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jay05

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  1. Espèce : La Chélydra serpentine plus communément appelée (tortue hargneuse), fait partie des chelydridés la famille des chélydridés regroupe 2 espèces de tortues : la Chelydra Serpentina, (Tortue Hargneuse) et la Macroclemys Temminckii (Tortue Alligator) Dèscription : Cette tortue se rencontre dans les cours d’eaux et rivières calmes du nord des Etats-Unis ainsi qu’au sud et au nord de l’Amérique du sud, on la retrouve également en nouvelle écosse Elle est facilement reconnaissable grâce à ses membres larges et musclés, à sa longue queue et a ses écailles en dents de scie à l'arrière de sa dossière foncé, tirant sur le gris ou le brun. Son plastron est relativement petit ce qui l empêche de se retirer Complètement dans sa carapace. Si elle se sent menacée elle se dresse sur ses pattes de devant et s'élance pour mordre. Aux États-Unis, des baigneurs sont régulièrement blessés par le bec acéré de ce chélonien. Son cou est très long : il fait a peu près la moitié de la longueur de la dossière. Alimentation : Elle a flair excellent ce qui lui permet de trouver ses proies avec une certaine aisance tels que des poissons, amphibiens, oiseaux, petits mammifères,crustacés, têtards, insectes et de diverses plantes aquatiques (dans la nature elle est assez charognarde) . Contrairement aux autres tortues aquatiques, on la voit rarement se chauffer . Dans son environnement naturel elle passe l'hiver sous l'eau. Reproduction : Les mâles atteignent leur maturité sexuelle vers l’âge de 3 à 5 ans et les femelles vers l’âge de 4 à 6 ans. Le nid de cette tortue est simplement un trou dans le sol. La profondeur d'un nid peut atteindre 35 cm et le nombre d'oeufs varie autour de 40. Une grosse chélydre de 20 kilos peut produire jusqu'à 60 oeufs. Ils sont la grosseur d'une balle de ping pong munis d une coquille résistante et flexible. Cette tortue ne semble utiliser aucun pouvoir de séduction lors de l acte sexuel. La femelle n'est pratiquement jamais réceptive. Le mâle monte alors la femelle en s'agrippant fermement à la coquille. Il oblige ainsi la femelle à demeurer à l'intérieur de sa carapace en bloquant l'entrée avec sa tête. Le tout se produit sous l'eau et ne pouvant respirer, elle cède et le mâle peut copuler Remarques : Il serait spécialement inconscient de confier cette tortue à un enfant, ni même à quelqu'un d'inexpérimenté, car c'est une tortue à manipuler avec précaution éfféctivement elle attaque dès qu'elle se sent agressée et qui peut surprendre quand on ne la connaît pas. Et même quand on la connaît bien, il faut rester vigilant afin d'éviter son bec tranchant qui peut faire des blessures assez conséquentes. Elle est d ailleurs inscrite en France sur la liste des animaux dangereux .En Alsace, c est un caniche qui s est fait happer par une adulte de 40 kg, ce qui nous prouve bien qu il ne faut jamais relacher ce type de tortues (ni les autres d ailleurs) dans la nature
  2. de plus cette fiche est la plus complète du net concernant cete espèce ca me fait palisir de la partager avec vous
  3. Cette espèce comprend 3 sous-espèces distinctes, toutes localisées en Afrique : Pelomedusa subrufa subrufa (Lacepede, 1788), Pelomedusa subrufa olivacea (Schweigger, 1812) Pelomedusa subrufa nigra (Gray, 1863) Répartition géographique: La Pelomedusa subrufa est répandue dans toute l'Afrique centre méridionale jusqu’à Madagascar, Yemen et Arabie saudite. La Pelomedusa subrufa olivacea occupe la bande septentrionale : de l'Éthiopie et de Soudan jusqu'à la Côte d'Ivoire, en passant par le Cameroun et le Nigeria quelques spécimens ont même été repérés au Yémen. La dernière sous-espèce Pelomedusa subrufa nigra est rencontrée dans la partie méridionale, en particulier en Sud Afrique. Les Pelomedusa subrufa occupent les cours d’eau à faible précipitation durant l’hiver. Dans son biotope pendant les jours d'été à forte chaleur, la température ambiante atteint en moyenne les 30 degrés. Elles occupent principalement des petits bassins et marres stagnantes occasionnellement remplis mais qui ne tardent pas à s'assécher, contenu des fortes températures. Description: Cette espèce est relativement petite et atteint rarement les 20 cm de carapace. Leurs plastrons n'ont pas de charnières mobiles (contrairement à la pelusios castaneus ,à ne pas confondre) , peut être complètement uniformes, sans reflets, allant de la couleur ocre. Cependant quelques spécimens présentent des colorations très sombres et uniformes. La dossière est de forme ovale avec des couleurs, marron au vert olive, dépendant généralement de la sous-espèce. Le dimorphisme sexuel est exclusivement visible en observant la queue qui est longue et large à sa base, avec un cloaque proche de l'extrémité de la queue chez les mâles. Celle des femelle est courte et fine avec un cloaque proche de sa base. Maintenance en captivité : ATTENTION Il n'est pas possible de l'élever en plein air étant donné des températures de ses zones d'origines. L'aquaterrarium doit avoir des dimensions minimum de 100 cm x 50 cm. Le niveau de l'eau doit permettre à la tortue de pouvoir respirer en tenant ses pattes postérieures sur le fond de l aquaterrarium. Il est important de souligner qu’elles ne sont pas de bonnes nageuses et qu’elles préfèrent d'avantage se déplacer dans le fond de l’aquaterrarium . La température de l’eau doit être assez élevées et comprises entre les 25 et 31 degrés centigrades : l'idéal est 26-28 degrés. En dessous de 26 degrés elle manifestera un fort ralentissement du métabolisme, une anoréxie et une apathie qui pour cette espèce peut s’avérer fatal. Dans leur biotope, la température reste constante toute l'année ce qui explique que cette tortue n'hiberne pas. Des températures trop élevées (nécessaires seulement en cas d'infections ou maladies) augmentent considérablement le métabolisme et causent l’estivation, très fréquente chez cette espèce. De nuit on peut faire baisser la température de 4 ou 5 degrés centigrades. Il est nécessaire de munir l'aquaterrarium d'une aire émergée constituée de cailloux non coupants, de buches ou même de racines. Cette zone sèche devra être vaste d'au moins 1/3 de la cuve et exposée contrairement à ce qu avancent certains éleveurs à un éclairage UVB 7% 10 heures à 12 heures par jour (surtout pour les juveniles) . Une lampe chauffante sera également aménagée au dessus de cette plage afin d’obtenir 30 degrés centigrades, nécessaires à leur thermorégulation, surtout si la température de l'eau n'est pas très élevée. Dans la nature les Pelomedusa subrufa, vivent dans des eaux dont le pH particulièrement élevé (alcalin) est compris entre 8.0 et 8.5. Il peut donc être utile de contrôler le pH et les adapter à cette valeur, en ajoutant par exemple du sable corallien ou autre… Les interventions sur le pH sont destinées aux éleveurs plus experts voulant reproduirent au mieux leur biotope. Alimentation : La Pelomedusa subrufa est une espèce exclusivement carnivore. Ses apports nutritifs sont principalement issus d'aliments protéiniques; pour ces mêmes raisons il est nécessaire de lui fournir une alimentation très variée et équilibrée. Dans son biotope elle se nourrit volontier de tout ce qui peut lui passer sous les yeux mais surtout d'insectes, mollusques, crustacés, vers, petits mammifères, poissons et autres... Les jeunes spécimens nécessitent une alimentation quotidienne avec un jour de jeûne par semaine, les adultes peuvent être alimentés tous les 3 jours vu leurs temps de digestion beaucoup plus lent, que les juvéniles et sub-adultes. Son alimentation en captivité peut être composée d'insectes : grillons, vers de terre, vers de vase, vers de farine, et autres larves. Poissons d'eau douce (truite, brochets etc..) oisillons, souriceaux morts ou vivants, en morceau ou entiers (selon la taille de la tortue). À cela il est conseillé de compléter avec d’autres aliments : petits invertébrés (escargots avec coquille très riche en calcium), mollusques, crevettes d'eau douce. On conseille également de fournir des chairs blanches et rouges. Reproduction : En captivité la maturité sexuelle est plus vite atteinte par les mâles ; selon les conditions d'élevage. Pour la ponte il est nécessaire d’aménager une zone de ponte placée à une hauteur d’environ 20 cm et assez large. Dans ces conditions elle y déposera 15 œufs selon les conditions de l'animal, de son âge, etc... En une seule ponte. La durée de l’incubation peut varier entre 70 à 90 jours. Pour un taux de naissances optimales il est préférable d’enlever les œufs du nid et de les mettre en incubateur, en utilisant de la vermiculite de 5-8mm d épaisseur humidifiée. Il est conseillé de maintenir une humidité autour du 70% et des températures comprises entre les 27 et les 32°. Il est également important de rappeler que les œufs ne doivent pas être renversés pour éviter de tuer l'embryon. Les sujets à peine nés, de dimensions réduites à peine 3cm, sont très délicats et demandent donc plus d'attention et de soins. Remarque : Comme déjà évoqué plus haut, la Pelomedusa subrufa est une tortue qui n’hiberne pas et des températures trop basses peuvent s'avérer fatales pour cette espèce.
  4. le 2 eme est un miami le premier un albiinos mais je ne peux pas t en dire plus, les phases c est pas trop mon truc
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