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CONCOURS MARS : Portraits de Nos Poilus. LA GAGNANTE
Is@ a répondu à un(e) sujet de Is@ dans 3 - Les concours
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Ayka le retour des problèmes
Is@ a répondu à un sujet dans 1- Besoin de conseils ? Un moment difficile...
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CONCOURS MARS : Portraits de Nos Poilus. LA GAGNANTE
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Ayka le retour des problèmes
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Vibrisse et ses petits
Is@ a répondu à un sujet dans 1 - Leurs photos c'est ici. Histoires et bêtises aussi :)
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Vibrisse et ses petits
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Un vétérinaire en colère
Is@ a répondu à un(e) sujet de Duvallon dans - Adresses utiles - Métiers animaliers
ce que ce vétérinaire dit, enfin ce que j'ai lu, c'est que nous avons la facheuse habitude d'oublier qui ils sont, comment ils fonctionnent, les stress qui les boulversent ... nous avons, pour beaucoup, la facheuse manie de faire de l'anthropomorphisme. nous humains pouvont comprendre les manipulations médicales, même si elles sont désagréables, voire douloureuses, les animaux ne le peuvent pas eux. et en plus de ces manipulations s'ajoutent le stress de se retouver dans un lieu inconnu, avec des bruits inconnus, des odeurs inconnus, des humains inconnus ... et l'inconnu chez l'animale signifit la peur, le stress. cela ne signifit pas qu'il ne faut pas soigner son animale quand il est nécessaire, mais que peut etre certains examen sont des stress inutiles qui pourrait leur etre évité ... pour exemple, je vous invite à lire ce qu'il pense des vaccins annuels ... -
Un vétérinaire en colère
Is@ a répondu à un(e) sujet de Duvallon dans - Adresses utiles - Métiers animaliers
un vétérinaire en colère : les soins avant de lire ce texte, sachez, qu'il a été écrit par un vétérinaire canadien, Le Dr Charles Danten, qui a pratiqué 20 ans. les "enfants" ce sont les animaux, therme ironique, vous vous en rendrez compte si vous lisez ces autres texte ou son livre. son site Les soins vétérinaires: L'anthropomorphisme thérapeutique Il n’existe pas un seul animal qui peut comprendre et apprécier ce qu’on lui fait subir dans un milieu hospitalier. Les animaux malades qui séjournent dans une clinique vétérinaire sont en général peu coopératifs, et les incidents fâcheux sont nombreux. Les odeurs et les bruits non familiers, la silhouette et la voix des intervenants, la couleur de leur sarrau et la présence d’autres animaux leur font peur. L’hyperexcitation, les aboiements et les hurlements de détresse, les mictions et les défécations émotives incontrôlables, la crainte et la soumission excessive, les manifestations de domination sont la norme dans ce genre d’environnement. La contention est de rigueur et les animaux de caractère dominateur comme Lucky (voir l’histoire de Lucky le malchanceux dans la section extrait) et ceux qui sont mal socialisés ne coopèrent jamais. Le vétérinaire et son personnel de soutien sont exposés quotidiennement aux morsures, aux coups de griffes et à l’agressivité des animaux 5. Le stress associé aux traitements médicaux et chirurgicaux, électifs, préventifs et curatifs, soulève certaines questions sur l’efficacité de ceux-ci, sur leur valeur et sur leur cohérence, même s’ils aboutissent à quelque résultat. L’effet du stress sur le fonctionnement de l’organisme et sur la maladie est en effet de mieux en mieux connu (6), et grâce aux progrès techniques en médecine, il est souvent possible de l’atténuer. Malgré tout, un nombre indéterminé d’animaux succombent à cause du stress. Les animaux sont examinés et traités avec dureté, selon par des procédures parfois très douloureuses et traumatisantes qui ne peuvent que limiter le succès des interventions, voire aggraver l’état de certains malades. Prenons le cas du chat. Celui-ci a, logées entre le nez et les oreilles, des glandes qui sécrètent des phérormones qu’il répand, pour se sécuriser, un peu partout dans la maison, en se frottant la face sur les objets environnants. L’hospitalisation, qui fait qu’il se trouve brutalement isolé dans une cage stérile sans odeur familière, est une atteinte très grave à son sentiment de sécurité et un événement extrêmement traumatisant7. On peut du reste considérer, pour le chat et pour les individus de plusieurs espèces, y compris le chien, un simple séjour en pension comme un acte d’une grande cruauté8. Le chat est en fait un animal d’une très grande sensibilité émotive. Il réagit fortement au moindre changement de température et au plus petit tremblement de terre. Les changements climatiques reliés aux équinoxes de printemps et d’automne ont des répercussions méconnues sur son bien-être. L’anxiété joue un rôle de mieux en mieux connu dans la genèse et l’aggravation de certaines maladies du chat telle l’inflammation de la vessie (cystite interstitielle), par exemple9. Buffington, une chercheuse américaine, s’est sérieusement interrogé dans le cas du chat, sur la valeur médicale des analyses de l’urine obtenue en clinique. Le stress influe également sur les paramètres sanguins, et un simple voyage en auto de deux heures, une attente avant la consultation peuvent fausser les résultats des analyses de sang. L’hospitalisation a aussi des répercussions dont les manifestations peuvent être mal interprétées et donner lieu à un diagnostic erroné10. Par ailleurs, la manipulation musclée et l’application intempestive de procédures médicales douloureuses, comme le cathétérisme urinaire, les piqûres, l’acupuncture, la mise en place d’un transfuseur, etc., peuvent être considérés, du point de vue de l’animal, comme une atteinte au bien-être. À la maladie s’ajoute ainsi l’anxiété que suscitent des soins dont l’animal ne peut saisir les raisons11. Les plus dociles, les plus soumis et les mieux socialisés sont souvent les plus dépendants et les plus sensibles à la séparation d’avec le maître. Il n’est pas rare que ces animaux hyperdépendants et dénaturés fassent une dépression réactionnelle grave à la suite d’une hospitalisation. Certains arrêtent totalement de manger et de boire pendant leur séjour à l’hôpital et il faut les nourrir de force. Le chat anorexique est particulièrement sujet (dans certains cas) à un engorgement du foie, presque irréversible (lipidose hépatique), une affection très grave bien connu des vétérinaires. Les épisodes d’encoprésie (défécation sur le lieu de couchage) et d’énurésie (urine sur le lieu de couchage) sont très fréquents et signalent un état d’anxiété hors du commun12. Les soins dentaires Un autre acte vétérinaire en apparence anodin est aussi susceptible de provoquer un traumatisme chez l’animal; il s’agit des soins dentaires, une pratique qui connaît depuis quelques années un essor considérable surtout à cause de la domestication et du régime alimentaire des animaux (voir chapitre suivant). Soucieux de la bonne dentition des animaux, les vétérinaires consciencieux multiplient donc les détartrages et les interventions dentaires douloureuses, sans penser aux conséquences émotives désastreuses de toutes ces interventions. Prenons encore le cas du chat à qui le maître veut faire nettoyer les dents. Il lui faut d’abord l’attraper et le mettre dans une cage, entreprise pas toujours facile, car si l’animal a déjà vécu l’expérience, il se doutera de ce qui l’attend. Il faut ensuite le transporter en voiture à la clinique où un étranger le prend en charge en vue de le soumettre à une série d’interventions totalement incompréhensibles pour lui. Il sera, dans un premier temps, examiné sous toutes les coutures, puis mis dans une cage stérile sans aucune odeur familière. Il y aura bien souvent, dans la cage voisine, un chien comme Lucky qui aboie, victime, lui aussi, de nos bonnes intentions. Dans un deuxième temps, on lui injectera, pour le tranquilliser ou le paralyser, par voie intramusculaire, une dose de Kétamine, un produit extrêmement douloureux. Pour se protéger des réactions violentes, le vétérinaire enroulera le chat dans une couverture et son assistant le maintiendra par la force. La peur et l’anxiété seront parfois tellement intenses que le chat urinera et déféquera sur la table. Par ailleurs, ce médicament paralyse le patient, mais il n’a pour ainsi dire aucune action analgésique. Il retournera enfin chez lui, complètement traumatisé. Je fais ici une parenthèse pour parler de l’emploi de ce médicament qu’est la Kétamine et des médicaments en général. Les vétérinaires peu scrupuleux peuvent pratiquer des interventions très douloureuses, comme le dégriffage et la castration, en n’utilisant que cette drogue comme agent anesthésique. Il est à noter que, dans ses normes de pratique vétérinaire, l’Ordre des Médecins Vétérinaires du Québec interdit l’usage de cette seule substance pour des chirurgies de ce genre. Cependant il n’est pas facile de concrétiser cette interdiction, car il n’y a aucun moyen d’en vérifier le respect. L’animal récalcitrant est mis dans l’impossibilité de réagir, mais il sent très bien et il est conscient de ce qu’on lui fait. Il est ensuite remis en cage complètement abasourdi, loin des siens et de son environnement. De retour chez lui, encore sous le choc, il sera forcé, pour les prochains cinq à dix jours, parfois plus, à ingurgiter un liquide ou une pilule infectes que son maître lui administrera de peine et de misère13. Les médicaments pour usage vétérinaire ne sont pas, sauf exception, conçus pour les animaux, mais bien pour les êtres humains. L’administration des médicaments est problématique pour bien des propriétaires, surtout s’il s’agit d’une maladie chronique qui nécessite un emploi continu. Ils ne sont pas d’une habileté égale et beaucoup ont peur de donner une injection, comme dans le cas de diabète, ou d’administrer un comprimé ou un liquide par la bouche. Les animaux sont rarement coopératifs et ne comprennent pas le but de cette procédure. Les fabricants de produits pharmaceutiques tiennent peu compte de ce facteur, de sorte que la grosseur des comprimés et leur goût, tout comme celui des préparations liquides, compliquent passablement le traitement. À ma connaissance, aucune étude sérieuse n’a été menée pour mesurer l’importance réelle de cet élément en relation avec l’échec thérapeutique, l’abandon du traitement ou l’euthanasie d’un animal. Par ailleurs, les sollicitations du maître qui est préoccupé par l’état de santé de son animal, son attention constante, son inquiétude et les émotions négatives qu’il projette ne font que rendre l’animal encore plus anxieux et retarder sa guérison14. Il est surprenant et tout à fait à l’honneur de l’instinct de survie des animaux qu’ils arrivent à surmonter tous ces handicaps. Pour en revenir à notre chat, l’expérience aura été tellement traumatisante, qu’une seule visite chez le vétérinaire, un seul séjour resteront gravés à jamais dans sa mémoire. Une visite future déclenchera une grande détresse émotive. Certains chats ne sortent que pour aller chez le vétérinaire et ils reconnaissent facilement, à la vue de certains objets comme la cage ou une serviette, tous les signes d’une visite imminente qu’ils appréhendent avec beaucoup d’anxiété et qu’ils tentent en vain d’éviter. Les exotiques Les espèces moins familières, en grande majorité sauvages, arrivent en consultation dans un état de santé précaire. Les propriétaires, qui ne connaissent à peu près rien des animaux qu’ils gardent captifs, éprouvent beaucoup de difficultés à déceler les symptômes parfois très subtils de la maladie. De plus, pour compliquer les choses, certaines espèces comme les oiseaux possèdent un mécanisme de survie naturel qui les incite à cacher, au prix d’un effort qui taxe leurs réserves d’énergie, toute faiblesse15. Un animal sauvage qui présente un signe de maladie est déjà gravement malade lorsqu’il arrive en clinique et, dans le contexte médical actuel, la maladie et l’hospitalisation de ces animaux équivalent presque à leur mise à mort. La grande majorité des espèces exotiques (tortues, oiseaux, serpents, lapins, rongeurs, etc.) ne reçoivent jamais de soins et ne sont amenés chez le vétérinaire que pour se faire détruire. Ces animaux ont peu de valeur marchande et ceux qui les achètent, sauf exception, ne tiennent pas, pour des raisons diverses, à dépenser pour les faire soigner16. Couper les griffes Un acte à première vue simple, couper les griffes d’un chien, peut être extrêmement traumatisant. La domestication ne leur permet pas de les user normalement et lorsqu’elles sont trop longues, ils ont de la difficulté à marcher et le bruit sur plancher dérange. Il y a dans la griffe un vaisseau et un nerf, et lorsqu’on coupe une griffe, on ne coupe pas un ongle inerte, comme chez les humains, mais on écrase le bout du doigt ; lorsqu’on coupe la griffe trop court, comme cela arrive fréquemment, c’est comme si on coupait littéralement le bout du doigt. Il s’ensuit une hémorragie parfois très profuse, et cette expérience est tellement douloureuse qu’aucun chien, à moins d’être excessivement soumis, ne se laisse faire. Il faut souvent recourir à la force et même aux sédatifs pour les maîtriser. Certains éleveurs pas trop scrupuleux, pour préparer leurs animaux à une exposition, coupent très court les griffes de leurs protégés et les laissent saigner dans leur cages toute la nuit. Les jeunes enfants humains sont souvent comparés aux animaux, car ils ne comprennent pas non plus pourquoi ils sont soignés, mais la comparaison s’arrête là. Les enfants humains bénéficient tout de même de certains avantages que ces enfants-là n’ont pas. Les parents sont autorisés à accompagner leurs enfants malades à l’hôpital et on met souvent une chambre à leur disposition. On offre même aux enfants dans certains hôpitaux la compagnie d’un animal thérapeute pour soulager leur anxiété. Les jeunes patients sont rarement laissés sans attention et sans soins pendant de longues heures, encore moins pendant des journées et des nuits entières. Les cliniques vétérinaires qui possèdent le personnel de soutien nécessaire pour surveiller les animaux la nuit et les jours fériés sont peu nombreuses, et sont même l’exception. De plus, hormis dans les hôpitaux psychiatriques et les foyers pour gens âgés et séniles, il est difficile de concevoir que des humains puissent être traités avec autant d’insensibilité et de brutalité que les animaux. Ils ne sont pas systématiquement muselés, attrapés au lasso, immobilisés par les oreilles ou la peau du cou, ou tenus écrasés sur une table. Les humains ont de plus la capacité de surmonter leurs craintes et de coopérer volontairement. Enfin, l’espoir et les notions abstraites se rapportant à la religion, qui permettent aux êtres humains de se battre contre l’adversité, sont de toute évidence absents chez les animaux. Ceux-ci n’ont pas non plus la capacité intellectuelle de comprendre le sens de toutes les interventions douloureuses et les espèces plus sauvages, encore moins. Ils ne peuvent que sentir une menace à leur bien-être et à leur survie que seuls les plus soumis et dressés (et il y en a) vont endurer bien malgré eux. En résumé, les animaux tolèrent mal qu’on les muselle, qu’on les attache, qu’on les enferme, qu’on les pique, qu’on leur mette des bandages, qu’on les gave de comprimés et qu’on leur lave les dents17. Bien qu’ils donnent quelque résultat, du point de vue de l'animal, les soins vétérinaires sont un sévice additionnel à ajouter à une longue liste d’abus. Comment ces enfants, quand on y pense bien, peuvent-ils interpréter autrement ces interventions médicales ? Comment peuvent-ils savoir que nous voulons les soigner et les guérir ? Ces sentiments égocentriques donnent lieu, dans le cas des animaux très malades et des animaux âgés, à un acharnement thérapeutique qui vient achever cruellement toute une vie au service de l’homme. Les bêtes subissent notre affection et nos sollicitations contre nature toute leur vie, mais nous oublions bien trop facilement qu’elles ne nous ont rien demandé. Nous les exploitons même à travers les soins que nous leur administrons. C’est à se demander à qui ces soins font le plus plaisir. N'est-il pas absurde de les rendre malade d'une main puis de tirer vanité à les soigner de l'autre ? -
Gratouilles
Is@ a répondu à un(e) sujet de laetical dans 1- Besoin de conseils ? Un moment difficile...
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photos à droit réservé de la chatterie de l'estive aux fées Histoire : Le Snowshoe (chaussure de neige) est une nouvelle race créée aux Etats-Unis dans les années soixante (60) par Dorothy Hinds-Daugherty, une éleveuse à Philadelphie, dont le principal objectif était de réunir les attributs du Siamois et les pattes gantées du Birman. Cette race provient du croisement du Siamois et de l’ American Shorthair bicolore. Bien que les historiens affirment que le Snowshœ a été inventé il y a 4000 à 6000 années, il est assez difficile de définir l’origine exacte et l’âge du Snowshœ, qui a commencé en Asie Centrale. Par ailleurs, avant que l’homme a créé le snowshoe, il existait déjà des modèles naturels. Plusieurs animaux, notamment le Snowshœ Hare (Lepus Americanus), qui est un type de lièvre trouvé en Amérique du Nord, a évolué le long de l’année avec de gros pieds lui permettant de se déplacer plus rapidement dans de profonde glace. Cet animal porte le nom de Snowshœ parce que son pied de derrière est très gros, on dirait qu’il porte un grand soulier en marchant dans la glace. Le grand pied du Snowshœ lui permet d’éviter de se noyer dans la glace lorsqu’ il s’ y promène ou sautille. Le Snowshoe est reconnu par The International Cat Association (TICA), dans les années quatre-vingt (80). Il est très connu aux Etats-Unis. Néanmoins, cette race est encore rare. Caractère/Education : Le Snowshœ est un aimable chat qui adore vivre à l’extérieur. Il est affectueux et joueur combinant les personnalités de ses ancêtres. Ce chat est un bon chasseur à la qualité garantie et extrêmement vive. Avec sa qualité sociable et joueuse, il est excellent avec les enfants, et n’a aucun problème avec ses congénères ainsi qu’avec les autres animaux domestiques. Il est moins ardu que les siamois, plus loquace que l’ American Shorthair. le Snowshœ est plutôt adapté aux propriétaires expérimentés. Santé : Puissant et musclé, le Snowshœ doit avoir une apparence de bonne santé et de vitalité. Son pelage a besoin d’un brossage hebdomadaire Type: Chats Race: Snowshœ Classe: mammifère Surnom: Silver Laces Nom du petit: chaton Date d´origine: XIXème siècle Taille: Le Snowshœ est un chat de taille moyenne Couleur : couleurs du Siamois : seal (phoque), bleue, chocolat et lilas. La couleur des sections doit bien ressortir avec celle du corps qui est constamment plus clair. Il a des marques blanches sur le bout des pattes. Chez le Mitted, le blanc ne doit pas envelopper plus d'un tiers du corps. Chez le Bicolore, le blanc ne doit pas devancer deux tiers du corps. Le Blue point : corps blanc bleuâtre, le ventre et la poitrine sont les plus livides. Les points sont gris-bleu foncés. Les Snowshœs naissent tout blanc et les tâches s'obscurcissent avec l'âge. Poil: court à modérément court, la fourrure est douce, dense et couchée, et elle n’est pas collée au corps, sous poil peu important Poids: le Snowshœ ne doit pas être ni excessivement petit ni trop grand
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Les aliments dangereux pour les chiens Les pommes frites et les glaces ne sont peut-être pas toxiques mais elles peuvent causer des malaises gastro-intestinaux, entraîner l’obésité. Evitez donc de donner à votre chien les aliments suivants quand vous lui offrez un aliment en boîte ou un régime fait maison : Le chocolat : le chocolat contient deux substances nocives pour les chiens : la théobromine et la caféine. On rencontre ces deux substances en infime quantité dans un petit morceau de chocolat au lait mais elles sont plus concentrées dans le chocolat noir. Plus le chocolat est noir et moins sucré, plus il est dangereux pour le chien. Très peu de chocolat au lait peuvent causer la diarrhée et n’apporte rien de bon pour le chien. Trop de chocolat noir affecte le système nerveux et pourrait causer l’hyperexcitabilité, l’agitation, une fréquente urination, le tremblement et le vomissement. Des cas plus graves peuvent conduire à une attaque cardiaque, l’arrêt cardiaque ou même la mort. L’oignon et l’ail : en grande quantité, ces aliments peuvent causer de l’anémie hémolytique. L’ingestion d’une petite quantité est inoffensive et même salutaire puisque l’oignon constitue l’un des éléments pour traitements pour chiens et s’avère plus efficace. Même si votre chien est tolérant aux viandes cuites à l’oignon, il ne faut quand même lui donner des tranches d’oignons cuits ou même des bouillons à base d’oignon. Raisins et raisins secs : d’après le Centre de Contrôle des Poisons pour Chiens, les raisins et les raisins secs sont la cause de nombreux cas d’empoisonnements chez les chiens pour des raisons jusqu’ici inconnues. En avalant ces fruits, les chiens peuvent être atteints de léthargie, vomissent ou ont la diarrhée, et par la suite ont un problème rénal. Même si il peut arriver que les chiens mangent des raisins occasionnellement sans grande conséquence, gardez vos chiens loin des vendanges ou empêchez les d’avaler une grappe entière. Même une petite quantité de raisins peut être toxique pour votre chien et sachez aussi que les raisins ne sont guères bons pour leurs dents. L’alcool : les chiens absorbent l’alcool rapidement et ils peuvent s’enivrer. Cela peut provoquer des arythmies cardiaques et des attaques, la baisse de la température du corps, voire le coma ou la mort. Quelque soit sa forme, ne donnez jamais de l’alcool à votre chien.
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Un poilu, une histoire : REX mon amour !
Is@ a répondu à un sujet dans 2 - *Un poilu ... une histoire* : mettez vos poilus à l'honneur
une histoire très émouvante, j'en suis toute ... chose derrière mon pc. oui je crois que les êtres vivants sont capables de savoir, sans même un mot, que ça va coller, mais je crois que les humains aussi le peuvent. n'avez vous jamais rencontré pour la première fois une personne et sentie un animosité, sans savoir pourquoi, vous savez que ça colle pas, ou à l'inverse, une sorte de coup de foudre (amicale) ? je vous souhaite encore de belles années de ce bonheur partagé à Rex et toi -
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Vibrisse et ses petits
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Le tanuki du Japon (Nyctereutes procyonoides) se nomme chien viverrin ou Racoon dog en anglais Le chien viverrin à la pelure grise striée de noir vit dans l'est de la Sibérie, en Mandchourie, au Japon et dans certaines régions de Chine. Cet animal aux poils longs et à queue touffue est l'un des canidés qui ressemblent le moins aux chiens. Sous les climats nordiques, il hiberne une grande partie de l'hiver. Le chien viverrin (Nyctereutes procyonoides) Originaire d'Extrême-Orient, introduit en Russie de l'Ouest entre 1928 et 1955; progresse depuis vers l'Ouest (signalé depuis 1979 en France). Se trouve à la limite de son aire de répartition (très rare; peut-être disparu). Le chien viverrin a la taille approximative du renard d'Europe. Bas sur pattes, il a un corps allongé, large et trapu à l'arrière. Sa fourrure abondante et très touffue est brun grisâtre à brun jaunâtre aux parties supérieures, très foncée aux parties inférieures et aux pattes. Une collerette noire couvre les épaules. Sur le museau, il arbore un masque noir semblable à celui du raton-laveur. Ses oreilles en triangle arrondi accentuent la ressemblance faciale du chien viverrin avec le raton. Essentiellement nocturne, le chien viverrin vit solitaire ou par couples et petits groupes familiaux. Très discret, il ne creuse pas de terrier, s'accommodant d'un trou abandonné, d'une cavité rocheuse ou d'un arbre creux. Son régime alimentaire est varié : végétaux, baies et fruits mûrs, batraciens, poissons, insectes, rongeurs et petits animaux; il mange de tout et se montre habile pêcheur. Originaire d'Asie orientale où il est commun, il a été introduit récemment en Europe de l'est et depuis, il se répand peu à peu vers l'ouest. Il s'est adapté à divers milieux : marécages, vallées fluviales, forêts. Le chien viverrin n'hiberne pas mais passe de nombreux mois en sommeil prolongé, sans léthargie réelle. La saison du rut commence en février-mars et les jeunes, de 6 à 12, naissent huit semaines plus tard, aveugles et sans défense. Bien que mangeant déjà de la viande au bout de 4 semaines, ils sont allaités pendant près de deux mois. Devenus indépendants à l'automne, ils passeront encore, pour certains, I'hiver avec leur père. Longueur : 60 à 70 cm (queue de 20 à 25 cm) Poids: 4 à 7,5 kg source : ifrance
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CONCOURS MARS : Portraits de Nos Poilus. LA GAGNANTE
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Vibrisse et ses petits
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