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  1. Un éternuement inversé (ou rétro-éternuement) est un épisode soudain d’inspiration laborieuse et bruyante qui se manifeste souvent chez les petites races de chiens comme le Lhassa Apso, le terrier Yorkshire et le Caniche. L’éternuement inversé se manifeste souvent lorsque le chien boit ou qu’il est excité. Les épisodes sont d’une durée allant de quelques secondes à plusieurs minutes. Bien que la crise typique ne dure qu’une ou deux minutes et qu’elle n’entrave pas la respiration, elle peut causer de la détresse chez l’animal et surtout chez son propriétaire. Les chiens qui commencent à éternuer à l’envers le font souvent toute leur vie. Chez ces chiens, un examen médical ne révèle généralement pas d’anormalies des voies nasales, de la gueule ni de la gorge. L’état n’a pas tendance à s’aggraver et aucun traitement n’est recommandé ou nécessaire. Un massage du cou durant une crise peut aider l’animal à se remettre plus rapidement. Si les éternuements inversés s’accompagnent d’autres signes de problèmes respiratoires, notamment si l’animal perd connaissance, s’il se fatigue vite lorsqu’il fait de l’exercice ou s’il tousse, il se pourrait qu’une autre affection (p. ex., une obstruction ou une maladie des voies respiratoires) soit en cause et vous devriez consulter votre vétérinaire. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=325&cat=chiens
  2. La parvovirose (entérite causée par le parvovirus canin) est une maladie très contagieuse qui atteint le système digestif des chiens. La parvovirose ’entérite à parvovirus a fait son apparition à la fin des années 70. Depuis, nous avons beaucoup appris sur cette maladie, y compris le fait qu’elle est transmise par voie orale ou fécale. Une grande quantité du virus est répandue par les excréments des chiens infectés, pendant une période allant jusqu’à deux semaines après l’infection de l’animal. Puisque le virus est très résistant, il peut survivre et demeurer contagieux pendant des mois dans l’environnement, et il est très difficile à détruire avec des désinfectants. Quand un chien non vacciné est exposé au virus, il peut manifester des symptômes de la maladie après seulement cinq jours. Ces symptômes comprennent la perte d’appétit, la léthargie, la fièvre, les vomissements, et une diarrhée abondante et habituellement sanguinolente. Dans les cas graves, la maladie peut être mortelle, généralement à cause de la déshydratation, de la forte ampleur de l’infection ou d’un état de choc. C’est surtout le cas chez les jeunes chiens non vaccinés (particulièrement entre le sevrage et l’âge de six mois), bien que les chiens de tous âges puissent contracter l’infection. Certaines races, comme le Rottweiler et le Doberman, sont plus vulnérables. L’infection à parvovirus peut se produire dans l’utérus, pendant la gestation, ou peu après la naissance, et causer une inflammation aiguë du muscle cardiaque des chiots (appelée myocardite). Si cette affection était courante quand la maladie a fait son apparition, il y a 25 ans, elle est maintenant rare car la plupart des chiennes sont protégées (habituellement par un vaccin) contre le virus et elles transmettent leurs anticorps à leurs petits. Souvent, une diarrhée sanguinolente chez un chien laisse croire à l’entérite à parvovirus. Un simple test peut être effectué rapidement et à peu de frais dans un hôpital vétérinaire. Heureusement, la plupart des chiens se rétablissent quand le traitement est instauré hâtivement. De fait, un animal qui survit aux trois ou quatre premiers jours de la maladie a de très bonnes chances de se rétablir complètement, à moins de complications. Puisque le virus est si résistant et qu’il peut survivre longtemps dans l’environnement, il est quasi impossible de prévenir l’exposition. La vaccination demeure la seule façon efficace de prévenir la maladie et de la contrôler. Votre vétérinaire peut vous conseiller sur le protocole de vaccination qui convient le mieux à votre chien. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=320&cat=chiens
  3. Les glandes anales consistent de deux petits sacs situées de part et d’autre de l’anus. Elles semblent avoir peu d’utilité et leur véritable raison d’être demeure inconnue. La plupart des chiens vident eux-mêmes leurs glandes anales lorsqu’ils défèquent ou qu’ils font de l’exercice. Lorsqu’elles ne se vident pas naturellement, c’est qu’elles sont obstruées pour une raison ou une autre. Il y a effectivement diverses explications à l’engorgement des glandes anales des chiens et des chats. Certains animaux peuvent avoir des problèmes de glandes anales parce que leur alimentation est faible en fibres. Un régime riche en fibres produit des selles volumineuses qui tendent à purger les glandes anales lors de la défécation. L’obésité et le manque d’exercice risquent aussi de favoriser l’engorgement des glandes anales. Quand les glandes anales ne se vident pas, l’animal a tendance à se frotter l’arrière-train sur le sol (on dit alors qu’il fait du traîneau), ce qui comprime les glandes permettant souvent la vidange. . S’il ne réussit pas, l’animal peut ressentir de l’inconfort, avoir à faire des efforts pour déféquer, et se lécher et se mordiller à l’excès dans la région anale. Sans traitement, l’animal pourrait alors s’infliger une irritation ou des blessures autour de l’anus. Certains chiens poursuivent leur queue et d’autres ont des sautes d’humeur. Il est prudent de consulter un vétérinaire si votre chien fait du traîneau. Le vétérinaire peut exprimer manuellement le contenu des glandes anales et éviter ainsi des complications. Le fait de vider fréquemment les glandes anales ne semble pas augmenter la rapidité avec laquelle ils s’engorgent. Les animaux chez qui on doit souvent vider les glandes anales devraient être évalués par un vétérinaire, pour éliminer toute possibilité d’un problème médical sous-jacent. Ainsi, les animaux peuvent frotter ou lécher leur région rectale pour d’autres raisons, comme des allergies (à des agents aériens ou à des aliments), des parasites intestinaux (comme le ver solitaire) et des tumeurs. L’infection des glandes anales est de loin la cause la plus fréquente des problèmes liés aux glandes anales et il faut administrer des antibiotiques pour l’éliminer. Si toutes les causes médicales ont été éliminées et que le problème persiste, la chirurgie pourrait représenter une solution raisonnable et efficace. Bien que la chirurgie puisse provoquer une perte du contrôle sphinctérien, cette complication postchirurgicale est rare. Votre vétérinaire est à votre disposition pour discuter des traitements possibles. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=289&cat=chiens
  4. Les chiens et les chats peuvent-ils attraper la gale? Que faire si cela se produit? La gale ou gale sarcoptique est une maladie de la peau causée par la mite parasite Sarcoptes scabiei. Ce parasite peut causer la gale chez les humains, les chiens, les cochons et les animaux sauvages comme les renards. Chez les chiens, le parasite peut être difficile à trouver et le diagnostic peut donc être difficile à établir. Habituellement, les mites se trouvent enfouies dans une couche de peau sur les deux côtés du coude, des oreilles ainsi que près des yeux et des tempes. Les démangeaisons sont le principal symptôme de cette affection. La peau devient rouge et encroûtée, avec de petits boutons, et il se produit une perte de poils. La peau peut aussi s’infecter. L’infestation peut se propager à de nombreux points du corps et être transmise à d’autres chiens. Les chats domestiques ne contractent pas la gale sarcoptique mais peuvent être victimes d’une affection galeuse semblable transmise par une mite appelée Notoedres cati. La gale faciale commence près des oreilles et se propage à la face, aux pattes et à d’autres parties du corps. C’est une autre affection qui présente des démangeaisons intenses. Des squames et la perte de poils sont habituels. Une infection secondaire peut aussi découler d’un grattage constant. Il s’est déjà produit un cas déclaré de gale chez un chat sauvage (ocelot) qui a été transmis à un humain, mais cela est extrêmement rare. Chez les chats et les chiens, l’otodecte Otodectes cynotis produit aussi des démangeaisons mais vit dans l’oreille. La gale démodectique, autre forme d’infestation de mites qui peut ne pas présenter de symptômes, occasionne une perte de poils autour des yeux ou se généralise et cause une grave gale de la peau. Votre vétérinaire peut avoir recours à des tests de diagnostic comme des grattages cutanés et des vérifications microscopiques pour identifier les parasites et confirmer la présence de la gale sarcoptique ou d’une autre forme de gale, comme la gale démodectique. Une fois que la gale est diagnostiquée, votre vétérinaire entamera rapidement un traitement. Chaque infestation de mite exige une thérapie différente. Il faudra tuer la mite elle-même et parfois prescrire aussi des médicaments pour combattre l’infection de la peau et les démangeaisons résultantes. Cela peut exiger quelque temps pour se défaire de la gale, mais avec des soins attentifs et un diagnostic précoce, le pronostic est excellent pour un rétablissement complet. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=670&cat=chats
  5. Les chats peuvent être infectés par un petit parasite des globules rouges anciennement appelé Hemobartonella felis. Cette maladie, qui est attribuable à une infection, est appelée anémie infectieuse féline. Les parasites responsables de la maladie ont été rebaptisés C. Mycoplasma haemominutum (CMhm), pour la souche de petite taille, et Mycoplasma haemofelis, pour les souches de grande taille. Il est important de faire cette distinction, car ces deux sous-types du parasite sanguin produisent des signes cliniques assez différents. La souche CMhm cause une anémie hémolytique de légère à modérée. Le terme «hémolytique» signifie qu’une faible numération des globules rouges ou une anémie résulte d’une fragmentation des globules rouges aussi appelée «lyse». Les souches de Mycoplasma haemofelis causent une anémie grave. La fièvre et la perte de poids et d’appétit, des muqueuses pâles et la léthargie sont des signes communément observés. Les voies de transmission des parasites entre les chats ne sont pleinement comprises, mais nous savons que les transfusions sanguines peuvent transmettre le parasite et que les chattes ont déjà infecté leurs chatons. Les puces peuvent agir comme vecteurs de transmission, mordant d’abord un chat infecté et propageant subséquemment le parasite lorsqu’un autre chat est mordu. Les plaies des morsures des chats peuvent également servir de voie de transmission. Un vétérinaire peut parfois voir les parasites dans des frottis sanguins examinés au microscope. Les parasites s’attachent à l’extérieur de la paroi du globule rouge. De plus, un test identifiant l’ADN du parasite peut être réalisé. Ce test de PCR-ADN peut être nécessaire pour parvenir à un diagnostic parce que les parasites ne se trouvent pas toujours dans le sang. Cette présence cyclique des parasites peut également porter votre vétérinaire à suggérer une série d’échantillons sanguins prélevés des jours différents. La souche du parasite la plus pathogène peut produire des taux de mortalité apouvant aller jusqu’à un cas sur trois pour les chats malades non traités, alors un traitement rapide est important. Les chats atteints d’infections virales chroniques, comme le virus de la leucose féline et le virus de l’immunodéficience féline, seront habituellement plus gravement affectés, et la co-infection par ces virus est courante chez les chats atteints d’hémobartonellose. Des antibiotiques, des traitements anti-inflammatoires et peut-être des liquides intraveineux et des transfusions de sang peuvent être requis. Le traitement n’élimine pas complètement le parasite, le chat continuera donc d’être porteur, mais les rechutes sont rares. Si votre chat manifeste des signes de maladie comme ceux énumérés ci-dessus, communiquez rapidement avec votre vétérinaire pour fixer un rendez-vous. Avec un traitement rapide, le pronostic de guérison est bon. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=559&cat=chats
  6. Chez les animaux, cette maladie s’appelle insuffisance surrénale ou encore hypocorticisme, et il s’agit d’ une maladie complexe. L’insuffisance surrénale est une carence hormonale causée par la production réduite de certaines hormones secrétées par les glandes surrénales, une paire de petites glandes très importantes situées sur la pointe supérieure de chaque rein. Deux grandes classes d’hormones peuvent être en cause : les glucocorticoïdes (cortisol) et les minéralocorticoïdes (aldostérone). Chez les chiens et les chats, les symptômes de cette maladie varient considérablement, selon le degré de carence hormonale. Certaines races de chien, comme le grand caniche, le rottweiler, le terrier blanc west-highland et le danois semblent vulnérables à cette maladie peu fréquente chez les chiens et très rare chez les chats. Les symptômes les plus courants sont les vomissements, la perte d’appétit, la léthargie, la perte de poids, et l’augmentation de la soif et des mictions. Certains chiens présentent aussi une diarrhée sanguinolente. Dans les cas graves, l’animal peut s’effondrer, sa température chuter, son pouls s’affaiblir et il peut se déshydrater. Souvent, les électrolytes sanguins, comme le sodium, le potassium et le chlorure, présentent un déséquilibre. Le taux de glycémie peut aussi être réduit et des résidus d’azote peuvent s’accumuler dans le sang. La production réduite d’hormone peut être causée par un dérèglement des glandes surrénales (c’est ce qu’on appelle la maladie d’Addison chez les humains) ou par une faible stimulation de la production hormonale par la glande pituitaire, qui se trouve dans le cerveau et qui régit le fonctionnement des glandes surrénales. L’hormone produite par la glande pituitaire, la corticotrophine, circule dans le sang et stimule la production hormonale des glandes surrénales. Les antécédents et l’examen physique de l’animal aident à déceler les effets de l’insuffisance surrénale, mais le diagnostic est confirmé par la numération globulaire, le profil sanguin et le niveau d’électrolyte, et un test de stimulation à la corticotrophine. Chez les animaux en santé, l’administration de corticotrophine fait augmenter le taux de cortisol sanguin, tandis que chez les animaux malades, ce taux est faible avant et après le test. Puisque la carence hormonale peut causer une réduction de la taille du cœur, les radiographies sont parfois utiles pour le dépistage. Votre vétérinaire établira un régime de traitement d’après la gravité des symptômes et la source du problème (glande pituitaire ou glandes surrénales). Le traitement consiste à soigner les symptômes chez les patients très malades, et à administrer des hormones pour le reste de la vie. Souvent, en période de stress, il faut augmenter la dose. Il est important que le vétérinaire suive l’animal de près quand il faut modifier le dosage. Ce suivi est essentiel et toutes les ordonnances doivent être scrupuleusement respectées. Une fois leur état stabilisé, beaucoup d’animaux mènent une vie normale. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=552&cat=chats
  7. La maladie intestinale inflammatoire (MII) est relativement répandue chez le chat. Il s’agit en fait d’un groupe d’affections caractérisées par l’épaississement de la paroi du gros ou du petit intestin. Cet épaississement est dû à de l’inflammation, c’est-à-dire à de l’œdème, ou enflure, ou à un influx excessif de cellules inflammatoires par rapport à une réaction inflammatoire normale. Cette réaction immune anormale est produite par une cascade (réaction en chaîne) excessive que le corps déclenche normalement à un degré moindre pour contrer l’effet d’irritants. Cette réaction inflammatoire excessive endommage les tissus et compromet l’équilibre délicat de la paroi intestinale, chargée de l’absorption des éléments nutritifs. Il s’ensuit une mauvaise digestion et de la diarrhée; l’irritation intestinale active aussi le réflexe de vomissement. Les vomissements sont le symptôme le plus fréquent chez le chat, et ils peuvent se manifester sans diarrhée. La production de gaz et les bruits intestinaux (flatulences et borborygmes) peuvent augmenter. Parfois, l’abdomen semble gonflé et il peut être sensible à la palpation. L’animal peut perdre du poids et son poil peut avoir mauvaise apparence, bien que certains chats conservent une apparence normale. On croit que certains agents infectieux, comme Giardia et Salmonella, ou une surproduction de la flore intestinale normale jouent un rôle dans la maladie, mais d’autres estiment que l’intolérance alimentaire est le principal déclencheur. La MII est probablement due à de nombreuses causes concourantes. Chez les chats, elle peut être associée à une inflammation du pancréas (pancréatite) et du foie (cholangiohépatite); il s’agit alors d’un syndrome appelé maladie triadique. Avant de diagnostiquer cette affection, il faut d’abord écarter de nombreuses autres maladies digestives. Chez les chats, le cancer de l’intestin, comme le lymphosarcome, peut produire un épaississement général de la paroi intestinale et une mauvaise digestion. Les déséquilibres hormonaux, comme l’hyperthyroïdie, peuvent produire de nombreux symptômes semblables. Les infections virales, les parasites et les allergies alimentaires sont également des causes à écarter. Les tests de diagnostic comprennent l’hémogramme complet, l’analyse de l’urine et des selles, le profil biochimique, le dépistage virologique (péritonite infectieuse féline, leucose féline) et la mesure du taux d’hormone thyroïdienne. Une radiographie et une échographie peuvent permettre d’écarter d’autres causes possibles, mais beaucoup de ces tests donneront des résultats normaux chez le chat atteint de MII. Il se peut qu’il faille effectuer une biopsie à l’aide d’un endoscope ou par voie chirurgicale. Les tissus prélevés sont transmis à un laboratoire où ils sont examinés au microscope. Le pathologiste peut alors repérer les signes de l’inflammation exubérante caractéristique de la MII. Selon le type de cellule inflammatoire présente, la MII est qualifiée d’éosinophile ou de lymphocytaire-plasmocytaire. Le traitement peut d’abord consister à prescrire une alimentation hypoallergène et à administrer un vermifuge prophylactique. Certains patients réagissent bien à cette stratégie, mais la plupart ont besoin de médicaments anti-inflammatoires ou immunomodulateurs, par exemple. L’un des médicaments les plus employés est le métronidazole, qui semble avoir notamment des propriétés immunomodulatrices, antiparasitaires et antibiotiques. Les chats détestent son goût, et ce médicament produit des effets secondaires, de sorte que les vétérinaires discutent à fond de son emploi avec les clients avec de l’inclure dans le traitement. Souvent, une combinaison de médicaments est prescrite. En général, les chats atteints de MII ne guérissent pas complètement, mais des soins et une alimentation appropriés permettent d’atténuer considérablement les symptômes. Dans certains cas, la MII se manifeste de manière cyclique, avec ou sans traitement. Parfois, il faut du temps pour vaincre les symptômes, et il est nécessaire d’essayer divers médicaments et d’en modifier la dose avant d’obtenir de bons résultats. Le vétérinaire adaptera le traitement aux besoins du patient et à sa réaction. Il n’y a pas de solution miracle, mais, avec de la patience, la plupart des chats voient leur état s’améliorer. Les examens de suivi sont nécessaires, et les clients doivent être disposés à suivre le traitement prescrit par le vétérinaire. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=520&cat=chats
  8. Les chats ne développent pas le même type de caries que les personnes — ces vilains petits trous noirs que nous détestons faire forer et obturer chez le dentiste! Les dents des chats peuvent avoir des trous, mais ils sont généralement de la même couleur que la dent et sont attribuables à la résorption de la dent plutôt qu’à la carie dentaire. Habituellement observées près de la gencive, ces « caries félines » ou « lésions du cou » sont maintenant appelées des lésions de résorption odontoclastique féline. Les lésions de résorption sont très douloureuses et causent souvent la fracture de la dent à la gencive. Une alimentation difficile, la salivation et la perte de dents représentent certains signes des « caries félines », mais parfois aucun symptôme n’est observé. Même s’il s’agit d’une maladie reconnue chez les chats domestiques et sauvages depuis les années 1920, il semble que, depuis la fin des années 1960, le nombre de chats affectés par ces lésions a monté en flèche. La recherche se poursuit pour découvrir la cause précise des lésions de résorption, mais des ostéoclastes hyperactifs (odontoclastes) ou cellules de résorption osseuse sont habituellement observées dans des échantillons de tissus. Il a été suggéré que certains facteurs puissent contribuer au risque de résorption dentaire focalisée, dont: * l’inflammation autour des dents (gingivite, maladie parodontale, tartre); * la résorption des ligaments soutenant la dent (détérioration des desmodontes, sans signe d’inflammation); * la diète (niveaux de magnésium, effet d’acidification); * le style de vie à l’intérieur, particulièrement dans les villes, et un approvisionnement d’eau urbain; * les gènes; * le stress dentaire découlant d’une malocclusion et d’une abrasion; * les maladies virales chroniques (particulièrement le virus de l’immunodéficience féline). La cause exacte des lésions de résorption odontoclastique fait toujours l’objet de recherches. Environ le tiers de tous les chats développeront des « caries félines » durant leur vie. Une étude effectuée auprès d’une population de chats en santé a indiqué la prévalence de ces problèmes dentaires chez presque 50 % des chats qui ont fait l’objet d’un examen radiographique dentaire et oral. Les chats plus âgés sont plus susceptibles aux lésions de résorption et les dents prémolaires inférieures sont les plus communément touchées. L’extraction des dents affectées est habituellement recommandée car des études sur la restauration des dents atteintes indiquent que plus des trois quarts des dents restaurées continuent de détériorer. Des mesures de prévention comprennent le brossage régulier des dents à la maison et peut-être des aliments non acidifiants avec des teneurs plus élevées en magnésium, en potassium, en calcium et en phosphore. Des recommandations plus précises devront attendre les résultats de nouveaux travaux de recherche. Entre-temps, parlez à votre vétérinaire au sujet des avantages que présentent des soins dentaires réguliers pour votre chat. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=565&cat=chats
  9. Le syndrome urologique félin (SUF) est une maladie des voies urinaires courante chez les chats; il se caractérise par une urine teintée de sang, des mictions fréquentes (avec ou sans efforts exagérés), des mictions à des endroits inusités et, dans certains cas, un blocage de la vessie entraînant la mort. Puisque les causes exactes du SUF demeurent inconnues, le traitement n’en pas toujours évident et surtout pas routinier. Ainsi, les cristaux qui se forment dans l’urine et qui finissent par former des calculs dans la vessie pourraient très bien être le résultat de la maladie plutôt que sa cause. Dans certains cas, l’administration d’antibiotiques peut éliminer ou atténuer le problème. Dans d’autres cas, il peut être nécessaire d’adopter un régime alimentaire à faible teneur en magnésium ou qui favorise l’acidification de l’urine. D’autres cas exigent une intervention chirurgicale. Compte tenu de ce que nous savons, les précautions suivantes peuvent aider à prévenir le SUF : Eau : L’animal devrait en tout temps avoir accès à de l’eau fraîche. Changez l’eau au moins deux fois par jour et encouragez l’animal à boire. Alimentation : Offrez au chat des aliments complets et équilibrés. Évitez les restes de table et les gâteries. Informez-vous auprès de votre vétérinaire à propos des aliments à faible teneur en magnésium et dont le pH est vérifié, qui sont vendus sur le marché. Obésité et exercice : Les chats qui sont en bonne forme physique et qui font suffisamment d’exercice risquent moins de souffrir du SUF et d’autres affections. Litière : Nettoyez souvent la litière et soyez à l’affût des dépôts inhabituels, comme des traces de sang dans l’urine. Comportement au moment des mictions : Observez votre chat et soyez particulièrement attentif à son comportement au moment de la miction. Les premiers symptômes du SUF ressemblent à ceux de la constipation (efforts exagérés). Si vous avez des doutes, consultez votre vétérinaire. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=401&cat=chats
  10. La panleucopénie, parfois appelé à tort « distemper félin », est une maladie très contagieuse chez les chats et elle s’attaque surtout au système digestif. Cette maladie a déjà été répandue mais, grâce à des vaccins très efficaces, elle est maintenant rare. Malheureusement, elle atteint encore les chats non vaccinés, surtout les chats errants ou ceux qui vivent dans les refuges et les granges. La panleucopénie féline est causée par un virus semblable à celui qui cause la parvovirose du chien. Le virus est répandu dans l’environnement par les excrétions corporelles (comme la salive et les excréments) pendant une période allant jusqu’à six semaines après l’infection, et il est très résistant à la plupart des désinfectants. En fait, il peut survivre pendant plus d’un an dans l’environnement. En plus de s’attaquer aux intestins, le virus de la panleucopénie atteint aussi les systèmes sanguin et lymphatique. Il peut aussi s’attaquer au fœtus et causer la mort fœtale ou des dommages cérébraux permanents chez les chatons. Les symptômes de la panleucopénie ressemblent à ceux que cause l’entérite à parvovirus chez le chien. Après avoir été infecté, le chat cesse de manger, devient abattu et une forte fièvre est observée. Des vomissements et une diarrhée graves surviennent, causant la déshydratation de l’animal et, souvent, la mort. Chez les adultes, la maladie peut être asymptomatique. Chez les chats non vaccinés, le diagnostic de la panleucopénie repose généralement sur les signes cliniques. Un faible nombre des globules blancs (d’où le terme « panleucopénie », qui signifie que le nombre de tous les globules blancs est inférieur à la normale) est aussi un élément du diagnostic et il est symptomatique de l’immunosuppression (dépression du système immunitaire). Comme dans le cas de l’entérite à parvovirus chez le chien, aucun traitement ne peut réussir à tuer le virus. Il faut plutôt offrir un traitement de support palliatif pour aider l’organisme du chat à produire des anticorps. Ce traitement consiste à hydrater l’animal, à lui administrer des antibiotiques, à lui donner des soins et à restreindre son apport alimentaire. Malheureusement, chez les chatons, le taux de mortalité se situe entre 50 et 90 p. 100, même si l’animal est traité. Il est fortement recommandé de faire vacciner tous les chats, non seulement contre la panleucopénie, mais aussi contre les virus qui s’attaquent aux voies respiratoires et contre la leucémie féline. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=319&cat=chats
  11. La dirofilariose, ou maladie des vers du cœur, est causée par un parasite appelé Dirofilaria immitis, qui vit dans le cœur droit et dans les vaisseaux sanguins adjacents. Sa présence dans les vaisseaux sanguins cause une faiblesse cardio-vasculaire, une capacité pulmonaire réduite et, éventuellement, la mort. La dirofilariose atteint principalement les chiens mais elle peut parfois toucher des chats et d’autres animaux. Les vers du cœur sont transmis d’un chien à un autre (ou d’un chat à un autre) par plus de 70 espèces de moustiques. La transmission se produit comme ceci : quand un moustique suce le sang d’un chien ou d’un chat infesté, il aspire de petits vers appelés microfilaires. Une fois dans l’organisme du moustique, les microfilaires deviennent des larves. Plus tard, quand ce moustique pique une autre victime, il injecte les larves dans le flux sanguin du chien ou du chat, qui s’infeste à son tour. Les larves prennent de six mois et demi à sept mois pour arriver à maturité et pour commencer à produire des milliers de microfilaires dans le système circulatoire de son hôte. Les vers adultes finissent par se loger dans le cœur droit et dans les artères pulmonaires, tandis que les microfilaires circulent dans tout le système sanguin. Tous ces vers présents dans les vaisseaux sanguins finissent par augmenter le travail du cœur, par restreindre le flux sanguin vers les poumons, les reins et le foie, et par causer la défaillance de multiples organes. Tout d’abord, l’animal atteint présente une toux chronique et une tolérance moindre à l’exercice; viennent ensuite le collapsus subit et la mort. Une fois infesté, l’animal peut facilement devenir une source d’infestation pour tout le voisinage. Parfois, un chien ou un chat peut être infesté sans manifester de symptômes et, quand les symptômes se manifestent, la maladie est déjà très avancée. La prévention constitue le meilleur remède. Il existe des traitements efficaces, mais la plupart des vétérinaires préfèrent promouvoir la prévention de la dirofilariose. Des médicaments oraux et topiques administrés une fois par mois se sont avérés très efficaces pour la prévention de la dirofilariose. Votre vétérinaire peut vous en fournir. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=286&cat=chats
  12. L’asthme peut affecter les chiens et les chats. Connu aussi sous le nom de « bronchite d’origine allergique », l’asthme est une inflammation des voies respiratoires causée par une réaction allergique. Il produit une obstruction des voies respiratoires lorsque les bronches (qui amènent l’air dans les poumons) se remplissent de mucus et présentent des spasmes. L’asthme est beaucoup plus répandu chez les chats que chez les chiens. Les chiens et les chats de tous âges peuvent souffrir d’asthme, mais ce sont surtout les animaux jeunes ou d’âge moyen qui sont atteints. La toux est le premier symptôme observé. Les propriétaires signalent une respiration sifflante et, dans de rares cas, de la détresse respiratoire. Il arrive que des animaux deviennent léthargiques, qu’ils cessent de s’alimenter et qu’ils perdent du poids. L’asthme est rarement mortel. Entre les épisodes d’asthme, les animaux sont généralement en bonne santé. Pour diagnostiquer l’asthme, il faut faire des radiographies du thorax afin d’éliminer toute autre possibilité de problème médical. Une fois que le diagnostic de bronchite d’origine allergique a été posé, le vétérinaire peut prescrire des stéroïdes, des antihistaminiques, des bronchodilatateurs ou une combinaison de ces médicaments. En cas de crise grave, une injection d’épinéphrine peut être nécessaire. Le pronostic de la maladie est excellent, et la plupart des animaux atteints ont une vie normale, avec l’aide de médicaments pris à long terme. À moins de trouver la cause sous-jacente, la guérison est impossible. Votre vétérinaire peut tenter de déterminer les causes de l’asthme et proposer des traitements qui conviennent à votre animal. source : http://www.santeanimale.ca/contents/content.asp?id=278&cat=chats
  13. janick si tu donnais un délais plus grand ? jusqu'à la fin du mois ? non ? souvent septembre est chargé pour tous, alors je me disais ... mais les concours c'est ton affaire, alors c'est toi qui dit
  14. j'avais entendu parler de ces chiens, c'est une bonne chose. il y a aussi les chiens pour personne malentendante, le chien prévient quand on sonne à la porte, quand le telephone sonne, le réveil matin aussi ... bref toutes ces choses aux quels on pense pas forcément quand on a pas cet handicap et qui peuvent géner considérablement l'autonomie, surtout pour ceux qui vivent seuls. à tous ces chiens et à tous ceux qui les éduquent
  15. hihi moi le sobriquet que j'utilise c'est : la grosse mais en fait c'est affectueux dans ma bouche
  16. Oui un grand merci Scouby pour tes mémoires d'ardoise, c'est un tel régal pour nous tous, merci de partager ainsi ton talent d'écriture, ta sensibilité, ton humour, ... tu as un tel don pour te glisser dans la fourrure de tes moustachus, que souvent on en oublie que c'est toi qui tient la plume, et imperceptiblement c'est nous qui nous retrouvons au fil de la lecture derrière les grandes moustes de tes félins extraordianire, que nous vivont leurs émotions, leur attentes, leurs ... aventures.
  17. Is@

    St Bernard

    marrant parfois la vie, on se dit que le monde est bien petit ... 95 kg, ça fait une sacrée bête !!! c'est pas trop compiqué au quotidien un chien si grand, si lourd ? la nouriture, les soins, la voiture ... ?
  18. wahouuuuuu elle est précoce chanel, déjà les ordre essentiels assimilés à 2 mois ?!! je suis épatée !! super, didon ça te donne pas envie de faire un sport avec elle ?? bon le saut c'est pas pour demain biensure, il faut que son squelette qoit fait, mais je sais que certains clubs sérieux, savent organiser des exercices pour les baby qui ne mettent pas en risque son squellette en pleine croissance.
  19. Is@

    St Bernard

    aaaaaaaaargh ce sont de vrai peluches !! comme j'aurai aimé avoir les conditions de vie pour satisfaire leur besoins et pouvir alors craquer sur une de ces peluches tu faisais du poils courts ou poils longs ?
  20. effectivement le braque est chien trés sportif, infatigable, c'est des porsches ! et le pire de tous dans le domaine est le pointer, lui, c'est une ferrari pour ce type de chien, il faut être sure de pouvoir toute sa vie pouvoir satisfaire son besoin de dépense physique. le carlin, j'en ai connue de vu, on la rencontrait durant le balade de joy, elle était noire, et adorable, rien ne lui faisait peur, un grand chien dans sa tete.
  21. Is@

    St Bernard

    roooooooooooooooooo je fond !!!! c'est vraiment des chiens frmidables, mais chiots ... c'est complétement irresistibles merci lilyane pour ces photos ! celà fait combien de temps que tu as cessé l'élevage du saint bernard ??
  22. as tu un ikéa près de chez toi ? ils ont souvent des peluche, certaines toute en longueur, et pas chere. regarde : http://www.ikea.com/fr/fr/catalog/categories/departments/childrens_ikea/10401/
  23. je suis bien contente mel ! j'étais sure que c'était juste une crise de panique lié à une petite maladresse (de l'avoir trop tôt laissée avec les 2 autres) mais tout va vite s'organiiser et tu pourras les laisser ensemble en toute tranquilité trés bientot.
  24. bien sûr :) il n'y a aucune raison qu'ils ne deviennent pas inséparables. Juste un peu de temps. Et tous les 3 en liberté avec vous c'est la meilleure façon qu'ils s'entendent très vite. Tu avais raison de dire qu'en général le chiot est mieux accepté qu'un adulte. C'est juste que le parc était trop petit et sans retraite possible. Ce week-end ils seront copains :) tu sais l'histoire que je t'ai cité pour exemple d'intégration à une meute avec joy et une chienne dominante ... joy avait une fois été bien mordue ... ça ne les a pas eméchées de devenir par la suite de vrais copines. les chiens ne sont pas humains, ils ne connaissent pas le sentiment de rancune. quand elle sera intégrée à la meute ils seront tous 3 inséparable te les 2 autres seront prés à donner leur vie pour la défendre si le besoin se faisait sentir. tu verras ça va vite venir, un week end est juste un peu court pour une intégration compléte.
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