Nath111

Histoire de savoir si nous pouvons êtres responsables de la propagation de plantes aquatiques invasives (même si j'ai une idée sur la question ) mais voyons un peu dans quelle mesure ! sondage à choix multiples...

On va laisser temporairement de côté la digression qui pointe le nez et revenir à nos moutons... Quelques conseils de bon sens : - ne pas aménager un jardin quatique à proximité d'un cours d'eau - ne pas introduire de plantes invasives - ne pas transférer d'eau, plantes ou animaux d'une pièce d'eau à une autre - garder sous contrôle les plantes à croissance rapide. Les maintenir en pot pour limiter leur pouvoir de dispersion - ne pas se débarrasser du matériel végétal dans un cours d'eau ou une zone humide mais le mettre au compostage - apprendre à reconnaître les principales plantes aquatiques invasives et partager ses connaissances pour lutter contre leur propagation... ce que nous sommes en train de faire. Voir le sondage dans cette même rubrique. -

un article très intéressant dans le magazine "jardins & décors aquatiques" du mois de mars/avril. Une campagne de sensibilisation aux risques inhérents au développement des plantes aquatiques invasives a été réalisée en Belgique. Il s'agit des plantes qui se développent dans nos bassins extérieurs et qui sont principalement constituées d'espèces végétales exotiques (provenant d'Amérique, d'Afrique, d'Asie et d'Australie). Une fois importées, elles s'acclimatent et colonisent de nombreux milieux aquatiques. Comme leurs ennemis naturels n'ont pas été importés avec elles, et que nos poissons les consomment peu, elles forment un tapis végétal en surface et empêchent le développement des autres espèces. Ces plantes invasives interceptent la lumière et réduisent la disponibilité en oxygène, d'où une mort biologique des milieux aquatiques qu'elles ont colonisées. Toutes ces espèces végétales se bouturent très facilement. Des fragments sont souvent véhiculés accidentellement, que ce soit par l'homme ou par les oiseaux. A suivre, quelques conseils concernant ces fameuses plantes que vous avez certainement dans votre bassin...

mais je t'aime, Gilles !

Existe-t-il un document où serait répertorié la durée de vie des poissons que nous maintenons en aquarium ? même quelque chose d'aproximatif. Parce que parfois on s'étonne de la mort d'un poisson alors qu'il n'y aucun signe extérieur de maladie, on se demande tout de suite s'il n'y a pas un problème dans la flotte... et si le poisson (ou "les") était tout simplement arrivé au bout de sa vie ?... et puis quand on est vieux, on se choppe plus facilement des cochonneries !

4ème ponte cet après-midi (la précédente ayant été encore boulottée) ; il y a un problème, quelque chose cloche pour que les pontes n'arrivent pas à terme... ou alors ils sont comme les scalaires, ils font leur apprentissage de parents je ne sais pas mais là, ça m'agace !

le raisonnement est tout à fait valable... je suis d'accord sur le fait que le terme écolo est trop connoté politiquement... et ce sont des rigolos moi j'aime ma planète et j'essaie de respecter au mieux tout ce qui la compose... avec les moyens du bord comme dit Francis.... et de toute façon ça ne sera jamais assez suffisant... mais il faut garder quelques illusions, sinon c'est trop désespérant

Nos poissons d'eau douce (et marins) apprécient beaucoup les moules : fraiches, surgelées ou mixées pour être incorporées aux patées maison. Les aquariophiles qui habitent près de la mer peuvent en trouver sur place mais avec le risque de les prélever en zones polluées (et ça, on ne le sait pas forcément). Par contre celles que l'on trouve chez le poissonnier sont s'en risque puisque propres à la consommation humaine et normalement contrôlées. leurs qualités nutritives : - forte concentration en protéines - richesse lipidique - pouvoir énergétique élevé - présence d'algues et de micro planctn dans leur poche stomacale - richesse en vitamines et oligo éléments Les donner vivantes s'avère fastidieux car difficile à ouvrir. Il vaut mieux les faire chauffer à feu doux sans eau. La coquille s'ouvre, on la passe sous l'eau froide. Elle reste quasiment crue, elle conserve donc les propriétés de l'animal vivant. On prélève la bestiole et on la donne entière ou coupée en morceaux. Il est possible de congeler les moules... ou d'acheter des moules déjà congelées. Par contre, l'auteur de l'article sur les nourritures (dans Aquarium à la maison hors série "comment nourrir ses poissons") préconise de ne pas acheter les grosses moules provenant de Méditerranée ou des côtes espagnoles car après décongélation, elles se délitent dans l'eau et polluent. J'utilise des moules congelées, et je dois avouer que je n'ai jamais regardé la provenance. J'en met 1 ou 2 en fonction du bac (et du nombre de poissons). Elles sont mangées très rapidement, et il n'y a pas un poisson qui n'y touche pas. C'est la friandise par excellence p.s: la plupart des infos sont piochées dans le magazine cité ci-dessus

dans 8 jours, si la météo reste belle, tu pourras déjà récolter. Je suis partie en prospection, les orties font déjà une dizaine de centimètres de hauteur.... je vais aussi bientôt partir à la cueillette attention aux cloques !

on va dire que vous n'avez pas de chance et que la souche ne doit pas être top... de plus en plus avec les apistos semble-t-il (comme d'ailleurs avec tant d'autres poissons)

et pourquoi ?

bon, ben c'est clair, j'écoute trop mes poissons ... à partir de maintenant plus personne n'aura le droit de faire son difficile ! non mais !!... pour les filamenteuses, boh, ça n'est pas bien grave... ah mais j'oubliais que Francis est un phobique des algues !

pas encore de nouvelles, Francis, ça fait trop peu de temps que j'ai installé quelques gindals sur la mousse... il faut au moins attendre une bonne quinzaine de jours pour voir un développement de la colonie

tu crains que le co2 ne change tes paramètres ?

sol classique on va dire : nutritif de chez JBL recouvert de gravier... dans mon bac la majorité des plantes ne trouvent pas leur nourriture dans le sol mais dans l'eau, je n'aurais pas de sol nutritif que ça ne changerait pas grand chose. Il y a très peu de plantes qui s'enracinent véritablement

met 1 ou 2 poignées dans un bas ou une mi-chaussette, pas plus. Le but n'est pas de faire du purin d'ortie (parce que là, je te jure qu'Elodie va demander le divorce , ça chlingue de trop ! c'est une horreur)

D'après ce que j'ai lu, le rendement diminue après quelques mois du fait de l'empoisonnement progressif de l'élevage par les excréments des vers... ce qui semble logique au vue de la petitesse des boites dans lesquelles ils sont maintenus

un couple d'apisto suffit, pas forcément besoin d'avoir un trio. J'ai reproduit de l'apisto borelli opal avec seulement un couple et les pontes se succédaient... tes apisto auraient environ quel âge ?

Que Faites-vous de l'eau que vous avez ôté de vos bacs ; la jettez-vous ? en avez-vous une utilisation particulière ? perso : - je l'utilise pour arroser mes plantes d'intérieur - pour arroser les jardinières extérieures, les fleurs et les légumes du jardin - pour nettoyer ma voiture

merci Rémi, c'est gentil. tu as vu la plante qui courre le long de la vitre du fond et qui fait toute la longueur... tu devine ce que c'est ?... la fameuse bolbitis

pas besoin, les scalaires peuvent pondre contre la paroi de la décante, sur les feuilles de valisnéria (du genre gigantea),sur une grosse feuille d'anubia, sur n'importe quoi en fait... ils trouveront sans aide ce qui leur convient...

2 fois

merci Nadine. ça fait quand même quelque temps que je bataille pour obtenir l'effet désiré. Là, je suis satisfaite donc j'arrête de me prendre la tête avec l'esthétique de ce bac

j'ai lu dans une revue que m'a prêté Gilles (merci Gilles !) , que les grindals pouvaient être élevés sur de la mousse des bois ordinaire. je vais tenter l'expérience. On va voir ce que ça donne

Le bac a changé depuis les premières photos