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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Trois serpents venimeux retrouvés dans une poubelle
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Baden (Suisse) : trois serpents venimeux retrouvés dans une poubelle A Baden (Suisse), la police cantonale a retrouvé trois serpents venimeux dans un conteneur à poubelles. En Suisse comme en France, la détention d’espèces exotiques qu’il s’agisse de reptiles, de batraciens et autres oiseaux est soumise à autorisation. Ces animaux sont protégés en effet par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES). Les animaleries doivent présenter des certificats justifiant de leur pays de provenance. A Baden, toutes les demandes de permis de détention ont jusqu’ici été refusées. Le ou les propriétaires des trois serpents retrouvés dans un conteneur à poubelles de la ville les ont donc sans nul doute détenus illégalement, peut-être en tant qu’animaux de compagnie. Mais la difficulté que peut représenter l’élevage illicite et les risques qui en découlent auraient conduit les propriétaires à s’en débarrasser. Les reptiles – deux vipères de Palestine et un serpent corail d'Afrique du Sud – ont été soigneusement enfermés dans des sacs en tissu fermés hermétiquement à l’aide de ficelles. Leur morsure peut être fatale pour l’homme. Une récente étude nous indique que la morsure de serpent venimeux serait à l’origine de la mort de plus de 94.000 personnes à travers le monde chaque année. Source -
Élevage Lotus
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Carnet d'adresse
Personnellement, j'ai fais affaire avec eux à quelques reprises. Je ne me rappelle même plus c'était pourquoi la première fois. Il y a même une de mes amies qui m'a acheté un boa des sables, que j'ai toujours d'ailleurs qui provient d'eux. J'ai une grande confiance à leur animaux. J'y vais aussi pour l'animalerie. Il y a même un bon service après-vente. Il me contacte par email pour me demander si tout va bien. Honnêtement, pourquoi s'inquièter quand on reçoit des serpents gloutons qui ne saute pas de repas et qu'il démontre beaucoup d'énergie. On voit qu'ils sont pétants de santé. -
Taille du Mexican black King Snake
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Haschepsout1 dans Colubridés
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Oui sauf que c'était sûrement dans la période où les problèmes de santé de Hervé et sa femme sont apparu. Il y a eu aussi une rotation de personnel donc oui ils ont eu une période difficile mais il y a des raisons à ça. Je ne veux pas que les mauvais commentaires sur cet endroit commence comme ailleurs. On en a qu'un seul et ceux qui ne trouve pas ça potable comme place offrez votre aide pour le nettoyage à la place. P. S. Désolé de mon message plate mais on m'a contacté pour que je réagisse ici. Chacun à droit à son opinion c'est vrai. Par contre, ils ont eu réellement une période difficile et il y avait des raisons que je peux considérer tolérable. Je crois important d'ajouter le pourquoi si on en parle. Je crois aussi qu'on a qu'un seul endroit du genre au Québec et il faut le préserver.
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Élevage Lotus "C'est en observant les plus petits être que l'on arrive le mieux à percevoir la beauté parfaite de la vie. Cette beauté se retrouve à son apogée chez un animal qui respire, qui perçoit son environnement et qui interagit avec celui-ci." Voici quelques mots que l'on retrouve dans l'introduction du site de l'élevage Lotus. Ces quelques mots sont aussi le pourquoi Jeannie et Étienne se sont lancé dans la terrariophilie. C'est ensuite qu'ils ont réalisé que le phénomène le plus impressionnant de la vie est la capacité à se reproduire. C'est alors qu'en 2003, les Élevages Lotus ont débuté dans la reproduction. Jeannie et Étienne préfèrent tous les deux les serpents aux lézards malgré que Jeannie s'intéresse tout de même beaucoup aux Uromastyx et qu'Étienne possède un varan bec de corbeau. Jeannie se spécialise dans les phases de serpents des blés et elle a un gros faible pour les milk snakes. J'ai d'ailleurs vu l'une de ses dernières acquisitions, un magnifique honduras milk snake anery. Étienne quant à lui, s'intéresse à une plus grande diversité d'espèces dont le boa de Duméril, boa des sables du Kenya ou encore le serpent ratier noir. L'élevage Lotus reproduit aussi du gecko léopard mais à plus petite échelle. Leur passion reste d'abord et avant tout, les serpents. Jeannie et Étienne désire de plus en plus faire affaire avec les animaleries. Leur porte est ouverte tout de même aux particuliers pour quelques dollars de plus pour ne pas tuer le marché. Ils se placent à l'avant-garde du marché des reptiles en offrant des serpents en excellente santé à des prix très compétitifs. Pour contacter l'élevage Lotus http://elevage-lotus.spaces.live.com elevagelotus@hotmail.com Je vous invite à parler de vos expériences avec eux si vous avez déjà fait affaire chez eux.
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Une toile d'araignée vielle de 140 millions d'années
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Les araignées ont appris à tisser des toiles plus tôt qu’on ne le pensait auparavant, comme en témoigne le fragment découvert emprisonné dans l’ambre et daté de 140 millions d’années. Du plancton aux insectes, l'ambre, cette résine fossilisée a fait traverser des millions d'années à de multiples petits organismes animaux et végétaux. Parfois les paléobiologistes ont la chance de trouver des restes bien plus délicats. Identifié par Martin Brasier, de l’université d’Oxford, le fin réseau de soie emprisonné dans un bloc d’ambre démontre non seulement que les araignées étaient déjà capables de tisser des pièges circulaires, mais que les proies étaient suffisamment nombreuses pour justifier l’opération il y a 140 millions d’années. L’époque se situe au Crétacé, alors que la Terre était peuplée de dinosaures. Quelques-uns s’étaient déjà envolés en devenant oiseaux, mais les plantes à fleurs restaient rares, et ne se répandront en abondance que quarante millions d’années plus tard en entraînant dans leur prolifération celle des insectes. Pourtant, le piège de soie était déjà prêt… Le fragment d’ambre a été découvert par hasard il y a deux ans par un collectionneur de fossiles sur une plage de la côte sud de la Grande-Bretagne, puis examiné par Martin Brasier qui y a identifié la présence de fils minuscules d’environ 1 mm de long, parsemés au milieu de débris divers dont certains pourraient être de la soie brûlée. « Ce que nous avons découvert ne peut être qu’une toile d’araignée circulaire fossilisée, rapporte Martin Brasier. Nous avons aussi trouvé des enchevêtrements de soie préservés dans l’ambre. C’est vraiment surprenant de trouver quelque chose d’aussi fragile conservé depuis tant de millions d’années ». Des tisseuses au temps des dinosaures Simon Braddy, de l’université d’Oxford, estime que la configuration des minuscules fragments démontre sans ambiguïté que les araignées tissaient déjà des toiles de forme circulaire au Crétacé antérieur, comme nos contemporaines. Soit une époque couvrant la période de -145,5 à -65,5 millions d’années, où dinosaures et petits mammifères se partageaient notre sol. Jusqu'à cette découverte, le plus ancien reste de toile connu, mis au jour au Liban, datait de 130 millions d’années. Pourtant les araignées sont bien plus vieilles. Cousines des scorpions, elles sont comme eux des arachnides, un groupe d'arthropodes qui a arpenté les terres du globe il y a très longtemps. Le plus ancien scorpion connu devait être la terreur des terres émergées au Silurien inférieur il y a 435 millions d'années et seulement quelques millions d'années plus tard des araignées couraient sur leurs huit pattes. En combien de temps ont-elles appris à tendre des pièges ? On ne le sait pas. Il est vrai que la recherche dans ce domaine avance lentement. La France ne compte actuellement qu’une dizaine de spécialistes des araignées, alias aranéides. Pourtant, dans ce pays, le poids de toutes les araignées (1.600 espèces) est du même ordre de grandeur que celui de la population humaine... Source -
Taille du Mexican black King Snake
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Haschepsout1 dans Colubridés
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après Borice le gecko léopard voici Hector le barbu
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de polymorfworm dans Agamidés
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Michel Le Blanc au téléthon
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Télé et DVD
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Toucher du boa Un homme de la région de Collingwood a eu toute une surprise lorsqu'il a découvert un boa constrictor de deux mètres en face à face avec son chat domestique. Le serpent mangeait la nourriture dans le bol du chat et n'a pas attaqué le félin. Avec l'aide de son propriétaire, l'homme a réussi à mettre le serpent dans une boîte et à l'amener à la société protectrice des animaux. Le boa aurait appartenu à un ancien locataire de l'immeuble et aurait été au large depuis quelques mois. Source Vraiment mais vraiment du n'importe quoi... Ils ne se renseignent jamais sur les possibilités avant d'écrire leur articles?!?! Radio-Canada, première chaîne de l'information qu'ils disent hein...
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Suivi des naissances de tortues-molles à épines au Lac Champlain SAINT-PIERRE-DE-VERONNE-A-PIKE-RIVER, QC, le 11 déc. /CNW Telbec/ - Conservation de la nature (CNC) et Conservation Baie Missisquoi (CBM) ont rapporté l'identification de quatre jeunes tortues-molles à épines (Apalone spinifera) le long de la rivière aux Brochets. Cette découverte s'inscrit dans le programme de suivi du projet de conservation des habitats de cette espèce au lac Champlain. La désignation de la tortue-molle à épines par le ministère des Ressources naturelles et de la Faune comme espèce "menacée" a été adoptée en mars 2000. Soutenue financièrement par un fonds de dotation mis en place en 2003 grâce à la Fondation Hydro-Québec pour l'environnement (FHQE), cette initiative est menée par Conservation Baie Missisquoi en collaboration avec Conservation de la Nature et l'Equipe de rétablissement de la tortue-molle à épines, dont fait partie le Zoo de Granby. Les objectifs sont de gérer adéquatement les habitats de la tortue-molle à épines situés au sein de la baie Missisquoi et sur les propriétés de Conservation de la Nature, de maintenir l'intégrité écologique des habitats de l'espèce et d'assurer sa protection. Sur le terrain Sur le terrain, des aménagements et des actions de protection in situ visent à diminuer l'impact des activités humaines sur la population de tortues-molles à épines. Concrètement, les bénévoles du groupe SOS Tortues assurent le suivi des sites de ponte et des rives, améliorent l'habitat des sites de ponte connus et leur protection, puis vérifient le succès du recrutement. Dans le cadre de l'activité annuelle de suivi des naissances qui s'est tenue le 18 octobre 2008, un nid contenant quatre oeufs en cours d'éclosion a été trouvé sur le site de ponte de Saint-Pierre-de-Véronne-à-Pike-River. Les jeunes tortues, nées le 19 octobre, ont été transportées au Zoo de Granby pour assurer leur survie et leur croissance y est suivie dans un environnement adéquat et protégé (voir photographie en fin de communiqué). Des objectifs en matière de recherche et d'éducation "L'Equipe de rétablissement de la tortue-molle à épines souhaite sensibiliser le public à la présence de cette espèce menacée au Lac Champlain, notamment à l'aide de spécimens vivants, d'artefacts biologiques, de panneaux d'interprétation et de programmes pédagogiques", explique Patrick Paré, biologiste et membre de l'équipe. "Grâce à l'appui de la FHQE et du Zoo de Granby, cela est maintenant chose faite !", ajoute-t-il. Suite à une période de quarantaine, vers la fin du mois de mai 2009, les jeunes tortues-molles seront prêtes à rencontrer le public partout au Québec. L'Equipe de rétablissement envisage par ailleurs la mise sur pied d'un projet de reproduction en captivité en collaboration, entre autres, avec le Zoo de Granby. Conservation de la Nature tient à remercier l'ensemble des membres de l'Equipe de rétablissement et à souligner le soutien constant de la FHQE, qui rend possible l'amélioration des habitats de la tortue-molle à épines au lac Champlain et ce, depuis 2003. Conservation de la Nature est un organisme privé à but non lucratif, qui assure la conservation à perpétuité de milieux naturels présentant une importance pour la diversité biologique. Active depuis 1962, Conservation de la Nature a contribué à préserver plus de 809 000 hectares au pays, dont plus de 18 000 au Québec. L'organisme travaille en étroite collaboration avec les propriétaires fonciers, les sociétés privées et publiques, les fondations, les groupes de conservation, ainsi que les gouvernements; visiter le www.conservationdelanature.ca La Fondation Hydro-Québec pour l'environnement soutient des organismes qui oeuvrent concrètement à la protection, la restauration et la conservation des milieux naturels et qui s'efforcent de sensibiliser les collectivités locales aux enjeux environnementaux particuliers de leur milieu de vie. De 2001 à 2007, la Fondation a consacré quelques 6,5 millions de dollars à la réalisation d'une centaine de projets mis en oeuvre dans toutes les régions administratives du Québec. La valeur globale de ces projets est estimée à près de 23 millions de dollars. Pour en savoir plus sur les différents projets auxquels elle a contribué, sa mission, ses objectifs et ses modalités de fonctionnement, visitez le www.hydroquebec.com/fondation-environnement Le Zoo de Granby fait partie de l'Equipe de rétablissement de la Tortue-molle à épines depuis ses débuts en 1996. En tant qu'organisme voué à la protection de la nature, le Zoo de Granby a développé un programme d'animation et d'éducation sur cette espèce menacée, qu'il offre dans les écoles et parcs de la Montérégie. Il contribue également au suivi de l'espèce au Lac Champlain, ainsi qu'à l'augmentation des connaissances sur la garde des tortues en captivité. Le Zoo de Granby investit chaque année des dizaines de milliers de dollars à la recherche sur les espèces menacées au Québec et à travers le monde. L'Equipe de rétablissement de la Tortue-molle à épines est formée de Conservation de la nature, du ministère des Ressources naturelles et de la Faune, d'Amphibia-Nature, de la Corporation Bassin Versant Baie Missisquoi, du Service canadien de la faune, de la Société d'histoire naturelle de la vallée du Saint-Laurent et du Zoo de Granby. Source
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Le projet Playa Ventura pour sauver les tortues marines
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
La fondation Jucataco est une organisation qui a été créée par des jeunes résidents du Mexique. Elle a comme but de venir en aide aux tortues marines qui sont en danger grave d'extinction. Le projet Playa Ventura La problématique :Il y a 65 millions d’années, les dinosaures, ainsi que des milliers d’espèces sont disparues. Toutefois, bien que les tortues de mer aient survécu, nous avons presque provoqué l’extinction de cette espèce vieille de plus de 100 millions d’années en moins de cinquante. En effet, au courant du vingtième siècle, la population de tortues a diminuée de façon inquiétante à cause de la chasse des tortues elles-mêmes et du commerce de ses œufs. Les tortues jouent un rôle très important dans l’environnement marin puisqu’elles se nourrissent de méduses, animal qui possède très peu de prédateurs étant donné sa toxicité. Si les tortues venaient à disparaître, les océans se peupleraient d’une grande quantité de méduses, qui elles se nourrissent principalement de plancton, causant ainsi un grave déséquilibre dans la chaîne alimentaire puisque plusieurs espèces marines se nourrissent de plancton. Le Mexique est le seul pays au monde à recevoir sur ses berges sept des huit espèces de tortues marines. À Playa Ventura, dans l’état de Guerrero, deux des sept espèces y sont protégées : les tortues Olivâtres, l’une des plus petites espèces, et les tortues Luths, la plus grosse espèce. C’est au Mexique que se trouve plus de 65% de la population mondiale de ces espèces. En moins de dix ans, cette même population a diminuée de 95%. Aujourd’hui, les tortues sont considérées par l’Union Mondiale de la Nature en danger critique d’extinction.La nécessité de commencer à organiser la protection de ces êtres si grands et pourtant si vulnérables ne fait aucun doute. Le projet :Le projet Playa Ventura est né en 2000 pour appuyer un campement de protection de tortues marine qui possédait peu de ressources financières appelé Ganapach, localisé à Playa Ventura. Les membres du projet Playa Ventura résident dans un campement où se réalise, au cours de la période de nidification des tortues. Les bénévoles font des inspections nocturnes sur la plage à tous les deux ou trois jours dans le but de détecter les femelles au moment de la ponte. Lorsqu’ils rencontrent une tortue, l’état général de l’animal est alors vérifié et le nid est transporté dans l’enceinte de protection situé dans le campement (Le fait de déplacer le nid n’a aucun effet néfaste sur la maturation des tortues puisqu’elles sont abandonnées par la mère qui retourne immédiatement à la mer après la ponte). Après la période d’incubation (entre 45 et 70 jours), ils procéderont à une vérification du nid, enregistrant la quantité d’œufs et de naissances. Les tortues nouveau-nées seront maintenues dans un réservoir spécial, et lorsqu’elles auront atteint la maturité nécessaire à leur survie, elles seront libérées. Cette remise en liberté doit se faire au crépuscule pour éviter les prédateurs naturels (oiseaux, renards, etc.). Leur financement :Une grande partie des fonds nécessaires au fonctionnement du campement s’obtient au moyen de vente d’articles (chandails, crayons, tasses, etc.) ayant comme thème les tortues marines. Aussi, plusieurs levées de fonds sont étés organisées afin d’amasser des sous. Finalement, le projet a reçu l’appui de diverses institutions pour continuer son action. Actuellement, on envisage de construire un campement de plus grande envergure afin de protéger un plus grand nombre de tortues marines et de les protéger des prédateurs lorsqu’elles nichent sur cette plage. La fondation Jucataco : En 2006, due à l’importance du projet, la fondation Jucataco fût créée par les mêmes responsables dans le but d’offrir un meilleur appui au projet de Playa Ventura. Les objectifs de la fondation sont de : 1- continuer les actions de conservation des populations de tortues Olivâtres et Luths du littoral de la plage Ventura au moyen de la construction d’un plus grand campement. 2- Consolider la participation de tous les secteurs sociaux de manière à augmenter l’impact médiatique du projet. 3- Promouvoir des programmes d’éducation environnementale pour conscientiser la population au sujet de cette espèce. Ainsi, les membres de la fondation ont fait une tournée dans quelques écoles mexicaines afin de conscientiser les enfants au problème qui menace les tortues marines. Ils sont même venus ici, au Canada, à l’hiver 2006 et visiter plusieurs classes. Les résultats de leurs efforts : Durant les quatre dernières années, plus de 420 000 tortues marines ont été protégées, dont 30 000 tortues Luths et 390 000 tortues Olivâtres. La fondation Jucataco, pour sa part, a contribué en relançant à la mer 21 537 tortues nouveau-nées des deux espèces. Pour plus d’information ou pour venir en aide à la fondation, vous pouvez rejoindre David Nava Desfassiaux, cofondateur de la fondation, au courriel électronique suivant: desfassiaux@hotmail.com Source -
L’anatomie du système immunitaire du serpent Pour connaitre l’intérieur et l’extérieur de votre serpent avec l’analyse du système immunitaire du serpent. Le système immunitaire des serpents Les serpents, à la différence des mammifères, n'ont pas de ganglions lymphatiques. Quand un serpent est malade, vous ne verrez pas un gonflement des ganglions lymphatiques comme chez les humains, les chiens ou les chats. Les serpents ont un système lymphatique, mais il n’est pas facile à trouver. Chez certaines espèces, telles que les boïdés, un tissu similaire aux amygdales se trouve dans l'œsophage. La rate est un petit organe rouge sphérique situé entre la vésicule biliaire et le pancréas. Chez les jeunes animaux il créé des globules rouges et chez les animaux plus âgés, il contribue à la destruction des cellules et à stocker le sang. Chez la plupart des serpents, la rate est généralement bien collée au pancréas et les deux organes sont souvent désignées collectivement sous le nom de " bloc spléno-pancréatique." Le pancréas se trouve juste derrière la vésicule biliaire et juste après la fin de l'estomac. C’est l'un des principaux organes endocriniens. Parmi de nombreuses choses, il permet de réguler le taux de glucose dans le sang de l'organisme et produit des enzymes digestives. Ce qui est intéressant c’est que la vésicule biliaire du serpent n'est pas associée au foie comme chez les mammifères, les lézards et les tortues. Le thymus avec un ou deux lobes, une structure sphérique rouge-rose, se trouve juste en face de la glande thyroïde qui est juste en face de la base du cœur. Le thymus est l'un des organes responsables de la production des cellules immunitaires qui combattent les infections. La glande thyroïde est responsable de la production de l'hormone thyroïdienne, un élément clé dans le métabolisme et il est responsable du cycle normal de la mue. Les reptiles ont une ou deux paires de glandes parathyroïdiennes qui se trouvent juste devant ou juste derrière la thyroïde. Ces glandes difficiles à trouver régulent le taux de calcium et de phosphore dans l'organisme. Parce que la plupart des serpents mangent leur proie en entier, les glandes parathyroïdiennes ne jouent pas un rôle aussi important dans les maladies comme elles le font chez d'autres reptiles tels que l'iguane vert. Les glandes du stress ou glandes surrénales sont étroitement associées à des gonades (testicules ou ovaires) et des structures urogénitales. Les glandes surrénales sont rosâtres, ont une structure tubulaire et se trouvent à côté ou juste en face des gonades. Ces glandes sont très importantes et fonctionnent comme celles des mammifères. Quand un reptile est stressé, les glandes surrénales produisent de la corticostérone, un type de stéroïde. Cela est important parce que l'hormone supprime le système immunitaire d’un animal, le rendant ainsi plus vulnérables à la maladie. Source
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Ce n’est pas le plus gros, mais c’est un drôle d’animal d’une espèce a priori rare, avec ses longs tentacules étranges. Ce spécimen a été observé dans le Golfe du Mexique en novembre 2007 à 2,5 km de profondeur. Le site de National Geographic diffuse la vidéo prise à 2.500 mètres de profondeur par une caméra télécommandée d’un Magnapinna, un calamar géant de forme inhabituelle. Les images ont été prises le 11 novembre 2007 dans le Golfe du Mexique par une caméra d’un sous-marin télécommandé de la compagnie pétrolière Shell. Selon le National Geographic, cette vidéo a tout d’abord circulé durant un an dans les boîtes mails d’employés de l’industrie pétrolière avant de parvenir à ses journalistes. Le Magnapinna se caractérise par de très longs tentacules coudés ressemblant à des épaules et peut atteindre la taille de 7 mètres. Il a jusqu’à présent été très peu observé. On peut s’interroger face à une telle découverte sur les raisons de la non diffusion des images. Manque de compréhension des enjeux de biodiversité et de l’intérêt scientifique de cette observation ou volonté de discrétion de la part d’une exploitation des fonds marins dont on connait mal les impacts environnementaux sur site ? Depuis le 25 mars 2008, le Muséum national d’Histoire naturelle accueille en sa Grande Galerie de l’Évolution un spécimen de calmar géant plastiné au monde. Cet animal mesure plus de plus de 6 m. Il fait partie de la classe des Céphalopodes, du genre Architeuthis, de l’ espèce sanctipauli. Il a été pêché le 27 janvier 2000 au large de la Nouvelle-Zélande (44°21 e-19’S et 175°05’-174°34’E) par 615 mètres de profondeur. Selon les estimations des scientifiques, il était âgé de 1,5 à 4 ans. D’après les spécimens analysés, l’âge maximum est évalué à 14 ans. Aujourd’hui, l’Architeuthis est reconnu comme le plus grand invertébré du monde avec une longueur qui peut atteindre 18 m, dont plus de 11 m de tentacules, pour un poids variant de 500 à 1000 kilos. Les légendaires calamars géants ne le sont plus, il s’agit d’une famille d’espèce que nous apprenons à découvrir grâce aux nouvelles capacités technologique de plongés et d’observation dans des profondeurs ou la haute pression pose des difficultés technologiques qui n’ont rien d’anodin. Quant à savoir si étendre l’empire de la science est une bonne chose c’est une autre histoire. Toutefois, le principal intérêt de la découverte de telles espèces, de grande taille qui plus est, est de mettre notre ignorance dans la perspective de l’infinie richesse de la biodiversité. Combien d’espèces ont dors et déjà disparus en raison de nos activités sans même qu’aucun humain n’ai pu la connaitre ? Sur quoi pourrions nous tomber au fonds des océans, des forêts tropicales ou des plaines du fin fond de la Sibérie ? En tout cas, je ne résiste pas à la tentation de la connaissance et les informations sur ces étranges animaux n’apaisent pas notre sempiternelle soif de savoir. En voici donc un peu plus : D’après Wikipédia "Les calmars géants, qui habitent les grandes profondeurs (depuis 500 m jusqu’à 3 000 ou 4 000 m) n’avaient jamais été observés dans leur milieu naturel. Ce n’est qu’en 2004 que les premières images d’Architeuthis ont été prises. Une équipe de scientifiques japonais ont pu prendre des photos d’un calmar géant de 8,5 m, en plongeant un dispositif équipé d’un appareil photo sur lequel sont fixés des appâts. La taille maximale que peuvent atteindre ces animaux n’est pas connue avec exactitude, mais des spécimens d’une longueur totale d’environ 18 m, dont plus de 11 m de tentacules, ont déjà été étudiés. En juillet 2002, un calmar géant de 250 kg (avec un corps de 7,50 m et des tentacules évalués à 15 m de long) a été trouvé sur les plages de Tasmanie. Un œil de calmar géant mesurant 40 centimètres de diamètre (retrouvé dans l’estomac d’un cachalot) a laissé supposer l’existence de spécimens mesurant jusqu’à 25 mètres de long ; des tentacules, toujours retrouvées dans l’estomac d’un cachalot, laissent penser à un spécimen de 45 à 50 mètres de long ; des traces de ventouses larges comme une grosse assiette appuient l’hypothèse selon laquelle cet animal peut atteindre les 60 mètres. Aucun spécimen complet avec de telles mensurations n’a encore été découvert à ce jour." Source
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Un serpent retrouvé dans une imprimante New South Wales, Australie - Un couple a eu la surprise de leur vie en découvrant un serpent dans leur imprimante Denis et Marie Matthiews ont eu des problèmes pour utiliser leur imprimante. C'est en l'ouvrant que Denis a découvert qu'un serpent y était installé et était responsable du bourrage papier. Au bout de plusieurs vaines tentatives, M. Matthiews a finalement réussi à extirper l'animal de l'imprimante, mais le serpent serait depuis "en cavale" dans sa salle informatique. Source C'est juste dommage qu'ils ne disent pas la marque pour que j'alle m'en acheter une.
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Des dizaines de reptiles envahissent la ville Jusqu'au dimanche 4 janvier, Fleury-les-Aubrais invite le public de l'agglomération à venir découvrir un monde rare et inexploré dans nos contrées : les reptiles. OAS_AD('Position1'); Sous un chapiteau chauffé de 1.400m2 , installé sur le terrain de la Bustière, face à l'arrêt du tramway du même nom, la plus grande collection européenne de reptiles vivants s'ouvre à tous. Plus de 90 vivariums et terrariums s'exposent dans ce cadre exceptionnellement accueillant. Loin des semi-remorques exigus de certains saltimbanques qui sillonnent souvent le pays, cette exposition, claire, aérée et fort documentée, est un incontestable cours de sciences naturelles à partager en familles. Chaque reptile présenté, dans un espace confortable, est accompagné d'une fiche d'identification précise et complexe. Tortues, à carapace molle ou géantes des Seychelles, cobras, alligators du Mississipi, pythons, iguanes, lézards de toutes écailles, boas, crocodiliens, sans oublier les crotales sans écailles, la nouveauté de l'année, ce chapiteau est le fruit d'une véritable passion qui anime la famille Durant depuis plus de trente ans. Une passion qui transpire dans l'entretien parfait des animaux et les commentaires très pointus des guides de cette rare exposition. La Faune reptilienne, jusqu'au 4 janvier, terrain de la Bustière. Renseignements : 06.37.33.83.93. Horaires : 10-12 et 14-20 heures. Adultes : 10 €. Enfants : 6 €. Source
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L’anatomie du système cardiovasculaire du serpent
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
L’anatomie du système cardiovasculaire du serpent Pour connaitre l’intérieur et l’extérieur de votre serpent avec l’analyse du système cardiovasculaire du serpent. Le système cardiovasculaire Les trois cavités reptiliennes du cœur est composé de deux oreillettes qui reçoivent le sang des poumons et du corps, et un grand ventricule qui pompe le sang dans les artères. Ce cœur est plus basique que celui des mammifères qui a quatre cavités, mais en raison des divisions et des soupapes dans le ventricule, le cœur du serpent fonctionne comme un cœur à quatre cavités. Les serpents et les autres reptiles ont une intéressante adaptation de leur système cardio-vasculaire que les mammifères n’ont pas. C’est un système porte rénal. Le sang veineux provenant de la seconde moitié du corps peut, dans certaines circonstances, être partiellement acheminé vers les reins avant de gagner la circulation générale. Cela peut être important, en particulier chez les reptiles malades, parce que la plupart des médicaments utilisés pour traiter les infections sont éliminés du corps par les reins. Avec certains médicaments injectés dans la queue des reptile ou à l'arrière des jambes, le système porte rénal peut engendre une perte d’efficacité des médicaments. Les vétérinaires doivent connaître les médicaments qu'ils utilisent et la meilleure façon de les administrer. Source -
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