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alexcu84

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À propos de alexcu84

  • Date de naissance 20/08/1982
  1. mâles classic de 2 ans 100 euros mâle leucistic citrus 1 ans et demie 150 euros femelle yellow 2 ans déjà pondue 2 fois 100 euros femelle orange hypo 2 ans pondu 2 fois 100 euros femelle orange va avoir 1 an le 14 juillet 150 euros batterie de 3 terrarium 600 euros batterie de 2 terrarium 400 euros
  2. alexcu84

    terrarium

    c'est ton taf ma poule normal lol respect :;;bizou;::;:
  3. alexcu84

    terrarium

    merci a vous tous
  4. les terra font 1m20 de large 60cm de haut et 50 cm de profond
  5. salut j'ai une petite question je connais une personne qui a un dragon d'eau et elle reste petite sa fait 1 ans qu'il la et je trouvent aucun changement je me tate de la récupérer car vue ta fiche qui est nickel merci d'ailleurs elle ne doit pas avoir un environnement très saint
  6. alexcu84

    POGONA

    non le pogona peut vivre jusqu'à 10 ans
  7. alexcu84

    POGONA

    Cette espèce de lézard appartient à la famille des agamidés que l'on retrouve dans les régions désertiques et semi désertiques d'Australie. Classe : Reptiles (quelques 8000 espèces) Sous-classe : Lépidosauriens Ordre : Squamates Famille : Agamidés. La famille des Agamidés se caractérise par sa queue non détachable (comme chez la plupart des reptiles en cas de danger) et ses dents de type acrodonte (implantées au sommet des mâchoires – par opposition au type pleurodonte dont les dents sont implantées au niveau du bord interne des mâchoires). On dénombre quelques 325 espèces dans cette famille (dont pogona henrilowsoni ou encore physignatus coccincinus). Leur localisation se répand sur l’Europe, l’Asie, l’Afrique et, bien sur, l’Australie. Le pogona vitticeps est diurne (activité de jour), omnivore (alimentation variée), terrestre et semi arboricole (bien qu’il lui arrive de grimper, il ne s’éloignera que rarement du sol). Localisation – habitat naturel : Pogona vitticeps est originaire d’Australie. Plus précisément, on le retrouve dans la région du centre et de l’est de l’Australie, ce qui correspond à un biotope alternant entre désert et Savane (le grand bush australien). En fait, en Australie, les espaces véritablement désertiques n’occupent que 10 % du territoire, au centre même du continent, au coeur des déserts de Gibson ou du grand désert de sable. Législation : Pogona vitticeps est protégé par la Convention de Washington. L’Australie en interdit l’exportation. Les sujets rencontrés chez nous doivent donc nécessairement être issus d’élevages. De plus la reproduction de Pogona vitticeps n’est pas très compliquée et tenter de braver la loi pour acquérir une bête importée serait d’autant plus stupide que vous pourriez « hériter » d’une bête parasitée. Morphologie : Pogona vitticeps est un animal impressionnant. D’allure massive, doté de fortes griffes et de paupière mobiles, il possède une tête triangulaire entourée d’une rangée d’écailles épineuses sous le cou. Lorsque pogona vitticeps se sent agressé (rival) ou menacé (prédateur), il ouvre grand la gueule et déploie sa barbe épineuse qui se colore alors de noir (d’où son nom de dragon barbu – bearded dragon). Les flancs de l’animal sont également recouverts d’une série d’écailles épineuses et son dos est marqué de deux séries de taches ovales. Les sujets mâles sont généralement plus grand que les femelles (certains pouvant aller jusqu’à 50 cm : du museau à la pointe de la queue qui comptera pour la moitié de la taille) et possèdent plusieurs pores fémoraux bien distincts à l’intérieur des cuisses. Leur poids à l’âge adulte peut varier entre 350 et 500 grammes (tout dépendra de la façon dont vous le nourrirez). Les renflements des hémipénis de chaque côté de la queue sont bien visibles chez les sub-adultes ou les adultes mâles. Nous verrons plus loin comment sexer vos pogonas. Ajoutons que les sujets juvéniles arborent leur coloration vers l’âge de 2 ou 3 mois. Maintenance : Pogona vitticeps est un animal de type désertique. Il convient donc de ne pas avoir une hygrométrie excédant 50% (une humidité trop élevée peut provoquer des infections mycosiques ou bactériennes très sévères). En ce qui concerne les températures une moyenne de 40°C au point chaud, de 32 à 37°C le jour et de 20 à 22°C est préconisée. Si les maintiens de températures sont très importants pour des juvéniles (risque de problèmes de digestion ouaffaiblissement), des sub-adultes ou des adultes sont moins sensibles au respect stricts de ces estimations. Personnellement mes pogonas vivent avec une moyenne oscillant de 30 à 35° de jour et de 18 à 20° la nuit (toutefois les terrariums sont équipés de zone chauffées la nuit : tapis de chauffe et pierre chauffante). Vous l’aurez compris, une lampe chauffante est indispensable la journée. On trouve en animalerie des lampes imitant l’éclat du soleil et des lampes à lézarder (les pogonas apprécieront de se prélasser sous ces lampes). Une autre chose indispensable est l’apport en UVA et UVB (n’oubliez pas qu’un tube est à changer tous les 6 mois et doit être situer à moins de 30-40 cm de l’animal pour que ses rayons soient efficaces). Les UVB sont indispensables au pogona pour synthétiser correctement la vitamine D3 nécessaire à son organisme et à la bonne calcification. Sans cet apport, l’animal souffrira de graves carences en vitamines D3 et risque des déformations des membres (allant jusqu'à une incapacité à se mouvoir), des mâchoires (incapacité à se nourrir) et des tremblements, voir des convulsions. Il s’agit du phénomène d’ostéofibrose pouvant, au final, entraîner la mort (expérience personnelle rencontrée avec mon premier reptile). La photopériode est définie par une alternance de 12h de jour et 12 h de nuit ceci étant rendu possible par l’utilisation de minuteurs. Une diminution à 10 h de jour en hiver favorise la reproduction. Pour revenir sur les périodes de nuit, j’insiste sur le fait de laisser à disposition de vos pogonas des sources de chaleur telle que le cordon chauffant, les plaques ou pierres chauffantes (attention toutefois, Pogona vitticeps possédant une sensibilité thermique faible, il peut risque de rester trop longtemps dessus et se brûler gravement), les tapis ou encore les spots infrarouges supposés ne pas incommoder les animaux dans leur sommeil (bien que nombres de spécialistes le déconseille car, contrairement à une idée reçue, les reptiles discernent majoritairement les couleurs). Les phases: Le pogona vitticeps "classique" est de coloration gris/brun/beige avec des motifs plus sombres. Toutefois, il existe plusieurs phases (colorations). Voici ici quelques phases (non exhaustives que l’on peut retrouver chez Pogona vitticeps : Sandfire, Sunburst, Red, Orange, Yellow, Gold, Tiger, Red Flame, Desert, Citrus, Pastel, Blood,Lavender, Hypo, Leucistic, Snow, Translucent... ex: Sandfire x Red flame veut dire que le pogona est croisé de parents Sandfire et Red Flame. Sandfire x Sandfire, le pogona est de souche pure. red blood hypo/hypo leucistic red flame tiger hypo. L’alimentation : Avant de développer les habitudes alimentaires de Pogona vitticeps il convient de garder à l’esprittrois règles importantes : 1. Le rapport phosphocalcique (tout aliment doit contenir au minimum deux fois plus de calcium que de phosphore, quitte à supplémenter en calcium si nécessaire), particulièrement important pour les sujets juvéniles (risque, à long terme, d’ostéofibrose nutritionnelle). 2. la valeur nutritive d’une proie est déterminée par la nourriture qu’on lui a fournie. Si vous achetez vos proies en animalerie, il y’a fort à parier qu’elles ne soient pas suffisamment riches en calcium (on peut alors ajouter de la poudre de calcium, des croquettes pour chiens et chats, du lait en poudre,… afin de les nourrir efficacement). Gardez à l’esprit qu’une proie bien nourrie nourrira aussi bien votre reptile. 3. À la bonne saison, on peut trouver une quantité non négligeable de petites proies dans les jardins ou les champs. Cela peut se révéler économique et varier le régime habituel. Il convient toutefois de veiller à ce que les proies capturées à l’extérieur ne soient pas prélevées à proximité de zones cultivées ayant pu être traitées avec des pesticides. En effet, tout prédateur, en consommant des proies intoxiquées, va concentrer les résidus toxiques dans ses tissus et donc s’intoxiquer par là même. Tout comme pour l’homme il convient de varier les menus proposer à vos reptiles de sorte d’éviter une anorexie par lassitude alimentaire. La nature omnivore de Pogona vitticeps facilite d’autant la tache. Il convient également de veiller à adapter les tailles des aliments à votre animal. On considère que la taille de la proie ne doit pas dépasser la moitié de la largeur de la tête chez les jeunes et deux tiers chers les adultes. Cette règle doit aussi tenir compte des femelles gravides qui ont un espace abdominal restreint (à cause des œufs) et qui doivent être nourries avec des aliments plus petits. La voracité de Pogona vitticeps peut parfois causer des soucis en cas de proies trop grosses. Si vous n’avez pas de grillons de tailles adaptées, vous pouvez couper les pattes postérieures pour éviter les blessures. En terme de proies vivantes je citerai (liste non exhaustive) : grillons, criquets, sauterelles, blattes, vers de farine, vers morios, teigne, vers à soie (attention à ces dernières proies qui sont très riches en graisse et donc à distribuer avec parcimonie). Pour des sujets adultes, on peut, à l’occasion donner des souriceaux. Attention à ne jamais laisser de grillons vivant la nuit dans les terrariums car ils pourraient blesser vos reptiles. En terme de végétaux : salades (romaine, frisée, scarole, mâche, laitue), épinards, pissenlits, feuilles de betteraves, pousses de luzerne, … Ainsi que des fruits (pas trop acides) : banane, pommes, mange, raisons,… N’oubliez pas les vitamines et minéraux en suppléments (régulièrement mais jamais en excès) Les jeunes sujets non pas toujours le réflexe de boire d’eux-mêmes, si c’est le cas il faudra les abreuver vous-même (personnellement j’utilise une petite seringue, les jeunes « tètent » le bout). Mues : La mue est un phénomène normal chez Pogona vitticeps comme chez bon nombre de reptiles. Il convient toutefois de veiller à ce qu’elle se passe correctement. Une mue est en fait un mécanisme consistant à se débarrasser des cellules mortes de l’épiderme. Elle est couramment associée au phénomène de la croissance mais perdure à l’âge adulte. L’exuvie (ancienne peau) se retire un peu à la manière d’un vêtement. Toutefois si chez le serpent elle se retire couramment d’un seul morceau, il n’est pas rare que chez Pogona vitticeps, elle s’étale dans le temps et se fasse par « zones ». Il convient toutefois de garder à l’esprit que le temps de mue, le sujet sera moins actif. En fait, le sujet « s’économise » pour consacrer plus d’énergie au mécanisme de la mue. Il n’est donc pas rare de voir une baisse générale de l’activité diurne et de l’appétit. Certains facteurs peuvent empêcher le bon déroulement de la mue, ceci peut avoir des conséquences graves pour la santé de votre reptile. En terme de facteurs pouvant favoriser les problèmes de mue on peut citer : - Mauvaises conditions de maintenance : hygrométrie trop faible dans le terrarium, récipient d'eau trop petit ou vide, aération trop importante, etc. - Absence de surfaces rugueuses dans le terrarium pour se frotter afin d’ôter l’exuvie. - Déshydratation générale de l’animal due à une maladie. - Présence de parasites externes sur l’épiderme (tiques,acariens). Comportement en captivité : Pogona vitticeps jouit d’une excellente réputation en terrariophilie, notamment chez les débutants, car il est très docile et se laisse facilement manipuler. Il s’agit probablement d’un des seuls reptiles à ne pas craindre, voir à rechercher, le contact humain. Je n’ai personnellement jamais rencontré de sujets réellement agressifs. Domination: il existe une hiérarchie à l’intérieur des groupes de pogonas. Elle se remarque le plus entre les Parades nuptiale : le mâle en quête de femelle oscille fréquemment de la tête à proximité de celles-ci et gonfle sa barbe. Chez certains spécimens l’extrémité de la queue se noircit comme la barbe. Les femelles réceptives s’aplatissent et lèvent légèrement la queue. Le mâle saisit alors le cou de la femelle avec ses dents et place son corps de manière à placer leurs deux cloaques à proximité l’un de l’autre. Il se servira alors de l’hémipénis le plus proche pour féconder la femelle. Parfois votre pogona gratte la vitre du terrarium, ne vous inquiétez pas, il veut juste sortir, manger, se voit dans le reflet... ou plus embêtant, il est stressé par votre main, animaux de compagnie... Une fois l'éclairage éteint, il se peut qu'il se mette la tête sous le substrat, c'est qu'il est dérangé par un élément extérieur (TV, PC, lumière...), mettez un drap sur le terrarium afin qu'il puisse dormir tranquillement. Les détenteurs de Pogona vitticeps auront sûrement déjà pu observer le fameux « pédalage ». Il s’agit d’un mouvement ample (comme s’il pédalait) et lent des membres antérieurs. Ce mouvement est avant tout un geste de soumission destiné à apaiser l’individu agresseur ou dominant. Ce mouvement peut toutefois prendre différentes significations suivant l’individu qui le fait. Ainsi une femelle le pratiquant en période de reproduction peut chercher à montrer son accord pour l’accouplement mais aussi sa soumission face à un individu dominant. Pour les juvéniles dont la position hiérarchique est la plus basse dans le groupe, ce geste est exacerbé : ils se soulèvent sur les 3 membres restants et font un pédalage d’amplitude très marquée face aux individus dominant. Chez tout autre individu, un mouvement lent, associé à un pédalage des antérieurs marque une soumission, enfin un hochement rapide de la tête marque une revendication de territoire. On pense aussi que ces hochement peuvent, par extension, tenir lieu de dialogue entres les individus. Sexage des sujets : MALE femelle Certains spécialistes avancent le fait que le sexage des Pogona vitticeppeut se faire dès la première semaine de naissance. A cette période, il n’y a pas encore de réserve de graisses au niveau du cloaque et la peau y est encore très fine, on peut donc voir à travers s’il y’a ou non des hémipénis. On considère que la maturité sexuelle est obtenue entre 1 et 2 ans (on constate parfois des individus plus précoces matures vers 10 mois). On note, chez le mâle, la présence de pores fémoraux. Ces derniers se présentent sous la forme de trous sur la face interne des cuisses et sont en fait des glandes sexuelles qui jouent un rôle dans la reproduction et le marquage du territoire. Ces glandes ne sont très nettement visibles qu’à partir de l’âge d’un an. Pores fémoraux sur un sujet mâle Sujet mâle Sujet femelle Sujet femelle En terrarium, il convient toutefois de respecter certaines règles pour la vie en groupes. On évitera donc de mettre plusieurs mâles ensemble car cela peut entraîner de violents combats au corps à corps, avec un risque de blessures parfois assez graves. Cette hiérarchie est basée sur tout un rituel de gestes (moulinets des pattes, oscillations de la tête) qui permettent en général d’éviter les affrontements. Il est cependant conseillé de n’élever qu’un mâle et plusieurs femelles au sein d’un même terrarium à moins que celui-ci ne soit très grand et dispose de plusieurs points élevés et disposant chacun de lampes chauffantes. Un groupe de femelles ne posera, en revanche, normalement pas de soucis. Dans une population de plusieurs individus, le point le plus haut sera en général réservé à l’individu dominant du groupe. À la tombée de la nuit, le pogona redescend au sol en prenant une couleur peu visible, à la recherche d’un abri où passer la nuit. La technique de régulation de température du pogona est simple et facile à observer : lorsqu’il veut emmagasiner de la chaleur, il s’aplatit pour recevoir la chaleur avec une incidence perpendiculaire à son corps. En revanche, pour diminuer sa température corporelle, il ouvre la bouche pour favoriser une plus grande transpiration et donc une plus grande déperdition de chaleur (si l’animal passe tout son temps la bouche ouverte, c’est que la température à l’intérieur du terrarium est trop élevée…). Le comportement défensif du pogona est lui aussi facile à observer, bien que très rare en captivité. L’agame lorsqu’il se sent menacé et qu’il n’a pas de moyen de fuite, il se dresse sur ses pattes arrières, gonfle sa gorge et essaie de mordre ou encore s'enfouit dans le substrat lorsqu'il est juvénile. Au point de vue morphologique, on peut dire que les mâles sont généralement plus grands et possèdent une tête et la base de la queue plus large. Espérance de vie : Un sujet peut vivre 10 ans Reproduction Ce qui suit n’est que le fruit de mes recherches et non de mon expérience du fait que je n’ai pas encore eu de reproduction, mais je pense que ceci devrait déjà pas mal aider beaucoup d’entre vous. Je modifierai cette partie lorsque j’aurai eu mes deux premières reproductions La maturité sexuelle est généralement atteinte à l’âge de 1ou 2 ans voir quelque fois à 10 mois (ce qui n’est pas très fréquent mais possible. Tout d’abord il est indispensable d’instaurer une période de repos de 2 mois environ (celle-ci n’est nécessaire que si l’on souhaite obtenir une repro assurée). Au bout de cette période il est préférable de séparer le mâle de la femelle pendant environ 3 semaines pour leur permettre de reprendre des forces en les nourrissant abondamment et de façon équilibré sans oublier l’apport en vitamine et calcium (de type reptivit) tous les deux jours. Lors de la remise en cohabitation des 2 espèces il y a 3 attitudes possibles : 1. Ils peuvent s’ignorer, notamment si ils sont trop jeunes, si ils ont un problème de santé ou tout simplement si ils ne se plaisent pas. 2. La femelle peut agresser le mâle si elle s’est approprié le territoire, ce cesse assez vite généralement. 3. Le mâle entame une parade nuptiale assez sommaire consistant à hocher la tête tout en gonflant sa barbe, puis ce précipite sur elle pour lui mordre la base de la queue ou la nuque. Ensuite il l’incite à lever la queue en la griffant (mais quel sauvage alors). Si elle est réceptive elle laisse la mâle la saillir, sinon elle se plaque au sol. La copulation dure environ 2 à 3 minutes. Ponte et incubation De l’accouplement à la ponte il faudra attendre 20-21 jours environ. Il se peut que la femelle cesse de s’alimenter durant cette période. Il est indispensable de mettre à sa disposition au point chaud du terra un bac de ponte remplie de vermiculite, HUMIDE pas trempé, assez grande pour qu’elle puisse s’y tenir où elle pourra creuser pour y pondre entre 10 et 30 oeufs, ce qui peut durer plusieurs heures. Une fois terminé, elle les recouvre. A ce moment là et pas avant on peut retirer le bac de pontes pour les transférer dans un incubateur en évitant surtout de les retourner et si vous constater que certains oeufs sont collés alors n’essayez pas de les dessouder au risque de les briser. L’incubateur est constitué d’une cuve ouverte avec du substrat très humide, comme du sable par exemple, que l’on chauffera avec un câble chauffant pour obtenir une température de 27° à 30°c tout en obtenant une hygro de l’ordre de 80%. Il faut retirer les oeufs stériles ou pourrissant dans la mesure du possible afin de ne pas contaminer les autres. Il peut y avoir 3 pontes par saison pouvant aller jusqu’à 6 avec un intervalle de 1 mois mais ce n’est pas très bon pour la femelle qui a un grand besoin de récupérer. Naissance Arrivés à terme, les jeunes, longs d’une dizaine de centimètre, vont creuser leur coquille ce qui dure environ 4à5 heures. Si au bout de la journée il n’y a que la tête de sortie c’est que la coquille est trop dur donc il faut aider les jeune la en déchirant ou en faisant des entailles aux ciseaux (à bout rond de préférence). Lorsqu’ils sont réellement actifs un jour ou deux plus tard on pourra les transférer dans un terra en veillant à les nourrir abondamment sans oublier les vitamine et calcium ainsi et surtout les UV, au besoin isoler les individus dominés. Leur croissance est très rapide, cependant la mortalité infantile touche essentiellement les sujets de mois de 2 mois.
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