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julien perrin
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Dans la neige et le verglas
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les haras nationaux
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les crinières d'or 2009
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Les haras nationaux sont un établissement public administratif français présents sur l'ensemble du territoire. C'est un opérateur public, prestataire de services, destinés à l'ensemble des acteurs du développement territorial de la filière du cheval. Son siège se situe aux Haras de Pompadour, en Corrèze. L'institutionnalisation de l'élevage équin a, même avant la création des haras nationaux, été un enjeu important en raison de ses répercussions militaires. Jules César avait été impressionné par la cavalerie gauloise et la qualité de ses montures[1], mais on ne retrouve la première fonction équivalente au garde des haras (comes stabuli) que sous Clotaire Ier, au VIe siècle. Charlemagne, au VIIIe siècle, décide par ses lois capitulaires, que tous les poulains de l'année devaient être vus Au Moyen Âge, l'élevage en France est florissant en raison d'une part, des encouragements royaux à l'importation de reproducteurs allemands hollandais et danois et d'autre part, à un solide élevage privé, chaque seigneur ayant à cœur de développer dans son fief un élevage à des fins militaires. Les croisades sont également une occasion de rapporter du sang d'Afrique et d'Asie mineure à l'élevage français. On en retrouvera une forte influence en pays Limousin. Après la guerre de Cent Ans, la centralisation de l'État diminue les conflits armés seigneuriaux et, avec eux, l'intérêt de l'élevage féodal. À la Renaissance, les guerres italiennes, puis les guerres de religion poursuivent la décimation du cheptel, à tel point qu'Henri IV diligente une enquête par des commissaires royaux afin d'établir des haras. Cette enquête ne débouchera pas sur une solution concrète et c'est Colbert, sous Louis XIV qui créera une des plus anciennes administrations françaises, les haras nationaux. Par arrêt du Conseil du Roi du 17 octobre 1665, les bases de cette structure sont posées. Les grands principes en sont la répartition sur le territoire d'étalons royaux confiés à des garde-étalons, l'approbation des étalons privés et les encouragements aux jumenteries. En 1715, la construction du Haras du Pin, premier haras royal, commence. En 1717, la structure administrative est précisée et renforcée. Le surcroît de pouvoir donné aux garde-étalons allait entraîner des abus et une généralisation de la corruption qui rendit l'institution impopulaire au point que, lors de la Révolution française la Constituante allait purement et simplement la supprimer en 1790. Ils furent rétablis en 1806 par Napoléon, mettant les haras sous la tutelle du ministère de l'intérieur et créant les écoles vétérinaires de Lyon et Maisons-Alfort. Article de fond sur l'histoire des haras sous le Premier Empire : Haras sous le Premier Empire. Mac-Mahon fait voter le 29 mai 1874 la loi organique des haras, dites loi Bocher. De cette loi datent l'organisation du corps des officiers des haras et l'organisation en circonscriptions. L'émergence des blindés dès le début du XXe siècle siècle fait décroître la demande militaire et voit les missions des haras se recentrer vers l'agriculture. Depuis les années 60, l’élevage est réorienté vers le loisir et la compétition. En 2003, la signature d’un contrat d’objectif [3] sur une période de cinq années modifie fondamentalement la structure d’une des plus vieilles institutions de l’État. Aujourd’hui, les haras nationaux sont des prestataires de service auprès des éleveurs, organisations socio-professionnelles et collectivité territoriales. Leurs frais de fonctionnement sont toutefois régulièrement montrés du doigt par le Ministère des Finances : on estime que les Haras nationaux coûtent environ 45 millions d'euros par an au contribuable français
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La troupe ALEGRIA et ses chevaux Mérens Prestige s'est produite à côté des grands noms du spectacle équestre : Jean-Marc Imbert et Alexis Gruss. Leur Numéro Passion Andalouse est lauréat du trophée EQUESTRIA obtenu à Tarbes lors du festival Européen de la création équestre. Leur spectacle complet dure une heure et comprend une dizaine de numéros qui peuvent aussi s'intégrer dans un spectacle réalisé par d'autres artistes. Dans ce ballet équestre, inspiré du folklore andalou, se succèdent séduction, querelle, passion et réconciliation. [/url En associant la voltige aux figures de haute école, Julie, Amélie et Thierry ne recherchent pas la performance sportive. Ils vous proposent un instant de magie où l'émotion se mêle à la grâce et à la beauté. [url=https://servimg.com/image_preview.php?i=1227&u=11369691] Thierry avec son étalon Libertin, orné de son collier de travail, rend hommage au Cheval de Mérens et à la tradition, au travers de figures de haute école. Dans ce numéro, tout est basé sur le respect et la confiance entre Lili et Julie qui laisse volontairement beaucoup de liberté à sa jument pour qu'elle devienne actrice de son numéro. Un pas de deux aux couleurs andalouses dans lequel la symétrie des figures évoque le lien qui réunit deux sSurs avec jean marc imbert
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jean luc corcoy( un super gar ) quelques questions Jean-Luc Corcoy, éleveur d'Appaloosas amateur à Saint Estève (Pyrénées Orientales) qui etes vous Je suis détaillant en fruits et légumes. Depuis, l'âge de 14 ans, je me lève chaque jour à 4 heures du matin pour finir à 7 heures du soir. Mais, ma passion des chevaux m'a aujourd'hui conduit à relâcher un peu, au niveau du travail, et à prendre quelques après-midi pour m'occuper de mes chevaux. C'est une passion que j'ai toujours eue, mais que je n'ai pas pu assumer plus jeune. Après avoir joué au rugby pendant 14 ans, je me suis lancé dans l'élevage amateur de chevaux. Au départ, il ne s'agissait pas d'Appaloosas ? Pas du tout. C'étaient des chevaux de promenade, sans papiers, puis des chevaux espagnols. Et un jour, l'un d'entre eux m'a piétiné. J'ai eu 6 côtes cassées et un poumon perforé et l'accident m'a cloué au lit pendant 3 semaines. Durant quelques temps, j'ai eu une appréhension. Et puis, très rapidement, j'ai commencé à acheter mon premier Appaloosa, ma jument, "Dune Mighty Fine", née en Amérique. C'était le mental du cheval qui était important pour moi, car ce sont des animaux à sang froid, qui réagissent beaucoup moins violemment que d'autres races de chevaux. Ensuite, j'ai pratiqué l'éthologie pendant un an, à Mirepoix, avec la dresseuse professionnelle Elisabeth de Corbigny. Aujourd'hui, je possède 8 Appaloosas. Vous vous êtes même lancé dans la compétition ? "Summer du Sagiran" Il y a 4 ans, ma première participation à un championnat de France, a déclenché chez moi l'envie de continuer. En 2000, à Saumur, je suis monté sur la deuxième marche du podium. En 2001, j'ai été vice-champion de France AFEW (Association Française d'Equitation Western) et, en 2002, j'ai décroché le titre de champion de France Appaloosa Comment conciliez-vous votre passion avec votre métier ? C'est un véritable problème pour moi, car, je tiens un commerce et je dois abandonner mes employés. Mon rêve serait de partir en Amérique, dans un ranch, pour trier les veaux. Cette année, je suis allé faire un stage à Puech-Maynade, près de Rodez, afin d'apprendre à manipuler des veaux à cheval pendant 3 jours. C'est fabuleux, c'est un autre monde. Donc, si vous vous reconvertissez, ce serai dans ce métier-là ? Tout à fait. De toute façon, c'est ce qui va se produire. C'est mon objectif. Je ne me vois pas continuer à travailler jusqu'à 65 ans. Je me suis donné le but d'arrêter de travailler à 50 ans pour élever mes Appaloosas.
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