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D'après les organisateurs: 375 personnes à boire et découvir le tout! D'après la police: 2. Une des vériatables raisons de cette manifestations annoncées dans les médias: le blocage de l'implantation d'un site d'éoliennes sur la plaine à proxilité. Les poliqtiques présents étaient un peu sous pression et ont du admettre l'inutilité de la chose. De jolies invitations à voler et des contacts fabuleux. Merci à ceux qui ont aidé (à boire ma vodka et participer à l'extinction de l'esturgeon). Que grâce leur soit rendue en ces mots!
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En marge des journées du patrimoine, la "Haute Censes" de Ramillies ouvrira ses portes et sa fauconnerie (encore en chantier) samedi 11.09.2010. Le jour officiel de ces journées tombant le jour d'une grosse réunion de chasse au vol, ce sera la veille et non le jour "J". Ce sera l'occasion de rencontrer le village, de découvrir la tour classée et de prendre un verre de bière locale ou de vin blanc de nos chasses. Je crois qu'il y aura de l'eau ou quelque chose dans le genre aussi. Le lieu: 1a rue du Village 1367 Ramillies Heure: de 11h à 13h00. Les journées du patrimoine ayant comme thème "les métiers", je répondrai aux questions sur celui de fauconnier.
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Je n'ai pas de souvenir d'avoir vu un mauvais GP dans les mains d'un bon fauconnier. Par contre des purs: plus d'un sur les mêmes gants. Un Gp est brutal, facile à comprendre et le rapport de sa surface alaire/poids lui est toujours favorable. Cependant, entre un oiseau de 720gr poids de chasse et 850gr, il y a aussi des différence notoires. Les gerfauts/barbaries ou shaheens sont les plus volants d'après mon expérience. Mais le poids les limite souvent dans les prises. Un pèlerin a souvent ce petit coup d'archet qui différencie un grnad violoniste d'un violoniste tzigane. Mais dans les pèlerins il y a de la marge aussi....
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Tout l'intérêt du vol du lapin sous bois est l'analyse de la stratégie, le choix des positions de lancé en fonction du travail des chiens et du terrain. Un lapin est programmé pour monter une côte, pas pour la descendre. Avec ses longues pattes arrières, il se casserait le nez directement. Cette habitude de vol perché est dommage. Les anglais on tlancé la mode avec des harris depuis des perches qu'ils portent au dessus d'eux. Un harris est toujours capagle de faire aussi bien qu'un autour et souvent mieux. Pourquoi lui faciliter la tâche et résumer le vol à une chute discrète à laquelle le lapin ne peut rien faire pour sy soustraire? Essaye le vol du poing, c'est plus joli, meilleur pour la condition de l'oiseau et plus intéressant!
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C'est bien Antonin, tu as compris la base de la philosophie positive et la construction correcte des très sains rapports entre maître et élève. Cette sagesse montagnarde vous honore à tous les deux. Notre plainitude envieuse de ces contacts oubliés devrait profiter de ces moments de respect oublié. Amen!
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Pour continiuer au sujet des chiens, je me souviens du chien exeptionnel d'un fauconnier : un croisé setter et braque français. On aurait dit un braque noir et blanc en plus court sur pattes et plus lourd. Il n'avait pas l'air d'un batard mais d'une race inconnue. Ce chien méritait tous les titres. Un arrêt beton, une passion de chasse, un style bien à lui mais de la grâce dans le mouvement. Je pense même qu'il a gagné le prix d'oisel de l'Anfa alors qu'il était venu avec qqu'un d'autre que son maître (mais je n'en suis pas certain). Ce genre de cabot, hors normes, mérite d'être! Le seul bémol pourrait être la succession des qualités. On n'est pas certain des qualités des chiots chez les purs non plus.
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Pour rebondir sur les chiens, j'ai eu la malchance de tomber sur des éleveurs "parlant fort", responsables de Club de race ayant pignon sur rue qui m'ont vendu au prix fort (à d'autres amis aussi) des carnes qui ne méritaient pas le prix de la cartouche pour les abattre. Ensuite, mon choix s'est dirigé vers des produits de chiens ayant fait de grands champions de field trial. Je pense à Fray du Riou de la Cuve, pointer mâle, père de la majorité des chiens titrés à un époque. La différence a été flagrante du jour au lendemain. Du chien qui chassait, je passait au chien qui chassait vraiment bien. C'est passer de la polo à la Bentley. Même si c'est le même groupe financier, le produit diffère. J'ai beaucoup aimé les premiers mais leur disparition était vécue comme un soulagement. Les autres, c'est pas pareil! Le tervueren de cherrug est un exemple de rareté en Belgique. Bien qu'étant le pays d'origine de ce chien, il est presque (je dirais tout à fait) impossible de trouver une lignée de travail dans le royaume. Dommage, c'est une super race! Cherrug a de la chance d'en découvrir chez lui, même si son exemplaire le déçoit un peu.
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La définition du "champion" varie selon le degré d'évolution du propriétaire. Mon premier faucon (une forme de gerfaut/sacre) était mon meilleur à cette époque. Mon second(un tiercelet de peal/écossais) l'a détrônée. Honnêtement, ils étaient tous nuls jusqu'à l'arrivée de mon troisième (tiercelet de gerfaut/pèlerin) qui a gagné suffisament de prix pour qu'on le reconnaisse comme excellent. Le bon cheval fera le cavalier! C'est pareil pour les oiseaux. Il y a peu, le pèlerin était réservé à 3 personnes auto-cooptées en Belgique. Les autres devaient se former avec les restes (les hybrides étaient rarrissimes). Ce scandale a bloqué l'évolution personnelle de beaucoup jusqu'à la suppression de cette mesure discriminatoire par définition. Le niveau de la fauconnerie belge a alors explosé. C'est le fond du problème lorsque l'on parle avec des débutants qui ont comme seule expérience un crécerelle ou un lanier imprégné. Ils pensent savoir mais en fait, ils ont perdu un temps précieux pour apprendre l'utile. En plus du temps, les habitudes prises et la prétention sont souvent difficiles à remettre dans les plis.
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Je connais le fauconnier dont tu parles et j'ai la soeur de cet oiseau. Il en est ravi et moi aussi. Le prix est accessoire. Un écuyer de mes amis dit régulièrement "un bon cheval mange la même chose qu'un mauvais, le coût est pareil, le plaisir diffère". Pour le chien, c'est décidé: j'ai confiance et je le prends. Si en plus en France c'est prévu: je ne joue pas à l'apprenti sorcier. Quant aux faucons, les remarques sur la pureté des espèces chez les éleveurs sont assez amusantes. On y entend des sous-sous-sous-espèces que l'on analyse avec détail et qui permettent de tirer des généralités à des débutants qui n'ont fait comme prise que le bol d'air de la chasse. Ce qui me gêne vraiment est cette impossibilité de retrouver des espèces pures dans certains pays. Il est des pays d'Europe dans lesquels les gerfauts ont tous du sang de sacre. C'est là le vrai problème! Il est des "petits éleveurs" qui sortent des 3/4 gerfaut/pèlerin et les vendent (pardon les cèdent ) comme des pèlerins. Il en est d'autres qui vendent des shaheens/barbaries comme purs shaheens! Les acheteurs pensent alors avoir la référence en main et ils proclament que les purs sont des faux! C'est là le problème. A choisir, je choisis l'éleveur pour sa qualité et les performances de ses produits, pas pour son caractère et son copinage éventuel. Pas simple d'être adulte, non?
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Cet ami est éleveur de malinois et fourni les principales équipes de championnat. C'est dire si sa qualité ou son sérieux n'est pas à mettre en défaut. Il n'y a pas confusion possible dans les races. Je lui demande ce mélange, il le fait. Vu les résultats, il y a d'autres candidats. Le caractère du tervueren est nullissime! On en a fait des chiens de salon alors que c'était un des meilleurs chiens du monde avant la première guerre mondiale. La recherche de la pureté a des effets que la nature évite. Je pense même que dans certains sports, Etienne, notre homme des montagnes, pourrait nous confirmer la chose, les meilleurs sont des mélanges!
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J'ai un problème: Un de mes amis est éleveur de bergers malinois (poil court). Il croise une chienne avec un berger de Tervueren (poil plus long). Les chiots ne peuvent pas avoir de pédigrée mais pourraient en avoir s'il les demande comme malinois. En effet, il n'y a aucune confirmation en Belgique et les chiots sont pareils à l'âge du tatouage. De cette portée naitront des chiots à poils longs et d'autres à poils courts. Je pense prendre un chiot avec poil long. Il aura le physique de l'un avec le moral de l'autre. Il sera plus beau qu'un malinois et meilleur qu'un tervueren. Les portées précédentes le démontre! Sera-ce un malinois ou un tervueren pour vous? Ai-je raison de choisir ce chiot "berger belge" pour monter la garde, ou devrais-je choisir un pûr? Ce débat sur les chiots est vécu lors de la demande de faucon! Des débutants cherchent l'une ou l'autre sous-espèce de faucon (cette année les brookeis) et se fixent sur ce type. C'est ignorer la diversité de la sous-espèce. Pour le cas du Brookei, les origines espagnoles n'ont rien à voir avec les bulgares, ni siciliennes, ni turques. N'est ce pas un faux débat et coupeur de cheveux en quatre? Revenons à mes chiots L'éleveur participe brillament aux championnats du monde de ring et FCI, il a toute mon estime et annonce toujours ce qu'il produit. Le chiot serait un vrai berger belge malgré tout, la sous-espèce sera pure aussi visuellement et le résultat meilleur. J'aurais un très beau tervueren. Si je résume: les chiens sont de mêmes origines (bergers belges), l'éleveur est honnête (il me dit ce que c'est), le physique sera super (j'ai vu les précédents), l'utilisation est adaptée (plus de caractère)... Je crois que je vais prendre ce chiot et lui dire combien je suis content qu'il me donne cette possibilité!
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