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painthorsevallée

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  1. [quote="painthorsevallée"][center] un tout grand merci a vous pour les compliments
  2. DERNIERE MISE A JOUR : LE 1ER NOVEMBRE 2008 La MYOPATHIE ATYPIQUE des équidés, encore appelée myoglobinurie atypique des chevaux au pré, est une myopathie extrêmement sévère qui affecte les chevaux séjournant en pâture la majeure partie du temps, au printemps et/ou en automne. Les signes cliniques de cette maladie généralement fatale semblent se déclencher à la suite de conditions climatiques particulières. Cette maladie sporadique a été reconnue comme entité spécifique, pour la première fois, en 1984 et depuis, des séries de cas cliniques ont été décrites dans divers pays d’Europe. La Belgique a été confrontée à cette maladie de façon significative, pour la première fois, au cours de l’année 2000 tandis que la France a recensé ses premiers cas à partir de l’automne 2002. A cette époque, les informations disponibles dans la littérature et relatives aux signes cliniques, au diagnostic et à l’épidémiologique de la maladie étaient lacunaires. En effet, lorsque la myopathie atypique est apparue de façon soudaine dans des pays jusque-là indemnes, la communauté scientifique était rarement prête pour gérer la dizaine, voire la centaine de cas cliniques se déclarant en quelques jours. Dès lors, la première partie de la recherche qui a été menée à l’Université de Liège s’est consacrée à collecter les informations relatives aux cas belges et à les synthétiser afin de les communiquer sous une forme appropriée aux propriétaires ainsi qu’aux praticiens vétérinaires (voir la rubrique « Littérature »). En collectant les informations relatives aux cas belges à partir de l’automne 2000 et celles relatives aux européens depuis l’automne 2006, il a été possible de mieux définir les signes cliniques, les outils diagnostiques et les mesures qui contribuent à prévenir la maladie ainsi que de proposer un traitement symptomatique. La cause de la myopathie atypique étant inconnue à ce jour, il n’existe pas de traitement curatif. Néanmoins, les résultats des recherches menées permettent de guider les vétérinaires quant au traitement de soutien à administrer. La myopathie atypique (Cause) Description Actuellement, la cause (i.e. l’étiologie) de la myopathie atypique est inconnue. A la lueur des informations obtenues via l’analyse des cas recensés depuis l’automne 2000, plusieurs hypothèses étiologiques ont pu être dégagées tandis que d’autres ont pu être réfutées. Les hypothèses étiologiques les plus probables concernant la myopathie atypique sont celles incriminant l’action d’une toxine (phytotoxine, mycotoxine ou toxine bactérienne), soit ingérée telle quelle, soit produite in situ. L’intoxication suite à l’ingestion accidentelle d’aliments destinés à une autre espèce animale (exemple : aliments pour bétail contenant un antibiotique responsable de myopathies graves chez le cheval) et l’intoxication de substances toxiques contenues dans des engrais et/ou désherbants sélectifs ont été écartées sur base de l’ensemble des informations récoltées. L’hypothèse d’une myopathie d’origine nutritionnelle (par carence en vitamine E/ sélénium) est peu probable en tant que cause primaire mais il ne peut pas être exclu qu’un trouble métabolique spécifique puisse résulter de l’action synergique d’une toxine et d’une carence nutritionnelle. Les facteurs de risque décrits dans le site Internet sont à interpréter avec prudence : un cheval combinant tous les facteurs de risque (jeune âge, pâturage permanent, prairie humide…) peut ne pas souffrir de la myopathie atypique tandis qu’un autre n’en présentant qu’une partie pourrait quant même être affecté par la myopathie atypique « Quel est le facteur responsable de cette maladie ? » - L’agent causal de la myopathie atypique n’est actuellement pas identifié. Différentes hypothèses sont à l’étude. « Le risque de myopathie atypique est-il moindre lorsqu’il a gelé une fois ? » - le risque est exacerbé lors des premiers jours de gel. Il faut plusieurs jours continus de gel sévère pour ne plus enregistrer de cas de myopathie atypique. « Combien de temps s’écoule-t-il, en moyenne, entre les premiers signes cliniques de la myopathie atypique et le décès du cheval ? » - La durée de survie moyenne entre les premiers signes cliniques (abattement, raideur et difficulté pour se déplacer) est de 24 heures. Il s'agit d'une maladie à caractère fulgurant « Si la myopathie atypique est myopathie atypique est détectée rapidement, peut-elle être soignée ? » - Il est probable que la rapidité d’action entre le traitement (non spécifique car on ne connaît pas la cause de la maladie) aide le cheval à survivre. Puisque la maladie n’a été reconnue en Belgique qu’au cours de l’automne 2000, les cas reconnus précocement ont, jusqu’il y a peu, été relativement rares. Maintenant, le secteur vétérinaire connaît et reconnaît bien la maladie dès lors, plus de chevaux vont être pris en charge rapidement après les premiers signes cliniques. L’avenir nous dira si ces traitements précoces permettront de diminuer le taux de mortalité. « Mon cheval ne sort en prairie qu’une partie de la journée et il reçoit, matin et soir, des concentrés pour chevaux. De plus il a de la paille pour litière. Est-ce qu’il risque quelque chose ? » - Cela limite les risques mais des chevaux hébergés la nuit en box sont également décédés. Pendant la phase d'alerte, il serait plus judicieux de limiter l'accès à la pâture au temps nécessaire à ce que les chevaux se défoulent et ce juste après les avoir nourris avec des concentrés pour chevaux. « Avez-vous déjà songé que la myopathie atypique du cheval pourrait être due à la myopie typique de l'homme ? En effet depuis 2000 il y a plein d'antennes de téléphonie mobile dans le paysage, et il faut vraiment être myope pour ne pas les voir ! Le cheval dans la prairie comme le mouton à langue bleue (le moustique est parti mais la maladie toujours là !!!) n'ont pas de murs pour se protéger des micro-ondes. Les symptômes relevés sur votre site sont typiques aux victimes des micro-ondes et de l'effet photoélectrique permanent qui va avec. Suggestion : comparer les cas avec la présence d'antennes. » - Merci pour vos suggestions mais les prairies concernées sont souvent dans des zones où il n'y a aucune réception pour les GSM. « ...Et bien sûr j’oubliais : la présence de puce émettrice injectée au cheval » - La maladie est reconnue depuis l’automne 2000, bien avant l’identification obligatoire des chevaux. La grande majorité des cas n’était pas identifiée. « Puis-je sortir mon jeune cheval (de moins de 3 ans) ne fusse que deux heures pendant la journée? Le confinement au box le rend dépressif et triste. Il est nourri au picotin deux fois par jour. » « Me Conseillez-vous de laisser mes chevaux, jour et nuit, au box ? » - Pendant la phase d'alerte, il serait plus judicieux de limiter l'accès à la pâture au temps nécessaire à ce que les chevaux se défoulent et ce juste après les avoir nourris avec des concentrés pour chevaux. « Mes chevaux sont du pré mais ils ont accès à un paddock où il n’y a plus d’herbe. Est ce que cela peut être dangereux ? Dois-je absolument les rentrer complément ? » La terre battue est sûrement un facteur de risque. Pendant la phase d'alerte, il serait plus judicieux de limiter l'accès au paddock au temps nécessaire à ce que les chevaux se défoulent et ce juste après les avoir nourris avec des grains. « Où pouvons-nous trouver les articles mentionnés dans la rubrique « Littérature : articles scientifiques ». Merci de nous indiquer comment se procurer toute information au sujet de cette maladie. » - Les articles scientifiques sont disponibles via une bibliothèque facultaire (dont celle de la Faculté de Médecine vétérinaire : http://www.ulg.ac.be/fmv/bib/index.htm). « Pourrions-nous être informé, région par région de la progression de la maladie ? » « Y a-t-il un listing des zones géographique touchées en Région Wallonne pour ces dernières semaines ? » - Je manque malheureusement de temps pour donner ce type d’information en continu. Elles seront fournies sur le site quand mes dossiers seront à jour, après la période d’alerte. Les provinces les plus touchées sont généralement, dans l’ordre, les provinces de Liège, du Luxembourg et de Namur. - Il est important de noter que la maladie ne se distribue pas de façon centrifuge. Elle se déclare en plusieurs endroits du pays en même temps. « Quels sont les autres animaux pouvant être touchés par la myopathie atypique ? » A notre connaissance, aucune autre espèce animale ne souffre de cette maladie. « Les daims peuvent-ils souffrir de myopathie atypique ? » - La question s’est posée car plusieurs daims (1 cette année, une dizaine précédemment) sont morts en quelques jours dans une pâture où un cas de myopathie atypique a été confirmé en 2004 (en France). L’analyse histologique des prélèvements musculaires n’a pas mis en évidence la présence de lésions suggestives de myopathie atypique. « D’où vient le danger ? Quelles sont les précautions à prendre ? » - le danger vient de l’agent causal (non identifié !) qui se développe et/ ou produit des toxines lors de conditions particulières. Le danger vient de la rencontre de ces conditions propices et d’un animal « à risque ». Les précautions à prendre sont celles qui réduisent les facteurs de risque identifiés (voir site Internet pour détails) et qui favorisent les facteurs de protection (exemple : abreuver les chevaux avec de l’eau de distribution). « Comment savoir, avant d’être averti par les journaux, quand commence le risque de myopathie atypique et quand il se termine ? » - Une étude des conditions climatiques est en cours ; elle nous aidera probablement à mieux cerner les périodes à risque. Les cas antérieurs se sont déclarés exclusivement en automne et au printemps mais nous ne pouvons présager du futur. Les prévisions météorologiques annonçant, au cours de ces saisons, des conditions particulières (vents violents, pluies excessives…) ou un brusque refroidissement (premiers jours de gel) doivent vous inciter à la prudence. Il faut plusieurs jours continus de gel sévère pour ne plus enregistrer de cas de myopathie atypique. « Quels sont les premiers réflexes à avoir face à un premier symptôme ? » - Voir sur le site Internet : « Alerte - Attitude face à un cas de myopathie : Mesures à prendre par le propriétaire. « Les ânes peuvent-ils être également touchés par la myopathie atypique ? » - En Belgique, nous n’avons pas eu de cas confirmé chez des ânes. Néanmoins, nous pensons que les ânes sont susceptibles de faire la maladie car nous avons déjà observé une augmentation des enzymes musculaires dans le sang (un témoin de la destruction musculaire) d’ânes qui pâturaient avec un cheval décédé d’une atteinte de myopathie atypique. « Doit-on absolument garder les chevaux en box tout l’hiver ? » - En Belgique, nous n’avons jamais eu de cas confirmé en hiver (donc au-delà de 21 décembre). Néanmoins, les caractéristiques climatiques peuvent varier d’un hiver à l’autre. Il semble que plusieurs jours continus de gel sévère soient nécessaires pour ne plus enregistrer de cas de myopathie atypique. « Suite à l'alerte donnée, j'ai isolé mes chevaux dans un paddock car il m'est impossible de les mettre en box. Courent-ils un risque ? » - Attention à la terre battue. Si le paddock est en sable, il n'y a pas de problème. « Quelles sont les périodes « critiques » ? J'ai des réponses différents en fonction des interlocuteurs : certaines me disent d'isoler mes chevaux de mi octobre à fin novembre puis de mi mars à mi mai environ, d'autres de les isoler jusque fin mars… » - Je crois qu'il est nécessaire de rester vague pour répondre : l’automne et le printemps sont à risque. Les conditions climatiques de ces saisons variant d'une année à l'autre, les dates varient également. « Existe-t-il des vaccins ou d'autres choses qui pourraient nous aider à éviter cette maladie ? » - Il n’existe actuellement aucun vaccin pour prévenir la myopathie atypique car un vaccin ou un remède ne pourra être envisagé que lorsque l’agent causal sera identifié. « Est-ce que le fait de complémenter les chevaux avec du magnésium et du cuivre peut empêcher la maladie ? » - Nul ne sait. Complémenter avec une pierre à lécher est un facteur qui tend à protéger de la myopathie atypique. L’intérêt du magnésium et du cuivre, en particulier, n’a pas été étudié. « Ma pouliche vient de mourir de cette maladie (myopathie atypique confirmée par l’autopsie et les examens complémentaires). Quand puis-je être certaine que mes autres chevaux qui étaient dans la même prairie et qui ont été rentrés au box, dès l’apparition des signes cliniques du cheval décédé, n’auront rien ? » - Nous conseillons d’être attentif à tout signe clinique annonciateur de la maladie pendant au minimum 5 jours après les avoir rentrés de prairie (abattement, refus ou difficulté pour manger, température rectale anormalement basse ou élevée, raideurs…). Des prises de sang contrôles visant à voir si il y a un processus de destruction musculaire pourraient être effectuées par votre vétérinaire aux jours 1, 3 et 5, par exemple. Au-delà, si rien ne s’est déclaré, il est probable que les chevaux resteront indemnes. « J’aimerais savoir si les poneys sont autant à risque que les chevaux. » - Les poneys et les chevaux de trait présentent autant de risque de faire la myopathie atypique que les chevaux de selle. De plus, la rusticité d’une race n’est pas un facteur de protection. « Existe-t-il une corrélation entre la « maladie de l’herbe » (i.e. « grass disease » en anglais et myopathie atypique ? » - Personne n’a la réponse à cette question que les scientifiques se posent également ! [img][/img]
  3. Merci pour les compliments. Personnelement, je ne dirais pas moucheté, mais plutôt comme de la dentelle.
  4. Nous attendons avec impatience la cuvée 2010 lol
  5. Merci pour les félicitations et de t'être soucié de leurs santé. Et aussi toutes mes félicitations pour les résultats de flash
  6. Bonjour, normalement non, mais avec les paint on n'est jamais sur de rien.
  7. Merci beaucoup, mais si cela aurais été une fille, elle restait dans notre élevage. Mais il y en auras d'autres en 2010
  8. OUI JE VOIS QUE CA MARCHE PAS POUR LES PHOTOS BIZAR Si vous voullez aller voir les photos sur mon site www.painthorsevallee.be [img][/img]
  9. [center] Voila j'ai choisi de lui donner le nom de BEAUTIFUL FA GOLDEN SUN que tu as gentillement donné donc tu est officielement la maraine de ce petit bout de vie lol. La maman va mieux et le petit se porte à merveille voici des nouvelles photos [img][/img]
  10. il n'a toujours pas de nom ce petit bout de bonheur si vous avez des idées elles sont les bienvenuess ca va nous aidés . Encore merci pour tous les compliments que vous nous témoigné en mp et sur le poste . Pour le moment la maman et le bébé vont bien ils sont toujours en obsérvation en box, fin de semaine ils pourront sortirent.
  11. un tout grand merci a vous pour les compliments voici la maman [img][/img]
  12. Ce dimanche 6 septembre, à 10 heures du matin notre "MOKA" à fait sont premier bébé. Un superbe poulain fram ovéro palomino. Mais le placenta n'étais pas tout tombé, donc gros stress pour nous. Et en plus le poulain il ne voulait pas se nourrire. Pour nous facilité notre matinée, notre vétérinaire est en vacance aux U.S.A. Heureusement, une aide téléphonnique de notre gynécologue "équine" nous à éclairé. Et nous avons eu la chance de trouvé un vétérinaire qui sur sa route de retour de week end dans les ardennes est venus, avec sa famille, pour nous aidés. Encore mille merci. Car une heure d'attente de plus et nous pouvions perdre la maman et le bébé. Mais maintenant tout est en ordre. [img][/img] [img][/img]
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