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Tout ce qui a été posté par sonia4191
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Coucou Je viens de lire que quand on caresse un chat il regresse intelectuellement, je m'explique ... Quand on caresse un chat il vit ça comme quand sa mére le lécher Et j'aimerai savoir si votre chat vous téte vous ou bien vos vêtement? Mon chat vient systématiquement têter mon pyjama en me malaxant avec ses pattes avant le soir quand je regarde la télé, je trouve ça mignon donc je la laisse faire mais le véto ma dit qu'il fallait lui interdire en la poussant délicatement. Les chats font ça apparament quand ils ont été sevrer trop tôt. Quand penser vous ? Avez -vous entendu parler de ça ?
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Régime alimentaire 1 - foin a volonté à disposition toute la journée (apport de fibre essentiel pour sa santé) 2 - l'eau propre dans un biberon (à changer tous les 2 ou 3 jours) 3 - Le matin et le soir : les légumes. Voila les légumes et les dose à donner par repas (environ 100 grammes par jour. En 2 fois, 50 grammes le matin et 50 grammes le soir): - 1/2 quartier de tomate sans les pépins (il faut enlever l'intérieur, les pépins et graines de légumes sont toxiques pour les cochons d'inde) - 1 lamelle de poivron vert d'environ 1 cm de large (sans aucune graine) - 1 bout de fenouil (environ 0.5 cm de large sur 5 cm de long) - 1 morceau de pomme (environ 1 cm de large) (sans les pépins) - 1 rondelle de carotte (selon le diamètre de la carotte, si diamètre=2 cm alors rondelle = 2 cm de long) plus le carotte est fine plus la rondelle sera longue. Moi, je garde les légumes au frais dans le frigo mais, une fois que je les ai coupé, je les lave à l'eau chaude (car il ne faut jamais que les légumes soient trop froid c'est très dangereux pour son petit estomac). Je les égouttent avec un essuie-tout et voila, dans la gamelle (propre) prêt à manger ! Les granulés Contrairement à ce que l'on peut croire ce ne sont pas les granulés qui sont l'aliment principal des cochons d'inde mais bien le foin. Toutefois il est possible de leur en donner en complément du foin et des légumes Il existe deux sortes de granulés ou graines : - Les granulés de formes différentes aux couleurs variées, appelés " mélange de granulés" ou " mélange de graines " - Et les granulés qui ont tous les mêmes formes et couleur, qui se nomment " Granulés extrudés " Les cochons d’inde sont des trieurs et éparpilleurs de nourriture, c’est leur façon de manger. Ils goutent ou sentent leur nourriture et tout ce qui ne leur plait pas est mis de coté et fini irrémédiablement à coté de la gamelle ou dans la litière. C’est pour cela qu’il leur faut une nourriture la plus uniforme possible et les granulés extrudés sont donc beaucoup mieux pour eux. C'est ce qui explique aussi qu’avec les " mélange de graines ", vous pouvez très bien avoir un cochon d’inde malade car il aura des carences alimentaires de toutes sortes. Voici les deux marques que je vous conseille vivement pour ne pas avoir de problèmes avec votre petit compagnon : - La meilleure est RONGIS. Vous pouvez la trouver chez les vétérinaires sans problème. C'est la marque la plus équilibré ! - Et la seconde marque qui n'est pas mal non plus, c'est HamiForm pour cochons d'inde. (que vous trouverez plutôt en animalerie). Toutes les autres marques ne tiennent pas compte de leurs besoins, ni de leur santé ! (il manque toujours quelques chose : protéine, vitamine C ou autres !) Liste des légumes Selon les légumes que vous avez choisi, il ne faut pas donner plus de 3 ou 4 légumes différents par jour. Si vous avez un doute sur le fait de donner ou pas un légumes qui ne figure pas dans la liste ci-dessous, je vous conseille de demander sur le forum avant de le donner à votre cochon d'inde. Les BONS légumes + Salade (endive, mâche, laitue, etc.) en petite quantité car cela ne leur apporte rien au niveau nutritionnel (pas plus d'une demi feuille et pas trop souvent, 1 fois par semaine) ! + pommes(1/4 par jour maxi) + poires (un demi quartier par jour maxi) + cerises (1 ou 2 cerises sans noyau par jour maxi) + fraises(1 ou 2 par jour maxi) + framboises(1 ou 2 par jour maxi) + persil (en petites quantités sinon TOXIQUE)(2 ou 3 feuilles par jour, pas plus) + belle herbe non polluée (une petite poignée) + choux (vert, fleur, brocolis, de Bruxelles) en petites quantités sinon TOXIQUE)(une lamelle de 1.5 cm de large sur 5 cm de long par jour, pas plus!) + Poivrons (certains cobayes en sont fous ! Très riches en vitamine C) + carottes + radis (racines et feuilles)(1 ou 2 radis par jour) + tomates + citron (une tranche, 0.2 cm par jour) + orange (riche en vitamine C) (1 tranche par jour) + pamplemousse (une demi tranche par jour) + banane (bien mûre à la peau très noire)(1 rondelle de 1 cm maxi par jour) + kiwi (riche en vitamine C) (1 rondelle de 1 cm par jour) + mandarine (une tranche par jour) + ananas (très sucré, ne pas trop en donner) (1 tranche de 1.5 cm de large sur 2 cm de long) + mirabelles (1 par jour maxi) + raisin (2 ou 3 par jour maxi) + feuilles d'épinard cru (1 ou 2 feuilles par jour maxi) + fenouil (Très bon pour le transit intestinal, car beaucoup de fibres, mais pas en trop grande quantité!) + melon (une lamelle de 1.5 cm de large sur 5 cm de long, par jour maxi) + nectarines, brugnons, pêches (une tranche de 1.5 cm par jour maxi) + abricots (une tranche de 1.5 cm par jour maxi) + pastèque (sans les pépins)(une lamelle de 1.5 cm de large sur 5 cm de long, par jour maxi) + orties (riche en calcium, fer, phosphore, protéines, vitamine D pour la solidité des os et un beau pelage).(1 ou 2 feuilles par jour maxi) Laisser la plante se faner un peu afin qu'elle ne pique pas trop. Préférer les jeunes plantes, moins urticantes. + Concombre (une tanche de 1.5 cm par jour maxi) + basilic (excellent pour le poil !).(1 ou 2 feuilles par jour maxi) + Cèleri rave ou cèleri en branche (5 cm d'une branche par jour maxi) + Courgette ( une ou deux fois par semaine maxi) + Aubergine ( une ou deux fois par semaine maxi) Les MAUVAIS légumes (Formellement INTERDIT !!!) - épluchures de pomme de terre - germes de pommes de terre - Les céréales (blé, maïs, colza, etc...) - belladone - fougère - morelle - cytuse - fleur d'if, - oignons - haricots - mouron bleu et mouron rouge. - colchique - ciguë - chou rouge, chou blanc, chou frisé - poireaux - fruits trop mûrs. - déchets de cuisine. - sucreries ou friandise de toute sorte (même noté spécial cochon d'inde) (vendu en animalerie, c'est très mauvais car plein de sucres et de gras). - aliments moisis, pourris, pollués, fanés et trop vieux. - aliments mouillés. - eau stagnante - le bambou (ou feuille de bambou) - Pépins (amandes, de cerises, de prunes, de pommes, de poires, de pêches, pastèque et d'abricots = Cyanure !)
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Le foin (ça se mange et c'est tout !) Contrairement à ce que beaucoup de personnes pensent, le foin n'est pas une litière mais c'est la nourriture de base des rongeurs(c'est seulement de l'herbe verte fauchée dans les prairies puis séchée). Il faut bien distinguer foin et litière, c'est important pour l'hygiène de votre compagnon. La paille (ça pique et ça coupe) La paille est souvent confondue avec le foin et pourtant ce n'est qu'une litière composée de tiges sèches de céréales (blé, avoine, orge...). Il vaut mieux l'éviter pour les petits rongeurs car les brins épais sont piquants et coupants. Malgré un prix peu élevé, la paille n'est pas du tout conseillé car elle absorbe très peu et dégage très vite des odeurs une fois qu'elle est imbibée d'urine. Il faut donc la changer pratiquement tous les jours. Les copeaux de bois (Source de troubles respiratoires) C'est le type de litière que l'on trouve dans tous les commerces et pour un prix raisonnable. Malheureusement, elle est toxique pour la plupart de nos animaux (les cochons d'inde surtout!). Réalisée à partir de sciure de bois de résineux (pin, sapin ou cèdre) qui contiennent des phénols. Ces composés volatiles aromatiques sont très dangereux, ils peuvent être responsables de très graves troubles respiratoires (mycoplasmose, notamment), de cancers, de problèmes neurologiques et d'allergies. Ces litières raccourcissent la durée de vie des rongeurs d'au moins un tiers. Peu absorbant, ce produit est plein de poussières qui s'infiltrent dans les poumons des rongeurs. Une fois souillés, les copeaux de bois dégagent rapidement de fortes odeurs d'ammoniaque car l'urine ne peut pas s'évaporer et il faut donc la changer entre deux et trois fois par semaine. On peut trouver des litières de copeaux séchés au four ou non résineux, mais cela reste rare. Le chanvre (Tout le monde en parle et devraient sans servir) C'est la litière du moment, idéale pour tous les petits rongeurs. Réalisée à base de tiges de chanvre textile, elle est quatre à six fois plus absorbante que la litière de copeaux et surtout, elle n'est pas toxique. Elle convient donc parfaitement aux espèces sensibles des voies respiratoires comme les rats, souris, hamsters et cochons d'inde. Elle est confortable et se présente sous la forme de petits brins doux au toucher qui ne collent pas aux poils ni aux pattes et ne dégagent pas de poussières. Elle a aussi l'avantage de rester sèche en surface ce qui limite les odeurs et laisse les animaux au sec. La litière de chanvre est un peu plus difficile à trouver et coute un peu plus cher. Mais le prix élevé est compensé par le fait qu'on la renouvelle moins souvent (une fois par semaine, voire tous les 10 ou 15 jours) … et que l'on profite d'une odeur de frais plus agreable ! Le lin (Encore trop rare) Cette litière possède les mêmes propriétés que le chanvre. Réalisée à partir des anas de lin, c'est-à-dire la partie fibreuse de la tige qui ne sert pas pour l'industrie textile, elle est quasiment absente dans les animaleries, à moins de fréquenter les commerces et grossistes spécialisés en équitation. Cette litière est conditionner en ballot de 10 à 20 kilos minimum ce qui la rend très économique. Il faut donc pouvoir la stocker ! Attention toutefois, elle contient parfois du crésyl, un additif désinfectant composé de phénols ! Lisez bien l'étiquette de la marque que vous choisissez. Le maïs (Boulettes ou granules) Le maïs est une bonne alternative aux copeaux de bois. La litière se présente sous la forme de petites boulettes de rafles de maïs, à changer une ou deux fois par semaine. Elle est assez chère, n'est pas poussiéreuse, ne dégagent pas d'odeur et se révèle assez absorbante. Mais elle est peu confortable pour les pattes des cochons d'inde. On peut également la trouver sous forme de granulés, mais elle n'est pas intéressante pour les petits rongeurs car elle n'est pas confortable et, en marchant dessus, ils font beaucoup de bruit et peuvent se blesser aux coussinets. La litière minérale Attention : Cela ne convient pas du tout pour les rongeurs !!! Eviter la litière pour chat = Danger !!! Plusieurs marques proposent des litières "compactes agglomérats" à base de bentonite. Cette argile absorbe les liquides qui se transforment en grumeaux solides, faciles à enlever et sans odeur. Cette litière est dangereuse pour les rongeurs car ils peuvent l'ingérer et elle est parfois trop poussiéreuse et parfumée. [b]Le papier journal (= Danger!!!)[/b] [b]Pratique et très économique, le papier journal est aussi très absorbant. L'inconvénient, c'est que les rongeurs peuvent le manger et l'encre est toxique (si les journaux ont été imprimés avec de l'encre au plomb surtout). Personnellement, je suis contre l'utilisation du papier journal pour les rongeurs, c'est trop dangereux pour leur pâtes ou s'ils en mangent !!! Voila une astuce pour ne pas utiliser de papier journal en fond de cage : vous aller mettre au fond de la cage des bouts de lino (balatum). Vous en trouverez dans les magasins de bricolage (demandez une chute de lino, c'est plus économique). Le lino évite à la cage d'être abimée par l'urine sèche des rongeurs et vous pouvez les nettoyer avec une éponge toutes les semaines à l'eau et, hop, ça repart pour une semaine. Où trouver la litière de chanvre ou de lin ? Comme nous l'avons vu, ces deux litières sont les meilleurs possibles pour les rongeurs. On peut les trouver dans certaines grandes enseignes (Jardiland par exemple où la litière de chanvre est proposée sous les noms d'Auboise ou Chamboise). Aujourd'hui, il est possible de les commander sur internet sur les sites spécialisés pour les rongeurs ou directement auprès des fabricants (en ligne également). [/b]
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Acclimatation En arrivant à la maison, mettez la caisse de transport, ouverte, dans la nouvelle cage. Dans la cage il doit y avoir une litière propre, un biberon avec de l'eau propre, une mangeoire à foin remplie, une petite gamelle et une cabane. Vous allez ensuite mettre quelques morceaux de carotte en guise d'appât (ils sortiront de la caisse de transport tout seul) et, pour le reste, laisser-les se débrouiller seuls : La curiosité les poussera à visiter leur nouvelle maison. Le premier pas vers l'adaptation à leur nouveau milieu est fait quant ils commencent à manger et à boire. Dans les heures qui vont suivre, ils vont vous paraitre tranquilles et insouciants mais le calme cache la tempête car pour eux c'est un changement très brutale et extrême qui les stresse au plus au point. C'est pour cela que la patience et le calme sont les mots d'ordre pour les premières approches : Les cochons d'inde apprécieront votre comportement et le témoigneront en prenant contact avec vous (ils vous regarderont bouger et approcheront peut être de votre main pour la sentir, etc…). C'est la base de l'amitié durable que vous assurez pendant ces premier jours. Dans les premiers temps, il faut éviter absolument : - Les portes qui claquent, les bruits trop forts et les mouvements trop rapides. - Attention aussi au calme absolu, cela stresse tout autant les cochons d'inde. - Les mouvements rapides au dessus de la cage déclenchent des peurs paniques dues à la peur instinctives des oiseaux de proies. - Ne pas laisser les autres animaux de la maison s'approcher des cochons d'inde pendant leur acclimatation. - Eteindre et allumer trop souvent une lumière vive car elle déclenchera une peur panique. - Tant que les cochons d'inde ont des réactions de peur et vont se cacher, ne pas les prendre dans les bras, ni les toucher. - Ne pas nettoyer la cage tant qu'ils ne sont pas habitués à leur nouvel environnement et nouvelle famille - Ne pas changer les mangeoires de place - Ne pas soulever la cabane. - Ne pas lui changer son alimentation trop vite (Quand vous venez d'acheter vos cochons d'inde, il faut les habituer très doucement à une alimentation saine en introduisant progressivement des bouts de légumes et de fruits frais tous les jours jusqu'à atteindre les quantités du régime alimentaire idéal) Pour la première semaine Mettre la cage dans un endroit en hauteur dans une pièce où vous êtes le plus souvent et où ils peuvent voir ce qui se passe autour de la cage. Ils vont s'habituer aux voix qu'ils entendront et au rythme de vie que vous avez. Donner leur à manger à heure fixe (le matin et le soir) pour qu'ils aient un rythme de vie qui puisse les rassurer. Pour la seconde semaine Venez près de sa cage plus souvent et avec des tous petits bouts de légumes. Mettez votre main au milieu de la cage avec les légumes au centre de votre main : Cela va lui permettre de s'habituer à votre odeur et aussi à lui montrer que vous ne lui voulez aucun mal. Il faut être très patient car tous les cochons d'inde ne s'apprivoisent pas rapidement ! Pendant un mois ou plus, il faut être très doux et beaucoup lui parler car sinon vous risquez de ne jamais pouvoir l'apprivoiser. Certain même auront toujours peur de vous, cela dépend de leur caractère. Dans tous les cas, il ne faut jamais les brusquer car, si vous le faites, ils ne reviendront plus jamais vers vous. Pour réussir son l'acclimatation Il faut savoir que les cochons d'inde ont tous leur caractère propre et leurs exigences : Il y a des cochons d'inde curieux, d'autres craintifs ou réservés. Chaque animal réagit différemment aux personnes qui l'entourent ou à son environnement. Il faut donc rester attentif et beaucoup les observer pour comprendre leurs attitudes. Au bout de cette période difficile, vos cochons d'inde doivent venir d'eux même vers vous quand vous les appelez par leur nom et l'attirez avec un bout de légumes.
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Budget cochon d'inde [b]Pour le premier achat d'un cochon d'inde, combien sa coute ? [/b] Cage de 80 cm à 140 cm de long (a étage ou non) prix entre 30 et 180 euros Biberon : 3 à 9 euros Gamelle inox ou céramique : 3 à 7 euros Râtelier a foin : 3 à 9 euros Cabane : 8 à 17 euros Granulés Rongis ou Hamiform : environ 5 à 6 euros le kilo Foin 1 kilo environ 4 euros Litière Chanvre 30L : 7 euros Accessoires (jeux) environ 30 euros Ces prix sont donnés à titre indicatif ! Le cochon d'inde Dans une animalerie de 12 € à 40 € - Poils ras environ 12 € - Rosette environ 15 € - Texel environ 20 € - Shelty environ 25 € - Rex de 30 € à 40 € - Péruvien de 30 € à 40 € Chez un éleveur de 10 à 30 € Conclusion : Donc en moyenne pour le premier achat d'un cochon d'inde, il faut compter entre : 105 euros et 310 euros Quel est le post dépense moyen pour un cochon tout les mois ? Prix légumes par semaine : environ 3,5 euros Foin 1 kilo par semaine : environ 4 euros Granulés (10 grammes par jour = 70g par semaine) : environ 0,6 euros Conclusion : Donc pour un cochon d'inde, il faut compter un budget d'environ 30 euros par mois.
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Un des débats les plus douloureux de notre époque concerne notre rapport aux animaux. Alors qu’il va de soi qu’on ne peut plus faire « ce qu’on veut » d’un prisonnier de guerre, d’un africain, et que les femmes, les homosexuels et les pays autrefois colonisés ont des droits égaux à ceux de leurs anciens maîtres, les animaux demeurent à notre merci. Jusqu’à il n’y a pas très longtemps on ne se posait que peu de questions quant à notre attitude envers les animaux. Le 19e siècle et le début du 20e ont vu apparaître quelques menues restrictions, telle un loi anglaise interdisant le mauvais traitement des animaux de compagnie (chiens et chats) en public, et il existe dans la plupart des nations occidentales des lois punissant d’amande ou de prison (de courte durée ou avec sursis) la cruauté contre les bêtes. Ces lois n’ont concerné la plupart du temps que les bêtes de compagnie et cela seulement lorsque ils sont considérés comme « intelligents » ; souvent ces lois ont exclu les animaux sauvages (les phoques par exemple), les animaux d’élevage (porcs, moutons et autres) ainsi que les animaux « pas malins », c'est-à-dire les poissons rouges ou les lapins par exemple par opposition aux chats, chiens, perroquets et chevaux que nous estimons «plus semblables à nous-mêmes » et auxquels nous sommes par conséquent plus attachés. Les lois qui régulent notre traitement des bêtes le font donc en fonction du rapport que nous avons avec ces animaux, et en particulier de la ressemblance avec nous-mêmes que nous leur supposons ainsi que de l’affection qu’ils nous inspirent. Les cavaliers sont souvent épris de leur cheval jusqu’à la passion, et la tendresse que nous portons à Toutou peut aller très loin comme le démontrent les salons de coiffure, les rayons mode, les salles de fitness et les classes de yoga pour chiens new yorkais et californiens. Néanmoins, en même temps que nous choyons, coiffons, habillons et détendons les uns, nous en élevons les autres dans des conditions parfois abominables pour les manger, et soumettons d’autres encore à des expériences douloureuses et souvent fatales afin de faire avancer la recherche médicale ou pour développer de nouveaux produits cosmétiques ou ménagers. Ce contraste nous est de plus en plus insupportable comme en témoignent les heurts violents entre avocats des droits des animaux et chercheurs. Laboratoires détruits, animaux relâchés dans la nature, débats venimeux et manifestations montrent la fissure entre les uns et les autres, et l’abîme éthique au bord duquel nous nous trouvons. Comment réagir à cette situation de schizophrénie légale et philosophique ? Pour essayer d’y répondre il convient d’abord d’analyser de plus près notre rapport aux animaux et ses sources philosophiques. Comment ce rapport a-t-il évolué pour qu’émerge l’idée de droits des animaux et de la libération animale ? Peut-on parler d'un droit de l'animal? A ce stade, est-il immoral d’être carnivore ? Comment enfin faire face à la vivisection ? Est-elle un scandale ou un mal dont nous ne saurions nous passer?
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L'AFSSA vient de rendre public son rapport sur la consommation des médicaments vétérinaires contenant des antibiotiques en France en 2007 . Le tonnage d'antibiotiques a augmenté de près de 7% par rapport à l'année précédente, ce qui représente 1348 tonnes d'antibiotiques. Plus de 93% de ces antibiotiques sont utilisés pour les animaux d'élevage. En proportion, les plus gros consommateurs d'antibiotiques sont les lapins de chair. Pour une production de viande équivalente, il faut 7 fois plus d'antibiotiques pour l'élevage cunicole que pour l'élevage porcin et 32 fois plus que pour l'élevage de volailles ! Dans les abattoirs, les lapins doivent être étourdis avant leur mise à mort. C'est une exigence de la réglementation sur la protection des animaux (3). L'étude scientifique précitée a porté sur un effectif de 1020 lapins élevés pour leur chair. Les procédures d’étourdissement et de saignée ont été contrôlées. Il a été établi que : « L’abattage des lapins à l’échelle commerciale pose des problèmes cruciaux en ce qui concerne le bien-être animal. Cette étude a révélé que les électrodes pouvaient être mal positionnées sur beaucoup d’animaux, causant probablement une souffrance inutile. La reprise de conscience avant la mort, même si cela concerne peu d’animaux, indique que, dans certains cas, la durée de l’étourdissement est insuffisante. » L'avis rendu en 2006 par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) confirme quant à lui, que les grandes variations d'impédance du courant dues aux propriétés isolantes de la fourrure des lapins, influent sur l'efficacité de l'étourdissement électrique (4). Il est à souligner que certains lapins ne sont tout simplement pas étourdis par ce procédé. Chaque année en France, 40 millions de lapins sont comptabilisés en abattage contrôlé. Il semble impossible de leur garantir une mise à mort sans stress et sans souffrance. La consommation de lapin a chuté de 10% en 2008, conséquence de la baisse du nombre de ménages ayant acheté de la viande de lapin. Cela représente les vies de 2 millions de lapins. Le manque de visibilité de la viande de lapin dans les rayonnages des supermarchés et l'action des associations de protection animale sont avancés par l'office de l'élevage comme cause probable de cette baisse.
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1 680 euros pour un chien, 1 200 euros pour un chat, c’est la somme moyenne annuelle dépensée par un propriétaire pour couvrir les frais générés par son animal, selon les résultats d’une enquête. Il faut dire que quelque 67 millions d’animaux familiers partagent le quotidien de plus de la moitié des foyers français (50,6 % des foyers possèdent au moins un animal familier)*, un « taux d’occupation » qui reste stable depuis plus de 10 ans ! 8,08 millions de chiens et 10,04 millions de chats composent ce cheptel constitué, en grande majorité, par les poissons (35,1 millions). A leurs côtés vivent oiseaux (3,68 millions), rongeurs (2,94 millions) et autres NAC. Plus de chats que de chiens Depuis quelques années, le nombre de chiens stagne voire régresse tandis que celui de chats ne cesse d’augmenter. Pourtant, avec sa population canine, la France tient encore la première place en terme de cheptel canin parmi les pays européens. 25 % des foyers possèdent d’ailleurs un compagnon canin. Les chiens de petit format ont la préférence du public avec, en tête, les chiens de type caniche (le plus souvent non inscrits au LOF). Au rang des chiens possédant un pedigree, le berger allemand reste l’indétrônable numéro 1 devant le golden puis le labrador retriever. Les chiens avec pedigree restent toutefois minoritaires face aux chiens non LOF. Nombreuses motivations Créateur de lien social, source de bien-être et de réconfort, l’animal de compagnie possède, aux yeux de ses possesseurs, d’indéniables qualités relationnelles. Ses propriétaires lui reconnaissent aussi une influence positive sur les enfants et même sur leur propre santé ! La motivation première tant pour la possession d’un chien que pour celle d’un chat reste toutefois…l’amour des animaux ! La Facco* souligne la vie très majoritairement rurale de nos animaux de compagnie puisque 58 % des foyers possesseurs de chiens et 52 % des foyers possesseurs de chats vivent dans des agglomérations de moins de 20 000 habitants. Chaque année, ces « 67 millions d’amis » génèrent un marché de 4,5 milliards d’euros, tant pour leur prix d’achat (1,5 milliard) que pour leur alimentation (2,4 milliards), leurs frais vétérinaires ou l’achat d’accessoires. Au total, le budget qui leur est consacré a plus que doublé en moins d’une dizaine d’années, selon Xerfi Etudes. *Source : chiffre Facco/Sofres, Facco : Fabricants d’aliments pour chiens, chats, oiseaux et autres animaux familiers).
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comment soccuper d'une moule d'eau douce??????
sonia4191 a répondu à un(e) sujet de jay444 dans Animaux Aquatiques
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Des petites nouvelles de Chanel Hier soir elle est monté dans l'arbre en face pour de chez moi pour la première fois. (elle a 1an et demi, elle est pas très précoce !!) Il a fallu l'appâter avec de la nourriture pour la faire descendre, la descente était pas très assurer. J'espère qu'elle n'attrapera pas d'oiseaux (elle ne chasse que les feuilles et les papillons)
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J'ai toujours des probléme avec les poils de mon chat donc voici un résumé des probléme lié au poils. Un petit conseil brosser les régulierement (même les poils court). Différentes causes peuvent être à l'origine de la chute de poils chez le chat. [b]La mue Le poil est l'élément de base de la fourrure du chat. Il est composé d'une partie enfouie dans le derme (le follicule) qui correspond à la racine du poil et d'une partie visible (la tige) constituée d'une protéine dénommée kératine. Le poil est le reflet visible de l'état de santé de votre animal : un poil terne, sec et clairsemé est toujours le signe d'une anomalie (pour plus de renseignements consultez notre fiche sur le poil terne). Il faut savoir que les poils poussent puis meurent et tombent en permanence. Il est donc normal qu'un animal perde des poils. Cependant, à certaines périodes de l'année, on a une augmentation de la quantité de poils perdus, ce sont les chutes saisonnières ou mues. Les mues ont lieu à l'automne (remplacement du poil d'été par un pelage d'hiver plus fourni) et au printemps (perte du poil d'hiver). Les mues sont plus importantes pour les animaux à pelage épais ou de type Angora. Lors des mises-bas ou pendant la gestation, il est aussi fréquent d'avoir une augmentation de la quantité de poils perdus, ceci n'est pas inquiétant. Les autres causes Cependant, il existe de nombreuses maladies dont l'un des symptômes est une perte de poils, celle-ci pouvant être généralisée (on note alors une augmentation de la quantité de poils qui tombent et un pelage moins fourni), ou bien localisée à certaines zones de dépilations. Le type de perte de poils est un élément important de diagnostic. Mais il faut faire attention à ne pas confondre une chute de poils «primitive», c'est à dire due à une atteinte directe sur le poil, d'une chute de poils «secondaire», qui serait la conséquence d'un léchage ou d'un grattage frénétique, d'où un poil arraché ou cassé. Dans ce second cas, c'est la cause des démangeaisons qu'il faut traiter. Les maladies parasitaires Certains parasites se développent au détriment du poil, ce qui provoque sa mort et sa chute. La teigne correspond au développement d'un champignon microscopique dans la gaine du poil. Ce champignon se nourrit de la kératine du poil, provoquant des zones dépilées de forme arrondie au niveau de la tête, du dos ou des cuisses. Les démangeaisons sont rares. Attention, car la teigne est une maladie assez fréquente, très contagieuse pour les autres animaux, et elle peut se transmettre à l'homme dans certains cas. De nombreux chats sont porteurs asymptomatiques de teignes (c'est-à-dire qu'ils sont en bonne santé, sans perte de poils) et peuvent la transmettre aux autres. La démodécie est une maladie dont le responsable est un acarien parasite du follicule pileux (Demodex sp.). Elle est rare chez le chat, et atteint généralement les animaux affaiblis ou immunodéprimés. On peut parfois la retrouver chez des chatons provenant de chatteries mal tenues. La démodécie débute par des dépilations localisées (museau, autour des yeux et de la bouche…), et ne s'accompagne pas de démangeaisons. Il faut savoir que les chats de type Siamois ou Sacré de Birmanie seraient prédisposés à la démodécie féline. Un cas fréquent de perte de poils secondaire lors d'une atteinte parasitaire est celui de la Dermatite Miliaire. Ce syndrome correspond souvent à une allergie à la salive des puces: une seule piqûre de puce peut provoquer un léchage et du grattage, ce qui a pour conséquence l'arrachage et la perte des poils, localisé à certains endroits comme le dos ou le cou. C'est pourquoi un traitement anti-puces régulierdes animaux comme de leur environnement est indispensable. Les maladies hormonales Lors d'anomalie dans la sécrétion de certaines hormones, on retrouve parmi de nombreux symptômes, des troubles cutanés: il s'agit généralement d'une perte de poils bilatérale et symétrique, sur les flancs et la ligne du dos, souvent accompagnée d'une modification de la consistance de la peau (amincissement ou au contraire épaississement, dessèchement, pellicules). Toutefois, les chats sont beaucoup plus rarement affectés par ce type de maladie que les chiens. Voici quelques maladies hormonales ayant pour symptôme une perte de poils, avec certains autres signes spécifiques associés : Le diabète sucré (insuffisance de sécrétion d'insuline): l'animal boit et urine beaucoup, on note parfois une tendance à l'obésité. L'hypercorticisme ou syndrome de Cushing (tumeurs de l'hypophyse ou des glandes surrénales, traitement massif aux corticoïdes): le chat a un ventre qui grossit, une peau sèche et fine avec des comédons (points noirs), il mange et boit énormément. Cette maladie est cependant très rare chez le chat. L'hyperoestrogénisme (kyste ovarien chez les femelles non stérilisées, tumeurs testiculaires chez les mâles). Les symptômes associés peuvent être divers, avec notamment des troubles reproducteurs chez la femelle (chaleurs prolongées etc.…) et une féminisation chez le mâle (baisse de la libido). Une mauvaise alimentation L'alimentation contribue à la beauté du pelage. Une mauvaise alimentation est souvent à l'origine d'un poil terne et d'une mue importante. Les protéines, les acides gras poly-insaturés et les vitamines (A et biotine) sont les éléments qui favorisent la bonne santé de la peau et du pelage. Dans des cas extrêmes (malnutrition), le manque de certains de ces éléments peut provoquer une perte massive des poils. L'élément essentiel pour que votre compagnon bénéficie d'un beau pelage est de lui fournir une alimentation complète et équilibrée (voir notre Fiche Santé "l'alimentation du chat adulte"). WANIMO a sélectionné dans sa boutique des aliments de grande qualité qui apportent tous les éléments indispensables à un pelage de qualité. Il existe par ailleurs de nombreux compléments alimentaires, à donner pendant les périodes de mue, qui permettent d'entretenir le poil. Par ailleurs, une allergie alimentaire peut aussi être un facteur de la perte de poils: les allergies alimentaires se manifestent souvent, chez les carnivores domestiques, par des symptômes cutanés comme des dépilations, des démangeaisons et des plaques rouges sur l'ensemble du corps. Les troubles du comportement Chez des animaux stressés, hypersensibles ou très angoissés, on note parfois un comportement de léchage frénétique surtout au niveau des pattes avant et à la base de la queue. Ce léchage provoque alors la chute des poils et une irritation de la peau; apparaissent alors des plaques rouges suintantes qui peuvent s'infecter. Il convient dans ce cas de diagnostiquer puis de traiter ce trouble psychologique. L'alopécie extensive féline C'est une maladie très rare. Elle se manifeste par une perte de poils étendue chez le chat, due principalement à des allergies. On la rencontre avec la dermatite miliaire déjà citée. Cette maladie est également une forme du syndrome éosinophilique (il existe d'autres formes avec des dépilations localisées derrière les cuisses par exemple). Conclusion Une perte modérée et régulière des poils est tout à fait normale chez votre chat. Il faut cependant être attentif et savoir repérer toute augmentation importante dans la quantité de poils perdus, toute apparition de zone dépilée chez votre animal, accompagnée ou non de grattage. [/size][/b]
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WWF lance un appel de détresse pour sauver les ours polaires
sonia4191 a posté un sujet dans Protection
Le Fonds mondial pour la nature (WWF) a appelé jeudi les pays abritant l'ours polaire à se montrer exemplaires dans la lutte contre le changement climatique, principale menace pesant sur l'animal emblématique de l'Arctique. A quelques jours d'une importante réunion des cinq pays riverains de l'océan Arctique (Etats-Unis, Canada, Russie, Norvège, Danemark), WWF a sommé ces Etats de jouer un rôle moteur dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre au nom des obligations prises pour la survie du plantigrade. «C'est l'homme qui a créé le problème, c'est à lui de le résoudre», a déclaré Rasmus Hansson, secrétaire général de WWF Norvège, lors d'une rencontre avec la presse. «Certains de ces pays sont aussi très importants dans la politique internationale sur le changement climatique», a-t-il dit. Selon des estimations de l'Institut d'études géologiques américain (USGS) et de l'Union internationale pour la conservation de la nature, les deux tiers des 20 à 25.000 ours polaires vivant aujourd'hui risquent de disparaître du fait du réchauffement planétaire d'ici 50 ans. Les pays abritant des ours polaires se réuniront de mardi à jeudi à Tromsoe (nord de la Norvège) pour réfléchir à la protection de l'animal face aux menaces apparues depuis 1973, date de signature d'un accord de conservation entre les cinq Etats, à une époque où la seule menace connue était la chasse. «Personne ne pensait au changement climatique à cette époque», a souligné Thor Larsen, un chercheur qui avait participé à la négociation de l'accord. M. Hansson a relevé que la réunion de suivi de Tromsoe aurait lieu à «un moment extrêmement important», en amont de la conférence de Copenhague prévue entre le 7 et le 18 décembre pour trouver un accord post-Kyoto sur le changement climatique. «Aux Etats-Unis, Barack Obama a envoyé des signaux complètement différents de ceux de l'administration précédente sur le climat», a souligné M. Hansson, qui dit espérer que cette inflexion serait visible à Tromsoe. Selon certaines estimations, la banquise, le terrain de chasse de l'ours, pourrait complètement disparaître dans l'Arctique en été dès 2020. «Pas de banquise, ça veut dire pas d'ours polaires. C'est aussi simple que cela», a déclaré l'Américain Geoff York, un ancien de l'USGS, aujourd'hui spécialiste des ours pour WWF. Selon lui, il n'est pas trop tard pour agir. «Nous savons que les ours polaires ont survécu à des périodes de réchauffement dans le passé. Nous ne savons pas comment mais si on leur donne assez d'espace, ils s'adapteront autant que cela est possible», a-t-il dit. «Mais le problème des activités pétrolières, minières et militaires, et celui du transport maritime ne se posaient pas pendant ces périodes de réchauffement», a-t-il ajouté, plaidant pour la retenue dans tous ces domaines. Source : Cyberpresse.ca -