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onyx111

Utilisation de chiens

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Dites-moi pour quels types de gibier et de vol un chien (ou plusieurs) est indispensable? Est-il exact que si l'on chasse au faucon il faut rapidement lever un gibier pour son oiseau sinon celui-ci, après un temps d'attente plus ou moins long, partira à la recherche du gibier, et s'éloignera rapidement du fauconnier sauf si celui-ci le rappelle au poing?

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Invité
Pour le haut vol, sur des gibiers tenant l'arrêt un chien est indispensable.

Il est évident que plus tôt l'oiseau est centré avec un bon plafond, sur l'arrêt du chien plus les chances sont importantes.

D'ou la nécessité d'avoir un chien capable de bloquer le gibier le plus longtemps possible, le temps que l'oiseau soit mis sur l'aile, se centre avec un bon plafond.

Voler d'amont sans chien d'arrêt est impossible, sauf densité de gibier exeptionnelle permettant de servir l'oiseau à coup sur ... ( pas chez moi )

Pour les faucons, pas de rappel au poing, mais au leurre.

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onyx a écrit:
Est-il exact que si l'on chasse au faucon il faut rapidement lever un gibier pour son oiseau sinon celui-ci, après un temps d'attente plus ou moins long, partira à la recherche du gibier, et s'éloignera rapidement du fauconnier sauf si celui-ci le rappelle au poing?


Etienne a déjà répondu en ce qui concerne les chiens.
Il y a moyen de voler sans chien mais on perd une grande partie de l'essence même du vol d'amont.

La durée du vol d'un faucon sera progressive : on commencera par laisser le faucon voler deux ou trois tours puis on augmentera chaque jour. Au début, il faut le servir rapidement dès qu'il est bien placé et a atteint le plafond qu'on souhaite. Après cela, on augmentera la durée du vol progressivement.

Un faucon bien mis peut tenir amont assez longtemps, une dizaine de minutes à une trentaine de minutes. Certains vols dans de biotopes particuliers et/ou de bonnes conditions climatiques, peuvent durer deux ou trois heures.

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Il est une tendance en Angleterre qui utilise un springer avec des faucons d'amont.

On repère le gibier, on met l'oiseau sur l'aile, le chien est au "down" et dès que le faucon est monté, on lance le chien.

L'avantage est que le chien ne bloque pas, rebloque, remonte pas à la viande pour rebloquer....il fait simplement le chemin qu'à pris le gibier et le fait gicler des betteraves ou autre couvert.

C'est efficace mais il me manque 50 % de la fauconnerie: le travail du chien d'arrêt!

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Rajoutons quelques autres possibilités, l'oiseaux tient amont et surveille le chien, dès l'arret le faucon se recentre et on commande le chien pour lui faire casser l'arret. En bas vol, avec Harris(plus facilement) et autour l'oiseau quitte le poing et se centre au dessus du roncier des que le chien aboie, difficile à obtenir? Non, laisser faire...

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Invité

bas vol et chiens.
comme en haut vol il s'agit
1) de bien connaitre et évaluer son terrain.
2) et c'est le plus important , une question de goût
exemple: vol de la harris ( autour) sans chien ça donne, une approche furtive, une bonne connaissance de son gibier , les faisans ou lapins sortent vers telle heure derrière tel bosquet , ds ce roncier il y a un lièvre qui se remise régulièrement , un affut au pied d'un arbre ou sur un arbre et on devient oiseau soi même , on observe et surveille tout, le moindre bruit ,le moindre mouvement.
l'effet de surprise, l'approche, déjouer la vigilance du gibier
voilà une petite partie des plaisirs que l'on a sans le chien.

avec chien , le gibier est prévenu ,il se cache ds le même roncier ds cette tâche de fougères, le chien essaie de déméler ce labyrinthe d'émanations, la fraîche , de la plus ancienne, celle du chevreuil de celle du faisan, ou du campagnol, il analyse , se concentre , jusqu'à l'arrêt
ce point critique qui certifie la présence du gibier sans l'obliger à se lever.
ou le faisan va profiter pour se déplacer le plus furtivement possible pour s'éloigner du chien,et nous pour trouver la meilleure position pour contrôler ts les cas de sortie , ce qui n'est pas possible et donc de privilégier certains( ça s'appelle le sens de la chasse) vivre une intance complicité , le chien qui surveille l' émanation et nos mouvements en même temps, la meute:le chien qui trouve, le fauconnier qui décide, l'oiseau qui prend.
plaisir intense et que certains écrivains ont réussi à traduire en mots bien mieux que moi ce sont des moments d'absolus .

à vous de choisir..... ou combiner Smile

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A vivre des instant comme ça accompagner avec son chien ou même sans éffectivement pour ceux qui aime l'approche comme moi (chasse que je pratique pour l'approche du gibier à poils mais le gros quasiment) c'est de la palpitation en accéléré quand on s'y approche et qu'on sait qu'il ya de la présence.
J'attends la venue de mon Tiercelet de Harris pour cet été avec qui je vais découvrir d'autre sensation.

Invité a écrit:
bas vol et chiens.
comme en haut vol il s'agit
1) de bien connaitre et évaluer son terrain.
2) et c'est le plus important , une question de goût
exemple: vol de la harris ( autour) sans chien ça donne, une approche furtive, une bonne connaissance de son gibier , les faisans ou lapins sortent vers telle heure derrière tel bosquet , ds ce roncier il y a un lièvre qui se remise régulièrement , un affut au pied d'un arbre ou sur un arbre et on devient oiseau soi même , on observe et surveille tout, le moindre bruit ,le moindre mouvement.
l'effet de surprise, l'approche, déjouer la vigilance du gibier
voilà une petite partie des plaisirs que l'on a sans le chien.

avec chien , le gibier est prévenu ,il se cache ds le même roncier ds cette tâche de fougères, le chien essaie de déméler ce labyrinthe d'émanations, la fraîche , de la plus ancienne, celle du chevreuil de celle du faisan, ou du campagnol, il analyse , se concentre , jusqu'à l'arrêt
ce point critique qui certifie la présence du gibier sans l'obliger à se lever.
ou le faisan va profiter pour se déplacer le plus furtivement possible pour s'éloigner du chien,et nous pour trouver la meilleure position pour contrôler ts les cas de sortie , ce qui n'est pas possible et donc de privilégier certains( ça s'appelle le sens de la chasse) vivre une intance complicité , le chien qui surveille l' émanation et nos mouvements en même temps, la meute:le chien qui trouve, le fauconnier qui décide, l'oiseau qui prend.
plaisir intense et que certains écrivains ont réussi à traduire en mots bien mieux que moi ce sont des moments d'absolus .

à vous de choisir..... ou combiner Smile

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l approche avec une harris est tout a fait possible et sympa
on marche sur des oeufs puis on tente de surprendre le gibier qu on croit savoir trouver a tel endroit
a force de pratiquer l oiseau lui meme devient different et se prend au jeu

l approche du lapin est amusante et interressante a la fois

l oiseau se tend sur le poing des qu il sent le fauconnier attentif ou qu il reconnait le lieu de chasse
parfois du poing , parfois branché ( je pratique les deux ) l oiseau est tres attentif au moindre bruit et mouvement
il ne me quitte pas des yeux et attend l ordre de se deplacer de tel arbre a tel endroit

j adore ces sensations procurrées par ce type de chasse

mais aussi avec le chien qui passe de l autre coté de la haie que l on remonte une quinzaine de metres en arriere faisant fuire de mon coté le gibier.
on lance son oiseau qui ne quitte pas du regard le travail du chien.

en fait parfois je me demande a quoi je serts car chien et oiseau travaillent ensemble et je ne fait que porter ...

aucun bruit , approche furtive , vol silencieu, soleil levant ou couchant, rosée dans les bottes, senteurs d humidité et d herbe fraiche...

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Je pratique le bas vol (surtout mon oiseau, moi je suis un ange mais mes ailes ne poussent pas) avec une buse de Harris.

Je vais au lapin dans un bois très bien géré et surtout très dense en ronciers.

Pour que ma buse (Lailoo) attrape quelque chose elle doit être perchée sur une branche et surprendre par des planés de 100 à 150 m. Si je la tiens au poing, elle n'aura jamais le temps d'attraper le lapin avant qu'il ne rentre dans un autre roncier.
Alors quand je prend mon chien, ça part dans tous les sens, ces petits pipins ne nous attendent pas.

En résumé si c'est pour faire de la plaine semi boisée je pense qu'un chien peut être utile (ça évite de taper pour rien, le mien est d'arrêt, lorsqu'il bloque je frappe sinon rien). Dans mon biotope de bas vol, inutile voire nuisible.

Ca ne m'empêche pas d'aller avec les deux, même s'il n'y a pas de prises, c'est simplement beau et agréable.

Maintenant ce n'est que mon avis.

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Tout l'intérêt du vol du lapin sous bois est l'analyse de la stratégie, le choix des positions de lancé en fonction du travail des chiens et du terrain.

Un lapin est programmé pour monter une côte, pas pour la descendre. Avec ses longues pattes arrières, il se casserait le nez directement.

Cette habitude de vol perché est dommage. Les anglais on tlancé la mode avec des harris depuis des perches qu'ils portent au dessus d'eux.

Un harris est toujours capagle de faire aussi bien qu'un autour et souvent mieux. Pourquoi lui faciliter la tâche et résumer le vol à une chute discrète à laquelle le lapin ne peut rien faire pour sy soustraire?

Essaye le vol du poing, c'est plus joli, meilleur pour la condition de l'oiseau et plus intéressant!

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Comme tes précédents conseils m'ont été utiles (hormis celui de t'échanger sky), ok j'essaierai cette année.

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Volé du poing est certe plus difficile pour l'oiseau mais bien plus esthétique pour le fauconnier.

Cela sous entend une bien meilleur préparation physique.

Personnellement, la fauconnerie me passionne aussi parce qu'elle laisse un maximum de chance au gibier si celui ci est fûté et c'est tout à son honneur. Comme le dit Sokol, un lapin a fort peu de chance de s'en sortir lorqu'une harris tombe du ciel sans même que le lapin se soit rendu compte du danger.

Aussi le vol à partir de la branche peut entraîner chez certains oiseaux des problèmes d'indépendance, l'oiseau comprend vite qu'ainsi placé, il peut très bien chassé seul et ignore alors le réclame.

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D'accord avec toi. Je n'ai pas ce problème avec elle, elle me suit comme un chien même sans lever le poing, toujours à l'affut de voire un lapin sortir.
Il faut savoir qu'elle à +/- 5 ans (c'est un oiseau récupéré chez un autre fauconnier). Elle a ses habitudes. Pour changer ça va pas être facile, mais j'essaierai. Le jour ou je reprendrai un oiseau de bas vol (ce n'est pas dans cette direction que je vais pour le moment), je commencerai directement de la bonne manière. Et oui j'ai commencé la fauconnerie il y a 4 mois, je n'ai pas eu trop de conseils au niveau chasse au début, mais je me soigne.
Il faut être pris pour être appris.

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