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Tout ce qui a été posté par Nath111
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perso, je laisse tomber le dimidiata. J'adore ce betta mais il me court sur le haricot !! je viens de perdre ma 2ème femelle, rien de particulier sur le corps, elle allait bien encore très récemment. Je ne sais pas ce qui lui ai arrivé mais là, c'est la goutte qui fait déborder le vase !! je ne sais pas ce qu'il faut que je fasse pour les reproduire (la maintenance n'a jamais posé de problème jusqu'à maintenant); depuis le temps que je les ai, j'ai eu un seul juvénile, une petite femelle normalement toujours en vie mais qui n'a rien trouvé de mieux que de se coincer dans le trou qu'il y a au fond d'un des pots en terre. je l'en ai sorti, elle était bien blessée mais je la surveille tous les jours et les plaies cicatrisaient bien. Le bac est blindé de cachettes, de feuille de chêne, la petite filtration se fait sur tourbe, le bac n'est pas éclairé ce qui évite un stress éventuel, je suis en eau de pluie totale, ils mangent surtout du vivant et du congelé. Je n'arrive pas à comprendre ce qui ne va pas, que faire de plus ?... et quand je vois comme Nico, acara et Titi, les reproduit, ça me tue. Même si c'est un poisson qu'on ne trouve pas beaucoup, je jette l'éponge, j'me sens vraiment minable sur ce coup là
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mes poissons se sont remis à manger normalement, ils sont à nouveau plein de vie ; j'ai réussi à en sauver un bon petit nombre mais je reconnais avoir eu quelques décès (crotte ! ); c'est la première fois que j'ai des poissons atteints dans cette proportion. Ce sont surtout les juvéniles qui ont morflé ! mais je croise les doigts en pensant que ma population est sauvée, je la tiens sous étroite suveillance
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Sait-on ce qui provoque l'apparition de l'oodinium ? J'ai un bac atteint, j'en suis baba, d'un seul coup d'un seul, comme ça ! je ne sais pas ce qu'il sait passé ; ma maintenance n'a pas changé. Il y a juste eu une baisse d'1 ou 2 degrés suite à la coupure de chauffage et ça sur 2 ou 3 jours. ça me fait rager car ce sont mes aphyo bittaeniatum dont la population avait littéralement explosé, ils semblaient se sentir super bien dans leur bac. Je ne pense pas avoir fait une bêtise j'ai commencer à traiter avec Oodinopur de Sera mais je ne suis pas très obtimiste
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Le poisson étant par définition très con (je suis en colère, ça ne se lit pas ? ) , il est tout à fait capable de chercher à passer par le trou qu'il y a au fond des pots en terre que nous mettons dans nos bacs pour créer des cachettes. J'en ai dans tous mes bacs... et cela fait 2 bettas que je retrouve coincés dans le trou, à mis corps, incapables d'avancer ou de reculer. Etant donné que mes bacs sont blindés de végétation et de feuilles de chêne pour certains, il est parfois impossible de voir le drame à temps et d'essayer de sortir le couillon de son piège ! Je me suis aperçue que quelque chose n'allait pas parce qu'il y avait une odeur de poisson en décomposition qui flottait au-dessus de l'eau ! c'est fou, ça, je ne vais quand même pas ôter ces pots en terre qui ont toujours été appréciés par mes poissons. A noter que chaque fois il s'agissait de bettas mâles... je n'ai rien dis
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Macropodes erytropterus, mon coup de cœur Les macropodes sont devenus l’un de mes centres d’intérêt sur un coup de cœur il y a quatre ans, lors d’une sortie aquariophile. Mon préféré est incontestablement le macropode erythropterus ou macropode à dos rouge. J’ai trouvé mes premiers spécimens en Allemagne à Fribourg , en juillet 2008, dans un petit magasin d’aquariophile que je conseille fortement car l’on y trouve souvent des poissons peu courants (Unterwasser). La première chose que l’on m’a dite est que j’avais payé cher un poisson très commun ; propos excessifs car je peux mettre son auteur au défi de trouver un macropode autre que l’opercularis en animalerie française. J’ai installé 2 couples dans 120L installé au sous-sol dans un semblant de pièce-à-poissons. La température minimale était de 15°C (température ambiante) mais montait à 21°C avec le thermoplongeur que je mettais en fonction la journée. Le bac n’étant éclairé que par la lumière du jour issue d’une lucarne, les plantes de surface ne tenaient pas. Pensant que ceci ne facilitait pas la création de nid de bulles et attendant désespérément une reproduction, j’ai fini par disposer en surface des morceaux de polystyrène. Peu de temps après j’ai trouvé un nid de bulles. Je me souviens avoir retrouvé (enfin plutôt ma chienne) un ou deux macropodes au sol, dans une gangue de poussière. Ils sont très doués pour trouver la plus petite ouverture… et je me demande comment un poisson de cette taille peut fuguer par des ouvertures qui semblent plus étroites que lui ! Je ne les ai, hélas, pas toujours retrouvé à temps et j’ai du acheter d’autres individus (une belle souche que j’ai encore trouvé en Allemagne au Kolle Zoo de Ludwishaffen). Les Erythropterus ont une réputation d’agressivité intra spécifique que je mettais en doute jusqu’à la maturité sexuelle et la formation d’un couple qui enchainait les pontes. J’ai du retirer les deux individus célibataires qui ont rejoint un 180L, laissant le couple reproducteur seul dans le 120L. J’ai été amené à vider le 120L, le couple a donc rejoint un bac communautaire de 180L où la température un peu plus élevé (25°C) n’a pas semblé leur déplaire. Je ne me lasse pas de la beauté de ces poissons. Le mâle, toutes nageoires déployées devant une femelle à la robe rendue pâle en période de reproduction, est un spectacle à lui seul. J’ai prélevé des larves que j’ai placées dans un seau transparent et couvert de 5L. Je les y ai fais grandir avec changement d’eau 2 fois par semaine, pas de filtration et mousse de java. Ils étaient nourris d’œufs d’artémias décortiqués, de grindals, de nauplies d’artémias. Le contenant était non chauffé mais posé sur le couvercle d’un 400L dont la rampe dégageait de la chaleur. Six juvéniles ont rejoint les parents sans aucun problème. Je les ai encore, ce sont à présent de magnifiques poissons de près de 15cm au corps imposant. Ils sont à présent dans un 100L avec racines, anubias et fougères, bac éclairé par la lumière du jour, avec filtre maison et à température ambiante : 22°c minimum et 26°C en été. Le PH est de 6.5, GH6, KH3. Un petit philodendron trempe dans le bac et a développé un système racinaire dont le but est de baisser le taux des polluants. Je les ai toujours maintenus en eau douce avec changement d’eau tous les 15 jours. L’eau de conduite de Montbéliard étant assez dure, je suis obligée de la couper : eau de conduite (1/3) et eau de pluie pour compléter. Ayant peu de place avant on déménagement, je n’ai pas voulu isoler beaucoup de petits et j’en ai le regret car je suis en train de perdre ma souche. La dernière femelle est morte, il ne me reste que 5 mâles. Cependant, je me dis qu’étant donné le caractère de ces poissons, introduire ou une plusieurs femelles risque de mettre le désordre dans le bac. Une hiérarchie semble s’être instituée au cours du temps entre les mâles ; ils s’impressionnent quelques fois, sans plus. Il n’empêche que si je laisse le groupe en l’état, je perds ma lignée. Dilemme cornélien. Je dirais que c’est un poisson peu exigeant tant au niveau de la température qu’au niveau de la nourriture : sec, congelé, vivant, tout lui convient. Après avoir pesé le pour et le contre, j’ai finalement acheté des femelles chez Unterwasser à Fribourg ; j’en ai pris 4 encore jeunes, l’une d’elles est en fait un mâle, le vendeur s’étant visiblement trompé. La mise en présence s’est très bien passée malgré mes craintes, de superbes nids de bulles s’enchainent, j’ai eu plusieurs pontes avec prédation des larves de la part des parents. Un alevin a échappé au carnage et se cache actuellement dans des plantes de surfaces que j’ai ajoutées dans le but de préserver quelques petits. A la prochaine éclosion, je prélèverai des larves.
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Article de Thierry ( Mbuna55) ********************************************** "Les espèces regroupées sous cette appellation sont un des St Graal des killiphiles . Rouge à points bleu contrairement aux autres aphyo qui seront tous à tendance bleu à points rouges et de petites tailles, inférieur à 4cm. Ils ne s'échangent que de mains à mains entres personnes connues, car leur élevage demande beaucoup d'attention et de disponibilité. Leur croissance est également très lente. Comptez un an et demi pour obtenir des adultes bien mâtures. Ils sont de maintenance assez robuste si on peu conserver une température fraiche toute l'année( 21°c maxi), mais leur reproduction est une autre affaire. Les oeufs sont très gros proportionnellement à la taille des poissons mais évidemment fort peu nombreux également. A cela s'ajoute une fraction importante de non fécondés si les poissons sont trop jeunes ou si les paras, en particulier la dureté, sont trop élevés. Il faut tenir sous les 100µsm et en dessous de 50 c'est encore mieux. Seul le vivant de petite taille est accepté en nourriture. A ne pas mettre donc, vous l'aurez compris, entre toutes les mains étant donné la difficulté pour obtenir déjà de quoi conserver sa souche. J'ai la chance de posséder trois espèces( photos perso): Aphyosemion (diapteron) cyanostictum Sam GBN 88-29 Aphyosemion (diapteron) fulgens LEC 93-7 Aphyosemion (diapteron) georgiae Latta GWW 86-2 Photo faite à l'AKFB mes mâles sont encore trop jeunes pour vous montrer la magnificence de leur parure. Ce sont de petits bijoux fort précieux. Concernant leur maintenance et repro, je peux ajouter qu' il n'y a pas de recettes miracles, comme avec la plupart des poissons à chacun de se faire son expérience et surtout ne pas s'obstiner si les résultats sont mauvais, cherchez d'autres modes d'élevage. Des amis les reproduisent en couple dans des bacs de 2l dont ils changent l'eau tous les jours. Un grand éleveur tchèque les maintient en groupe de plusieurs centaines dans des bacs de 600l avec 15 cm de hauteur d'eau. La température du bac peut être plus chaude si on assure une oxygénation optimale avec des filtrations type gouttière, mais la moindre panne peut vous faire perdre tous vos poissons. Ils pondent dans ce qu'ils ont de disponible , mop ,mousse de java ou tourbe. Je n'ai pas constaté l'hyper agressivité relatée parfois. Chez moi ils sont en groupe . Pour les cyano et geogiae comme j'ai un groupe important ils sont dans des cuves de 100l chargées de mousse. Ils sont dit également prédateurs de leurs oeufs et j'ai eu de la reproduction en naturel. Rolling Eyes En assurant sur la maintenance et la nourriture, on arrive en principe presque toujours à multiplier nos écailles. Bien sûr, c'est beaucoup de temps, d'observation et de patience. Mieux vaut être sûr de pouvoir leur consacrer du temps avant de se procurer des animaux si précieux.
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j'aime bien, ça change des struss. J'ai été tentée d'en mettre dans mon 400L mais j'ai beaucoup de struss et comme je trouve que les lori sont des usines à caca, j'évite d'en rajouter. Quand je vois ce que ça donne dans le 260L entre les struss et les L66 ! misère ! à croire qu'ils passent leur journée à crotter... tient, un peu comme mes chats
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