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Sissi08

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Messages posté(e)s par Sissi08


  1. Merci, merci d'avoir lu jusqu'au bout ce petit texte, merci pour vos mots de réconfort, elle me manque tant [IMG]http://smileys. ...



    ps: (je n'arrive pas à mettre les photos, dans "insérer une image", on ne me dit pas "parcourir" (je n'ai pas la fenêtre "Imageshack), mais on me dit "invite utilisateur de Internet Explorer" et on me demande l'adresse internet des photos, mais ce n'est pas sur un site internet...)


  2. Sissi, ma fripouille adorée,
    Le cancer t'a frappée si injustement fin décembre 2005 pour t'emporter définitivement le samedi 24 juin 2006, avant tes 14 ans, trop tôt pour moi... Ce matin-là, tu t'es réveillée de bonne heure, tu as fait un petit pipi dans l'herbe avant de t'écrouler et de sombrer quasiment dans le coma. Les yeux vitreux, plongés dans le vide, je ne sais même pas si tu me reconnaissais quand je t'ai emmenée dans mes bras chez le vétérinaire qui ne pouvait plus rien faire...
    Toi qui étais si joueuse, si gaie, si intelligente et si gentille. Pourquoi ? Pourquoi cette horrible maladie ? Tu étais le chien le plus extraordinaire que j'ai jamais eu.
    Bébé, tu étais le dernier chiot non vendu de la portée; personne ne voulait de toi parce que tu avais les oreilles trop courtes et les pattes trop longues par rapport aux standards.
    Adulte, tu continuais à faire rire tout le monde avec tes facéties tous les jours de l'année.
    En automne, tu attendais des heures durant en aboyant dans les tas de feuilles, pour qu'on te les lance.
    L'hiver, tu voulais sans cesse qu'on te jette des boules de neige et qu'on t'emmène faire de la luge.
    Et l'été, c'est le bâton dans l'eau que tu ramenais indéfiniment. Tu dormais même avec.
    Tu aimais tant la mer qu'on t'y emmenait souvent avec "papy, mamy". Tu ne voulais plus quitter la plage et on était obligé de faire semblant de te laisser sur place, pour que tu veuilles bien rentrer.
    Tu adorais être transportée, que ce soit en vélo, en brouette, en luge ou en poussette !
    Tu avais cette façon unique de rester au moins vingt minutes assise sans bouger devant ta gamelle avant de la manger. On avait pris l'habitude de dire que tu faisais ta prière !
    Tu comprenais tout, et tu venais me consoler et sécher mes larmes quand j'étais triste.
    Même malade, les derniers mois, tu restais extraordinaire, tu voulais toujours jouer, si bien que les gens te prenaient toujours pour un bébé chien.
    J'espère que tu es heureuse ma Sissi. Tu laisses un vide énorme. Tu me manques tellement ma "fripouilli", je t'aime mon bébé d'amour, jamais je ne pourrai te remplacer. Et ne t'en fais pas, on se retrouvera... [:elijano]

    (ps: aie, je ne sais pas mettre les photos ici, help, comment on fait svp ?)
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