scolopax
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0 NeutralÀ propos de scolopax
- Date de naissance 10/04/1973
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scolopax a commencé à suivre la fauconnerie et l'élevage des rapaces
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scolopax a commencé à suivre Bas Vol, Nouveau chasseur au vol ?, Biologie et santé des oiseaux de chasse et et 1 autre
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Comme c'est préconisé dans certaines méthodes, habituer l'épervier dès la sortie des pennes semble surement la bonne solution (chaperonner un épervier peut dans certains cas devenir une cinécure !!) Le plus souvent l'oiseau est gorgé sur sa prise tout en marchant, pour maintenir l'appétit jusqu'à la volière ou vers mon véhicule. Toujours faire en sorte qu'il y est un intéret pour l'oiseau sinon chaperon. Dans mon cas je prends plaisir depuis quelques années à confectionner mes propres chaperons. Ils sont fonctionnels. Pour la télémétrie, j'ai un modèle d'environ 4 g, matériel américain (Merlin system) l'antenne se doit d'être courte et rigide, je l'ai repliée de moitié et enrobée d'une gaine thermorétractable (réception toujours correcte, épervier n'est pas pèlerin.
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Le chaperon en ce qui me concerne s'avère très utile pour : - le transport - pour effectuer des soins - pour retenir l'oiseau dans le but de voler un gibier donné à l'arrêt des chiens : cailles, perdrix, bécassines, bécasses, en lui préservant ainsi tout son influx nerveux, ses tarses de tous les départs intempestifs - et bien sûr pour l'apéro ! Dans mon cas je merlote beaucoup, mon oiseau n'est que très rarement couvert, j'insiste sur le fait que comme pour tous les oiseaux, le chaperon doit être parfaitement adapté.
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Laissons les futurs autoursiers rêver !! La corneille est une prise naturelle de l'autour. Même si les prises sont rares, l'autour qui gicle du gant dès qu'un oiseau noir est apperçu est un autour à corneille...!!! Ne tombons pas dans la scorite aigue! Petite anecdote qui plaira à Steph, retour d'une hypothétique chasse à la bécasse en montagne une demi heure avant la nuit, le coup du soir!!! Les corneilles sont parmi les derniers oiseaux à rejoindre le dortoir. Biotope : plaine céréalière entre deux montagnes, petit bosquet de frêne. Elles sont là... occupées... statégie vite établie, on tentera une approche par le petit bois opposé, elles sont toujours occupées, elles vermillent trop paisiblement... L'autour tendu est habitué à ce genre d'approche, lui est près à ôter une vie! Départ furtif du poingt, vol au ras du sol sur 150 m, elles ne le voient toujours pas, accélération subite, envol general ,1 corneille sera troussée à 200 metres... Course effrénée en hurlant, toute la famille defie "la mort volante "!!! VICTOIRE !!! On est bouche-bée... C'était un autour à corneille.
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Dans certains cas, en terrain vallonné il est possible de faire prise. Avec une bonne connaissance des endroits favorables,en general, colline boisée qui fait face a une prairie,en arrivant, oiseau débarrassé de ses sonnettes, c est sur la pointe des pieds qu'il faut faire son approche, espéré feinter le guetteur ! dans mon cas, 1 seule prise ds ces conditions avec 1 autour. Apres reperage,approche discrete par le sommet opposé,immobilite totale. au dela des troncs..... ds la prairie,l'autour finit par les voir... attaque franche,avantagé par la hauteur et la surprise,alarme dès sa sortie du bois,retard comblé a grand coup d'aile et prise bruyante!!! le gros souci c'est de pouvoir intervenir rapidement,les corneilles sont rarement seules et tres solidaires!
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pour moi,il s agit bel et bien d un mouchet,(de chez nous...)c est bien la ou le bas blesse;les proportions semble farfelues. tiercelet d epervier:120a200grm becasse :280a350grm la piste de la becassine double,pourqois pas...elle a une belle tete,un bel oeil de becasse cette becassine!!! amicalement
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ah!!!!!!!!!!!!!oui c est une belle photo ça c'est sur . mais ,mais oui bien sur il y a un mais .... pourquoi mais parce que nous ne pouvons vous laisser salir la reputation de la rusticola ne trouvez vous pas les remiges de cette becasse suspectes?? je ne parle meme pas des proportions. nous ne pouvions garder le silence plus longtemps maintenant si c'est un complot pour nous détroner suite a la photo du sanglier sachez que la team 65 ne s'en laissera pas compter sur ce nous retournons a notre café ......... steph et scolopax
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Tout à fait d'accord ce serait surement à mon sens la technique et l'espèce la mieux appropriée pour cette chasse. Le problème pour moi, la manipulation qui malgré quelques explications m'échappe encore. Un ami l'utilisait équipé d'un gant de soie pour éviter les problèmes de plumes. Il m'expliquait qu'une fois placé dans le creux de la main (c'est pas le + simple) après une manipulation précise, il reste encore à métriser le lancer (pas si facile qu'il n'y parait) Je suis d'ailleurs intéressé par tous détails relatifs à cette méthode. A mon avis, il serait bon d'habituer l'oiseau dès qu'il est allongé. Lui faire prendre chaque jour à l'arrêt du chien un pigeon affublé d'un bec artificiel, l'habituer au chaperon pour éviter tous les départs intempestifs sur "ses gibiers habituels". Tout aussi difficile, se lever chaque matin avec le même entrain, prendre le chemin du bois plein d'espoir quant au nombre de levées (suivant les régions!) et à l'issue finale. J'ai appris qu'en Ecosse c'est au pèlerin qu'ils prennent les dames aux longs becs, je serai friand de lire tous vos récits et anecdotes. Amicalement.
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Sans vouloir apparaitre comme un grand spécialiste de la bécasse (malgré le pseudo!!!) j'ajouterai sans prétention "il y a quand même bécasse et bécasse!" celle du début de saison qui a quand même 600 km environ dans les ailes et qui au petit matin ne pense qu'à une chose se refaire une santé (celle là même qui d'ailleurs tient l'arrêt comme une pierre et pour cause!) alors que quand approche la fin de saison, les dames au long bec bien cantonnées connaitront parfaitement leur remise alors redevenues bien rondes, "turbo retrouvé" le coup d'aile reste incomparable et la poursuite sera drue. Pour ma part, après avoir apprécié à maintes reprises sur des pentes escarpées qui permettent de contourner largement l'arrêt tant attendu et donc de placer l'oiseau dans les meilleures conditions (la reine des bois filera dans la pente) en ayant aussi et c'est la cerise sur le gateau l'occasion d'apprécier toute la durée du vol d'attaque jusqu'à plus de 800 m. "Elles volent toujours les mordorées." Pour moi toujours pas de bécasses même en début de saison (cela c'est souvent joué à une plume) j'ai l'impression que les prises ne peuvent être qu'exceptionnelles. Loin de moi l'idée d'enlever l'envie à certains d'entre nous d'entrainer spécialement chiens oiseaux dans cette optique. Pour revenir aux discussions initiales autours harris j'ai aussi volé les 2 ; l'important c'est la prise de plaisir.
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