fmouss88

Hé bien Tibo, il faut arréter l'hécatombe. Ton oiseau présumé tueur doit effectivement etre isoler. Il ne doit pas supporter la compagnie d'autres oiseaux. Est-il aussi agressif avec toi? Pour ce qui est de ton pauvre oiseau de 10 ans, quelle triste fin de vie! Quant à toi Lena ce n'est pas de chance. Des oiseaux en pleine forme qui décèdent sans raison, je ne sais pas comment on peut expliquer celà?existe-t-il des cas de mort subite chez l'oiseau?

Celà ne m'étonne pas Mérodo. Il en faut du temps pour que la peine s'estompe. Aurais tu une photo de Chibi pour que nous puissions le connaitre, même s'il n'est plus de ce monde le petit ange. Coco, Loulou et Chouchou sont tes deux eam?

ça me fait de la peine Marylise de voir tes petites prostrés au sol. :| Que peuvent-elles bien avoir?je sais qu'un oiseau se déshydrate vite et lorsque Bichette était mourant, on m'avait conseillé de l'hydrater avec une seringue contenant de l'eau et un peu de miel, en faisant couler les gouttes sur le coté du bec, au niveau de l'ouverture. L'eau arrive à pénétrer et l'oiseau l'avale. Tu fais bien de les laisser au chaud car un oiseau malade se refroidi très vite aussi. J'espère qu'elles se remettrons vite à manger tes petites pallids.

Merci océane

Si Flo le veut bien, j'aimerais récupérer Loulou, mais pour le moment je n'arrive pas à le contacter. Désolée pour ta petite femelle Tibo. Même non eam ça fait de la peine , surtout quand on ne sait pas pourquoi l'oiseau est mort. Merci d'avoir créé cette rubrique( bien que l'on souhaite qu'elle ne se remplisse pas très vite.)

« Bichette, je t’avais donné un nom de fille toi qui était un petit male mais qu’importe, tu étais ma petite Bichette. Tu connaissais bien ton nom. Tu as partagé 5 années de ma vie, toujours prêt à m’accompagner dans mes déplacements, posé sur ma tête ou sur mes épaules. Petite boule de poils multicolore, vive, intelligente et joyeuse, tu n’avais peur de rien. Nous en avons partagé de bons moments, même si je ne te sortais pas aussi souvent que tu le voulais. Tu en as passé du temps à taper sur les barreaux de ta cage pour te faire entendre mais je faisais semblant de ne pas comprendre car je ne pouvais pas te consacrer tout le temps que tu aurais voulu . De ce fait, ta vie n’a pas été toujours rose. Tu as été créé et élevé artificiellement pour t’attacher à l’homme, mais l’homme est égoïste et ne mesure pas toujours les conséquences de ses actes. Ainsi, tu as du souvent attendre des heures entières avant que je te libère et que tu puisses enfin retrouver ta moitié. Oui, tu me considérais comme ta moitié, ta femelle . Je t’ai présenté Loulou pour que tu te sente moins seul . Tu ne l’as pas reconnu comme étant de ton espèce. Les deux petites femelles ravissantes que tu as eu un temps à ta disposition n’ont guerre eu plus de chance et t’on laissé de marbre. Inéluctablement tu ne vivais que pour moi, guettant le moindre bruit de mes pas, le moindre son de ma voix, le bruit de ma clé dans la serrure. De jour comme de nuit où ton sommeil était légé, ton attention était fixée sur moi. Le matin, lorsque j’entrais dans la chambre pour découvrir ta cage et faire le jour, tu te précipitais vers une des portes pour que je l’ouvre . Puis tu sautais sur mon doigt et innondais ma main de bisous avec ta petite langue charnue de perroquet, avant de retourner vers ta mangeoire pour remplir ton petit estomac vide. C’était un rituel bien en place depuis plusieurs années. Ensuite venait le moment de la douche. Tu m’observais, perché sur la tringle du rideau, interceptant de temps en temps un léger filet d’eau qui te suffisait pour lisser quelques plumes. Tu adorais venir ensuite titiller les bouclettes de la serviette de bain lorsque je me séchais. Tu semblais toujours joyeux ce qui ne pouvais que me mettre de bonne humeur en ce début de journée. Nous partagions également la pause repas du midi pendant laquelle tu arpentais la table de long en large à l’affut d’une miette de pain. Parfois, tu te perchais sur le bord de mon assiette espérant découvrir une gourmandise à ta convenance. De temps en temps, tu n’hésitais pas à aller voler une ou deux croquettes dans la gamelle des chattes , ou un gâteau si la porte du placard était restée ouverte. Lorsque tu avais soif, tu te dirigeais vers le robinet au dessus de l’évier et là je comprenais que je devais intervenir pour faire couler l’eau. Tu connaissais la maison par cœur. Tu aimais te pavaner devant le grand miroir du séjour. Tu devenais plus calme quand tu me rejoignais, assise sur le canapé. Ton jeu favori étais de rentrer dans le col de mon tee shirt ou de mon chemisier. Une fois installé à ta convenance, tu laissais dépasser ta petite tête et gare à celui ou celle qui approchait un doigt !Tu défendais ton territoire. Tu préférais prendre tes bains dans les verres dans lesquels nous buvions. Tu en passais du temps ensuite à te faire beau sur mon épaule, en séchant minutieusement chaque plume de ton petit corps soyeux. A ce moment là , et rien qu’à ce moment où tu étais mouillé, tu demandais des caresses et des gratouilles dans ton cou et sur ta tête. Tu restais alors des minutes entières, les yeux fermés pour mieux apprécier ce moment plein de tendresse. Tu n’étais pas vraiment comme les autres inséparables. Tu étais un hybride. J’étais sans cesse en admiration devant ton plumage aux couleurs éclatantes, presque surnaturelles. Tu as voyagé de nombreuses fois à mes cotés. Je t’ai fais profiter de l’air de la campagne. Les beaux jours approchants, je t’avais préparé ta petite cage pour les bains de soleil sur le balcon, que tu appréciais tant. Tu ne connaîtras pas ce nouveau printemps. Te rappelles tu ce petit « numéro de cirque »que nous montrions aux personnes qui venaient nous rendre visite. Je te disais « va dans ta maison ! » et aussitôt tu te précipitais à l’intérieure de ton nichoir . Ca en amusait plus d’un de te voir obéir ainsi à ma demande. Les chattes, tu ne les craignais pas car les deux siamoises de la maison restaient complètement indifférentes à ta présence .Tu avais l’habitude de les côtoyer sans en avoir peur. Puis, la plus vieille s’est éteinte l’an dernier et a été remplacée par 2 chatons adoptés dans un refuge et venant de la rue. Aujourd’hui adultes, ils ont gardés leur instinct de chasseurs mais tu ne faisais pas la différence.Tu leurs a fait confiance...ils ne t'ont pas fait de cadeau.Par ma faute leur contact t’a été fatal, l’accident est arrivé. Tu as lutté pour survivre pendant plus d’une journée mais le préjudice était trop important. Cette nuit peu après ton décès, j’ai pu découvrir que ton petit crane avait été perforé. Les plumes et le sang coagulé avaient colmaté la plaie mais l’hémorragie a du envahir très lentement ton cerveau, rendant impossible ton combat contre la mort. Toi qui étais en pleine santé , je me voyais faire avec toi encore un long bout de chemin mais le temps t’a rattrapé et tu n’as vécu que le tiers de ta vie. Il y a tellement de souvenirs en ces 5 ans de vie commune, cette osmose que je n’avais vécue avec aucun autre animal. Je reste là abasourdie et désemparée. Tu me manque tellement petit clown. Chaque objet, chaque recoin de l’appartement porte ton empreinte. Tu étais l’âme joyeuse de la maisonnée. J’ai voulu parfois le calme ; maintenant ce silence soudain m’angoisse. Ta cage est désespéremment vide, figée. C’est pourquoi j’ai voulu te rendre ce dernier hommage, sur un forum où l’on aime les oiseaux et sur lequel on acceptera sans trop de moquerie ma réaction quelque peu démesurée pour la disparition d’une petite bête de rien du tout. Tu es parti en emportant un petit bout de moi. Repose en paix ma Bichette."

Bravo pour tes bébés Marc, je n'en avais jamais vu de si petits(je veux dire à cet age là). C'est vraiment du "tout frais". Tu dois etre content.

Merci coco, merci Marylise, vous avez toujours un petit mot gentil.ça me fait bien plaisir. Je pense de plus en plus à reprendre un oiseau et surtout à Loulou qui aurait déjà toutes ses habitudes ici. Je ne sais pas si Flo a réussi à lui trouver une petite femelle qui veuille bien l'accepter(c'était le but de la transaction) et dans ce cas je la prendrai également, sinon Loulou tout seul, mais je n'arrive pas à joindre Flo et il y a un moment qu'il ne vient plus sur le forum.J'espère qu'il va bien.

Désolée d'apprendre que tu as perdu ton youyou Mérodo. J'imagine aussi la peine que tu as du avoir mais tu as raison, nos petits disparus continuent à vivre en nous. Voilà déjà 1 semaine que Bichette est partie. Ma peine est toujours immense et ne s'estompera que très lentement avec le temps.

coucou Marylise. C'est vrai que ça fait du bien de venir sur ce forum.J'y viens chaque jour même si je n'interviens pas systématiquement......... Comment vont tes pallids? continuent-ils à manger? car je pense que si l'appétit est là c'est déjà une bonne chose qui laisse envisager une possible guérison.

Ta petite femelle est très jolie coco. Elle ressemble comme deux gouttes d'eau à Loulou. J'aime beaucoup ces couleurs douces.

J'espère Marylise que tes oiseaux n'ont rien de grave et je comprends que tu sois inquiète car tu les aime aussi beaucoup tous tes oiseaux.

C'est une gentille intention de votre part, celà me touche beaucoup.

Merci pour ce dernier hommage à Bichette de votre part.

Je vous remercie d'avoir choisi ma photo parmi toutes les autres très jolies aussi. C'est un bel hommage que vous rendez à Bichette récemment disparue.

oui je comprends ce que tu veux dire coco.C'est vrai qu'un nouvel oiseau me ferait plaisir mais j'ai tellement peur vis à vis de mes chattes maintenant. Une seule erreur d'inatention a été fatale et pourtant nous en prenions des précautions!C'est hyper risqué. Si je devais en reprendre un, je ne suis pas pour encourager ce commerce d'eam étant donné les problèmes d'hyper attachement que j'ai eu avec Bichette quand elle tapait sans cesse sur ses barreaux.Celà me faisait trop de peinede la laisser s'énerver alors que je ne pouvais pas la sortir. Si je me décidais quand même je pense plutot que je pourrais peut etre demander à Flo s'il voudrait bien me rendre Loulou qui me connait déjà et qui a déjà tous ses repères à la maison.Peut etre que Flo n'a pas eu le temps de s'attacher trop à Loulou encore et qu'il voudrait bien me le ceder

C'est trop dur Mon chagrin est immense. Aujourd'hui je n'arrive même plus à regarder les photos et j'apréhende de rentrer dans la chambre où se trouve encore la cage intacte depuis dimanche soir.........ce silence lugubre....... Alors je viens sur le forum, je lis vos messages, les différents sujets.....ça me change un peu les idées.J'apprécie votre compagnie même si je ne participe pas à tous les posts car je n'y connais rien en élevage.Je n'avais que 2 eam, maintenant je n'ai plus rien. Merci à tous

Vous êtes tous très gentils, vos messages me vont droit au cœur. Je voudrais rendre un dernier hommage à mon petit compagnon disparu. « Bichette, je t’avais donné un nom de fille toi qui était un petit male mais qu’importe, tu étais ma petite Bichette. Tu connaissais bien ton nom. Tu as partagé 5 années de ma vie, toujours prêt à m’accompagner dans mes déplacements, posé sur ma tête ou sur mes épaules. Petite boule de poils multicolore, vive, intelligente et joyeuse, tu n’avais peur de rien. Nous en avons partagé de bons moments, même si je ne te sortais pas aussi souvent que tu le voulais. Tu en as passé du temps à taper sur les barreaux de ta cage pour te faire entendre mais je faisais semblant de ne pas comprendre car je ne pouvais pas te consacrer tout le temps que tu aurais voulu . De ce fait, ta vie n’a pas été toujours rose. Tu as été créé et élevé artificiellement pour t’attacher à l’homme, mais l’homme est égoïste et ne mesure pas toujours les conséquences de ses actes. Ainsi, tu as du souvent attendre des heures entières avant que je te libère et que tu puisses enfin retrouver ta moitié. Oui, tu me considérais comme ta moitié, ta femelle . Je t’ai présenté Loulou pour que tu te sente moins seul . Tu ne l’as pas reconnu comme étant de ton espèce. Les deux petites femelles ravissantes que tu as eu un temps à ta disposition n’ont guerre eu plus de chance t’on laissé de marbre. Inéluctablement tu ne vivais que pour moi, guettant le moindre bruit de mes pas, le moindre mot que je prononçais, le son de mes clés dans la serrure. De jour comme de nuit, ton attention était fixée sur moi. Le matin, lorsque j’entrai dans la chambre pour découvrir ta cage et faire le jour, tu te précipitais vers une des portes pour que je l’ouvre . Puis tu sautais sur mon doigt et inondais ma main de bisous avec ta petite langue charnue de perroquet, avant de retourner vers ta mangeoire pour remplir ton petit estomac vide. C’était un rituel bien en place depuis plusieurs années. Ensuite venait le moment de la douche. Tu m’observais, perché sur la tringle du rideau, interceptant de temps en temps un léger filet d’eau qui te suffisait pour lisser quelques plumes. Tu adorais venir ensuite titiller les bouclettes de la serviette de bain lorsque je me séchais. Tu semblais toujours joyeux ce qui ne pouvais que me mettre de bonne humeur en ce début de journée. Nous partagions également la pause repas du midi pendant laquelle tu arpentais la table de long en large à l’affut d’une miette de pain. Bien plus, tu te perchais sur le bord de mon assiette espérant découvrir une gourmandise à ta convenance. Parfois, tu n’hésitais pas à aller voler une ou deux croquettes dans la gamelle des chattes , ou un gâteau si la porte du placard était restée ouverte. Lorsque tu avais soif, tu te dirigeais vers le robinet au dessus de l’évier et là je comprenais que je devais intervenir pour faire couler l’eau. Tu connaissais la maison par cœur. Tu aimais te pavaner devant le grand miroir du séjour. Tu devenais plus calme quand tu me rejoignais, assise sur le canapé. Ton jeu favori étais de rentrer dans le col de mon tee shirt ou de mon chemisier. Une fois installé à ta guise, tu laissais dépasser ta petite tête et gare à celui ou celle qui approchait un doigt !Tu défendais ton territoire. Tu préférais prendre tes bains dans les verres dans lesquels nous buvions. Tu en passais du temps ensuite à te faire beau sur mon épaule, en séchant minutieusement chaque plume de ton petit corps soyeux. A ce moment là , et rien qu’à ce moment où tu étais mouillé, tu demandais des caresses et des gratouilles dans ton cou et sur ta tête. Tu restais alors des minutes entières, les yeux fermés pour mieux apprécier ce moment plein de tendresse. Tu n’étais pas vraiment comme les autres inséparables. Tu étais un hybride. J’étais sans cesse en admiration devant ton plumage aux couleurs éclatantes, presque surnaturelles. Tu as voyagé de nombreuses fois à mes cotés. Je t’ai fais découvrir l’air de la campagne. Les beaux jours approchants, je t’avais préparé ta petite cage pour les bains de soleil sur le balcon que tu appréciais tant. Tu ne connaîtras pas ce nouveau printemps. Te rappelles tu ce petit « numéro de cirque »que nous montrions aux personnes qui venaient nous rendre visite. Je te disais « va dans ta maison ! » et aussitôt tu te précipitais à l’intérieure de ton nichoir . Ca en amusait plus d’un de te voir obéir ainsi à ma demande. Les chattes, tu ne les craignais pas car les deux siamoises de la maison restaient complètement indifférentes à ta présence .Tu avais l’habitude de les côtoyer sans en avoir peur. Puis, la plus vieille s’est éteinte l’an dernier et a été remplacée par 2 chatons adoptés dans un refuge et provenant de la rue. Aujourd’hui adultes, ils ont gardés leur instinct de chasseurs mais tu ne faisais pas la différence. Par ma faute leur contact t’a été fatal, l’accident est arrivé. Tu as lutté pour survivre pendant plus d’une journée mais le préjudice était trop important. Cette nuit peu après ton décès, j’ai pu découvrir que ton petit crane avait été perforé. Les plumes et le sang coagulé avaient colmatés la plaie mais l’hémorragie a du envahir très lentement ton cerveau, rendant impossible ton combat contre la mort. Toi qui étais en pleine santé , je me voyais faire avec toi encore un long bout de chemin mais le temps t’a rattrapé et tu n’as vécu que le tiers de ta vie. Il y a tellement de souvenirs en ces 5 ans de vie commune, cette osmose que je n’avais vécue avec aucun autre animal. Je reste là abasourdie et désemparée. Tu me manque tellement petit clown. Chaque objet, chaque recoin de l’appartement porte ton empreinte. Tu étais l’âme joyeuse de la maisonnée. J’ai voulu parfois le calme ; maintenant ce silence soudain m’angoisse. C’est pourquoi j’ai voulu te rendre ce dernier hommage, sur un forum où l’on aime les oiseaux et sur lequel on acceptera sans trop de moquerie ma réaction quelque peu démesurée pour la disparition d’une petite bête de rien du tout. Tu es parti en emportant un petit bout de moi. Repose en paix ma Bichette."

C'est fini, ma petite boule de plumes s'est envolée pour toujours

Vous ne pouvez pas savoir à quel point vos messages me font du bien. Je croise aussi les doigts pour que mon petit passe la nuit. A l'heure actuelle il est toujours dans le même état .

Je vous remercie pour tous vos messages de soutien. J'aimerais croire que tout n'est pas fini mais le temps passe et je ne vois aucune amélioration.Je tourne en rond chez moi, tout est trop calme maintenant sans les cris de mon petit eam. Je le prends de temps en temps dans ma main mais il ne me reconnais pas.Il semble terrorisé et s'affole en faisant des mouvements saccadés et désordonnés comme s'il n'était plus normal.De son seul oeil qu'il ouvre de temps en temps, on dirait qu'il ne voit rien. L'autre est toujours fermé. Sa respiration est tantot imperceptible, tantot saccadée aussi. Lui qui reconnaissais le moindre son de ma voix il reste impassible. Il ne mange pas, ne boit pas. je lui ai donné qq gouttes d'eau avec une pipette. Je pense vraiment que le cerveau est touché car il a un amas de sang coagulé au niveau d'une oreille.Sans doute une hémoragie à l'interieur mais je ne veux pas le transporter chez un véto qui le manipulera dans tous les sens au risque de le stresser encore plus et dans la région je ne vois aucun spécialiste. Je crains que ses forces s'amenuisent et que son petit coeur s'arrète. Maintenant je vais éviter de le manipuler et le laisser tranquille dans son carton. Jean Luc, Chichi vos oiseaux qui ont traversé de pareilles épreuves sont restés combien de temps sans manger?

Mon eam est entrain de mourir J'ai les jambes coupées, je n'ai pas dormi de la nuit , l'appartement est plongé dans un silence macabre: mon eam que j'aime par dessus tout et dont vous avez fait la connaissance au travers de mes différents posts est entre la vie et la mort depuis hier soir. Tout allait pour le mieux, il venait de passer 2h en liberté à mes cotés, en pleine forme, toujours speed et bavard.Lorsque je l'ai rentré dans sa cage, j'ai bien refermé la porte mais je n'ai pas vu que celle par laquelle il était sorti était restée ouverte(la cage est grande et possède 4 portes). Le temps de m'absenter 2 minutes dans une autre pièce, ma fille et moi avons entendu des cris inhabituels et nous nous sommes précipitées dans la chambre. Hélas, une de mes chattes avait l'oiseau dans sa bouche. Lorsque j'ai pu le récupérer, il était inconscient, bléssé à la tête mais il respirait encore. J'ai de suite appelé la SPOV qui reçoit et qui soigne des dizaines d'oiseaux blessés chaque jours.Les consignes ont été d'isoler l'oiseau dans un endroit calme, obscur et de le garder au chaud par un système de bouillottes. J'ai veillé toute la nuit, son état ne s'améliore pas. Il respire très lentement, il est très faible, il ouvre à peine un oeil si je le touche et le referme aussitot. Je renouvelle la chaleur, j'éssai de lui présenter des graines mais aucune réaction. Je ne reconnais plus ma petite flèche Je pense qu'il est dans un état proche du coma chez les humains.Il va surement s'éteindre doucement. C'est horrible, comment ai-je pu commettre une telle erreur. Je suis dégoutée.....

Devoir accompli....mais avec difficulté

Merci de nous avoir fait voyagé :3d47:

Très jolie bête.