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Is@

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Tout ce qui a été posté par Is@

  1. il existe des tubes de pates à base de malt qui fonctionne bien pour ce probleme et que les chats aiment, il le leche sur ton doigt exemple : http://www.wanimo.com/fr/chats/complements-nutritionnels-pour-chat-sc35/catmalt-anti-boules-de-poils-sf868/#
  2. je ne sais que te dire, je pense que le labrador est un chien rustique ne nécessitant pas ce genre de chose. Joy a déja pris des bains l'hivers (pas désiré de ma part du reste) dans des lacs glacials, j'avais même pas de quoi la secher et elle a rien eu. maintenant je te dirai ... demande à ton véto ce qu'il n pense, car je ne veux pas dire de bétises
  3. on dirait qu'elle dit avec les yeux : éééééh ooooooooh mais tu fais quoi avec ta p'tite boite, reviens vie me caliner !!! elle est chouquette ta danette
  4. tout craquante danette, mais si elle est pas au chocolat j'en mangerai bien à coup de gros bisous sur sa frimousse de canaille
  5. tu devrais essayer mon balai magique, c'est super efficace aussi sur les tapis !! /trucs-astuces-pour-nos-poilus-f50/un-balais-magique-face-aux-poils-t4898.htm
  6. Is@

    Chien de canaan

    je voulais vous faire découvrir ce fabuleux chien, malheureusement méconnu du grand publique. son club a un site très complet, avec toutes les infos sur son histoire, son origine, son standard, son caractère, etc ... et pleins de belles photos alors le plus simple est que vous le visitiez pour connaitre cette race http://www.canaanclubdefrance.org/francais/accueil.php
  7. Les ulcères ne sont pas rares chez les chevaux de performance. Des études récentes ont diagnotisqué la maladie parmi environ 90 pour cent des chevaux de course et, dans le cadre de cette étude, chez au moins 50 pour cent des poulains. Un ulcère est une défectuosité dans la surface d’un tissu qui provient d’une irritation ou d’une inflammation des couches de tissus (la paroi de l’estomac s’appelle muqueuse pavimenteuse gastrique). Cet assaut acide sur la paroi entraîne la mort de cellules et la décomposition des tissus. La taille et la profondeur des ulcères peuvent varier et les ulcères plus profonds peuvent causer une perte de sang dans le tube digestif. Sans traitement, les ulcères profonds peuvent ronger toutes les couches du tube digestif, entraînant des perforations (trous) qui peuvent être mortelles. Même si l’estomac des animaux est habituellement très acide, les barrières muqueuses naturelles aident à protéger la paroi de l’estomac contre le contenu difficile à digérer. Les chevaux qui consomment une grande quantité de grain, avec des périodes de privation de moulée, passent la plupart de leur temps dans des stalles plutôt que dans les pâturages, s’entraînent et participent à des compétitions sont plus susceptibles de développer des ulcères. Une diète faible en fibres et des glucides denses peuvent aussi avoir un effet sur le pH (ou l’acidité) de l’estomac et, lorsque ces facteurs sont combinés au stress et aux perturbations de l’horaire des repas, ils peuvent constituer un environnement idéal pour le développement des ulcères. Le logement dans des stalles est considéré en soi comme un facteur important favorisant les ulcères. Les symptômes se manifestent souvent sous forme de coliques ou d’inconfort abdominal. Une étude récente de 209 chevaux ayant fait l’objet d’un examen endoscopique de l’estomac et du duodénum a révélé que 51 pour cent avaient des érosions ou des ulcères. Les approches thérapeutiques comprennent la modification des pratiques d’élevage (pâturage), des médicaments (p. ex., dose quotidienne d’oméprazole, de ranitidine), l’ajustement de l’alimentation et la réduction du calendrier de compétition ou d’entraînement jusqu’à ce que les ulcères soient complètement guéris. Sans thérapie, les ulcères ont un faible taux de guérison spontanée. Si vous soupçonnez que votre cheval puisse souffrir d’ulcères gastro-intestinaux, consultez votre vétérinaire équin afin de procéder à une évaluation complète de la santé de votre cheval. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=643&cat=ferme
  8. *La lymphangite ulcéreuse peut toucher les bovins et les chevaux et causera des paturons et des boulets enflés et douloureux. Les enflures douloureuses proviennent de l’infection d’une blessure (ou d’une égratignure) vulnérable sur les jambes inférieures par certaines bactéries. Ces bactéries exercent une puissante influence sur les tissus environnants en raison de la formation de nodules, ou bosses dures, dans les tissus. Les nodules infectés peuvent être très gros et s’étendre autour et sur le haut de la jambe. Il s’agit d’une éruption progressive car ces bactéries suivent le système *lymphatique et se propagent dans ce dernier. Le système de drainage lymphatique peut devenir bloqué par l’infection et se durcir et les nodules peuvent se propager le long du parcours du vaisseau lymphatique. Une fois que les nodules ont progressé à des abcès, ils éclateront et se draineront en sécrétant du pus. Les sécrétions ont mauvaise odeur et sont souvent de couleur verdâtre. La fièvre peut être présente ou non. Avec des soins appropriés, l’affection peut se calmer dans l’espace de quelques semaines, mais parfois, la lymphangite ulcéreuse peut persister pendant des mois. Le vétérinaire traitant prélèvera un échantillon des sécrétions et le soumettra à des tests de culture et de sensibilité pour confirmer le diagnostic. Votre vétérinaire voudra éliminer les autres causes possibles de ces lésions, comme la sporotrichose. La propreté et l’absence d’humidité dans l’environnement aideront à résoudre ce problème. Le traitement prescrit dépendra du stade de cette affection et du degré de sa propagation dans les tissus. Il est probable que votre vétérinaire suggérera de porter des gants pour le nettoyage des tissus et prescrira du repos aux chevaux atteints de ce problème jusqu’à ce que la guérison soit complète. *Ulcéreux signifie la présence d’inflammation causant l’érosion des tissus (ou la formation d’ulcères) et la lymphangite est une inflammation ou infection du système lymphatique. *Le système lymphatique représente le vaisseau de drainage qui permet aux liquides des tissus de retourner vers la poitrine, aidant ainsi à prévenir l’enflure des membres. Il fait également partie du système immunitaire. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=642&cat=ferme
  9. Les chevaux sont très vulnérables au tétanos, une affection causée par la bactérie Clostridium tetani. Les humains reçoivent des vaccins contre cette maladie, et les chevaux devraient recevoir une version équine d’un tel vaccin. Bien que de nombreuses espèces puissent contracter le tétanos, ce sont les humains qui, après les chevaux, sont le plus vulnérables. La bactérie vit dans le sol et l’infection se produit généralement à la suite d’une perforation de la peau ou d’une brûlure. L’exemple classique est celui d’un cheval qui marche sur un clou sale, dans l’écurie; de la terre entre dans les tissus du pied en même temps que l’objet perforant. Pour se reproduire, les bactéries doivent être injectées profondément, à l’abri de l’oxygène. On dit des bactéries qui se reproduisent en l’absence d’oxygène qu’elles sont anaérobies. De nos jours, le tétanos est beaucoup moins répandu, grâce à l’efficacité des vaccins modernes. L’entretien de l’environnement demeure important pour réduire les risques d’exposition à cette bactérie puissante, car elle réside encore à la ferme. Les symptômes de la maladie font suite à la libération de toxines au foyer d’infection. Ces toxines s’attaquent au système nerveux. Le premier symptôme à se manifester est la fixité apparente du regard, ainsi que la troisième paupière qui recouvre partiellement l’œil alors que, normalement, elle se trouve derrière les paupières, dans le coin intérieur de l’œil. Souvent, la maladie touche les muscles qui commandent l’ouverture et la fermeture de la bouche. Par ailleurs, le cheval atteint aura de violents spasmes qui contractent fortement les muscles et provoquent de la raideur; toutefois, le bruit, les mouvements et l’exposition à la lumière déclencheront des mouvements spasmodiques très marqués. Ces symptômes peuvent prendre quelques semaines à se manifester après l’infection. Des spasmes au dos et au cou forcent le cheval à tendre la tête vers l’avant. La combinaison des spasmes aux jambes, au dos et au cou produit une posture typique, dite du « chevalet » ou du « cheval berçant ». En outre, la queue ne bouge pas normalement à cause de la raideur musculaire. Les oreilles sont dressées, les lèvres sont étirées en un rictus, et les narines sont dilatées, ce qui donne au cheval un air alarmé. Le tétanos est une maladie grave et les trois quarts des chevaux y succombent une fois que l’infection s’est installée et que des symptômes sont apparus. C’est pourquoi votre vétérinaire insistera sur la protection contre l’agent de la maladie par la vaccination à l’aide de l’anatoxine tétanique. Si votre cheval subit une blessure avec perforation sur quelque partie du corps que ce soit, même une très petite blessure, consultez votre vétérinaire sans tarder; il pourrait recommander l’administration d’un rappel du vaccin, de manière à stimuler l’immunité. Parfois, quand un cheval non protégé est exposé à la bactérie, on lui administre une antitoxine, puisque le vaccin n’offre pas une immunité immédiate. Il est très important que le cheval reçoive ses rappels de vaccin à temps. Les juments doivent être vaccinées pour garantir que les poulains sont protégés jusqu’à ce qu’ils soient eux-mêmes vaccinés. En présence de symptômes aigus, le vétérinaire peut administrer des sédatifs, des analgésiques et des antimicrobiens, en plus de traiter la plaie, de donner des soins d’entretien (par ex., stalle obscure et calme, alimentation par sonde nasogastrique) et d’injecter des antitoxines. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=536&cat=ferme
  10. L’écurie peut être un milieu difficile pour les poumons du cheval. Le bran de scie, les copeaux, le foin et la paille, les surfaces de terre battue, les excréments d’oiseaux et de rongeurs, l’ammoniaque contenue dans l’urine et d’autres substances irritantes peuvent polluer l’air de l’écurie, surtout en hiver, quand les fenêtres et les portes demeurent fermées. Le foin qui contient des moisissures et de la poussière est une source particulièrement puissante d’irritation des poumons. Les symptômes de l’emphysème chronique sont le plus intenses pendant les périodes chaudes et humides de l’été, alors que le pollen est abondant et que les champs et les pistes d’entraînement sont poussiéreux. On croit qu’il existe une vulnérabilité héréditaire à cette maladie. Certains cas se manifestent à la suite d’une infection respiratoire, laissant croire que l’infection peut être un élément déclencheur ou contributif. Chez les humains qui souffrent de maladies respiratoires d’origine allergique comme l’asthme chronique, les poumons deviennent irrités et hypersensibles. Les chevaux développent une hyper-réactivité semblable des voies respiratoire, l’emphysème chronique. Le corps du cheval réagit aux substances irritantes ou allergènes en produisant des sécrétions qui déclenchent des spasmes des voies respiratoires (bronchospasmes). L’inflammation apparaît dans les tissus, ce qui augmente la production de mucus. Cette réaction excessive des poumons endommage aussi les délicates alvéoles pulmonaires, qui sont de petits sacs dans lesquels se produit l’échange d’oxygène. L’emphysème chronique est progressif et peut devenir une tare chez le cheval. L’animal semble respirer difficilement et il doit parfois fournir un effort prolongé à l’expiration. Les chevaux atteints poussent avec les muscles de leur abdomen et, dans les cas avancés, on peut entendre un grognement ou des bruits anormaux. Chez les sujets atteints depuis longtemps, une ligne se dessine sur le ventre, à cause de l’hypertrophie musculaire due à l’effort constant que l’animal déploie pour respirer. L’emphysème s’accompagne souvent d’écoulement nasal et d’une faible toux. Ces symptômes s’intensifient à l’exercice. Pour atténuer les symptômes de l’emphysème chronique, votre vétérinaire peut recommander certains changements aux soins habituels de l’animal, notamment de le loger à l’extérieur ou dans un endroit bien aéré et exempt de poussière, d’arroser le foin et de veiller à ce qu’il soit exempt de moisissure avant de le donner au cheval, et de lui faire prendre du repos. Le fait de laisser l’animal au pré plutôt que de le loger dans une écurie peut être très avantageux, tout comme le fait de lui donner des aliments granulés plutôt que du grain. Le vétérinaire peut aussi prescrire des médicaments, notamment des bronchodilatateurs, des anti-inflammatoires et, parfois des antibiotiques. L’emphysème chronique peut être débilitant; il est important de collaborer avec l’équipe vétérinaire afin de connaître les mesures de prévention et d’apporter tous les changements nécessaires aux habitudes de l’animal atteint. On peut prévenir cette affection, mais non la guérir. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=491&cat=ferme
  11. La fourbure est une affection très grave et douloureuse, causée par l’altération de la circulation sanguine et l’inflammation des lames, qui sont des structures très sensibles situées à l’intérieur de la paroi du sabot et qui lient cette paroi à la phalange distale. La fourbure peut toucher les pieds antérieurs seulement (c’est le plus souvent le cas) ou les quatre pieds. La fourbure est encore un domaine de recherche. Les lames perdent leurs propriétés adhésives : le changement du flux sanguin entraîne une congestion des vaisseaux qui irriguent le sabot, et les lames sont alors affectées par l’apport réduit d’oxygène et elles perdent leur vitalité. Dans les cas graves, la paroi du sabot peut se détacher du pied. Par ailleurs, la phalange distale peut basculer à l’intérieur du sabot et exercer une pression sur la sole, qui tapisse le dessous du pied, ou la percer. La pression exercée sur la sole aura pour effet de l’aplatir. Parfois, l’affection est chronique; le pied se déforme, la pince se recourbe vers le haut, la sole devient plate et friable, et des bourrelets se forment sur la paroi du pied. Il y a de nombreuses causes à la fourbure, notamment le séjour dans des pâturages luxuriants, l’obésité, les toxines bactériennes, la consommation excessive d’eau alors que l’animal a chaud, un traumatisme, la surconsommation de grain, et des infections virales des voies respiratoires. Un cheval atteint de fourbure aiguë prend appui sur ses membres postérieurs si la fourbure ne touche que ses pieds de devant; il est réticent à marcher et, si les quatre pieds sont atteints, il peut se coucher. Les pieds sont chauds, le pouls des artères qui irriguent les pieds est plus fort que la normale, et le cheval ressent une douleur intense alors qu’il tente de mettre moins de poids sur ses pieds douloureux. Si votre cheval montre des symptômes de fourbure, s’il a consommé trop de grain, s’il a séjourné dans un pré luxuriant ou si vous croyez que son comportement est anormal, appelez votre vétérinaire sans tarder. Le pronostic de la fourbure est bien meilleur quand le traitement commence tôt. Le fait d’attendre même quelques heures ou une journée peut faire la différence entre un pied qui guérira et un pied qui sera gravement atteint de façon permanente. Les chevaux et les poneys atteints de fourbure chronique ont besoin de fers orthopédiques et de soins constants; si le sabot se déforme, il est improbable que le cheval puisse travailler normalement. Dans certains cas, l’euthanasie est indiquée. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=500&cat=ferme
  12. Is@

    Charbon

    Le charbon ou fièvre charbonneuse est l’une des plus anciennes maladies qu’a connues l’humanité. Il est causé par une bactérie, Bacillus anthracis. La maladie est habituellement fatale pour les bovins, les moutons, les chèvres et les chevaux. Même si les porcs et les chiens résistent mieux à la maladie aiguë causant la mort, ils développent un gonflement important dans la région du cou. Des foyers de maladies ont été observés dans des groupes particuliers de faune comme le bison dans le parc national Wood Buffalo. Les bactéries du charbon se multiplient en conditions anaérobies (absence d’oxygène) et sont capables de former des spores lorsqu’elles sont exposées à l’air et à la chaleur. L’ouverture d’une carcasse ou les écoulements d’animaux infectés peuvent activer la formation de spores. Les spores sont très résistantes à la destruction et peuvent survivre pendant des périodes extrêmement longues. Dépendant des conditions locales, les spores de charbon peuvent survivre pendant des années dans le sol et l’eau. Elles peuvent également être transportées par la laine, les cuirs ou d’autres produits animaux infectés. Une fois que le charbon a été signalé dans une région, il peut reparaître si les conditions environnementales sont adéquates. Il est possible de transmettre le charbon d’un animal à un autre, mais la plupart des cas sont associés à l’exposition à des spores résultant d’anciens foyers d’infection qui se manifestent de nouveau sous la forme de bactéries, à la suite de modifications environnementales comme l’érosion ou une inondation. Symptômes Le charbon évolue si rapidement qu’il peut être difficile à diagnostiquer chez les animaux vivants. Les symptômes qui peuvent se manifester immédiatement avant la mort sont une fièvre élevée, des écoulements sanguinolents et un gonflement des régions du cou et des épaules. Même si l’infection par le charbon peut réagir à une thérapie antibiotique, la mort soudaine est habituellement le signe caractéristique de la maladie chez le bétail. Des vaccins sont disponibles pour protéger le bétail. Précautions à prendre La législation fédérale prescrit la déclaration obligatoire de tous les cas de charbon suspects. Si vous soupçonnez qu’un animal a succombé au charbon, communiquez immédiatement avec le bureau de district de santé des animaux de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) le plus près. Vous trouverez le numéro de téléphone de votre bureau local de l’ACIA dans les pages bleues de l’annuaire téléphonique sous gouvernement fédéral. Ne manipulez ni ne déplacez la carcasse. L’étape la plus importante de la lutte contre le charbon est la disposition adéquate des carcasses infectées conformément aux mesures officielles de lutte contre la maladie. L’ACIA applique un programme de lutte contre le charbon. Les troupeaux touchés sont vaccinés et mis en quarantaine pour une période qui prendra fin 30 jours après le dernier cas. Le gouvernement fédéral offre des indemnités, en vertu de la Loi sur la santé des animaux, aux propriétaires dont les animaux meurent du charbon, dans le cadre d’un programme officiel de lutte contre les maladies qui sont jugées présenter une menace pour le cheptel canadien et d’éradication de ces dernières. Incidence sur la santé humaine Le charbon est surtout une maladie du bétail, mais les gens qui sont exposés à une carcasse infectée ou à des spores de la bactérie provenant d’une autre source peuvent contracter les formes humaines de la maladie. Il existe trois modes de contamination par le charbon : inhalation - les spores de charbon sont aspirées par le nez ou la bouche; cutané - les spores pénètrent dans le corps par une plaie ouverte de la peau, comme une coupure ou une éraflure, lors de la manipulation de produits contaminés ou d’animaux infectés; intestinal - la maladie peut résulter de la consommation de viande contaminée. Le charbon ne peut se propager d’un humain à un autre et les antibiotiques peuvent servir à traiter la maladie chez les humains. Le charbon ne peut se propager d’un humain à un autre et les antibiotiques peuvent servir à traiter la maladie chez les humains. Source: Agence canadienne d’inspection des aliments http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=479&cat=ferme
  13. Les chiens peuvent développer des problèmes respiratoires qui imitent les rhumes d’humains. La cause du rhume humain, le rhinovirus humain, n’est pas considérée comme transmissible aux chiens, mais les animaux sont susceptibles à d’autres virus du groupe Picornavirus auquel appartient le rhinovirus. Mentionnons les Calicivirus qui affectent les chats et le virus de la fièvre aphteuse qui touche les animaux à onglons, comme les moutons, les chèvres, le bétail et les porcs. Des infections, des allergies et d’autres affections (p. ex., corps étrangers, irritants, cancer) peuvent provoquer des maladies du voies nasales, du pharynx, du larynx, de la trachée et des poumons des chiens. La rhinite (cavité nasale), la sinusite (cavités des sinus de la tête), la laryngite (larynx), l’amygdalite, la trachéite (trachée), la bronchite (voies respiratoires) et la pneumonie peuvent être présents seuls ou conjointement. Nous qualifions une maladie de rhinosinusite lorsque l’affection respiratoire se trouve principalement au niveau des voies respiratoires supérieures, soit dans les cavités du nez et des sinus. La trachéobronchite est le terme employé lorsque l’infection se loge dans les voies respiratoires inférieures, dans la trachée et les poumons. Les agents infectieux peuvent inclure l’Adénovirus, le Parainfluenza, le Réoviridae ou le virus de l’herpès canin. Des agents bactériens incluent couramment Bordetella, Staphylococcus, Streptococcus et E. Coli. Des infections fongiques et les parasites peuvent aussi être en cause. Des vaccins préventifs sont disponibles pour certains de ces agents bactériens et viraux. En 2005, une nouvelle variante du virus de la grippe équine a émergé aux États-Unis, provoquant la maladie chez les chiens, mais elle n’est pas encore répandue. Cette variante pourrait devenir une autre cause de maladie respiratoire chez les chiens. Consultez notre article sur la grippe canine pour en savoir plus long sur cette nouvelle maladie émergente. Les affections respiratoires peuvent être chroniques (à long terme) ou aiguës (à court terme). Parfois, une combinaison des facteurs causaux peut entraîner des symptômes. Par exemple, les chiens atteints d’affections respiratoires réactionnelles chroniques (allergiques) sont plus susceptibles aux infections. Plusieurs agents peuvent aussi être présents. Souvent, un virus déclenche la maladie et, une fois que les défenses du patient sont affaiblies, les bactéries peuvent s’établir et compliquer l’état du patient. Certaines de ces affections peuvent être graves et progressives, particulièrement si elles ne font pas l’objet d’une intervention. Votre vétérinaire peut vous conseiller sur les traitements qui aident à contrôler ou à éliminer ces signes anormaux. Si une infection bactérienne est confirmée, le vétérinaire pourra prescrire un antibiotique. Parfois, des broncho-dilatateurs ou antihistaminiques sont prescrits. On peut aussi recommander des soins infirmiers, comme l’exposition à de l’air chaud et humidifié. Les soins suggérés dépendront entièrement du diagnostic posé pour un patient particulier. Une fois que le vétérinaire a effectué un examen médical professionnel, il est possible que certains tests de diagnostic, comme une culture pour déceler des agents infectieux, la numération globulaire ou des radiographies, soient aussi suggérés source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=715&cat=chiens
  14. La giardiose, parfois aussi appelée lambliase, est une infestation des intestins par un minuscule parasite monocellulaire qui peut provoquer une diarrhée malodorante, des flatulences, des ballonnements de l’abdomen ou aucun symptôme clinique. La seule façon de prévenir une infection périodique est d’empêcher l’exposition à la source du parasite. Les étangs, les rivières et les lacs sont des sources communes et, parfois, les parasites Giardia contaminent même les sources d’approvisionnement des aqueducs municipaux. S’il se produit des épisodes répétés de giardiose, discutez de la situation avec votre vétérinaire. Même s’il existe des traitements, la résistance aux traitements est possible et l’efficacité du traitement n’est pas garantie à 100 %. Les humains peuvent contracter le parasite de la même source que les chiens et il donc important pour la santé publique de ne pas consommer l’eau contaminée. À moins que les chiens ne soient très jeunes, débilités ou atteints d’un trouble immunitaire associé au cancer ou à une pharmacothérapie immunodépressive, la giardiase n’est pas considérée comme un parasite ayant une incidence grave, mais, évidemment, la diarrhée malodorante et les gaz créent une situation désagréable pour l’animal de compagnie ainsi que pour la famille! De plus, lorsque nous avons affaire à des maladies et des parasites communs aux humains et aux animaux de compagnie, il faut offrir un traitement efficace. Parlez à votre équipe de soins vétérinaires à propos des stratégies de prévention. Il est parfois possible de prévenir de nouveaux problèmes en prenant de simples précautions et, dans d’autres cas, on pourra recommander un traitement et un programme de suivi. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=662&cat=chiens
  15. Les chiens peuvent souffrir de douleurs au cou et au dos tout comme les personnes! Le nom officiel de cette affection dégénérative des disques de la colonne vertébrale est maladie intervertébrale du disque. La colonne vertébrale se compose de l’épine dorsale, des os du dos et de leurs structures de soutien. Les os du dos s’appellent des vertèbres et leur fonction consiste à protéger l’épine délicate qui se trouve à l’intérieur. La colonne vertébrale fournit aussi le soutien et la flexibilité au corps. Entre chaque vertèbre, un disque intervertébral flexible agit comme coussin entre les os durant le mouvement. Ces disques peuvent parfois s’endommager, ce qui provoque de l’enflure. Parce que la colonne vertébrale est enveloppée d’une gaine, les disques protubérants exercent de la pression sur la colonne vertébrale et les nerfs qui quittent la colonne. Parfois, les disques se fracturent et cela peut exercer une énorme pression sur la gaine de la colonne vertébrale et les racines nerveuses, provoquant un dysfonctionnement nerveux important. La douleur est un signe très important de la maladie des vertèbres et elle est associée à de la raideur, de la boiterie, des orteils repliés et même à la perte de sensations douloureuses, selon la partie de la colonne touchée. Une protrusion subite ou aiguë s’appelle une protrusion herniaire Hansen de type I; si l’affection est chronique, il s’agit d’une protrusion herniaire Hansen de type II. Une extrusion de type I est plus fréquemment observée chez les petits chiens comme les Dachshunds, les Beagles, les Caniches et les Cocker Spaniels, tandis que le type II est plus courant chez les races de grands chiens comme les Dobermans. Maladie intervertébrale des disques cervicaux (cou) Si un disque ou des disques sont atteints dans la région du cou, un signe type est la douleur intense lorsque l’on bouge le cou. Le chien peut résister tout geste pour tourner, soulever ou baisser la tête, avoir des spasmes musculaires et des dysfonctions des pattes avant ou, parfois, toutes les pattes peuvent être dysfonctionnelles. La douleur peut provoquer des gémissements ou des jappements plaintifs, particulièrement lorsque le cou est soulevé ou lorsque le chien fait un mouvement soudain de la tête. Maladie intervertébrale des disques thoraco-lombaires (bas du dos) Il s’agit de l’emplacement le plus courant de la maladie intervertébrale du disque. Les propriétaires observent souvent une posture courbée, une réticence ou une incapacité de grimper les escaliers ou de sauter et la boiterie ou la paralysie des pattes arrière. Les chiens avec des pattes courtes et un long dos s’exposent à un plus grand risque d’être atteints de la maladie des vertèbres du bas du dos en raison de la pression accrue sur la colonne vertébrale. Les chiens qui sont obèses ou font de l’embonpoint sont plus à risque d’éprouver ce problème vu qu’ils transportent un fardeau supérieur sur la colonne en raison de ces livres excédentaires — l’obésité fatigue les structures de soutien du dos. Parfois, si le problème de disque est grave, un chien peut devenir paralysé et avoir des problèmes à uriner et à évacuer des selles. Tout signe de douleur dans le dos ou le cou devrait être pris au sérieux et exige l’attention immédiate d’un vétérinaire. Si cette affection est traitée rapidement, il est possible de prévenir toute perte permanente de fonction dans de nombreux cas. Afin de localiser le problème, les radiographies et d’autres tests d’imagerie peuvent être recommandés. La myelographie est une intervention diagnostique qui utilise un colorant injecté dans la colonne vertébrale pour visualiser les points de compression et c’est un outil important pour bien comprendre le problème. Si l’imagerie par résonance magnétique est disponible, il s’agit d’un excellent outil de visualisation, quoique coûteux. Les traitements de la maladie des vertèbres varient du repos aux médicaments, en passant par l’intervention chirurgicale, cette dernière étant utilisée pour soulager la compression. Le régime thérapeutique exact dépend de la gravité du problème. Si l’animal touché fait de l’embonpoint, un programme de perte de poids sera recommandé. Le repos en chenil est un élément important de la thérapie et, pour certains chiens, des restrictions permanentes des activités devraient être mises en place pour aider à prévenir les rechutes. Un système de catégorisation est utilisé pour la maladie des vertèbres dans le bas du dos afin d’aider les propriétaires à comprendre les chances de rétablissement. Les chiens de premier degré éprouvent de la douleur, mais toutes les fonctions sont normales. Les chiens de deuxième degré peuvent manifester de légères dysfonctions des membres, les chiens de troisième degré des dysfonctions modérées et les chiens de quatrième degré peuvent éprouver une perte de mouvement des membres (parésie), mais toujours ressentir les sensations profondes. Les chiens de cinquième degré ont perdu toute sensation de douleur et peuvent être complètement paralysés. Si un chien a perdu la sensation de la douleur profonde dans les pattes et est incapable de bouger ses membres, le pronostic est mauvais, mais de nombreux chiens avec une perte modérée de fonction (jusqu’au quatrième degré) peuvent recouvrir l’usage de leurs membres et être soulagés de la douleur si l’on prodigue rapidement un traitement. Même certains chiens de cinquième degré peuvent recouvrir une bonne partie de leur fonction normale, mais seulement si les interventions se font rapidement. Il est important de ne pas retarder le traitement de la maladie des vertèbres! Contactez immédiatement votre vétérinaire si votre chien manifeste des signes de douleur dans le dos ou le cou ou éprouve des difficultés à bouger. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=639&cat=chiens
  16. Cette maladie, qui se manifeste par une perte de poils (alopécie) accompagnée du noircissement de la peau (hyperpigmentation), est souvent appelée « alopécie X ». D’autres noms s’appliquent aussi à cette affection, notamment « coat funk », syndrome pseudo-Cushing et syndrome de perte de poils sévère. Chez les Poméraniens, on soupçonne que cette affection est un trouble d’hérédité lié à l’X étant donné que beaucoup plus de mâles que de femelles sont touchés. De la recherche est en cours pour identifier un marqueur génétique lié qui permettra éventuellement de déceler, à l’aide de tests, la présence de cette affection chez les chiens de cette race. D’autres races présentant une prévalence accrue de cette maladie incluent notamment le Malamute de l’Alaska, le Keeshond, le Caniche, le Dachshund, le Chow Chow, le Samoyède et l’Épagneul d’eau américain. Une alopécie provoquée par les hormones de croissance est diagnostiquée chez beaucoup de chiens atteints de cette affection. Cependant, ce ne sont pas tous les chiens touchés qui affichent des taux anormaux d’hormones de croissance et, même si de nombreux chiens atteints développent des signes anormaux après la puberté, les chiens de tout âge peuvent être touchés. Chez les Poméraniens, les signes tardifs d’apparition sont parfois associés à des taux réduits de 21-hydroxylase, des enzymes associés à la transformation de certains précurseurs des hormones de reproduction. À l’heure actuelle, cette affection est toujours considérée comme une maladie d’origine inconnue étant donné que ces symptômes de perte de poils et de peau noire ne sont pas toujours associés à de tels changements hormonaux. Les autres affections qui peuvent imiter cette maladie, comme la maladie de Cushing, l’hypothyroïdie, des infections chroniques de la peau et des troubles des hormones de reproduction, devraient toutes êtres éliminées par voie d’analyses. Si l’affection est attribuable à une déficience hormonale confirmée par des tests de laboratoire, une hormonothérapie sera prescrite. La durée des bienfaits peut s’échelonner de six mois à quelques années. Vu que l’hormonothérapie peut déclencher un effet secondaire de diabète, le vétérinaire traitant recommandera une surveillance hebdomadaire de l’urine et de la glycémie pendant le traitement. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=583&cat=chiens
  17. Pourquoi tourne-t-il en rond la nuit? Pourquoi est-elle impatiente avec les enfants? Pourquoi notre chien s’oublie-t-il après toutes ces années? Pourquoi a-t-il le regard fixe et semble-t-il désorienté? Pourquoi hurle-t-elle? Pourquoi reste-t-il couché et fait-il comme si nous n’existions pas? Ce sont là des questions importantes que les propriétaires posent à leur vétérinaire. Ces symptômes sont-ils simplement dus au vieillissement, ou à une anomalie? Le syndrome du dysfonctionnement cognitif (SDC) ou trouble cognitif canin (TCC), que l’on appelle aussi « sénilité », se traduit par une perte graduelle des facultés cognitives, comme la conscience, la perception de l’entourage, la capacité d’apprendre et la mémoire. L’entourage du chien peut remarquer ces symptômes sans savoir qu’il s’agit d’un trouble traitable. Le SDC ne touche pas que les chiens très âgés. Les chiens arrivés au dernier tiers de leur vie — à partir de l’âge de huit ans, en moyenne — peuvent être atteints. Un animal vieillissant peut perdre de la mobilité, avoir une fonction immune affaiblie, un métabolisme plus lent, une masse musculaire et osseuse réduite, ainsi qu’une diminution de l’odorat, de l’ouïe et de la vue. Ces signes de vieillissement sont tous normaux. Le SDC se traduit par des changements comportementaux qui peuvent rompre le lien étroit qui existe entra la famille et l’animal, à mesure que le tempérament change ou que l’animal devient incontinent. Si votre chien âgé a des comportements inhabituels, dites-le à votre vétérinaire. Il voudra connaître tous les détails liés au problème, et faire un examen physique et neurologique complet. Des tests sanguins, une analyse de l’urine, des radiographies et d’autres tests peuvent permettre d’écarter d’autres maladies qui causent les mêmes troubles. Soulignons que le SDC peut aussi toucher des chiens âgés et souffrant d’autres maladies; en pareil cas, le diagnostic peut être difficile à poser puisque les symptômes se chevauchent. Le dysfonctionnement cognitif se caractérise par les symptômes suivants : * perte de poids, changement d’appétit * confusion, désorientation, regard troublé ou fixe, égarement * altération des habitudes de sommeil et de veille * oubli des comportements appris, comme l’obéissance et la propreté * changement des rapports avec la famille, comme de la réserve, de l’agressivité, la perte de la reconnaissance de la voix ou des personnes * manifestations vocales anormales — hurlements ou aboiements répétés Si le dysfonctionnement cognitif est en cause, le l-déprényl, un médicament d’ordonnance, peut aider à atténuer les symptômes en augmentant la concentration de dopamine au cerveau. La dopamine est un neurotransmetteur qui protège les neurones et dont une trop faible concentration peut compromettre la capacité de réfléchir. Signalez à votre vétérinaire les changements de comportement de votre animal, pour qu’il puisse l’évaluer et le traiter adéquatement. Il n’y a pas de remède au SDC : le traitement a pour objet d’améliorer la qualité de vie de l’animal et de freiner la progression des symptômes. Seul votre vétérinaire peut déterminer le meilleur traitement pour votre chien. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=554&cat=chiens
  18. Il existe un large éventail de traitements de l’arthrite (aussi appelée « arthrose » ou «maladie dégénérative des articulations ). * Assurer un repos suffisant. Les animaux de compagnie qui souffrent d’arthrite ont besoin de repos, afin de réduire l’inflammation et de renforcer les articulations. L’exercice et l’utilisation excessifs des articulations atteintes intensifient les symptômes et risquent d’accélérer la détérioration des articulations. Malheureusement, il est souvent difficile d’évaluer la quantité de repos et d’exercice dont un animal a besoin. Trop d’exercice risque d’aggraver son état et pas assez, de réduire son tonus musculaire. Votre vétérinaire peut vous aider à déterminer la quantité idéale d’exercice pour votre animal. * Éviter les efforts intenses. En général, toute activité qui provoque une boiterie marquée et persistante chez votre animal est excessive et son intensité devrait être réduite. Évitez l’exercice intense et les efforts prolongés, qui risquent d’accélérer la détérioration des articulations. * Doser l’exercice. Une somme adéquate d’exercice contribuera au maintien du tonus musculaire et de la souplesse des articulations. L’absence d’exercice est aussi dommageable que l’excès. Vous pouvez faire plusieurs courtes promenades en laisse chaque jour, et les faire alterner avec de brèves périodes de repos. La natation est un exercice idéal, car elle ménage les articulations. À mesure que votre animal prend des forces et s’il ne présente aucun effet secondaire néfaste (comme de la boiterie, de la douleur, de la raideur et de la réticence à marcher), vous pouvez prolonger et intensifier l’exercice. Si des effets néfastes se manifestent, réduisez la quantité d’exercice. Votre vétérinaire peut, là aussi, vous fournir des conseils utiles. * Réduire le poids de l’animal. Les animaux obèses devraient suivre un régime amaigrissant. L’obésité impose un stress indu aux articulations et risque d’en accélérer la détérioration. * Soulager la douleur. Il existe divers produits qui soulagent les chiens atteints d’arthrite et leur redonnent leur mobilité. Les suppléments alimentaires (comme le sulfate de glucosamine et le sulfate de chondroïtine), les corticostéroïdes et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), administrés seuls ou en association, peuvent être utiles. L’arrivée récente de nouveaux médicaments, comme MetacamMD (méloxicame) et RimadylMD (carprofène), a transformé la manière dont les vétérinaires traitent l’arthrite. Ces nouveaux AINS sont très efficaces et la tolérance à long terme des patients est bonne. Votre vétérinaire peut vous indiquer quel traitement convient le mieux à votre chien. En général, les chats n’ont pas besoin de médicament contre l’arthrite car cette maladie ne les atteint pas au même degré. * Recourir à la chirurgie. La chirurgie n’est indiquée que dans de rares cas. Ainsi, une soudure osseuse peut contribuer à réduire la douleur ou à rétablir une certaine mobilité. Dans d’autres cas, l’installation d’une prothèse (par ex., à la hanche) ou le retrait de fragments d’articulation peuvent aider l’animal. Toutefois, dans la plupart des cas, la chirurgie ne représente pas un traitement adéquat contre l’arthrite. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=417&cat=chiens
  19. La dermatite attribuable à l’inhalation d’agents allergènes, aussi appelée « atopie », est un trouble héréditaire qui, comme la fièvre des foins chez les humains, rend les chiens sensibles ou allergiques aux agents allergènes aériens présents dans l’environnement. L’atopie cause des démangeaisons qui, le plus souvent, poussent l’animal à se frotter la face (notamment autour des yeux, des oreilles et du museau) et à se mordre, mordiller et lécher les pattes, les aisselles et l’aine. La démangeaison finit par s’étendre à tout le corps. Il existe divers moyens de traiter l’atopie. Ainsi, le traitement aux acides gras oméga est efficace pour réduire les démangeaisons chez 30 à 40 p. 100 des chiens allergiques. Les antihistaminiques sont très efficaces pour enrayer les symptômes de l’allergie chez les humains. Toutefois, ce résultat n’a pas été avéré chez les animaux. Chez les chiens, certains antihistaminiques sont plus efficaces que d’autres. Consultez votre vétérinaire à ce sujet. La prednisone est le seul médicament qui enraye systématiquement les démangeaisons. Malheureusement, elle produit de nombreux effets secondaires, comme une soif intense et de nombreuses mictions, des changements d’humeur, l’amincissement de la peau et une plus grande vulnérabilité aux infections, comme celle de la vessie. Malgré ces effets secondaires éventuels, la prednisone reste souvent la seule solution quand les autres médicaments ont échoué. Certains traitements topiques aident aussi à réduire les démangeaisons. Les shampooings thérapeutiques, surtout ceux qui contiennent de l’avoine, de l’hydrocortisone ou des antihistaminiques, sont particulièrement efficaces, bien qu’ils exigent plus de travail. Les crèmes et les onguents topiques, bien qu’efficaces, sont généralement peu pratiques car le patient les lèche. L’immunothérapie (aussi appelée désensibilisation par voie d’injections) est sûre et efficace. Il faut d’abord procéder à des tests pour déterminer la cause des allergies de l’animal. Ces tests peuvent comprendre une intradermo-réaction (injection sous la peau de divers agents allergènes) ou un simple test sanguin. Une fois les résultats en main, votre vétérinaire peut déterminer ce à quoi votre animal est allergique et commencer à lui administrer des injections pour soulager la démangeaison. Au fil des injections, l’animal se désensibilise aux agents allergènes. L’immunothérapie est bénéfique pour environ 70 à 80 p. 100 des chiens souffrant d’atopie. Dans certains cas, d’autres médicaments sont nécessaires, mais les doses et les fréquences sont moindres. Si votre vétérinaire ne fait pas de tests d’allergie, il peut vous recommander un collègue qui dispose de l’équipement nécessaire. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=413&cat=chiens
  20. La pyodermite est une infection cutanée locale généralement causée par une bactérie appelée Staphylococcus intermedius, bien que d’autres bactéries puissent être présentes. Dans la plupart des cas, la cause fondamentale demeure inconnue, mais l’affection est souvent due à des facteurs secondaires comme des puces, la gale, des bactéries, des allergies ou des irritants (comme un shampoing trop fort). Dans certains cas, elle peut être causée par une carence grave d’un acide gras essentiel. On croit que l’augmentation de la température et de l’humidité peut favoriser l’apparition de l’infection. C’est probablement pourquoi la pyodermite semble plus fréquente en été qu’en hiver. Elle peut souvent se manifester après une baignade dans un lac ou une rivière, sans doute à cause du changement de température et d’humidité du microenvironnement de la peau. Les chiens qui sont sujets aux allergies sont plus vulnérables à la pyodermite que les autres. On a déjà cru que toutes les pyodermites étaient semblables, de sorte qu’on les traitait toutes de la même manière. Toutefois, la recherche a démontré qu’il existe deux formes de pyodermite : la pyodermite superficielle et la pyodermite profonde. La détermination du type de pyodermite aidera le vétérinaire à choisir le traitement adéquat et peut-être à cerner la cause de l’affection. La pyodermite superficielle, comme son nom l’indique, affecte la surface de la peau et se présente sous la forme d’une plaque humide, enflammée et ulcérée, qui démange et dont le poil est terne. Le traitement consiste à raser la région affectée, à la nettoyer avec un savon médicamenteux et de l’eau, puis à appliquer un médicament topique. Quant à la pyodermite profonde, bien qu’elle se manifeste aussi par de la démangeaison, de l’ulcération et de l’inflammation, elle diffère de la pyodermite superficielle en ce qu’elle s’accompagne d’une infection profonde et de suintement. Outre le traitement topique, il faut aussi administrer des antibiotiques. Elle touche surtout les jeunes chiens, et les races les plus vulnérables sont le golden retriever et le Saint-Bernard. La prévention des rechutes est difficile, voire impossible, à moins de déterminer la cause sous-jacente. Si ce n’est pas possible, il y a quand même moyen de réduire les risques de pyodermite. Ainsi, les shampoings médicamenteux (contenant, par exemple du peroxyde de benzoyle) donnés régulièrement peuvent prévenir les rechutes. Les suppléments d’acides gras essentiels peuvent aussi s’avérer utiles. La détection précoce de la pyodermite fait aussi partie des mesures efficaces de prévention. Si votre chien présente une pyodermite, consultez votre vétérinaire pour qu’il soulage l’animal, et qu’il détermine la cause et le traitement à administrer. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=457&cat=chiens
  21. syndrome de Cushing comprend plusieurs maladies qui atteignent un patient exposé à une quantité excessive d’hormones stéroïdiennes (appelées « glucocorticoïdes »). Il se manifeste quand le corps produit trop de stéroïdes, généralement à cause d’un trouble de la glande pituitaire (par ex., une tumeur ou une hypertrophie), d’une tumeur de la glande surrénale ou d’une surdose de médicaments stéroïdiens. Dans 80 à 85 p. 100 des cas, la production stéroïdienne excessive est due à une tumeur de la glande pituitaire, logée dans le cerveau. Le syndrome de Cushing est extrêmement rare chez les chats, mais on le diagnostique régulièrement chez les chiens, surtout ceux d’âge moyen et ceux qui pèsent moins de 20 kilogrammes. Les races les plus atteintes sont tous les Caniches et Terriers, le Beagle, le Boxer et le Berger allemand, mais les chiens de toutes les races peuvent être atteints. La maladie évolue très lentement et, au début, peu de propriétaires remarquent que leur animal est malade. Il faut parfois entre six mois et six ans avant que le diagnostic soit posé, car les changements surviennent très graduellement et beaucoup de propriétaires croient qu’ils sont attribuables au vieillissement. Les premiers symptômes, et les plus courants, du syndrome de Cushing sont la soit intense et la miction excessive (l’animal atteint boit et urine abondamment). Il peut même vouloir sortir la nuit pour uriner, ou avoir des « accidents » dans la maison. Son appétit peut aussi augmenter au point où il volera de la nourriture, mangera des déchets et quémandera à table. Cette augmentation de l’appétit peut inciter le propriétaire à croire que son animal n’est pas malade. Les autres symptômes courants du syndrome de Cushing sont l’augmentation du volume de l’abdomen (aspect pansu), la léthargie, le halètement, la faiblesse musculaire et de fréquentes infections de la peau. Le chien atteint perd aussi beaucoup de poil au tronc, mais pas à la tête ni aux membres. Des épreuves sanguines permettent de diagnostiquer la maladie. Le traitement du syndrome de Cushing vise à diminuer ou à stopper la production exagérée stéroïdes. Si une tumeur est en cause, il pourrait y avoir ablation chirurgicale de cette tumeur ou de la glande surrénale. Si la chirurgie n’est pas possible, on peut administrer des médicaments comme le mitotane, le kétoconazole et, depuis peu, la 1-sélégiline (Anipryl MD). Anipryl MD (l-sélégiline) est un nouveau médicament utilisé depuis peu pour traiter le syndrome de Cushing. Contrairement au mitotane, qui détruit des parties de la glande surrénale pour bloquer la production de stéroïdes, la l-sélégiline favorise la normalisation du métabolisme d’une substance appelée « dopamine ». La production stéroïdienne se stabilise et les symptômes s’atténuent. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=398&cat=chiens
  22. Les mites d’oreilles sont de petits parasites acariens appelés Otodectes cyanotis qui peuvent infester les conduits auditifs des chiens et des chats. Ils causent de graves démangeaisons qui poussent l’animal à se gratter si violemment les oreilles qu’il se cause des blessures graves. Dans la plupart des cas, cette démangeaison est due à une allergie aux acariens. Les oreilles infestées contiennent généralement des débris de croûtes brunes ou noires. Les mites d’oreilles se transmettent facilement d’un animal à un autre par simple contact. Les mites d’oreilles n’infeste pas les humains. Le traitement d’une infestation de mites d’oreilles est simple : il s’agit d’appliquer un médicament dans le canal auditif ou d’administrer un médicament par voie orale ou par injection. Tous les animaux infestés ou qui sont en contact avec des animaux infestés doivent être traités. Dans certains cas, il faut aussi désinfecter l’environnement avec un produit antipuces. Il est préférable de consulter un vétérinaire pour connaître les traitements les plus récents plutôt que d’acheter des médicaments en vente libre. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=296&cat=chiens
  23. La panostéite est une maladie inflammatoire qui atteint les os des jeunes chiens. Elle cause une boiterie soudaine et intermittente. La maladie touche particulièrement certaines races canines, notamment les Bergers allemands, surtout les mâles. Les chiens âgés de cinq à douze mois sont les plus vulnérables, bien que la maladie puisse se manifester dès l’âge de deux mois et jusqu’à l’âge de cinq ans. La panostéite affecte habituellement les os longs, et rarement plus d’un membre à la fois. Une fois qu’un os a été touché, il est rare qu’il le soit de nouveau. Par conséquent, un chien peut boiter d’une patte pendant un certain temps, cesser de boiter, puis boiter d’une autre patte. La cause de la panostéite demeure inconnue. Des experts croient que des facteurs héréditaires sont en cause, puisque la maladie semble se manifester dans certaines lignées. L’alimentation ne semble pas être déterminante, mais les allergies, les troubles métaboliques, les infections, les dysfonctions du système immunitaire, le parasitisme et les troubles hormonaux sont des causes possibles. La plupart des chiens touchés se rétablissent sans traitement vers l’âge de deux ans. Jusque là, les épisodes de boiterie plus ou moins marquée et de durée variable peuvent survenir à intervalles irréguliers de deux ou trois semaines, et ils peuvent durer de quelques jours à quelques semaines. Les épisodes de boiterie peuvent se présenter de différentes façons : ainsi le chien peut boiter que légèrement, mais il peut aussi cesser complètement de se porter sur le membre touché. À mesure que le chien vieillit, les épisodes de boiterie s’atténuent et les intervalles de rémission se prolongent. La maladie finit éventuellement par disparaître. Le patient cesse alors d’avoir mal et les signes cliniques se dissipent. Pour diagnostiquer la panostéite, le vétérinaire doit faire des radiographies du membre touché. Une fois le diagnostic de panostéite posé, votre vétérinaire pourra vous proposer des médicaments pour soulager la douleur et l’inflammation. La prednisone soulage efficacement la douleur et atténue la boiterie, mais elle ne guérit pas la maladie. La réduction de l’exercice et le repos forcé ne semblent pas faire de différence. Par contre, il faut éviter l’exercice excessif. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=299&cat=chiens
  24. le chien de ma mère a ça parfois, c'est assez spectaculaire et effrayant quand on sait pas ce que c'est !! un bon truc pour faire passer ça plus vite : obstruez la truffe de votre chien pour le forcer à respirer par la gueule. et si il est pas trop lourd, dans le même temps sur-élevez son train arrière. ça marche !!
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