place accompagné du service environnement, spécialisé dans la gestion des nouveaux animaux de compagnie (NAC). Après examen, il apparaît que l’animal est en bonne santé. L’équipe de l’environnement a conduit l’animal au Parc Pairi Daiza où il a été pris en charge. Il apparaît que le propriétaire n’a plus su gérer l’animal pour des raisons inconnues (trop grand, nourriture…) et a souhaité s’en débarrasser. Heureusement, il l’a fait de manière correcte, sans blesser l’animal et sans le relâcher dans la nature comme on le voit régulièrement. Rappelons que l’acquisition de tout animal est un engagement, une responsabilité. Il faut avoir conscience de l’évolution du nouveau « compagnon » et de notre capacité à le gérer. Concernant les serpents, repris dans la catégorie des NAC, une législation spécifique existe. Vous trouverez toutes les informations sur le site de la police boraine Source
  21. Les piqûres et envenimations scorpioniques (PES) représentent la première cause d'intoxication au Maroc. C’est ce qu’indique le Centre anti-poison et de pharmacovigilance du Maroc (CAPM) dans un rapport publié en ce mois de mars. En 2014, le CAPM a recensé 23.228 cas de PES déclarés dans 63 provinces, soit une incidence de 70 pour 100.000 habitants. C’est la raison pour laquelle les PES sont placés en 1re position parmi toutes les causes d'intoxication au Maroc. 32 cas de décès ont été déclarés en 2014, dont 96,8% provenant des cinq régions à risque, à savoir Marrakech-Tensift-Al Haouz (15 cas), Souss-Massa-Drâa (4), Tadla-Azilal (5), Doukkala-Abda (4) et Chaouia-Ouardigha (3 cas). Selon le rapport, 6.232 enfants de moins de 15 ans ont été victimes de PES, représentant 26,83% des cas (soit une incidence de 69 pour 100.000 enfants), précisant que les simples piqûres sans envenimation ont représenté 92,23% des cas. Le CAPM indique également avoir recensé, au cours de l'année 2014, quelque 3.194 cas d'intoxication par les médicaments. En dehors des piqures et envenimations par scorpion, c’est la première cause d'intoxication au Maroc, soit 24,46% de l'ensemble des intoxications. Selon la classification anatomique, thérapeutique et chimique (ATC), la famille médicamenteuse la plus incriminée était celle concernant le système nerveux (44,5%), suivie par les médicaments du système génito-urinaire (10,5%) et du système respiratoire (9,2%). L'intoxication par les gaz constitue, elle, 20,1% des intoxications déclarées pendant la même période, avec 2.682 cas, fait savoir le document. Quant aux maladies d'origine alimentaire (MA), elles occupent la 3e position des causes d'intoxications au Maroc, note le rapport, qui fait état de 2.172 cas recensés en 2014. Selon la classification du Codex Alimentarus, adoptée par le CAPM, les aliments-vecteurs les plus incriminés étaient, par ordre décroissant, la viande et les produits carnés (24,0%), les produits laitiers (16,4%), le poisson et les produits de la pêche (14,7%) puis les fruits et légumes (11,8%), poursuit la même source. Source
  22. Le boa retrouvé à Saint-Gilles-les-Hauts en début de semaine et son acolyte apparemment toujours en fuite, relance l’éternel débat de la législation et de la potentielle dangerosité de ces « bestioles » une fois revenues à l’état sauvage. Selon l'association Reptiles 974, les serpents sont inoffensifs et moins prédateurs que les chats. Le boa retrouvé à Saint-Gilles-les-Hauts en début de semaine et son acolyte apparemment toujours en fuite, relancent l’éternel débat de la législation et de la potentielle dangerosité de ces « bestioles » une fois revenues à l’état sauvage. Selon l'association Reptiles 974, les serpents sont inoffensifs et moins prédateurs que les chats. La mode des Nac, pour nouveaux animaux de compagnie, ne tarit pas et de plus en plus de Réunionnais cèdent à la tentation d’en posséder un à la maison. Rat, boa, python, tortue, iguane ou encore furet affichent une belle cote de popularité dans les animaleries. Et qui dit engouement, dit aussi, malheureusement, dérives et abus. Certains propriétaires indélicats n’hésitent pas, en effet, à abandonner leurs animaux dans le nature lorsqu’ils deviennent trop encombrants. Aperçus sur les routes, dans les arbres ou sur le pas de la porte des maisons, ils sont sources de bien des frayeurs comme ce fut le cas, en début de semaine, à Saint-Gilles-les-Hauts, avec cet agriculteur qui s’est retrouvé, nez-à-nez avec un boa d’1m50. Une rencontre insolite qui a de quoi surprendre et qui relance le débat de la législation et de la potentielle dangerosité de ces « bestioles » une fois revenues à l’état sauvage. Certains candidats aux Départementales du côté de Saint-Paul, en ont fait même un argument de campagne ! Mais avant de crier au serpent, regardons le législation de plus prés. « La liste des animaux interdits en France est incommensurablement longue. Quant à La Réunion, elle l'est encore plus, avec des spécificités locales. Varan, agame, serpent et iguane de plus 3mètres, venimeux, mygale et scorpion ne sont qu’un bref aperçu des espèces interdites. Le contrôle à l’entrée du territoire par le service des douanes est drastique en la matière », précise Thidjy Hoareau, président de l’association tamponnaise Reptiles 974 qui se charge de récupérer les reptiles le temps de retrouver leurs propriétaires. Et d'après le mordu de serpents, il n’y en a pas tant que ça qui se baladent dans la nature. Le chat est le pire prédateur des autres espèces « On en parle beaucoup, car le serpent fait peur. Mais, c’est beaucoup de bruit pour rien. Ils ne présentent aucun risque. Largement moins que le chat qui est le pire prédateur qui existe pour les autres espèces. Les reptiles retrouvés dans la nature sont habitués à la vie en captivité et à manger des animaux morts. Ils ont une durée de vie très limitée » précise-t-il. Quant au potentiel accouplement, cela fait parti de l’imagination populaire. « Imaginez, il faudrait déjà qu’ils arrivent par se retrouver sans se faire écraser. Que les conditions idéales (températures, humidité, etc.) soient également réunies pour qu'ils s'accouplent et que l'oeuf résiste. En théorie, c’est possible mais, en pratique, ça ne l’est pas », ajoute Johann Cuffaro. Et les deux passionnés savent de quoi ils parlent avec plus d’une soixantaine de serpents, pythons royal, boas albinos en leur possession. Pour eux, la faute est surtout à chercher du coté des animaleries qui renseignent mal les futurs acquéreurs. « Il faut bien se renseigner sur la taille que l’animal fera à l’âge adulte, l’installation adéquate, ses besoins alimentaires, etc. Un iguane acheté de 30cm peut mesurer jusqu’à 1m50, tout comme un boa de 40cm peut adulte atteindre 2m, 2m50 », insistent Thidjy Hoarau et Johann Cuffaro. Les deux jeunes gens exposent d’ailleurs leurs reptiles lors des salons des animaux pour familiariser la population, informer et sensibiliser. Contact : 0693 940687 ou 0692 085262 Lien facebook : Reptiles 974 Carine Chamfrault Source
  23. Le corps d’une Tortue Luth, venue s’échouer sur la grève de l’Île aux Vaches se trouve actuellement en décomposition. Cet animal de 1,60 m devait peser 200 kg selon un témoin. En deux ou trois jours, ce lourd cadavre a déjà perdu sa tête et trois de ses pattes. L’odeur environnante n’incite guère les passants à se rapprocher. Deux passants ont toutefois réussi à surmonter leur dégoût pour mesurer la bête. Source
  24. Comment les jeunes mantes religieuses parviennent-elles à contrôler l’orientation de leurs corps lorsqu’elles sautent ? Une étude met en évidence le rôle clé d'une série de mouvements de rotation de leurs pattes et de leur abdomen. Les sauts des jeunes mantes religieuses sont impressionnants. Plus brefs qu’un battement de cil – moins d’un dixième de seconde – ils sont néanmoins d’une extrême précision. La mante religieuse a le compas dans l’œil… ou dans le corps ! Contrairement aux mantes religieuses adultes, les jeunes n’ont pas d’ailes. Pour naviguer entre les branches et les feuilles, elles sont donc obligées de sauter de façon très précise. « Maintenir la stabilité du corps afin qu’il ne pivote pas de façon incontrôlable en l’air n’est pas chose aisée, précise Malcolm Burrows. Quand le mouvement est rapide et que l’insecte n’a pas d’ailes, cela rend la tâche encore plus difficile. » Pourtant, les jeunes mantes arrivent sur leur cible avec l’inclinaison parfaite. Intrigués par ce talent acrobatique, atypique dans le monde des insectes, Malcolm Burrows, de l’Université de Cambridge, et Gregory Sutton, de l’Université de Bristol, ont étudié le phénomène et se sont aperçus que l’inclinaison du corps de l’insecte était gouvernée par une série de mouvements de rotations de leurs pattes et de leur abdomen. Dans une première expérience, ils ont présenté à plusieurs jeunes mantes religieuses une cible – une fine tige noire – vers laquelle sauter. Après avoir analysé 381 vidéos de sauts de 58 insectes, ils ont décomposé le mouvement en trois étapes. La mante religieuse commence par balancer sa tête de gauche à droite, afin de repérer sa cible et d’évaluer la distance à laquelle elle se trouve. Elle balance ensuite son corps vers l’arrière et enroule son abdomen, la pointe dirigée vers l’avant. Enfin, en poussant sur ses pattes arrière, elle propulse son corps en l’air et exécute, avec ses membres, une chorégraphie bien définie de mouvements de rotations. A quoi servent ces moulinets ? L’impulsion de départ engendre une certaine quantité de rotation du corps, appelée moment cinétique. Une fois en l’air, d’après le principe de conservation du moment cinétique, le moment cinétique total de la mante reste quasiment constant jusqu’à l’atterrissage. Ce moment est la somme de celui des différentes parties du corps : abdomen, pattes arrière et pattes avant. Quand une de ces parties réalise un mouvement de rotation, cela modifie son moment cinétique. En réaction, le moment cinétique d’une autre partie du corps est modifié, ce qui fait varier sa rotation. Par exemple, si le moment cinétique de l’abdomen augmente, le moment cinétique des pattes avant ou arrière diminue afin de maintenir le moment cinétique total constant. Les chercheurs ont dénombré quatre transferts de moment cinétique durant le saut, qui contribuent à maintenir le tronc de la mante religieuse à un angle d’environ 50 degrés par rapport à l’horizontale, afin qu’elle puisse arriver sur sa cible avec la bonne orientation. Ils ont de plus constaté que si la distance entre la mante et sa cible était réduite, elle supprimait certains mouvements de l’abdomen et des pattes arrière afin d’accélérer de 66 % le pivotement de son tronc. De plus, dans une deuxième expérience, les chercheurs ont collé les deux parties de l’abdomen ensemble afin de réduire sa flexibilité. Résultat : la vitesse de rotation du tronc était plus lente de 57 % par rapport à la première expérience et la mante n’arrivait pas à attraper la cible. Ces deux observations confirment le rôle essentiel des mouvements de rotation dans la précision du saut. « Nous avons maintenant une bonne compréhension de la physique de ces acrobaties aériennes, explique Gregory Sutton, mais comme ces mouvements sont extrêmement rapides, il nous faut à présent comprendre comment le cerveau les contrôle une fois que le saut a commencé. » La mante religieuse est-elle capable de modifier sa trajectoire après le décollage en réponse aux modifications de son environnement ? Le principe d’échange de moment cinétique et les mécanismes de contrôle sous-jacents pourraient être appliqués à la conception de robots sauteurs, qui n’en sont pour l’instant qu’à leurs balbutiements. Source
×
×
  • Créer...