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Valko09

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Tout ce qui a été posté par Valko09

  1. Salut ; Tu m'étonne qu'elle sont belles tes photos avec un tel appareil. Ceci dis le modèle est tout simplement superbe ce qui aide.
  2. Hello ; Voici ma tout petite et mignonne Avicularia versicolor qui m'a été offerte par un ami. Bon avec le pot concave* les photos sont un peu déformées mais la beauté de l'animal est lui tout à fais visible. * J'ai pas pensé à ouvrir le pot pour les photos
  3. Ronronner non mais éventuellement striduler oui
  4. Hello ; Petit sondage pour savoir si vous seriez plutôt "pour" ou plutôt "contre" quelques fiches d'élevages concernant les mygales, scorpions, scolopendres, etc... Merci à vous.
  5. Oui c'est normal car le gars est connu dans le monde des mygales et connais bien son sujet. N'empêche un coup de vent, un stress de la mygale et il est bon pour l'hosto
  6. Alors j'ai commencé comme la plupart des amateurs de mygales, les Brachypelma, peut de risque, très dociles et néanmoins superbes. Comme pour toutes les mygales tu pourrais te faire mordre mais avec les Brachypelma et Grammostola faut vraiment le vouloir en allant les taquiner (quoi qu'il existe toujours l'une ou l'autre avec mauvais caractère). Pour les Aphonopelma seemani là vu qu'elles sont à caractère changeant c'est un rien pus difficile. Ce genre de mygales préfèrera fuir et te bombardant avec leurs poils urticant qui font un peu le même effet que le poil à gratter (attention aux yeux). Oui ce sont les mygales avec poils urticants mais effectivement toutes ne font pas cela.
  7. Brachypelma smithi Les Brachypelma possèdent des soies urticantes assez efficaces, et les jeunes individus se frottent souvent l’abdomen lorsqu’ils sont dérangés. C’est pourquoi, si elle se frotte, refermez soigneusement le terrarium pour laisser passer quelques minutes. Description : il s’agit d’une mygale vraiment magnifique qui, malheureusement, est victime de son succès puisqu’elle est en voie de disparition et placée en annexe 2 de la Convention de Washington. Tous les individus cédés doivent être accompagnés d’un CITES ou d’une facture attestant son origine licite. Elle a le cephalothorax (milieu du corps) noir avec les bords marron clair ; son abdomen est noir avec des poils clairs, et les les fémurs et tarses sont noirs. Les patellas sont rouge orangé, le tiers du tibia orange, le reste noir, avec des poils clairs. Elle a un aspect trapu, et peut atteindre une taille respectable si elle vit, comme cela se voit souvent, entre 15 et 20 ans (voire plus), de plus de 17-18 cm. Cette espèce peut être manipulée, mais il ne faut pas oublier les soies urticantes qu’elle possède : ceux-ci ont le même effet que le poil à gratter, mais ils restent beaucoup plus longtemps accrochés. Evitez donc de l’effrayer pour qu’elle ne se gratte pas. Maintenance : Les mygales comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’elles ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même si elles sont plus résistantes que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 60-70%, et des températures de 26°C la nuit et 30°C le jour, avec un gradient thermique si possible qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutôt qu’au sol. Comme les mygales ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. En substrat, préférez la tourbe de sphaigne, qui engendre un nombre de parasites négligeable : vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement, si vous entretenez régulièrement l’habitat de la mygale (retirer les restes de repas par exemple). Vous pouvez aussi utiliser certains substrats pour reptiles qu’il faudra changer plus souvent. Les mygales ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant elles sont souvent plus active la nuit, lorsque tout est calme et qu’elle peuvent sortir de leur nid. Nourriture : insectivore (grillons, blattes, criquets), la mygale peut manger tout ce qui bouge. Cela dit, les insectes sont suffisants.
  8. Manipulation des mygales Attention ! Ce n’est pas parce qu’il est possible de manipuler les mygales, qu’elles sont toutes candidates, et qu’il faut le faire, s’il s’agit d’une espèce calme, de façon intempestive ! En effet, il n’est pas question de manipuler toutes les mygales si on n’est pas un éleveur ou un professionnel chevronné. Certaines espèces, comme les Poecilotheria, les Acanthoscuria, Les Haplopelma ou autres Pterinochilus ne doivent pas être manipulées par des amateurs. La plupart des connaisseurs évitent eux-même de le faire, car certaines, outre leur agressivité, lorsqu’elles se sentent menacées, répondront immédiatement avec une réelle agressivité. Les Poecilotheria préfèreront prévenir d’abord, en frappant de leurs deux pattes ambulatoires (les plus longues) les doigts ou l’instrument qui approchent. Les Pterinochilus feront de même, en se dressant sur leurs pattes pour vous impressionner. Et ensuite viennent les morsures si vous continuez à la déranger. Il existe beaucoup d’agressivités différentes chez les mygales, mais dans un premier temps, une mygale dite agressive qui possède une cachette prendra toujours la fuite pour échapper au danger...sauf s’il s’agit d’une proie potentielle. D’ailleurs, rangez vos doigts si une mygale d’une bonne taille a très faim. Il faudra parfois qu’elle ait planté un crochet ou deux avant de se rendre compte que la proie est bien trop grosse ! En règle général, il faut toujours se méfier, même d’une espèce dite docile, car elle peut être surprise, ou affamée...Cependant, il s’agit de remettre les mygales à leur place, en précisant qu’aucune espèce ne vous sautera à la gorge ! On ne voit ça que dans les films ! Pour se faire mordre, il faut "le chercher". Les morsures occasionnées sont toujours ou presque le fruit de manipulations ou d’interventions hésitantes ou trop confiantes !! Si pourtant vous possédez une mygale qui peut être manipulée, et que vous souhaitez la prendre, la première façon (photo) de la saisir est de la coiffer entièrement de votre main, et de serrer doucement vos doigts vers votre paume, pour prendre la mygale comme dans un étau. Ses pattes seront serrées contre son corps, et ses mouvements impossibles si elle est bien maintenue. Sur cette photographie, il s’agit d’une Grammostola Roseus, à l’approche d’une mue (ce qui explique les couleurs atténuées habituellement très roses). Une fois dans cette position, la mygale ne peut bouger, et d’ailleurs elle n’essaye même pas. La seconde manière de faire, est de la maintenir tout d’abord contre la surface sur laquelle elle se trouve, en appuyant sur son cephalothorax (partie dure centrale du corps de la mygale), pour qu’elle soit comme "clouée au sol". Vous devez exercer une pression suffisamment forte, et vous allez voir que les mygales possèdent une grande force ! Ne craignez rien, le cephalothorax est très résistant. Une fois immobilisée, prenez-la fermement, un doigt de chaque côté du cephalothorax. Faites attention qu’elle ne se retourne pas ! Les avicularia n’aiment pas être manipulées de la sorte... * Sources Jungleshop
  9. Poecilotheria formosa Description : Cette grande mygale indienne, arboricole, ressemble beaucoup à Poecilotheria regalis, mais en plus terne, c’est à dire avec moins de couleurs claires, moins de blanc. Le céphalothorax est gris-beige marqué d’une ligne noire centrale qui joint l’abdomen au groupe oculaire. Après la mue, cette espèce montre des couleurs violettes caractéristiques. Les pattes et l’abdomen sont gris-beige marqués de bandes et taches marron et noires. Le dessus de l’abdomen est séparé par une ligne épaisse blanc-gris. Le dessous des pattes est jaune terne pour les paires de pattes 1 et 2, beige pour les pattes 3 et 4. La taille est quasi la même que pour le Regalis, bien qu’elle soit parfois un peu plus active. Elle préfèrera fuir à attaquer, mais attention à sa rapidité ! Maintenance : Seront nécessaires une hygrométrie égale à 80%, et des températures de 25 à 30°C. Si vous en avez la possibilité elle appréciera un gradient thermique, qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutôt qu’au sol. Les poecilotheria présentent une grande envergure, jusqu’à 15cm pour celle-ci, et elles sont très actives la nuit : c’est la raison pour laquelle nous vous conseillons un terrarium de 40cm de haut minimum. Il lui faudra aussi un grand réservoir d’eau, autour duquel elle peut passer beaucoup de temps, notamment autour d’une mue. Cela vous aidera également à obtenir une hygrométrie réelle et constante. Cette mygale n’est pas difficile à maintenir, mais elle est déconseillée au débutant en raison de son agressivité, de son venin toxique. Nourriture : insectivore (grillons, blattes, criquets), la mygale peut manger tout ce qui bouge. Cela dit, les insectes sont suffisants. Venin : Les poecilotherias sont réputées très venimeuses. Biens qu'elles ne soient pas mortelles, une morsure peut nécessiter dans certains cas l'hospitalisation. Il est à noter que les mâles possèdent un venin plus dangereux que celui des femelles. Une morsure peut entraîner des symptômes tels que des engourdissements, de l'irritation, des douleurs musculaires, de la fièvre, des nausées, des maux de tête jusqu'à la perte de conscience dans les cas les plus extrêmes. * Image Google
  10. Voici une petite histoire vécue par un terrariophile connu dans le monde des possesseurs de mygales. Quand je pense à Poecilotheria, je pense certainement à celle qui c'étais échappée. J'avais mal fermer le contenant, et pouf disparu... Je cherche mais ne trouve pas, alors je fini par vivre normalement sans trop regarder. Une semaine plus tard je la retrouve, a l'intérieur du contenant que vous verrez, je devais donc la retirer. Il y avais trois techniques évidentes : - Découper le contenant - Gosser à l'intérieur avec un bâton et finir après des dizaine de minutes et probablement une mygale très fâchée ... - La technique de l'eau La technique de l'eau consiste a simplement verser un peu d'eau a l'intérieur sans arroser la mygale au moment ou l'on le verse a l'intérieur, puis d'approcher tranquillement l'eau vers les pattes arrière, pour la faire avancer et la faire sortir de ce contenant ... que j'avais besoin donc que je ne pouvais pas couper. Alors voila ... je décide de filmer la technique, mais parfois, on a des surprise, peu importe les années d'expérience. Petite précision : Les espèces du genre Poecilotheria possède un venin assez puissant qui cause des enflures, une morsure à la gorge ou à la tempe pourrait causer des problèmes majeures. La seul chose a faire est ce que j'ai fait, de rester calme et attendre d'avoir une occasion de la rattraper.
  11. Chromatopelma cyanopubescens FAMILLE : THERAPHOSIDAE SOUS-FAMILLE : THERAPHOSINAE REPARTITION : Venezuela DESCRIPTION : Décrite par Strand en 1907 comme Avicularia cyanopubescens (!), cette mygale fait sa réapparition dans les milieux d'élevage en 1994. Appelée Delopelma cyanopubescens puis rattachée au genre Aphonopelma dont elle est proche, elle a été renommée Chromatopelma, genre monospécifique, par Schmidt en 1995. C'est une magnifique mygale aux caractéristiques uniques tant par son aspect que par son comportement. Après la mue, le céphalothorax, les pattes et les chélicères sont bleu nuit et présentent de vifs reflets métalliques bleus et verts. Peu à peu le céphalothorax perd de son éclat et sa couleur vire au vert bouteille, d'où le surnom de la mygale. L'abdomen est brun rouge couvert de longs poils orange vif. Quelques taches sombres sur l'abdomen sont peu visibles. La zone où se trouvent les soies urticantes est dorée. Les juvéniles sont très différents des adultes : le céphalothorax est doré, l'abdomen noir avec des dessins géométriques orange, les pattes sont noires (reflets bleutés) et beige orangé (patelles, tibias, métatarses). TAILLE : Mygale de taille moyenne, le corps de la femelle peut atteindre 5 à 6 cm, le mâle est plus petit (4 à 5 cm) et avec des couleurs très vives, il possède des crochets tibiaux. COMPORTEMENT : C'est une mygale nerveuse, réactive, qui se déplace avec une rapidité étonnante pour une mygale terrestre. Quelques specimens peuvent être qualifiés de vraiment agressifs. En tous cas, la méfiance s'impose car n'hésite pas à mordre. Il lui arrive de bombarder ou, étrangement, de tenter de frotter la partie urticante de son abdomen comme le font les Aviculariae. Autre comportement rare chez les mygales terrestres d'Amérique du Sud, Chromatopelma cyanopubescens tisse énormément et aura tôt fait de recouvrir l'ensemble de son terrarium d'un tapis de toile. TERRARIUM : Un terrarium de 20 cm x 20 cm suffit. Cette mygale tolère des écarts d'hygrométrie. Mettez un substrat de 5 cm de tourbe légèrement humidifiée -60%HR à 70%HR environ-, avec un abreuvoir changé régulièrement. Une température moyenne (24°C à 26°C le jour, 20°C à 22°C la nuit) suffit. Placer un bout de liège comme abri. Chromatopelma cyanopubescens tisse beaucoup et se cache peu, à l'exception des périodes de mue et de ponte. L'éclairage naturel d'une pièce ou un éclairage artificiel de la pièce avec cycle jour/nuit convient parfaitement. NOURRITURE : Grillons, blattes, criquets, souriceaux... Pour les bébés, micro-grillons ou fifises/pinkies/asticots en alternance. Mygale vorace qui n'hésite pas à s'attaquer à de grandes proies. REPRODUCTION : Bien nourrir la femelle avant l'accouplement. Elle peut être agressive avec le mâle si elle a faim ou si elle est stressée. En général l'accouplement se passe bien, il est rare que la copulation se fasse dès l'introduction du mâle dans le terrarium de la femelle. Laisser le mâle plusieurs jours avec la femelle jusqu'à ce qu'on remarque qu'il essaie de s'échapper... La ponte survient 3 à 6 mois après l'accouplement. L'incubation des oeufs dure 8 à 11 semaines. Il est possible de retirer le cocon à la femelle après 6 semaines pour placer les oeufs en incubateur. Les cocons sont de taille très diverses, de 100 à 400 mygalons, les bébés sont gros et s'alimentent vite. CROISSANCE : La croissance des jeunes est assez rapide. Il faut moins de 3 ans pour obtenir un mâle adulte, une année supplémentaire dans les mêmes conditions pour avoir une femelle adulte. Individualiser les bébés très tôt car cette mygale a une forte tendance au cannibalisme. * Image Google
  12. Alors ma réponse sera oui et non, je m'explique. - Non il n'existe pas de mygale qui ne mordent pas. Elles elles possèdent donc toutes un venin qu’on ne peut retirer à moins de les mutiler mortellement. Elles ont en effet besoin de leur venin pour immobiliser et pré-digérer leurs proies, c’est pourquoi il ne faut pas penser (et croire un vendeur sans scrupules) que le venin a été retiré pour rendre la mygale inoffensive ! - Oui il existe plusieurs espèces assez lente (quoi que...) qui sont tout à fais adaptée pour les débutants. Tu as les Brachypelma smithi, emilia, albpilosa, la Grammostola rosea et la Aphonopelma seemani mais il faut être assez prudent avec cette dernière car c'est une espèce très lunatique... Voilà, si tu as d'autres questions, n'hésites pas. J'ai fais quelques fiches dans la partie "Fiche d'élevage" de cette section au cas où... P.S : Petit rappel : Une mygale ne ce manipule pas car il faut bien se rappeler que les mygales sont et restent des animaux sauvages, et ne sont pas apprivoisables.
  13. Pour le moment je n'en n'ai qu'une par espèce mais un jour...
  14. Connue sous le nom de tarentule géante de Colombie, elle a une envergure de 15 à 20 cm. Trouvée dans les forêts tropicales de Colombie et du Brésil, près de rondins, elle se nourrit de criquets, d'autres gros insectes, de petits lézards et de souris.
  15. Une petite vite faite...Mademoiselle se ballade sur les vitres
  16. Hello ; Voici ma dernière acquisition, un(e) Megaphobema robustum.
  17. C'est comme les tatouages, t'en a 1 t'en veux encore plus...
  18. Très jolies les photos effectivement ...
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