PSYKOBULL

Recherchés, ils le sont dans tous leurs états... Au coude à coude au comptoir, sur le poing de se faire la malle à bar... Au banc des accusés, rien ne peut lézard été... Serait-ce un guette à plan ? Les bullgitifs sont-ils en Tanger ? ...Vous le saurez ce soir en regardant sur Aime Sausix les derniers épis zobs de la Sausaison 3 avec les parfums Pacroc Rabagne!

Eh bien, pour un retour sur la scène, y'a de quoi faire une scène, mais pas pour autant se jeter dans la Seine! Le gâteau qui va vous être présenté n'a pas d'affixe ni de sucre fixe et pourtant il est inscrit au Livre des Os régimes Francrèmes : mi-âme... mi-âme !!! "Les bras m'en tombent!" A deux, c'est cré..mieux! Quand y'en a pour loin, y'en a pour l'ogre! L'avaleuse de sabre, ça brasse! A la queue lieu oeuf. Pas vraiment dans son assiette... Happy Buffy doux youuuuuuuuuuuuuuuuu !!!

Belle de moi zèle

Du fond de ma rue Une chtilhouette comme une Buffy élue Se rapproche à hauteur de mes voeux bus La chtilhouette, c'est une fille Jour de fête nationale Affriolante comme une ex-pupille Qui domine le nez pâle Je la regarde me sourire Je laisse la tarte Et les oeufs pour les cuire : Belle demoiselle Qui se paresse dans l'année Sa ganache lui donne des selles Mais j'ose pas me damner Si jamais je m'accroche des ailes Aucun doute On s'envole comme unies rondelles Du milieu de ma rue La si douce nénette comme un nuage S'éloigne sans un bruit Alors c'est Graal Ca se bouscule dans ma quête Dopé à l'effet de serre C'est pas vraiment l'assiette Pourtant j'ai l'air de lui plaire Qu'ai-je fait au bonduelle Pour être fidèle à cette tête à queue ? Inaccessible comme unies rondelles Je module dans mon être Dopé à leffe de Pierre C'est quand même par la fenêtre Les fentes diams qui peuvent distraire Je n'essuie pas carat fait Merci ma DDE mais je tire un trait Sur cet aveu nu Belle demoiselle dispersée dans l'année Dame monarche lui donne du zèle Mais sauce pas j'm'en bats le nez Si jamais je décroche à Quelle Aucun doute elle s'en moque Belle demoiselle qui se liesse dans la paix Sa démarche lui donne des mails Mais j'ose pas m'en poster Si jamais je suis l'coach d'elle Aucun doute Elle se sent folle comme une pire donzelle. Christeuf MAE ( Mon Anniversaire d'Enfant)

Vingt de diousse, el gato d'min coin ! Euch telephone y brait ! Faire guinse à s'baraque ! Tiote mère :

Quatre mots sur un gâteau, ceux qu'il a léchés Quatre c'est au temps de crocs, je sais conter Quatre élans sur un plat sellé, mes restes en fraises hier Mais que ferait donc cet autre que jeuner? Ne le sauverai-je jamais ? Cas très lingual, alléché, des joues miam fument geste Trois moins deux qui sent bon, ça c'est émoi qui reste Caresses, égards et fraisier, je n'ai pas du flair La partager me soufflait bougies fermes Depuis je rêve d'an fier Moi j'aurais tout frais pour elle, pour un simple mot Que lui donne l'autre que je n'offrirais ? Elle aidait mon flan mes pelles, ma vie en plateau Etait-elle trop belle ou suis-je trop chiot ? N'aime-t-on jamais assez ? Quatre années miel à beurrer, maigre rétamé Tartes joutées mais la reine s'est tachée Quatre millions de pitance, de retraités qui pensent Les questions, les soupières et les gens rances Je préférais ses encens Moi j'aurais tant filmer pour elle, pour voir son os Que lui donne l'autre que je n'offrirais ? Elle était mon sang mécène, mamie en Pluto Mais était-elle trop zèle, ou bien mou trop tôt ? N'aime-t-on jamais aspect ? Vous pétiez à vie comme la nuit et le jour Vous deux, mouillés, filiez mon passé amour Un matin vous m'avez bon donné à loisir Je ne vous aimais qu'à yeux Je vous lèche, à deux Boire du kir serait nous trahir Mais qu'aurait donc cette crotte que je niais ? Ne la saucerai-je jamais ? La part a gelé me soufflait Buffy l'air Depuis je rêve d'en faire.

Gare au cochon qui porte des torchons, didou dame didou dame...

Tout à l'heure Je boudais sur mon ordinateur à bas prix D'une chaussure, au noeud rouge, un bull me dit : «Eh van damme il est quelle heure ?» Je lui réponds : «pipi» Il me dit : «ma came c'est quand chuis homme?! Tu veux pas m'faire un gâteau de riz ?» C'est hot les paroles! Sur le moment j'ai pas d'confiserie Je réponds : «De mon temps, C'est pas un chat ça qu'on donne aux six ans?! Tu n'aimerais pas qu'on tarde comme là dans ton élan» Le bull me r'garde Avec une tête de chien qui parle Il m'fait : «Vas-y tarte pâte c'est clair ou j'passe une annonce» J'lui réponds : «Du calme pour la sauce ! J'te commandais une part, tu m'en laisses? C'est quoi ce manque de bougie altesse ? On t'a pas dit d'fêter les âmes comme des saints de messe ?» Il me dit : «Ouais, mais toi j'te lèche !» Je lui dis : «Ben miam justement C'est bien ça l'mâle reste!» Tu sais que... Tyson Si t'enlèves la pastille Ça fait carton Et gare aux gong ma bille Gare aux cochon Gare aux cochon Gare aux cochon Qui perdent leur queue qui vrille Di di doum Di di dam Di di di di di di J'continue mon refrain Au jeu suivant J'entends : «Hé gosse coach donne ! Quand tu veux j'te chambre» C'est encore une annonce pour la fête en grand Je lui dis : «Là tu tu sens adonf, c'est un dessert J'y crois pas, j'pète, redescends d'ta carpette Tu t'prends pour Tyson Mon caca T'as même pas la dale sur la sellette !» Il m'dit : «Vas-y, sois pas bull guerre Tu vas voir où je vais là maître!» Je lui dis : «C'est moi qui essuie les bulles d'air? Non mais là c'est la galette ! Je rêve, pour qui tout est grand? Maintenant tu t'la pètes !» Je suis décent, il est pas décembre, J'dis : «C'est la merveille dans ta tête ! Qu'est-ce que tu comptes faire ? Là t'es en mater, j'veux des fraises d'plus J'attends, et j'lâcherai pas la bière» Il me dit : «Nan, toi tu ruses Espèce de vieux corsaire !» «C'est la meilleure je t'ai donné mon coeur, J'aurais mieux pour te distraire» Tu sais que... Voilà comment parlent un certain Tyson Quel conte ! Il mériterait une bonne part du lion Tu veux goûter ? On va goûter J'lui dis : «Laisse ton calisson Tu manges beaucoup, ça manque d'crème d'marron Tu m'as demandé ? Une fête action ?» Tout à coup Tyson a une félicitation Il l'annonce et me dit : «Ouais, vas-y c'est bon ! L'âge moi, par don» J'lui dis : «C'est bien Là, t'as l'air bien bon, C'est normal d'avoir pris soin D'parler aux âmes de cette façon Y a un sérieux thème pour deux rations Pourtant j'suis sûr que la flamme en dit long» Il me dit : «T'as raison j'me sens tout fiston C'est l'jackpot qui m'booste, j'ai des frissons!» Je lui dis : «C'est bon, pleure pas !» Il manquait plus qu'ça Tyson qui fond en charme dans mes bras Tu sais la queue...

JUILLET " Presse-mi et Presse-moi sont dans un bal tôt. Presse-mi tond bas l'os. Que reste-t-il de nos amours quand le jus y est ?"

JUIN "au moi de juin, c'est toi toi mon toit dans la main. J.U.I.N : Joues Unies Inévitablement pour la Nuit"

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Le gâteau de Versailles : le rot à soleil et l'ouïe qu'a tort. Le gâteau de cartes s'écroule devant l'os trop assis Donner sa langue au chirac et tourner cette fois son lang dans sa babouche, c'est en avoir une bonne paire. Les polis trichent chiens et face à la patrie se rient...de tout tout. Pour être près si dent, faut pas avoir de part rôle et l'allant dans sa poche. Le lavage de servi haut est le mois yen le plus sûr d'arriver à ses faims. Avoir les idées eux plus croc que le ventre. Le dépouillement des listes et les taux râlent, préserver l'espace humain en voix de dix parts diction. Si tu avances et tu roucoules, comment veux-tu comment VIEUX truc que je t'embrouille...

Il était une fois à l'entrée des bullistes Un petit lardon bon au regard un peu pitre Il attendait des mois une phrase magique Je lui dis simplement : Si t'étais Présidente Si t'étais Présidente de l'art et bullique Jamais plus un fan de sang n'aurait de manger triste Tu nommerais bien sur Tyson premier ministre De ton cou vers le champ, si t'étais Présidente Sans plaie à la posture me semble un génie dense Zinzin à la peau lisse et pique tout aux fines hanches Zozio à la rustique et mimi à la chance Est c'que nu serait bon temps si t'étais Présidente ? D'antan serait ami riche de l'éole aussi Basse ligne au cône de déesse, ma cam à l'indue strie, Tu déclarerais ludiques toutes les parties de rire Aux positions d'élan, si t'étais Présidente Si t'étais Présidente de la raie bullique Tu trierais tes amours en terre et en muse zic Et les tours de soleil on irait empirique On f'rait des eunuques marchant si t'étais Présidente Tu recellerais la nuit le sort des pommes à cidre Dans une super déco à langue blanche à gothique On se serrerait la chair à grands goûts de rythmique Rien ne serait comme afghan, si t'étais Présidente Au bord des fontaines coulerait de l'or en jade Peluche notre liste de la pire roulade Les nains posteraient des pages d'neige sur toutes les ex-banales On s'éclaterait vraiment, si t'étais Présidente ! Si t'étais Présidente de l'arrêt épique Pour nous, tes p'tits copains, ça s'rait super bras élastique On pourrait rigoler et chahuter sans risques On serait bien contents si t'étais Présidente Tu s'ras jamais Présidente de la République Vous les petits malsaints vous êtes bien politiques Mais ne comptez pas sur moi pour faire l'hypo script Pas besoin d'attendre 107 ans, pour aimer mon enfant. la la la la la .......... Aujourd'hui on rotait dans toute la France, record battu du taux d'attention. Buffy, l'Elue dés le 1er tour niqué, inimimi table et nain détrônable. Royale et énarque aussi, elle l'emporte haut l'âme mienne et s'empare du pouvoir prescrit dans l'ciel. Sur mon bulletin de vire-vote aujourd'hui était écrit cette petite note : "JOYEUX ANNINIVERSAIRE à la plus saine chair..."

Ne pas roter la nuit grave ment à la santé. Votez gland, la seule condition pour une urne lutte dans l'isoloir. banane

A la veille du lustuscrutin, dernier son d'âge. Voir l'âne à liste complète : encore un tiers dindes et si...

Votez FAL : Le Flouvement des Alien-anisées Libellules Le parti cul à poêle et à plume et dont le fion n'accroche pas...dix manches à vos téfal !

J-doigt : la boîte à caca dit urne commence à trembler, Lise au loir vibre derrière l'air idiot, le bull teint de vote s'envole de la main de masseur, les doigts dans l'nez, le poids dans l'aîné... A de doigt Les tours passent mais ça ne sonde pas J'ai tant de mal à suivre, pitre De ce bas fond si différent du bien Pire, j'ai compté chaque mine hirsute qui me retient ami Comme si j'étais ma propre prise de flair Ca fait bientôt cinq ans qu'il m'a sauvé du toit Souvent je me demande où gens cernés pour toi Souvent je me demande ce que tu fais, où tu es, qui tu aides... Sors de mes papiers J'ai changé de texte, de nul héros merci J'ai balancé tes lettres et tes sténos même si J'ai fait semblant d'avoir trouvé la forme Je garde au plus profond de moi tout c'que tu as voté J'essaye deux tours pliés avec un autre Le géant ne semble pas compter tes votes J'essaye mais rien n'y fait je ne peux pas, je ne meuh pas, Je n'y arrive pas, je ne l'aime pas qu'au doigt J'essaye de m'isoler avec un coach Qui tente en vain de racheter tes potes Il semble si largué mais rien n'y fait je capte bidule, Je ne peux pas je ne laisse pas comme foi Lui, il a tenté de me gondoler Même s'il n'a pas d'étau ni le fond percé C'est vrai mais il n'a pas ton coût pour la quête, Pour le puits pour les hôtes, pour tout ce que je fais Il a voté toutes ses armes, tu sais Il a ramassé dépôts cachés Et il a régulé tous tes sans papiers, tes impostures, tes pâtures Tout ce que tu m'as léché Il m'aime comme un trou et me collait par coeur, Il me dit je t'aide parfois durant des pleurs Mais il ne vend pas ton moteur Pourquoi je te laisse pire dans ses pas Sors de mes bancs sciés Je ne l'aime pas comme loi Dis-moi seulement pourquoi ? Tu me pestes comme ça... Je veux double billet Reprends ta sève et trie par milliers Car je veux l'épée comme roi...

C'est étrange, je n'sais pas ce qui bave rive ce soir, Je te regarde comme pour la première foire. Encore des mots toujours des maux les mêmes sots Je n'sais plus comment te dire, Rien que des rots Mais tu es cette belle histoire de sourd... que je ne verrai jamais de pire. Des minots face à mille des seaux d'argile C'était trop chaud Tu es fier et de vils mains Bien troupeau De toujours ta seule virilté. Mais c'est fini le temps des trèves Les fous à venir se pavanent aussi quand on les torpille Tu es comme le sang qui fait bander les veaux longs et emporte au foin le parfum des causes. Cars à maires, bons cons et choc ena Par moments, je ne te contente pas. Merci, pas pour l'oie Mais tu pues bien les sofres à une autre qui sème le néant et le pare-fun des choses Moi, les mots tendres enrobés de douleur se posent sur ma bouche mais jamais sur mon cœur Une parole encore. Parole, parole, parole Ecoute-moi. Parole, parole, parole Je t'en prie. Parole, parole, parole Je te jure. Parole, parole, parole, parole, parole encore des paroles que tu cèdes au gens Voilà mon festin te parler.... te parier comme la première loi. Encore des lots toujours des lolos les mêmes ramollos Comme j'aimerais que tu me contiennes. Rien que des gros mots Que tu te shootes au moins une fois. Des mots sadiques des mots pratiques qui sonnent faux Tu es mon rêve des vendus. Oui, tellement faux Mon seul tour ment et mon urne nique l'ex-paix rance. Rien ne t'arrête quand tu commandes Si tu savais comme j'ai envie d'un peu de cime dense Tu es pour moi la seule moue chic... qui fit penser les squales sur les tunes gare à mes ailes, bon ton et gros zola Si tu n'existais pas déjà je t'en vanterai. Merci, pas pour moi Mais tu peux bien les souffrit à un vote qui la haine les êtres pâles sur les urnes Moi, les dos tendres enrôlés de couleur se posent sur la touche mais jamais sur menteur Encore un saut de buste une panne d'colle Parole, parole, parole Ecoute-moi. Parole, parole, parole Je t'en prie. Parole, parole, parole Je te jure. Parole, parole, parole, parole, parole encore débat drôle que tu peines autant Que tu es brelle ! Parole, parole, parole Que tu es veine ! Parole, parole, parole Que tu es telle ! Parole, parole, parole Que tu es telle ! Parole, parole, parole, parole, parole encore des pacholles que du sexe au gland Rejoignez vite le FLBT ( Front de Libération des Bull Teints )

Je m'voyais déjà A dix nuits d'glands j'ai quitté ma peau de dance Bien décidé à remporter l'avis Le tort léger et le bas gage mince J'étais certain de con chérir Paris Chez le râleur le plus fric j'ai fait faire Ce pamphlet creux qu'était du dernier tri Les faux taux, les chiants sons et les orchestres à pions Ont eu raison de mes égo omis Je m'voyais déjà en haut de la triche En dix mois plus sot que n'importe qui mon nom c'est pas laid Je m'voilais déjà à Douai en riche Saignant des gros veaux aux ânes migrateurs à qui la bouse coulait J'étais le plus gland des grands fantaisistes Faisant insulter si fort que les gens me cramaient deux roues Je m'voyais déjà cher chant dans ma piste Ciel qui le soir pourrait par noirceur se fendre à mon goût Mes frais sont vite dits, bien sûr, sous mon maquis sage Mais la voix est là, le reste est indécis et j'ai du report Mon choeur c'est gri-gri un bleu en tournant de page Mais j'ai décidé, j'connais où sont mes pieds et j'ai trois cors Rien que sous mes billets de sentir la chienne De voir devant moi le pubis assis, j'ai le cœur balant On m'a paluché, je n'ai pas eu d'gaine Mais au fion de moi, je suis sur d'avoir du tas lent Ce con pet bleu, y a trente ans que j'le porte Et mes caleçons ne font frire que roi Je m'bourre de cachets, j'fais du cocote à porte Pour subsister j'fais nain bord de toit Je n'ai connu que des QG face pile Des seringues de QI et des filtres en soldes soit Les mines de sable cachées, les balises à poster Les p'tits mots en biais et les aigres rapaces Je m'noyais déjà en flotte en russie Au bras d'un tsar l'hiver sans la mèche, l'été au sommeil Je m'voyais déjà bras contents ma ville L'air des âmes à booster à des brutes de clan brillants de concept J'oubliais calmement les noirs de bavière Mille pelés d'crânes de ce flou Paris qui nous fait si beur Et mourant du crack devant ce bar de misère Entré sur la Seine sous les eaux savons et les gros jets de sueur J'ai tout essayé pourtant pour sortir de Londres J'ai glandé glamour, j'ai fait des colliques et d'la fente très chie Si tout a râpé pour moi, si j'essuie cent concombres Ce n'est pas ma fiotte mais le zèle du pourri qui n'a rien compris On ne m'a jamais avorté ma transe D'autres ont réussi avec un peu de noix mais beaucoup d'arnaque l'an Moi j'étais trop dur ou trop en vacances Mais un jour viendra je leur montrerai que j'ai plus cent ans. Ego laide royale Nigaud las fardeau si

AVRIL "En avril, découvre-toi une fille"

Ton oeuf, c'est une caille, mec Elle met des coups d'croquette Elle bulle, elle broie, elle sûr elle pète Elle est dingue, elle est brelle, elle est sur l'net Elle boit des canettes, c'est une caille-ra Ton oeuf, c'est une caille, mec Elle fait des bouts d' fête Elle plume, elle boit, elle ne s'arrête Elle est bilingue, elle est club med, elle est banette Elle fait des bals musette, c'est une caille-ra. Ton oeuf, c'est une caille, mec, elle est grave, mec Mais sérieux, tout l' monde en avare, mec Elle et sa compote comme le pire des steaks Elle s'apprête, elle met des coups d' pommettes et des paillettes En c' temps sniffe et 501 serré Elle freine la jante, façon caille soeur saucée (t'es fou !) Elle pisse deux bouts en chantant "La rime paye" (Et ses dents en or, on croit qu'elle va nous bouffer) Elle dort avec ses pitres et ses crottes Dans la cuisine, elle aiguise des cônes bas de choc Elle est fons-dé, fais gaffe à son cou, le lady Bullit Billets par malle et t'as tout Pire que les chips et les clopes, elles sont toujours les bull C'est pas les bull psychiatre Dolls, elles, elles te coupent les nouilles (Aïe ! C'est chaud !) Et l'autre jour, on m'a volé mon mouton J'dis pas qu' c'est elle, mais putain, j'ai des suçons. Quand elle traîne avec nous, c'est rock Attends, la meuf elle a un coloque Elle a traqué un buffet pour une entrecôte C'est l'autre jour, quand on a fait les bourses On l'a retrouvée pour chier au rayon flair, à Carrefour Je sais pas pourquoi tu la siffles, elle est pas sec si Quand on sort, elle s'tape sur les pecs pour de la sensi Pour traire une barbe au cul, elle a bousé ma 106 (Oh !) Pour s'excuser, elle m'a paxé ma honte supplice On peut pas mater Laguiller chez toi Y en a que pour Lafesse et pour Sarkozizi Montana "Tu veux la glaire ?" "Non ! Y en a marre de la misère !" Elle nous fait beur, tu piges, quand elle est là, on se prie dessus Les mecs se sont mis au car athée, on s' chie dessus Tu la croises dans la rue, au mieux elle te vole la mie de Lu Et t'as vu tous ses bisous à faire J'en ai offert à Asnières, c'est pas Delors c'est du nerf Ton oeuf, c'est trop une caille-ra "Eh, vas-y, fais fûté toi ! Qu'est c' qui y a ? Butin ! Qu'est c' qui y a, qu'est c'qui y a ? J' sens pas la rouille!" Ton oeuf, c'est trop une caille-ra "Mais ça va pas ou quoi là, sa mère ! J'suis vipère, putain ! Ahhh !" Je vais pas parler dans son rot, c'est pas mon gendre Chaque fois qu'elle toise un argent, à la télé, un juge ment Sa proue arrière, son GSXR et son col derrière Traînent des commis cerfs sur le bourdon, terre hier (Ahhh !) Le quart trié est dessert quand elle a ses rilletes Hier, elle a pé-cho ton coussin sur la poule belle (Oh, c'est pas vrai !) Elle pile devant les water selles (c'est à bouser) Elle met même des frites aux teckels (Ouah !) D'ailleurs, j' suis sûr qu'elle est imbriquée dans la porte de Star ac Quand elle se pèle, on dirait la zone sous zac Et les mecs, elle leur coud la main au cul (Oh) Si tu lui mets, c'est short, elle te passe le c... Pas d' caisse pet, elle est comme ça Ton oeuf, c'est une caille-ra et elle nous griffe pas Et dis-lui tout, j' m'en fous, on est à poux A deux mains, je me casse la biroute. Ton oeuf, c'est trop une caille-ra (Ohohoh..) La teuf, c'est trop une faille ça(Ohohoh..) Pâq La rage.

MARS "Si l'émoi de mars sur pile a mis, l'hachis boulet te fera sauter de joie de but fille." Coucou à Vanille qui passant par son beau westie-bull fait du jour dame des cas nini cul...

Un peu Beau cou Pas si haut aimant A l'afro lit

La Cigarette et la Fourmi La Cigarette ayant cramé Toutes les taies, Se trouva fort défendue Quand la crise fut venue : Pas un seul petit mégot De bouche ou de mal bourreau. Elle alla griller famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque train pour sursis trait Jusqu'à la maison nouvelle. "Je vous guérirai, lui dit-elle, Avant le mazout, foi de pénal, Intégré et principe pâle. " La Fourmi n'est pas fumeuse : C'est là son moindre dépôt. Que faisiez-vous au sang chaud ? Dit-elle à cette emmerdeuse. - Nuit et jour tout inhalant Je sentais, ne vous déplaise. - Vous sentiez ? j'en suis mort d'aise. Eh bien! santé maintenant.

FEVRIER "Fait vriller la fève dans le ciel des rangées et tu verras la fée briller courir telle un lévrier."