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Magali-laplume

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Tout ce qui a été posté par Magali-laplume

  1. Persan noir http://chatterie.oliveade.free.fr/nouvelle_page_3.htm
  2. Les persans Persan - noir - blanc - bleu - roux - crème - écaille de torue - chinchilla - fumé
  3. http://www.spirou.testot-ferry.com/provenance-de-spirou.html
  4. Le chat Abyssin Le chat Abyssin provient d'Abyssinie comme son nom l'indique, il est calme, heureux, aime les jeux mais il n'est pas vraiment attaché a son maître et a sa maison. Livre des animaux de compagnies
  5. Ils proviennent du Siam, leur yeux deviennent bleus lorsqu'ils sont en colère, ils sont malicieux, farceur, et agile. Le livre des animaux de compagnies
  6. Les siamois Le Siamois bleu point chocolate point gold point Burmese cat Bleu point
  7. Magali-laplume

    Ara Hyacinthe

    et bien ce n'est pas des "conneries" comme tu le dit, j'ai bien vérifié mais vu que ce n'est "ni tout a fait juste ni tout a fait faux" je ne vois pas où est la connerie. Je lis beaucoup de site pour une bonne description
  8. Oui je sais mais dès qu'on tourne le dos on ne va pas lui donner du chocolat comme sa, ce n'est pas que je suis radine mais c'est quand même du nutella!lol
  9. On voit que tu as déjà essayer! Moi non ma chatte est décédée il y a 2 ans, donc je m'occupe des chats de ma grand mère lorsqu'elle part je garde la maison etc.. Ses chats on trés peur! Sauf un! Plouf, il saute dans la baignoir, il aime le nutella etc... Je suis sur que si j'essaye de lui faire des bulles de savon ils sauterait dessus! J'essayerai de prendre des photos de ses chats comme ça vous les verrez! Magali
  10. Magali-laplume

    Ara Hyacinthe

    ah oui des Aras, mais ce n'ets pas moi qui le dit je reprend des description de site que l'on connait d'aillieur le smessages sont toujours suivi des liens!
  11. Magali-laplume

    Ara Hyacinthe

    oui c'est vrai, il y a plus rare comme le Kakapo, le plus lourd perroquet du monde et l'Ara de spix mais la liste est si grande! Et il y en a tellement qui sont rares et en voie de disparition! Impossible de tout cité!
  12. http://www.oiseauxparleurs.org/site.php?page=conservation&sub=2&lang=fr#2
  13. http://www.oiseauxparleurs.org/site.php?page=conservation&sub=2&lang=fr#2
  14. (petit texte anecdotique) Perruches et perroquets en Europe Si l’homme est responsable de la raréfaction de nombreuses espèces de psittaciformes dans le monde, il a par contre permis à quelques espèces d’étendre leur aire de répartition. Historiquement, le continent européen ne comptait aucune espèce de psittaciformes sur son territoire. Mais depuis quelques dizaines d’années, des espèces originaires d’Asie ou d’Amérique du Sud se sont établies dans plusieurs pays européens. L’origine exacte de ces populations d’oiseaux exotiques demeure à chaque fois incertaine, mais il ne fait pas de doute qu’il s’agit d’individus au départ captifs et qui ont été relâchés, volontairement ou non, avant de s’adapter et se reproduire. Il est intéressant de constater que ces oiseaux ont retrouvé spontanément leur comportement naturel, adapté aux conditions locales. L’introduction d’espèces exogènes doit toujours être évitée à tout prix, pour les risques que de telles actions peuvent faire courir à la faune et la flore indigènes. Dans le cas des psittacidés introduits en Europe, l’impact de leur présence sur l’avifaune résidente n’a pas encore pu être déterminé : jusqu’ici, il semble qu’elle ne constitue pas une menace pour les oiseaux européens. Les deux espèces que l’on peut rencontrer le plus fréquemment sont d’une part la parriche jeune-veuve (Myopsitta monachus) et d’autre part la perruche à collier (Psittacula kramerii). La première espèce demeure plus rare, tandis que la seconde a constitué des populations non négligeables dans plusieurs régions d’Europe (notamment en Allemagne, en Suisse, en France, etc.). En Belgique, la perriche jeune-veuve est présente à Bruxelles, où 50 à 60 couples ont bâti leurs spectaculaires nids communautaires dans des jardins publics en pleine ville. La perruche à collier, quant à elle, compterait déjà près de 2000 individus en région bruxelloise : la population la plus nordique d’Europe…
  15. Aras sous haute surveillance dans le Pantanal Le Pantanal est une immense zone naturelle qui s’étend en partie au Brésil. Elle se caractérise par une diversité remarquable d’habitats naturels (forêts, forêts-galeries, savanes, nombreuses zones humides) et par le fait qu’une grande partie de la région est inondée plusieurs mois par an. Aujourd’hui, l’élevage du bétail est devenu la principale activité économique au Pantanal, où se sont établis de grands ranches. L’élevage extensif des vaches permet cependant de maintenir une bonne partie de la diversité biologique de la région. C’est dans le Pantanal que survivent plus des trois quarts des aras hyacinthes vivant encore. Près de 5000 de ces oiseaux survivent aujourd’hui, contre 2500 à 3000 seulement au début des années 1990. Un projet de conservation des aras hyacinthes dans le Pantanal a permis d’y faire passer la population d’aras de 1500 en 1990 à 3000 en 2000. C’est le «Projet Ara hyacinthe», mis sur pied et dirigé par Neiva Gedes (une biologiste locale particulièrement efficace) et soutenu activement par le WWF, qui est à l’origine de ce succès. Elle s’est assurée le soutien des propriétaires de 42 ranches pour créer un refuge pour les aras s’étendant sur près de 4000 km² et où se trouvent quelque 500 nids de ces oiseaux. Le projet assure le suivi régulier des nids, installe des nichoirs artificiels là où les cavités naturelles font défaut, réduit le trou d’entrée des nids d’aras pour empêcher que des prédateurs (vautours, mammifères) puissent s’y introduire et procède à l’incubation artificielle d’un certain nombre d’œufs chaque année. Le projet conseille également les propriétaires de ranches sur les méthodes d’exploitation permettant de respecter au mieux l’habitat naturel des aras et assiste ceux-ci dans leurs efforts de reboisement : une des principales causes de disparition des aras est la raréfaction progressive des arbres dont ils dépendent pour nicher (les mandaris) ou pour se nourrir (palmiers).
  16. Actions de la dernière chance Certaines espèces sont tombées à des niveaux tellement bas que les stratégies «traditionnelles» de conservation telles que la protection légale ou la création de réserves ne suffisent plus. Lorsque les populations d’une espèces en sont réduites à quelques centaines, voire quelques dizaines d’individus, des interventions plus actives sont nécessaires : de ce genre d’actions de la dernière chance dépend souvent la survie ou la disparition rapide et définitive des espèces en question. Les effectifs sauvages de plusieurs espèces de psittaciformes (aras, cacatoès, amazones, conures, perruches ou caïques) ne comptent plus aujourd’hui qu’un nombre dramatiquement faible de spécimens, qui doivent bénéficier d’interventions rapides et importantes si l’on veut en éviter la disparition : - au Brésil et dans d’autres pays de la partie nord de l’Amérique du Sud, des pépinières ont été créées pour réimplanter des espèces d’arbres (principalement des palmiers) dont dépendent plusieurs espèces d’aras pour leur survie ; - également dans cette région, une surveillance permanente des nids des aras les plus menacés est organisée durant toute la saison de nidification et des nichoirs artificiels sont installés dans des endroits stratégiques pour faciliter la reproduction des aras ; - la reproduction en captivité permettant de disposer de jeunes oiseaux destinés à être relâchés dans la nature pour renforcer les effectifs sauvages est une technique utilisée dans plusieurs régions du monde (îles de l’Océan Indien, Amérique du Sud, Australie…) : cette technique demande des moyens importants et un savoir-faire considérable. Elle donne les meilleurs résultats lorsque les stations d’élevage sont installées dans les régions mêmes où vivent les espèces concernées ; - l’incubation contrôlée est également utilisée en ce qui concerne des aras et des cacatoès très menacés : la technique consiste à prélever les œufs dans les nids pour les remplacer par des œufs de poules. Les œufs d’origine sont alors placés dans des incubateurs qui leur assurent un bien meilleur taux de succès que dans la nature, puis, directement après l’éclosion, les oisillons sont replacés dans les nids des perroquets, où ils bénéficieront de l’apprentissage de leurs parents d’une façon tout à fait naturelle ; - des populations très menacées de psittacidés sont parfois déplacées d’une région à risque vers une région plus sûre : ce fut notamment le cas du kakapo (perroquet-hibou) de Nouvelle-Zélande, introduit sur quelques îles où l’oiseau pouvait échapper aux prédateurs introduits par l’homme dans son habitat naturel ; - pour des espèces insulaires localisées, des campagnes d’éradication de prédateurs introduits par l’homme (tels que les rats ou les mangoustes) et qui dévoraient les œufs ou les jeunes des oiseaux ont dû être menées, afin de permettre la reproduction des psittacidés ; - pour étudier les déplacements et les besoins écologiques des oiseaux, ceux-ci sont parfois munis d’émetteurs miniaturisés introduits dans une plume et qui permettent aux scientifiques de les suivre à distance dans toutes leurs activités journalières.
  17. Eduquer et sensibiliser Sauver des espèces sans s’assurer la collaboration des populations humaines qui partagent le milieu de vie de ces espèces s’avère de moins en moins réalisable. Il y a un demi-siècle encore, il était envisageable de créer de grands espaces protégés vierges de toute installation humaine. Dans les territoires sous le contrôle des puissances coloniales, des parcs nationaux furent même créés au détriment des populations locales, qui en furent évincées ou se virent refuser l’accès aux ressources naturelles que leur offraient depuis toujours ces espaces. Au 21ème siècle, à une époque où l’espèce humaine est devenue pour ainsi dire omniprésente et où le nombre d’hommes ne cesse d’augmenter, poursuivre de tels principes n’est souvent plus «jouable». Dans de nombreuses régions où vivent des psittaciformes, que ce soit en Amérique, en Asie, en Afrique ou en Océanie, les espaces sauvages ne représentent plus qu’une fraction plus ou moins importante de ce qu’ils furent dans le passé. Assurer la survie de nombreuses espèces ne peut plus se limiter aux seuls espaces protégés, dont la superficie totale demeure bien souvent insuffisante, mais doit s’étendre au-delà des limites de ceux-ci. Il faut donc faire en sorte que ces espèces puissent survivre même là où l’homme est présent et où certaines de ses activités risquent de porter préjudice à ces espèces. La sensibilisation et l’éducation sont donc devenues deux moyens indispensables pour contribuer à la protection des espèces sauvages. En sensibilisant les populations locales, en les ralliant à la cause de la conservation des oiseaux, il est parfois possible d’accomplir des miracles : mettre fin à des pratiques néfastes parfois vieilles de centaines d’années, convaincre les habitants d’arrêter la chasse, s’en faire des alliés qui dénoncent les braconniers ou les trafiquants, les impliquer dans une gestion des terres qui tienne en compte les besoins des animaux… Le rôle des propriétaires privés La conservation d’espèces sauvages peut parfois dépendre de la motivation et du bon vouloir de quelques personnes seulement… C’est le cas de plusieurs espèces d’aras gravement menacées, dont une bonne partie vit dans des domaines privés (ranches) en Amérique du Sud. La quasi-totalité des quelque 200 individus qui composent la population actuelle de l’Ara de Lear (Anodorhynchus leari) vit dans des grands ranches privés de l’Etat de Bahia, au Brésil. Suite à une campagne d’information et de sensibilisation, les propriétaires de ces ranches participent avec enthousiasme à la protection de ces hôtes prestigieux qu’ils hébergent sur leurs terres. C’est le cas par exemple du ranch de Serra Branca, dont les falaises abritent près d’un dixième de la population totale de l’ara de Lear. Depuis des années, le propriétaire du ranch collabore activement à la protection des nids sur les falaises, à l’étude des oiseaux, à la plantation de palmiers licuri (dont les noix constituent la nourriture presque exclusive des aras)… Ces propriétaires auraient pu se faire beaucoup d’argent sale en capturant discrètement les oiseaux pour les revendre sur le marché noir, où leur valeur se chiffre en dizaines de milliers de dollars. Sensibilisés au problème, ils ont préféré aider les aras…
  18. Créer des sanctuaires La création d’espaces naturels protégés demeure un des atouts majeurs pour assurer la protection d’espèces menacées. Pour autant que les dimensions de ces sanctuaires de la vie sauvage soient suffisantes pour qu’ils puissent assurer leur fonction, que des moyens suffisants soient disponibles pour en assurer une gestion et une surveillance adéquates et que leur présence soit acceptée par les populations locales concernées, les espaces protégés (parcs nationaux, réserves naturelles, réserves de faune, réserves de chasse…) permettent de sauvegarder des populations représentatives des espèces dont on cherche à garantir l’avenir. Un parc national pour une perruche De nombreuses espèces de psittaciformes bénéficient aujourd’hui de l’existence de parcs nationaux et réserves naturelles un peu partout dans le monde. Il est cependant rare qu’un espace protégé soit créé spécialement dans le but de protéger une espèce de ces oiseaux. Ce fut pourtant le cas sur l’île Maurice, dans l’Océan Indien, où une des dernières zones de forêt naturelle ayant échappé à l’emprise des cultures fut élevée au rang de parc national dans le but premier de protéger la perruche de Maurice (Psittacula eques), un des psittacidés les plus rares au monde. Au début des années 1990, il ne restait plus que 12 individus de cette espèce. Grâce à un programme d’élevage en captivité, ce nombre est aujourd’hui passé à plus de 100. Depuis quelques années, des jeunes perruches de Maurice provenant de la station d’élevage installée sur l’île sont relâchées dans le parc national après chaque couvée. http://www.oiseauxparleurs.org/site.php?page=conservation&sub=2&lang=fr#2
  19. Un travail en coulisses Une fois la situation des espèces connue et les menaces qui hypothèquent leur avenir identifiées, des actions de conservation peuvent être initiées. Protéger les espèces sauvages ne s’effectue pas uniquement sur le terrain. En coulisses, souvent loin des regards du public, de nombreuses associations agissent pour mettre au point des réglementations régionales, nationales ou internationales visant à assurer une protection légale adéquate à ces espèces, contribuent à la formation des agents chargés de faire appliquer ces règlements, font pression sur les autorités compétentes pour créer des espaces protégés dans les pays où vivent des oiseaux menacés ou pour limiter –ou interdire- le commerce dans les pays qui les «consomment» ou encore interviennent auprès de bailleurs de fonds pour récolter les moyens financiers permettant de mettre en œuvre des activités concrètes de conservation. La protection de la loi : outil efficace ou alibi pour se donner bonne conscience… Les psittaciformes sont un des groupes d’oiseaux qui comptent proportionnellement le plus d’espèces menacées : rien d’étonnant donc à ce qu’ils comptent aussi un nombre élevé d’espèces protégées. A l’heure actuelle, plus des trois quarts des espèces de psittaciformes du monde bénéficient de la protection de la loi : des règlements nationaux ou internationaux, qui limitent ou interdisent la chasse, la destruction, la capture, le transport, le commerce ou la détention des oiseaux ou définissent les mesures de protection de leurs habitats naturels. Mais les lois n’ont de valeur que pour autant qu’elles soient bien appliquées dans la pratique. Si certains pays se sont donnés les moyens de leur politique en matière de conservation des psittaciformes, dans d’autres cas on est en droit de se demander si, par manque de moyens suffisants ou de volonté réelle, les lois promulguées en faveur des oiseaux ne se limitent pas à se donner une certaine bonne conscience… http://www.oiseauxparleurs.org/site.php?page=conservation&sub=2&lang=fr#2
  20. Face à la raréfaction progressive, voire à la disparition rapide d’un nombre élevé d’espèces de psittaciformes –et d’autres oiseaux- le monde des scientifiques et des protecteurs de la nature n’est bien entendu pas resté les bras croisés. Depuis plusieurs dizaines d’années, des efforts considérables et des moyens humains, techniques et financiers importants sont mis en œuvre pour tenter de renverser une évolution qui peut parfois paraître inéluctable. Quelles sont les «armes» dont disposent les milieux spécialisés pour lutter contre la déforestation, la dégradation d’autres habitats naturels, la chasse, le commerce et les autres menaces qui affectent les populations des psittaciformes? Connaître la situation Pour protéger quelque espèce animale -ou végétale- sauvage que ce soit, il faut bien entendu connaître la situation réelle dans laquelle se trouve cette espèce : un principe qui paraît des plus évidents en théorie, mais qui s’avère souvent moins évident dans la pratique ! Dans le cas d’oiseaux tels que les psittaciformes, dont une bonne partie vit dans des milieux forestiers fermés et relativement difficiles d’accès, connaître les populations des différentes espèces, suivre l’évolution de ces populations dans le temps et identifier les menaces qui mettent leur survie en danger, demande souvent un travail continu et des moyens non négligeables. Aux quatre coins du monde, des scientifiques et d’autres spécialistes dans des domaines aussi différents que la biologie, l’éthologie, l’écologie, l’ethnologie, la génétique, mais aussi le droit, le commerce ou la politique travaillent en permanence à rechercher la présence des espèces concernées sur le terrain, à évaluer les risques auxquels celles-ci sont soumises, à identifier les filières et les volumes du commerce qui les affecte, à étudier les règlements mis en place pour les protéger et l’efficacité de ceux-ci, etc. L’ensemble de ces activités permet de dresser un «état des lieux» précis des différentes espèces et à réactualiser celui-ci de façon régulière. (exemple de travail de scientifiques de terrain illustrant le texte précédent) Un perroquet «disparu» redécouvert dans les Andes En août 1911, deux Américains participant à une mission organisée par le Musée d’histoire naturelle de New York découvraient, dans une région isolée des Andes colombiennes, une nouvelle espèce de perroquet. Appelée caïque de Fuerte (Hapalopsitta fuertesi), l’espèce ne fut plus jamais observée par la suite, à tel point qu’on la considéra bientôt comme éteinte. Le 27 juillet 2002, soit plus de 90 ans après la première observation de l’espèce, deux ornithologues colombiens redécouvraient le caïque de Fuerte sur les flancs du même volcan, proche du Parc national Los Nevados . Pendant quelques semaines, Jorge Velasquez et Alonso Quevedo purent observer et étudier un groupe de 14 oiseaux. Cette redécouverte permit d’initier un programme de conservation de ce perroquet, un des plus rares au monde. Les scientifiques savent aujourd’hui qu’une petite population de cet oiseau vit sur quelques dizaines d’hectare de forêts seulement, qui bénéficient depuis d’un statut de protection. Ils cherchent aujourd’hui encore à localiser d’autres groupes dans cette région difficile d’accès…
  21. moi je suis en 3ème et je pensé que tu était en 4ème! Au fait j'ai posté des information sur le serpent que tu voudrais possédé. Magali
  22. Après +/- 24 heures du début de l’éclosion, le conteneur grouille de petits serpents. Il s’agit de les installer maintenant séparément dans de petites boîtes qui peuvent facilement s’emboîter l’une sur l’autre. Le plaisir que l’on éprouve à manipuler ces petits êtres si vifs et si fragiles est indescriptible. Ne pas oublier de leurs mettre une petite soucoupe d’eau fraîche à changer tout les jours, un petit abri de carton donnera au serpenteau le sentiment d’avoir trouver la cachette idéale pour se remettre de l’émotion de la naissance. Reste, maintenant à mettre tout ce petit monde dans une armoire ou un terrarium pouponnière à température constante comme les adultes.
  23. Comment manipuler et transporter EGG EGG adulte est relativement calme et ne nécessite qu’un maintien des deux mains en ne laissant pendre que de faibles portions du corps de l’animal. On le transportera dans un sac en toile (seule conteneur qui ne risque pas de le blessé) adapté à sa taille et bien noué pour éviter toutes surprises d’évasions. Les BB et juvéniles sont transportés de la même manière, il n’y a que le moyen de les prendre qui diffère. En effet, ces derniers sont vifs et ont tendance à se débattre ce qui amène du stress pour l’animal. Il faut saisir l’animal de la main derrière la tête et maintenir le corps dans la paume, ensuite rapidement le déposer dans un sac adapté. Hibernation et préparation a l’élevage. Il faut savoir que dans la nature, EGG est soumis aux variations de la température des régions ou il vit, il se nourrira au prorata de ces éléments ainsi que toute sa vie "associative " en dépendra. Si la température n’est pas adéquate, il ne bougera, ni se nourrira, ce qui explique que d’année en année la population varie. Si le temps est propice et les conditions optimales, alors il se reproduira en masse, dans le cas contraire la population stagnera. En captivité, la notion est quelque peu faussée. En effet, la nourriture est fournie régulièrement et en abondance ; les conditions de détention sont optimales et il n’y a pas de prédateurs ni de maladies qui peuvent décimer toute une population. Pour les adultes uniquement. Les informations qui suivent ont été appliquées sur les EGG à partir de l’âge de un an et demi et plus. Pour chaque EGG et plus spécialement pour les reproducteurs une période de refroidissement de +/- trois mois a été appliqué pendant la période hivernale, période qui correspond à une baisse de rendement dans l’élevage des souris, nourriture principale des serpents. En fin novembre, je commence à raccourcir la période de luminosité, tout en diminuant progressivement la température. Diminution étalée sur une période de quinze jours pour arrivé en début décembre à une température entre 18 et 22°(ce qui correspond à la température ambiante de la pièce ou se trouvent les serpents). Il va de soi, que les animaux n’avaient plus de nourriture dans l’estomac (rappel : en dessous de 24° pas de digestion). Les serpents ne sont pas nourris pendant la période d’hibernation. Les serpents sont visités tous les quinze jours et de l’eau fraîche leurs est présentée pendant 24 heures. Il n’y a pas ou peu d’activité pendant cette période, ce qui permet aux serpents de passer l’hiver avec un minimum de perte de poids (3% du poids initial), ce qui est relativement peu. Il est certain que des animaux sans une réserve suffisante de graisse ne peuvent être mis en hibernation, ces derniers risques d’encourir de graves dommages parfois irréversibles. Le réveil se fait également progressivement jusqu'à température et éclairage optimales. Je conseille de commencer le réveil des femelles une quinzaine de jours avant les mâles pour leurs permettre d’emmagasiner suffisamment de calories pour la gestation future. Les mâles ne nécessitent pas de nourriture excessive à leur réveil. Placés près des femelles, ils seront imprégnés des phéromones que ces dernières répandent et ne songeront qu’à copuler. Après la période de copulation, ils se nourriront à nouveau normalement et reprendront le poids perdu par le jeûne forcé des derniers mois. Les bébés, juvéniles et autres serpents. Je déconseille d’établir une période d’hibernation pour les BB et les juvéniles. Il est assez aisé de se constituer un stock de souriceaux, blanchons et sauteuses congelés pendant les mois qui précèdent l’hiver quand les souris et autres rongeurs se reproduisent en masse. L’excédent de souris adultes est nourri en automne ou congelé, cela évite de devoir les nourrir alors qu’elles ne reproduisent plus. On garde pour l’année suivante de jeunes et robustes géniteurs qui seront soignés avec une nourriture de qualité, des granulés utilisés en laboratoires que l’on se procure auprès des clubs. Personnellement je préconise le système suivant : en début d’année je me procure des souris provenant de diverses souches, amateurs éleveurs, animaleries, laboratoires et je me reconstitue des souches de trois femelles pour un mâle qui me donneront bientôt des générations en abondances. Gestation et ponte. Après l’acte de fécondation, il faut attendre la première mue pour espérer une ponte de EGG, +/- une quinzaine de jours après cette dernière. La femelle a grossi (on peut même deviner les œufs à travers son corps),elle ne veut plus se nourrir, devient nerveuse, recherche les endroits retirés du terrarium. Il est temps de placer dans le terrarium un conteneur en plastique avec un mélange de sphaigne et de vermiculite humide: la femelle se lovera entièrement dans cet abri et y restera pendant quelques jours jusqu'à la ponte, qu’elle abandonnera pour reprendre ses activités normales. La femelle doit alors être nourrie abondamment afin qu’elle retrouve son poids initial. Récupération des œufs et incubation. Lorsque la femelle a quitté le " nid " et pas avant pour éviter un stress inutile on récupère les œufs sans les retourner ni les décoller si cela est le cas. En effet, les œufs de reptiles ne sont pas comparables aux œufs de volaille, le premier n’a pas de chalaze qui maintien le vitellus bien en place et ce dernier se fixe très rapidement à la paroi. De ce fait et contrairement aux œufs de volaille, ceux des reptiles ne sont surtout pas retournés pendant l’incubation. La préparation du récipient destinée à recevoir les œufs nécessite quelques préparations. Une boite en plastique genre boite à rangement pour frigo fera très bien l’affaire. On pratique dans les deux extrémités en diagonales deux petits trous de deux millimètres pour l’aération et la ventilation des œufs. Comme substrat à employer, j’utilise de la vermiculite mélangée à de l’eau, à raison d’une partie de vermiculite pour une partie d’eau (soit une tasse de vermiculite pour 250 ml d’eau). Pour palier à toute mésaventure, une fois la préparation terminée, je place le conteneur sans couvercle dans un four à micro-ondes (sans les œufs) pendant 3 minutes pour stériliser le tout. Chaque ponte sera placée dans un conteneur bien distinct, afin de pouvoir identifier les BB de chaque couple reproducteur. Ces boites en plastiques sont alors placées dans un incubateur à température variant de 27 et 30°C. A cette température, les BB mettront entre 55 et 65 jours pour éclore. Il est bon de vérifier chaque semaine si l’intérieur du couvercle est bien recouvert de petites gouttelettes d’eau, preuve que l’humidité est suffisante à l’intérieur du conteneur. Si ce n’est pas le cas, il suffit d’une légère vaporisation d’eau de préférence distillée pour rétablir l’équilibre. Eclosion des œufs. Après des semaines d’attentes et de patiences, alors que vous ne vous y attendez plus, vous verrez apparaître une petite tête qui subitement aura disparu. Du calme, de la patience, le dernier moment avant la récompense arrive. Le serpenteau possède sur la mâchoire inférieure une dent de l’œuf qui lui sert à percer la coquille élastique qui l’emprisonne. Cette dent tombera après quelques temps. Il peu encore s’écouler 24 heures avant que les serpenteaux se promènent dans le récipient en espérant que vous aurez eu la présence d’esprit de clore le conteneur convenablement pour éviter les évasions intempestives. Installation des bébés.
  24. http://perso.wanadoo.fr/lezardaurel/elapheguttataguttata.html site avec Photographies Préface : Les critères qui ont dirigé le choix de cet exposé sur EGG sont les suivants : 1° Ils ne sont ni venimeux, ni agressifs et faciles d'entretien. 2°leur taille facilite leur élevage en terrarium. 3°Ils sont indiqués pour les débutants, ils sont colorés de nature. De plus, une grande diversité en couleurs et dessins sont actuellement disponibles en magasin ou encore mieux chez l’éleveur. Commençons d’abord avec un peu de notions générales. EGG fait partie de la famille des Colubridaes, cette famille comprend +/- 2700 d’espèces de serpents connus. Ce sont des animaux à sang froid, ils ne peuvent générer leur propre chaleur, ni la conserver sans l’aide de sources extérieures, comme le soleil, ou artificielle comme le chauffage électrique. Aux Etats Unis, pays d’origine de EGG, sur 115 espèces, 92 sont des colubridés, ils sont ovipares et habituellement terrestre (malgré qu’ils grimpent facilement aux arbres). En général, la tête est un peu plus large que le corps et est recouverte de larges écailles en formation régulière. Les yeux sont bien développés et la pupille est ronde. Les écailles du dos sont lisses et celles du ventre aussi larges que le corps. Les deux mâchoires sont garnies de dents qui peuvent infliger de solides morsures. Sa coloration est variable selon la région et passe du rouge/orange au rouge/gris, ou du jaune tacheté de rouge au rouge tacheté de brun. Il atteint une longueur de +/- 1,80 cm et peut vivre +/- 20 ans. (maximum) En définitive et pour clore ce chapitre, EGG est un des plus beaux serpents d’Amérique du Nord, les écailles ventrales sont semblables aux grains de maïs d’où le nom " Corn snake " Introduction : Pourquoi EGG est-il un des serpents les plus répandu en captivité ? 1° Il possède des couleurs chatoyantes. La plupart des gens considèrent EGG comme le serpent le plus attractif par ses coloris divers et ses dessins variés. On peut tenir en captivité une douzaine de serpents sans toutefois avoir deux fois le même animal en apparence. 2°Un caractère formidable. Rare sont les EGG adultes qui mordent leur soigneur ( sauf erreur de celui-ci) Les BB et les animaux d’importations (rare) ne tardent pas à se complaire de leur situation et après quelques morsures, se calment. 3°Facile à détenir en captivité. Ils se nourrissent facilement avec des souris ou des jeunes rats et se reproduisent facilement en captivité. La loi de 1986 sur la manière de détenir les animaux en captivité régis la taille des terrariums à utiliser. 4° Un prix accessible à toutes les bourses. Le nombre important d’animaux élevés en captivité à considérablement réduit le coût de l’animal et même des reproducteurs sont accessibles en prix. Il va de soi que les nouvelles couleurs et dessins de EGG sont toujours recherchés par les amateurs et peuvent des fois atteindre des prix faramineux. 5°Il est accessible aux débutants comme il peut passionner un amateur expérimenté. La diversité des croisements encore possibles et les mutations toujours possibles est infinie. En bref, EGG est aux serpents ce que le canari est aux oiseaux. Informations générales : Les nouveau-nés mesurent entre 23 et 26 cm à la naissance et les adultes en général entre 76 et 152cm avec une taille supérieure pour les mâles comparés aux femelles. Les EGG sont caractérisés par certains dessins cernés de noir tout au long de l’animal, des taches +/- semblables cernées de noir. La première tache se scinde en deux et se prolonge par deux lignes qui viennent se joindre sur le dessus de la tête pour former un "fer de lance ". Des bandes supplémentaires courent le long du côté de la tête et passent par les yeux et se rejoignent au-dessus de celle-ci face aux yeux. Les autres taches se succèdent et sont en fait la carte d’identité du serpent. La couleur de fond varie entre l’orange, le gris et le brun et les taches se distinguent de la, couleur de fond par une nuance allant du brun foncé, en passant par l’orange et le rouge foncé. La couleur des adultes devient au fur et à mesure de l’âge du serpent plus fondue. Les BB ont au contraire un contraste très marqué quoique plus foncé que la normale. A l’âge de 1 an, le serpent est dans toute sa splendeur, les couleurs sont franches et ont de la brillance. Spécimens de bases et situation géographique. On connaît deux à trois espèces géographiquement différentes. 1°EGG commune à tous les territoires et dont sont issue la majorité des mutations connues. 2°EG Emory sans ou très peu de facteur rouge. 3°EG Roseace avec une diminution du facteur noir. ATTENTION : dans la nature, EGG atteint sa maturité sexuelle vers l’âge de deux ans. En captivité : il est impératif pour la longévité du serpent de le nourrir sans le forcer et de veiller a ne pas le gaver pour qu’il atteigne prématurément la taille de reproduction. Cela se ferait au détriment de sa santé. Durée de reproduction +/- 10 ans. Morphologie. La différence entre le mâle et la femelle (adulte) est relativement aisé, on examine le dessous de la queue. La grosseur de la queue chez la femelle diminue directement contrairement au mâle ou elle est plus progressive (emplacement pour les hémipénis) Chez les jeunes sujets (BB) ont fait apparaître le sexe par application du pouce roulé de la queue vers l’anus.( A ne laisser faire que par des experts) Chez les juvéniles, ces derniers sont plus difficiles à sexer. La procédure employer est le sondage, on introduit une très fine sonde métallique dans le cloaque vers le bout de la queue.(A ne laisser faire que par des experts) Si la sonde pénètre profondément il s’agit d’un mâle. Pour les femelles, la sonde ne pénètre que de +/- trois écailles et cela ne constitue pas une certitude, un mâle peut se contracter et empêcher la sonde de pénétrer dans le corps. ON NE FAIT PAS APPARAITRE LE SEXE DE SUJETS JUVENILES ET ADULTES PAR CRAINTE DE LEURS INFLIGER DES DOULEURS ET UN STRESS INUTILE. [Répétition](La mue: Tout les serpents changent régulièrement de peau lors de leur croissance. Une première fois entre 4 et 7 jours après la naissance. Ensuite tout au long de sa vie et proportionnellement à la quantité de nourriture ingurgitée. Le jeune serpent muera en moyenne deux fois par mois en début de vie, ensuite nourri convenablement, une fois par mois jusqu’à l'âge de deux ans. ) Quel EGG choisir ? Le choix d’une EGG dépend essentiellement du goût de tout amateur et de l’investissement que ce dernier veut faire. En tout état de cause, je conseille à tous et plus particulièrement aux jeunes de choisir un ou deux exemplaires de préférence de un ou deux mois. Ces derniers auront déjà mué plusieurs fois et surtout ils se seront déjà nourris plusieurs fois. L’éleveur pourra donner des renseignements précieux quand aux tempéraments et caractères des animaux choisis. De plus, l’amateur pourra apprendre à connaître ses animaux au courant des deux années à suivre, il saura noter toutes les informations et constatations recueillies lors des observations. Rien ne vaut l’expérience et l’échange de ces informations lors de rencontres avec d’autres amateurs. Le choix et l’agencement du terrarium. Le choix du terrarium dépend de l’intérêt que vous porterez à vos reptiles, de l’espace dont vous disposez, de vos talents de bricoleur et enfin du montant dont vous disposez pour installer ce terrarium. Le commerce vous propose divers modèles de tout type et de tout les prix. Nous bornerons de citer quelques critères importants. 1° Prévenir toutes évasions par un terrarium adapté à la taille et la grosseur du serpent. Le serpent par nature cherchera à agrandir son horizon et tentera de s’évader et parole d’éleveur il en est le roi. 2°Au plus simple, au plus pratique ; cela évite d’énormes déceptions. Un abri adapté à sa taille avec une branche pour l’exercice et surtout un abreuvoir bien rempli fera le bonheur de votre pensionnaire. Une hygiène stricte est de rigueur. Certains préconisent des copeaux vendus spécialement en animalerie et d’autres un tapis de sol en synthétique imitation de l’herbe. Personnellement je préfère le simple papier journal peu coûteux ni esthétique, mais qui a l’avantage d’être sobre. Au détriment de la beauté de l’ensemble, je le conçois, mais enfin le serpent ne fait pas de différences. 3°Le pratique doit prévaloir à la beauté de l’ensemble. Il faut savoir que les reptiles ne défèquent pas tous les jours mais bien une ou deux fois par mois. Ils éjectent une urine blanchâtre très acide qui s’incruste dans tout et ils souillent tout le matériel du terrarium. Alors imaginez un terrarium richement décoré, reproduisant à la perfection le biotope de l’animal avec tourbe, branches, feuilles mortes, même une belle plante robuste. Quelle sera votre déception lorsque, un ou deux jours plus tard, vous trouverez votre terrarium souillé, la plante arraché par le poids de l’animal ? Sans parler du bouillon de culture que formera l’ensemble. 4°La température et éclairage. Il faut savoir que la digestion du serpent ne se fait plus en-dessous de 24°C et que ce dernier est un animal qui est tributaire de la température ambiante pour réguler la sienne. Dès lors, on maintient le terrarium a une température entre 26° à 28° avec sous la lampe une température de 30°. Le serpent se chargera lui-même l’endroit où il se sentira le mieux. La nuit, on abaissera la température de 4 à 5 degrés sans toute fois descendre sous les 24°. On utilisera des lampes, des résistances d’appoints à cet effet.
  25. Premier repas des nouveaux nés. Le premier repas est déterminant pour la survie et le développement des nouveaux pensionnaires. Deux choix s’imposent : soit attendre la première mue qui se passe de 4 à 7 jours après la naissance et parfois jusqu’à 10 pour présenter le premier repas. Soit attendre la résorption du vitellus de 1 à deux jours après la naissance et leurs présenter une proie adaptée à la taille du serpenteau. Je préconise de loin la dernière solution, en effet, les jeunes ont une meilleure chance de vie. Il ne faut toutefois pas s’affoler si quelques uns refusent de s’alimenter, cela se normalisera après la mue. Offrir un ou deux souriceaux toutes les semaines amènera vite votre serpent à grandir. http://perso.wanadoo.fr/lezardaurel/elapheguttataguttata.html Ensuite nourrir au prorata de la taille des serpents.
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