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titeufseb111

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Tout ce qui a été posté par titeufseb111

  1. Très joli spécimen et présentation trop top! Bravo ;)
  2. Comme déjà dit: Superbe ton Python! :) Très beaux clichés en extérieur avec un beau rendu. Pour finir, trop fort le "?" ;)
  3. Houlà, je ne sais plus (je me rapelle juste que le vendeur se trouvait à droite de l'entrée)
  4. Merci à tous ;) - Effectivement Flo mais il faut être prudent avec toutes les mygales car elles sont toutes plus ou moins dangereuses. - Ah les femmes, hein Mike ... (enfin la mienne accepte :)) - L'entretien est simple pour les mygales, Spaw. La tourbe est à renouveller tous les 4 à 6 mois ou selon l'état général. Pour la nourriture, elle mange bien-sûr des insectes (grillons, criquets, blattes...) mais également des souris. Pour la quantité et la fréquence: souris 1/mois et insecte 1 tous les quinze jours. Mais cela peut varier (préparation d'une mue, hibernation...)
  5. J'ai vu cet incubateur en vente par chez moi et c'est vrai qu'il est pas mal, mais la bourse en prend un coup :)
  6. Brachypelma boehmei Mygale protégée par la Convention de Washington et la décision n°338/97 du Conseil de l'Europe FAMILLE : THERAPHOSIDAE SOUS-FAMILLE : THERAPHOSINAE REPARTITION : Mexique DESCRIPTION : Mygale de couleur brun sombre, presque noire, le céphalothorax est rouge orange bordé d'un liseré beige. Un masque brun noir part de la fovéa pour former un triangle qui recouvre le groupe oculaire. Les pattes sont noires avec des poils brun-rouges. Les pattelles, tibias et métatarses des pattes ambulatoires sont rouge orangé, très vif après la mue, mais qui s'estompe peu à peu. Elle est parfois confondue aux plus jeunes stades avec Aphonopelma bicoloratum ou Brachypema emilia dont la ressemblance entraine une confusion pour le débutant. Voir la traduction de la description originale de Brachypelma boehmei. TAILLE : Le corps de la femelle peut atteindre 7 cm, le mâle est plus petit (5 à 5,5 cm) et avec des couleurs très vives, il possède des crochets tibiaux. COMPORTEMENT : Cette Brachypelma est nerveuse, parfois vraiment agressive. Comme beaucoup de mygales américaines, elle a aussi une fâcheuse tendance à 'bombarder' à la moindre alerte. Ses soies ne sont pas trop urticantes, comparées à certaines autres espèces, mais il faut se méfier en cas de projection sur le visage et les yeux ou sur les peaux tendres du cou, poignets etc... Par ailleurs, c'est une mygale très résistante et qui vit longtemps (probablement 20 ans ou plus). TERRARIUM : Un terrarium de 20 cm x 20 cm suffit. Cette mygale tolère des écarts d'hygrométrie. Préférer un substrat de 5 cm de tourbe légèrement humidifiée -65%HR à 75%HR environ-, avec un abreuvoir changé régulièrement. Elle préfère une température plus elevée que d'autres mygales (25°C à 27°C le jour, 20°C à 22°C la nuit). Placer un bout de liège comme abri. Brachypelma boehmei se montre beaucoup et tisse très peu si ce n'est pour les grandes occasions -mues, cocons-. L'éclairage naturel d'une pièce ou un éclairage artificiel de la pièce avec cycle jour/nuit convient parfaitement. NOURRITURE : Grillons, blattes, criquets, souriceaux... Pour les bébés, micro-grillons ou fifises/pinkies/asticots en alternance. REPRODUCTION : Bien nourrir la femelle avant l'accouplement, elle peut être agressive avec le mâle si elle a faim ou si elle est stressée. Bien surveiller l'accouplement. La ponte survient 3 à 7 mois après l'accouplement. L'incubation des oeufs dure 8 à 13 semaines. Il est possible de retirer le cocon à la femelle après 6 semaines pour placer les oeufs en incubateur. En général, il y a de 300 à 400 mygalons, parfois jusqu'à 700. CROISSANCE : La croissance des jeunes est assez lente, compter 3 à 4 ans pour obtenir un mâle adulte, une année supplémentaire dans les mêmes conditions pour avoir une femelle adulte. Individualiser les bébés très tôt car cette mygale a une forte tendance au cannibalisme. Source : Mygales passion
  7. Acanthoscurria geniculata (Koch 1841) Famille: Theraphosidae Sous famille: Theraphosinae Genre: Acanthoscurria (Ausserer, 1871) Espece: geniculata (Koch, 1841) Origine: Brésil (nord) Habitat naturel: Cette espèce se rencontre en forêt. Elle vit généralement au sol dans une « cachette » simplement aménagée sous une vieille grosse branche au sol, troncs, grosses racines, etc…. On remarquera toutefois que les juvéniles ont tendance à apprécier les cachettes placées légèrement en hauteur. Description : Belle mygalomorphe de grande taille dépassant parfois les 200 mm d’envergure. La couleur de fond est marron foncé. Les pattes possèdent des bandes de couleurs blanc cassé tirant sur le crème ainsi que le bord des chélicères. Les poils sont d’une couleur rougeâtre. Le mâle est identique mais plus « fin » avec de longues pattes et possède des ergots sur la première paire de pattes. Terrarium: Un terrarium de 40 x 30 x 30 (L x l x h) est amplement suffisant. Nous disposeront au fond de celui-ci une couche de 5 cm de tourbe blonde maintenu humide. Une cachette sera mise à sa disposition (écorce de liège, pot à fleur,….). Eventuellement une décoration peut être mis en place avec de fausse plante, ce qui n’est pas vraiment utile. Temperature: Jour : 30-32°C / nuit : 26-28°C / période de repos à 15°C de novembre à février pour les adultes est un + pour la reproduction mais n’est pas obligatoire. Hygrometrie: L’hygrométrie du terrarium sera maintenu aux environ de 70%. Comme pour la plupart des espèces, le sol ne sera maintenu humide que sur les 2/3 de la surface, et plus sec sur le dernier tiers. Comportement: C’est une espèce qui lorsqu’on la regarde, paraît calme et placide car elle se déplace très lentement. Mais lorsqu’elle est dérangée, elle devient très rapide, se dresse et n’hésite pas à « frapper » de ses crocs. Il ne faut donc pas se fier aux apparences. Elles ne projettent que rarement ses poils urticants mais ceux-ci sont assez efficaces. Elle a, comme certaines autres espèces, la particularité de striduler. Elle est donc à classer parmi les espèces agressives. Reproduction: L'accouplement se déroule bien si la femelle étant très rarement agressive avec le mâle. Le cocon est confectionné 12 à 20 semaines après l'accouplement, La naissance des jeunes à lieu généralement après 10 semaines d’incubation. Les cocons de cette espèce donnent naissance à de nombreux mygalons, un cocon comporte plus de 1000 œufs et parfois plus de 2000. Croissance: La croissance de cette espèce est rapide. Les premiers mâles adultes apparaissent au bout de 3 ans (1 an de plus pour les femelle). Source : Mygales passion
  8. Brachypelma smithi Mygale protégée par la Convention de Washington et la décision n°338/97 du Conseil de l'Europe FAMILLE : THERAPHOSIDAE SOUS-FAMILLE : THERAPHOSINAE REPARTITION : Mexique DESCRIPTION : Mygale de couleur brun sombre, presque noire, le céphalothorax est noir bordé de beige. Les pattes sont noires avec des poils beige-orangé. Les articulations des pattes présentent un dégradé orange à beige, les patelles sont orange vif après la mue, qui s'estompe peu à peu. Brachypelma smithi présente une forte ressemblance avec Brachypelma auratum, qui a été décrite en 1992 comme une espèce à part entière. TAILLE : Le corps de la femelle peut atteindre 7 cm, le mâle est plus petit (4,5 à 5,5 cm) et avec des couleurs très vives, il possède des crochets tibiaux. COMPORTEMENT : est une mygale docile, qui a cependant une fâcheuse tendance à 'bombarder' à la moindre alerte. Ses soies ne sont pas trop urticantes, comparées à certaines autres espèces, mais il faut se méfier en cas de projection sur le visage et les yeux ou sur les peaux tendres du cou, poignets etc... Par ailleurs, c'est une mygale très résistante, qui vit longtemps et que l'on trouve facilement née en captivité : idéale pour débuter. TERRARIUM : Un terrarium de 20 cm x 20 cm suffit. Cette mygale tolère des écarts d'hygrométrie. Préférer un substrat de 5 cm de tourbe légèrement humide -70%HR environ-, avec un abreuvoir changé régulièrement. Elle préfère une température plus elevée que d'autres mygales (25°C à 27°C le jour, 20°C à 22°C la nuit). Placer un bout de liège comme abri. Brachypelma smithi se montre beaucoup et tisse très peu si ce n'est pour les grandes occasions -mues, cocons-. L'éclairage naturel d'une pièce ou un éclairage artificiel de la pièce avec cycle jour/nuit convient parfaitement. NOURRITURE : Grillons, blattes, criquets, souriceaux... Pour les bébés, micro-grillons ou fifises/pinkies/asticots en alternance. REPRODUCTION : Bien nourrir la femelle avant l'accouplement, elle peut être agressive avec le mâle si elle a faim ou si elle est stressée. Bien surveiller l'accouplement. La ponte survient 3 à 6 mois après l'accouplement. L'incubation des oeufs dure 8 à 13 semaines. Il est possible de retirer le cocon à la femelle après 6 semaines pour placer les oeufs en incubateur. En général, il y a de 300 à 400 mygalons, mais des écarts de 150 à plus de 800 bébés sont signalés. CROISSANCE : La croissance des jeunes est assez lente, compter 3 à 4 ans pour obtenir un mâle adulte, une année supplémentaire dans les mêmes conditions pour avoir une femelle adulte. Individualiser les bébés très tôt car cette mygale a une forte tendance au cannibalisme. Source : Mygales passion
  9. Brachypelma vagans Famille: Theraphosidae Sous famille: Theraphosinae Genre: Brachypelma Espece: vagans Espèce protégée par la convention de Washington et la décision numéro 338/97 du Conseil de l’ Europe Origine: Mexique et Costa Rica Description : Cette espèce possède un céphalothorax noir bordé en son contour de beige. L’abdomen est noir avec des poils variant du rouge au rouge-orangé. Elle possède sur ses patelles deux stries longitudinales plus claires. Terrarium : 20 x 25 x 20 cm pour une femelle adulte suffit. Le sol sera composé d’une couche de tourbe d’environ 5 cm maintenu humide sur la moitié de sa surface. Une cachette sera placée comme abri pour la mygale. Taille : Les femelles adulte peuvent atteindre 7 cm de corps pour une envergure de 13 à 15 cm. Comme pour toutes les Brachypelma le male est plus petit. Température : Jour 25 à 27° contre 20 à 22 la nuit. Hygrométrie: 70% feront leur bonheur. Elle tolère cependant des écarts d’ hygrométrie. Nourriture : selon la taille des individus: asticots, blattes, grillons, souriceaux … Comportement: C’est peu être l’ espèce la plus agressive du genre. Très nerveuse et très rapide elle se précipite dans sa cachette. Certains individus n’ hésitent pas à mordre alors méfiance. La mygale que je possède ne bombarde jamais mais cela peux varier selon les individus. Cette mygale est par ailleurs assez intéressante à observer car elle se nourrie et bouge beaucoup. Elle tisse peu sauf pour les grande occasions et peux vivre plus de 15 ans. Reproduction: L’ accouplement se déroule normalement lorsque la femelle est bien nourrie et peu stressée. Il est préférable de surveiller l’ accouplement. La ponte survient 3 à 8 mois après. L’ incubation dure 8 à 13 semaines. Il est possible de retirer le cocon environ 6 semaines après la ponte pour le placer dans l’ incubateur. Les jeunes seront au nombre de 300 à 400 parfois plus. Croissance : Comme toutes les espèces de ce genre la croissance est relativement longue. Pour obtenir un male adulte 3 à 4 ans sont nécessaire compter une année supplémentaire pour les femelles. Source : Mygales passion
  10. Cyclosternum fasciatum - Davus fasciatus Caractère : agressif Plus Origine : Costa Rica Moeurs : Terricole / Autre Biotope : Tropical Taille adulte : 10 cm Esperance de vie : 10 Nourriture adaptée : insectes Description : il s’agit d’une mygale vraiment magnifique, qui tisse beaucoup, et a un comportement très intéressant en terrarium. Elle a le caphalothorax (milieu du corps) noir zébré de rouge doré, et l’abdomen noir zébré de rouge vif. Les pattes sont noires avec des poils rouge et clairs. Pouvant atteindre 10cm, elle est assez trapue et est aussi très rapide ; il est d’ailleurs déconseillé de la manipuler, car elle peut se retourner rapidement et mordre sans hésitation. De même, elle tisse mais reste visible, ce qui ravie son propriétaire. En nature, cette espèce se trouve dans les forêts humides du Costa Rica. Maintenance : Les mygales comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’elles ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même si elles sont plus résistantes que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 80%, et des températures de 22°C la nuit et 28°C le jour, avec un gradient thermique si possible qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutot qu’au sol. Comme les mygales ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. En substrat, préférez la tourbe de sphaigne, qui engendre un nombre de parasites négligeable : vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement, si vous entretenez régulièrement l’habitat de la mygale (retirer les restes de repas par exemple). Vous pouvez aussi utiliser certains substrats pour reptiles qu’il faudra changer plus souvent. Les mygales ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant elles sont souvent plus active la nuit, lorsque tout est calme et qu’elle peuvent sortir de leur nid. Source Jungleshop.fr
  11. Brachypelma albopilosum Mygale protégée par la Convention de Washington et la décision n°338/97 du Conseil de l'Europe FAMILLE : THERAPHOSIDAE SOUS-FAMILLE : THERAPHOSINAE REPARTITION : Costa Rica DESCRIPTION : Mygale de couleur brun sombre, le céphalothorax est brun avec des reflets cuivrés recouvert de poils courts. Les pattes portent des poils longs et courbes qui lui ont valu son surnom. TAILLE : Le corps de la femelle peut dépasser 7 cm, le mâle est plus petit (5 cm) et généralement un peu plus sombre, il possède des crochets tibiaux. COMPORTEMENT : Sans doute la mygale la plus docile qui soit, pour le cas général. Comme beaucoup de mygales américaines, elle a une fâcheuse tendance à 'bombarder' à la moindre alerte. Ses soies ne sont pas trop urticantes, comparées à certaines autres espèces, mais il faut se méfier en cas de projection sur le visage et les yeux ou sur les peaux tendres du cou, poignets etc... Par ailleurs, c'est une mygale très résistante, qui vit longtemps et que l'on trouve facilement : idéale pour débuter. TERRARIUM : Un terrarium de 20 cm x 20 cm suffit. Cette mygale tolère des écarts d'hygrométrie. Préférer un substrat de 5 cm de tourbe légèrement humide -70%HR environ-, avec un abreuvoir changé régulièrement. Elle préfère une température plus elevée que d'autres mygales (25°C à 27°C le jour, 20°C à 22°C la nuit). Placer un bout de liège comme abri. Brachypelma albopilosum se montre beaucoup et tisse très peu si ce n'est pour les grandes occasions -mues, cocons-. L'éclairage naturel d'une pièce ou un éclairage artificiel de la pièce avec cycle jour/nuit convient parfaitement. NOURRITURE : Grillons, blattes, criquets, souriceaux... Pour les bébés, micro-grillons ou fifises/pinkies/asticots en alternance. REPRODUCTION : Bien nourrir la femelle avant l'accouplement, elle peut être agressive avec le mâle si elle a faim ou si elle est stressée. Bien surveiller l'accouplement. La ponte survient 3 à 6 mois après l'accouplement. L'incubation des oeufs dure 8 à 13 semaines. Il est possible de retirer le cocon à la femelle après 6 semaines pour placer les oeufs en incubateur. En général, il y a de 300 à 400 mygalons, mais des écarts de 150 à plus de 800 bébés sont signalés. CROISSANCE : La croissance des jeunes est assez lente, compter 3 à 4 ans pour obtenir un mâle adulte, une année supplémentaire dans les mêmes conditions pour avoir une femelle adulte. Individualiser les bébés très tôt car cette mygale a une forte tendance au cannibalisme. Source gea.free.fr
  12. Grammostola rosea FAMILLE : THERAPHOSIDAE SOUS-FAMILLE : THERAPHOSINAE (GRAMMOSTOLINAE) REPARTITION : Chili DESCRIPTION : Bien que soient désormais mises en synonymie les espèces anciennement connues sous les noms de Phrixotrichus auratus, Grammostola spatulata et Grammostola cala, il existe bel et bien 3 types très différents de mygales qui circulent sous ce nom. Elles ont toutes un aspect général trapu, le corps et les pattes sont marron avec des poils clairs. Les patelles et tibias sont marqués de lignes claires. Le premier type (photo du dessus) a un aspect très plumeux, les poils sont clairs, parfois réellement roses bonbon. Le céphalothorax est marron clair, on ne peut pas dire qu'il est rose, et il n'a pas de reflets brillants même après la mue. Les pattes semblent assez longues proportionnellement. La partie urticante de l'abdomen est peu marquée. Chez le second type (photo de droite), le plus courant, le céphalothorax a un aspect brillant, très visible et rose vif après la mue. Les poils sont rose saumon, de taille moyenne et contrastent avec le corps. La partie de l'abdomen recouverte de soies urticantes est brillante avec des reflets dorés. Le dernier type est marron-brun (photo ci-dessous), les poils vont du rose-saumon au rouge, l'aspect est similaire au second type, le céphalothorax est marron sans reflets roses mais légèrement brillant. TAILLE : Le corps de la femelle peut dépasser 6 cm, le mâle est assez grand (5 cm) et avec des poils très clairs et un superbe aspect plumeux, il possède des crochets tibiaux. COMPORTEMENT : Très variable, la prudence est de rigueur ! Le 'type 1' est plus calme que les autres. Dans l'ensemble, si certains specimens sont dociles, la plupart est de caractère imprévisible. Un des specimens de mon élevage est franchement agressif, montrant les crochets dès qu'on ouvre son terrarium, et tapant avec les pattes I dès qu'on approche la main ou un baton. Cette mygale bombarde rarement. Par ailleurs, elle est très résistante et vit longtemps (plus 20 ans). Fréquemment importée, facile à reproduire, généralement calme et très rustique (grande résistance à la sécheresse en particulier), elle est un bon parti pour le débutant. TERRARIUM : Un terrarium de 20 cm x 20 cm suffit. Cette mygale tolère de grands écarts d'hygrométrie. Préférer un substrat de 5 cm de tourbe plutôt sèche -60 à 70%HR environ-, avec un abreuvoir changé régulièrement. Température moyenne (24°C à 26°C le jour, 20°C à 22°C la nuit). Il est possible de la faire 'hiberner' à 15°C pendant deux à trois mois, notamment lorsqu'elle a été fécondée. Placer un bout de liège comme abri. Grammostola rosea se montre beaucoup et tisse peu. L'éclairage naturel d'une pièce ou un éclairage artificiel de la pièce avec cycle jour/nuit convient parfaitement. NOURRITURE : Grillons, blattes, criquets, souriceaux... Pour les bébés, micro-grillons ou fifises/pinkies/asticots en alternance. Vorace après les mues ou les transports, cette mygale mange pourtant relativement peu. REPRODUCTION : Bien nourrir la femelle avant l'accouplement, elle peut être agressive avec le mâle si elle a faim ou si elle est stressée. Bien surveiller l'accouplement qui est généralement immédiat et rapide. La ponte survient 5 à plus de 12 mois (!) après l'accouplement. L'incubation des oeufs dure 11 à 15 semaines. Il est possible de retirer le cocon à la femelle après 6 semaines pour placer les oeufs en incubateur. En général, il y a de 120 à 250 mygalons. CROISSANCE : La croissance des jeunes est lente, compter plus de 4 ans pour obtenir un mâle adulte, 5 à 6 ans dans les mêmes conditions pour avoir une femelle adulte. Individualiser les bébés très tôt car cette mygale a une forte tendance au cannibalisme. Source gea.free.fr
  13. Environ 9 cms de corps Voici son terra:
  14. Theraphosa leblondi (Goliath bird eater) Latreille, 1804 1- Classification FAMILLE : THERAPHOSIDAE SOUS-FAMILLE : THERAPHOSINAE 2- Repartition Guyane française, Brésil 3- Description Une des premières mygales décrites. Découverte par Leblond, elle a été décrite en 1804 par Latreille sous le nom de Mygale blondi. En 1870, par besoin d’affiner les critères taxonomiques, Thorell crée le genre Theraphosa et y place cette espèce. A ce jour, le genre est toujours monospécifique bien qu’une mygale pourtant très proche Pseudotheraphosa apophysis existe. Le derivatio nominis de cette espèce en hommage à Leblond (et pas Blond !!!) a déclenché une polémique entre les puristes du texte de description (Theraphosa blondi), et la validité de ce derivatio nominis (Theraphosa leblondi). C’est une grande mygale dont le corps et les pattes sont uniformément marron. En dehors de sa taille, elle a un aspect vraiment quelconque. Le céphalothorax est rond, la fovéa située à peu près au centre. Les pattes ont de grands poils marron-rouges. Chez certains (gros) specimens, les patelles présentent deux stries longilignes roses, bien visibles. Le mâle a un aspect similaire à celui des femelles, mais avec des pattes proportionnellement plus longues. Il a des bulbes très développés, mais par exception, est dépourvu d’apophyse tibiale. Les bébés sont très grands (plus de 10mm de corps, 20mm d’envergure), et uniformément bleu sombre. Bien que sa reproduction ne soit pas des plus compliquées, cette mygale est massivement prélevée dans son milieu naturel que ce soit pour les animaleries, ou simplement sacrifiée pour le plaisir des touristes (cadres)... TAILLE : La plus grande mygale connue à ce jour, encore que certains specimens de Lasiodora parahybana n’aient rien à lui envier. Le corps de la femelle peut dépasser les 11 cm au total, pour une envergure d’environ 30 cm ! Le mâle est aussi impressionnant, déjà plus grand que la plupart des autres mygales (6 à 8 cm), et d’aspect similaire à celui de la femelle. 4- Comportement Cette impressionnante mygale est davantage opportuniste que souterraine. Elle squatte des terriers existants dont elle dévore ou chasse les occupants, ou se loge à l’abri d’une souche ou d’un arbre couché. A part les jeunes spécimens, elle ne creuse elle-même qu’en dernier recours. Theraphosa leblondi est très agressive, elle stridule bruyamment et n’hésite pas à mordre. Bien que son venin ne soit pas réputé dangereux, les crochets sont énormes (près de 12mm) et leur action mécanique dissuasive. De plus, cette mygale bombarde énormément, et ses poils urticants sont parmi les plus redoutables connus. Piètre tisseuse, elle ne tisse guère que pour muer, faire son cocon, ou dresser quelques fils d’alerte à l’entrée de son terrier. La mue est une période délicate chez les gros specimens, et si l’hygrométrie est insuffisante durant cette période, la mygale a toutes les chances de rester bloquée dans son exuvie et de mourir. Theraphosa leblondi est sensible au stress et ne doit pas être dérangée. Son mauvais caractère et ses poils urticants en font un mauvais choix pour le débutant. 5- Maintenance Compte tenu des dimensions de la mygale, un terrarium de grande taille 40 cm x 25 cm s’impose, avec une hauteur de 30 cm. Prévoir un substrat de 15 à 20 cm de tourbe humide -90%HR environ-, avec un abreuvoir changé régulièrement et amorcez une vaste galerie dans laquelle la mygale va établir domicile. Placer le terrarium à une température pas trop élevée (22°C à 24°C le jour, 20°C la nuit). Certains éleveurs les maintiennent à une température supérieure. Theraphosa leblondi n’a absolument pas besoin d’un apport de lumière. L’éclairage naturel d’une pièce ou un éclairage artificiel de la pièce avec cycle jour/nuit convient largement, il faut même protéger le bac contre les excès de lumière. Prévoir une ventilation correcte pour éviter toute condensation sur les vitres. Comme abri, placer un morceau d’écorce de liège sous lequel la mygale peut s’abriter et se dégager une ’cuvette’. 6- Nourriture Vorace, elle se nourrit de grillons, blattes (surtout ailées), criquets, souriceaux... dans des quantités impressionnantes, à la mesure de sa taille. Attention à ne pas la sur-nourrir, elle pourrait ne pas le supporter. Pour les bébés, petits grillons (à préférer) ou fifises/pinkies/asticots en alternance. 7- Reproduction L’accouplement se passe sans problème lorsque la femelle est bien nourrie et qu’elle est disposée. Il n’y a pas d’agressivité de la femelle, c’est même souvent le mâle qui est le plus nerveux. La ponte survient 3 à 6 mois après l’accouplement, mais des durées-records allant jusqu’à plus de dix mois sont enregistrées. L’incubation des oeufs dure 7 à 12 semaines. Il est fréquent que la femelle dévore son cocon même lorsqu’il est fertile. A ce titre il vaut mieux le lui retirer au bout de 6 semaines. En fait, c’est plutôt la femelle qu’il faut retirer car les larves auront besoin de la toile-nursery qu’elle a tissée pour effectuer leur première mue, suspendus. A défaut de support, l’hécatombe est à prévoir quand arrivera l’heure de la première mue. Dans un incubateur, une gaze très fine et humide peut faire l’affaire. En général, il y a de 60 à 90 mygalons, rarement plus de 100, et de taille assez grande (1 cm de corps, le double d’envergure). Réhausser légèrement la température de stabulation (1°C à 3°C supplémentaires) pendant les périodes de reproduction. 8- Croissance La croissance des jeunes est très rapide avec une mortalité assez faible. On peut obtenir un mâle adulte en deux ans, une femelle en trois ans. Séparer les juvéniles dès que possible, car cette mygale a une forte tendance au cannibalisme. Source: G.E.A.
  15. Baltazar Futé Zoé Vue de l'ensemble Regardez le p'tit Futé :)
  16. Magnifiques spécimens! ;)
  17. Pingus, oui cela est possible mais cela reste rarissime ;) Sunglow, effectivement, elles se sont probablement reproduites ou d'autres ont trouvé refuge également dans ta cave (c'est l'endroit qu'elles apprécient beaucoup). Mais tu n'as rien à craindre d'elles. :)
  18. Très beaux clichés! Cela en met plein les yeux! Bravo ;)
  19. Elle mesure environ 2 cms de corps. :)
  20. Voici une Tegenaria gigantea que "j'élève" depuis quelques jours (Le copain de mon fils l'a trouvé dans le fond d'une cave et me l'a ramené :)) Cette dernière vit dans votre grenier, votre cave, votre garage, derrière vos meubles chez vous. Ma première observation est qu'elle tisse pas mal. Il existe d'autres espèces de Tégénaires : la parietina, l'agrestis, l'atrica... etc... De plus, les tégénaires de nos maisons (comme énormément d'araignées) sont craintives, peureuses, ne sont pas agressives envers l'humain.
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